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News jeu Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Profil de Logan,  Jeuxvideo.com
Logan - Journaliste jeuxvideo.com

Longtemps vu comme une sorte d'Eldorado vidéoludique, Le Japon a toujours nourri l'imagination des développeurs occidentaux qui furent nombreux à s'inspirer des plus grandes sagas venues de l'Archipel pour concevoir leurs propres jeux. Au-delà de l'influence, encore aujourd'hui visible, qu'a suscitée les jeux japonais des années 80, 90 et 2000 sur la production occidentale, c'est également la culture japonaise dans son ensemble qui a toujours fasciné, qu'elle soit présente ou passée. Logique donc que les titres prenant comme cadre le Japon féodal soient si présents, la période étant synonyme de figures emblématiques, d'exotisme, mais aussi d'une véritable philosophie propice à alimenter des titres aussi divers que variés.

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
For Honor intègre dès le départ le samurai comme classe jouable

En regardant la liste des titres sortis ces 30 dernières années, on constate que les jeux se déroulant dans le Japon féodal lorgnent principalement autour de trois figures : le ninja, le samurai et le stratège. Alors que les Japonais seront davantage enclins à intégrer des figures historiques, de façon plus ou moins crédible (Kessen avec les clan Tokugawa et Toyotomi) ou complètement fantasque (Nobunaga dans Onimusha : Warlords ), les développeurs occidentaux reprendront davantage ce qui caractérise le plus (pour eux) cette époque et cette contrée dont l'architecture apportant tout de suite une touche certaine d'exotisme. On citera par exemple le niveau «Banzai Bonsai» (un brin d'humour ne fait jamais de mal) de Crash Bandicoot : La Vengeance de Cortex (2001), propulsant Coco Bandicoot dans un Japon féodal des plus colorés faisant intervenir carpes Koi et grues pour le moins remontées, le tout sur fond de thème musical aux sonorités orientales. De par son simple titre, For Honor (2017) ne pouvait qu’intégrer les samouraïs dont l'honneur est indissociable de leur mode de vie. L'intégration de ces guerriers japonais sert également à offrir une vraie complémentarité au jeu, autant dans le choix des factions comprenant également un Chevalier et un Viking, que le gameplay qu'on apprendra à connaître à travers un mode solo. Notons cependant que les missions où l'on incarne le samouraï ne se déroulent pas à proprement parler dans le Japon féodal, mais dans une partie d'Ashfield (l'univers du titre) qui s'en inspire.

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Naruto : Ultimate Ninja et sa galerie éclectique de personnages

Terreau inépuisable à même de faire germer les graines de grandes aventures, le Japon féodal servira également de contexte dans de nombreux mangas et leurs adaptations vidéoludiques. Les exemples ne manquent pas et dresser une liste exhaustive serait des plus fastidieux. Néanmoins, on citera Blood Will Tell (2005), adaptation du manga Dororo d'Osamu Tezuka. On incarne ici le dénommé Hyakkimaru partant à la recherche des 48 parties de son corps détenues par autant de démons. L'occasion de découvrir un bestiaire varié issu du folklore japonais tout en traversant des lieux pour le moins classiques (villages, temples) mais participant au charme de cette aventure loin d'être exempte de défauts, mais néanmoins originale et disposant de quelques belles idées de mise en scène. Surfant sur la renommée du manga éponyme, Naruto profitera de plusieurs séries dont celles des Ultimate Ninja dont le premier volet arrivera en 2006 sur PS2. L'intérêt de ces adaptations est de pouvoir profiter de cet univers unique se déroulant dans un sorte de Japon alternatif intégrant la technologie actuelle, mais où les ninjas ont encore une place prépondérante, habitent dans des villages et se livrent à des guerres de clans. L'idée est intéressante puisque l'auteur intègre plusieurs notions et éléments issus de cette époque pour en déconstruire certains à l'image, justement, des ninjas, généralement vêtus de noirs et plutôt discrets et arborant ici des couleurs vives et se voulant parfois excentriques ou enjoués à l'image du personnage central.

