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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Quelques mois avant sa première escapade sur PlayStation 4, Nathan Drake propose aux possesseurs de la console de découvrir la trilogie originale sous un nouveau jour. Refonte technique, gameplay unifié et autres bonus, on fait le point sur les nouveautés de cette version remastérisée.
Sorti de nul part et annoncé la veille de sa sortie, The Beginner’s Guide est la nouvelle production de Davey Wreden, l’auteur de The Stanley Parable. Et si sa précédente production, brillante en tous points si ce n’est au niveau de son gameplay extrêmement simpliste, pouvait augurer du grandiose pour la suite de la carrière de Wreden, c’est avec une très grande curiosité et une once de méfiance que l’on aborde ce nouveau titre, car tenté de croire que le bougre ne réussira pas à berner tout le monde par son génie deux fois d’affilé. Il est donc temps de savoir si ce mystérieux « guide du débutant » est du niveau de son grand frère…
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le studio indépendant Trese Brothers n'en est pas à son 1er coup d'essai. Nous ayant déjà fourni (entre autres) le surprenant Heroes of Steel ainsi que Star Traders: 4X Empires, cette fois-ci, le studio américain nous propose Templar Battleforce, un mélange de Space Hulk et de XCOM le tout à la sauce rétro. Fort de son expérience en la matière, le studio réussira-t-il à nous convaincre ?
Gameloft, ce n’est un secret pour personne, a pour habitude de produire pour le mobile des copies plus ou moins camouflées de titres issues de la scène vidéoludique traditionnelle. Si la pratique dénote d’un certain manque de créativité, il n’en demeure pas moins que la firme délivre sans coup férir des titres d’une rare qualité, et qui, n’en doutez pas, tirent le jeu mobile vers le haut. En 2011, c’est donc la fleur au fusil que Gameloft s’est attaqué à un mastodonte s’il en est : World of Warcraft. Et le pire, c’est qu’ils ont fait mouche les bougres. Leur Order & Chaos Online a non seulement convaincu une palanquée de joueurs à travers le monde, mais a aussi su trouver grâce aux yeux de la critique. Aujourd’hui, Gameloft remonte au créneau avec Order & Chaos 2 : Redemption. Et une fois encore, ils ont fait mouche en proposant une expérience des plus satisfaisantes.
Les jeux de plateformes sont nombreux, mais peu arrivent à satisfaire l'appétit vorace des speedrunners et des hardcores gamers. Depuis Super Meat Boy les joueurs rongent leur frein en attendant une bonne surprise. Tinertia sera-t-elle cette perle rare ou un jeu qui tombera dans les limbes de l'oubli ?
Might and Magic Heroes VII (M&MH VII) est un dilemme pour son développeur Limbic. Soufflant ses vingt bougies, la licence est comme pieds et poings liés par la vénération quasi mystique des fans pour le troisième épisode de la saga, ressorti il y a peu dans une version HD amputée de ses DLC. Car depuis la sortie du quatrième volet, les innovations divisent, les ajouts déconcertent et Might & Magic se heurte sans cesse aux suppliques des joueurs. Pour ce septième épisode, les allemands de chez Limbic, toujours sous la houlette d'Ubisoft, ont opté pour une approche communautaire centrée autour de l’écoute des doléances de la communauté. Le résultat accouche d’un titre à l’esprit “best of” des grands principes populaires de la licence, sans grande prise de risque certes, mais à l’image de ce que les joueurs souhaitaient retrouver. Est-ce une réussite ? Réponses sans plus tarder dans ce test.
Le jeu de plateau, après avoir vécu une traversée du désert à la fin des années 90’s, s’est fendu d’un retour en grâce durant la décennie qui a suivi. Démultipliant les projets, s’invitant à divers festivals … la déferlante “boardgame” a inondé le salon de nombreux adeptes, les détroussant au passage de quelques deniers. Ainsi l’année 2015 a pu se délecter de petites soirées entre amis autour d’une table afin de découvrir Dead Winter : A Crossroads Game, King of New York ou encore Myth sans compter les adaptations de célèbres séries TV telles que A Game of Thrones : The Board Game et Jarl: The Vikings. Créé par Marc André et illustré par Pascal Quidault, Splendor appartient corps et âme à cette nouvelle vague de jeux de plateau. Et cette vague conquérante s’attaque désormais au marché du dématérialisé avec des adaptations digitales ciblant avant tout le marché des PC, smartphones et tablettes : Pandemic, Carcassonnee, Warhammer Quest, Small World, Les Colons de Catane … et j’en passe. Et le titre édité par Space Cowboys et distribué par Asmodee ne déroge pas à la règle. Mais cette énième adaptation d'un jeu de plateau est-elle fidèle au matériau d’origine ?
L’industrie du jeu vidéo tend à se renouveler génération après génération, sortant de sa musette des concepts novateurs nés de l’imagination fertile des développeurs ou encore de la fusion de mécaniques de gameplay parfois contradictoires. Et Puzzle & Dragons fut de cette trempe. Avec sa recette mi-puzzle mi-RPG, le titre du studio GungHo Online Entertainment ouvrit une boîte de Pandore qui ne cessa de déverser sur le marché du jeu vidéo mobile des ersatz de cette réussite aussi bien critique que financière. Tous les studios et éditeurs se lancèrent dans une quête parfois vaine d’un Puzzle-RPG susceptible de détrôner le roi sous la montagne de dollars ! Et le dernier né de cette fièvre du match-3 mâtiné d’heroic-fantasy n’est autre que Puzzle & Glory, un jeu édité par Sega, un nom gravé dans le coeur des joueurs nostalgiques. Mais pour combien de temps encore ?
Avec la renaissance de Saint Seiya en jeu vidéo courant 2005 sur PS2, on aurait pu penser que les fans du manga et de l'anime seraient au comble du bonheur. Mais si, durant cette dernière décennie, les adaptations sur consoles se sont enchaînées à un rythme inespéré, c'est pour un résultat largement en dessous des attentes des fans, même parmi les moins exigeants. C'est donc dans ce contexte empli de désillusions que l'on accueille le dernier opus en date, en se disant qu'il est peut-être grand temps de faire redémarrer la licence sur des bases entièrement nouvelles.
Chaque année, chaque rentrée, les jeux de sport font leur retour. Et pendant que nos amis amateurs de football se déchirent pour savoir qui de FIFA 16 ou de PES 16 est le plus correct, les fans de NBA eux se régalent à chaque épisode, et ce n'est pas ce NBA 2K16 qui devrait les faire changer d'avis. Eh oui puisque cette année encore, le cru est de qualité.
Je ne vais pas vous le cacher, je ne suis pas un aficionado de la pêche. Assis sous la pluie ou sous un soleil de plomb à attendre qu'un poiscaille veuille bien croquer le ver que tu as soigneusement embroché sur ton hameçon, et qui s'est probablement fait la malle lorsque ton fil s'est accroché aux roseaux, non merci. Pour moi, la seule qualité intrinsèque de cette pratique tient à l'excuse qu'elle offre de se jeter quelques bières avec les copains. Pourtant, alors que j'étais plus que méfiant à l'idée de jouer à Fishing Planet, le dernier simulateur de pêche gratuit développé et édité par FISHING PLANET LLC, je me suis retrouvé plusieurs fois à me dire « un dernier et je déco ». Pour finalement me déconnecter tard dans la nuit… avec une longue et… reposante… soirée devant l'écran.
Imaginez un jeu dans un monde post apocalyptique façon Mad Max, rajoutez-y un peu de tactique à la XCOM et saupoudrez le tout d'une petite pointe de RPG. Mélangez l'ensemble, laissez reposer pendant un E3 2015 et vous obtiendrez Skyshine's Bedlam ! Nous avions déjà pu poser nos armes sur cette surprise, il est temps pour nous aujourd'hui d'aller au bout de l'aventure et de déclarer la guerre aux mutants récalcitrants.
IA/VT -Colorful- est un jeu de rythme développé par Marvelous AQL (aussi connu pour avoir fait les Harvest Moon, Senran Kagura et autres...), ce qui est une première pour eux de faire un jeu de ce type. Mettant en scène la célèbre Vocaloid gagnant de plus en plus de popularité, IA -Aria on the Planet-. IA/VT -Colorful- a été vu pendant très longtemps comme étant une Arlésienne de la PS Vita, annoncé il y a deux ans, souvent repoussé, infos au compte-goutte... L'attente du titre vaut-elle le coup?
Annoncé 2 mois avant le Toulouse Game Show 2013, le "remake HD online" du mythique SoulCalibur II a fait parler de lui. Finalement sorti fin 2013, uniquement en téléchargement, à l'occasion des 10 ans d'existence de SoulCalibur II, vaut-il vraiment ses 20 euros ? C'est ce à quoi nous tenterons de répondre dans ce test. FIGHT !