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Drôle, beau et profond, Okami est un authentique chef-d'oeuvre

Coloré est l'adjectif qui définit le mieux le somptueux Okami (2007) de Clover Studio mettant en scène la déesse Amaterasu représentée sous forme de louve. Sans revenir sur les immenses qualités picturales du titre, notons que l'approche artistique du jeu fait ici partie intégrante du gameplay et reprend un élément très important de la culture japonaise arrivé en provenance de Chine au 6e siècle, la calligraphie. En effet, le joueur peut utiliser les sticks de son pad pour faire apparaître un pinceau qui lui-même va permettre de créer ou de réparer des objets mais aussi de combattre ou d'explorer son environnement. Une idée des plus originale pour un jeu magnifique usant d'un univers connu pour mieux le sublimer en y intégrant de façon harmonieuse et drôle un bestiaire lui aussi issu du folklore japonais. Basé sur un gameplay plus classique Muramasa : The Demon Blade (2009) fait lui aussi la part belle aux démons provenant de la mythologie japonaise tout en nous faisant profiter d'un visuel où chaque arrière-plan a bénéficié d'un soin tout particulier de la part des développeurs de Vanillaware. Se déroulant durant la période Genroku (réputée pour sa richesse artistique et architecturale), le jeu utilise une légende de l'époque tournant autour de lames maudites, propose d'incarner deux personnages dont un ninja amnésique, et met également en avant les spécialités locales ou bien encore des lieux typiques de la période revus et embellis s'accordant parfaitement à l'ambiance générale.

Le Ninja ou la voie de l'ombre

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Bien qu'imparfait, Tenchu aura durablement marqué celles et ceux ayant eu le plaisir de s'y essayer

Au-delà de ces quelques exemples usant principalement de la période pour installer une atmosphère, plusieurs titres ont utilisé l'image du ninja, du samurai ou du stratège pour amener un gameplay spécifique. Le ninja reste donc avec le samurai le personnage le plus emblématique de la période et se révèle être une aubaine pour les développeurs de par ses attributs (la furtivité, des capacités physiques hors normes) et ses gadgets à même de faire pâlir James Bond. Il n'est donc pas surprenant que dès les années 80, on le retrouve sur nos micro-ordinateurs via notamment The Last Ninja (1987) de System 3. Bien que proposant une trame somme toute quelconque (le héros devant occire un shogun démoniaque pour venger son clan), le titre fait sensation à l'époque, sur Commodore 64, à travers des graphismes et une bande-son maîtrisés qui gagneront d'ailleurs en qualité sur Atari ST et Amiga. Bien que l'accent soit davantage mis sur l’action que l'infiltration, ce titre en 3D isométrique aura suffisament de succès pour avoir droit à deux suites. Moins marquant, Ninja : L'Ombre des Ténèbres (1998) sortira deux ans après le premier Tomb Raider . Développé par Core Design, ce jeu d'action/aventure s'avère plutôt varié, bien que plombé par un gameplay assez lourd, et opte pour une approche fantastique en y intégrant diverses créatures mythologiques à l'instar de dragons que devra affronter un ninja du nom de Kurosawa (hommage au réalisateur éponyme). Plus terre-à-terre, Tenchu : Stealth Assassins sort la même année sur PSone. Développé par Acquire, ce premier volet use du ninjutsu pour proposer une aventure très agréable, pensée autour de l'infiltration. Malgré un gameplay perfectible et une IA branlante, la variété de ses missions, le level design, la panoplie de mouvements, le nombre de gadgets ou bien encore sa bande-son envoûtante lui apportent un véritable cachet.

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Mettant en avant les attributs de son héroïne, Red Ninja : End of Honor n'est pas toujours très fin

Poursuivons avec Red Ninja : End of Honor (2005), sorte d'ersatz féminin de Tenchu assez quelconque, mais nous offrant la possibilité d'incarner une Kunoichi. Sur ce point, mentionnons l'absence de parité, les jeux nous faisant incarner une «femme ninja» se résumant à une poignée de titres dont certains de baston. Toutefois, rendons à César ce qui appartient à César puisque Tenchu proposait lui aussi d'incarner le pendant féminin de Rikimaru, autrement dit Ayame. Petite digression (le titre ne se déroulant pas vraiment dans le Japon féodal) pour évoquer l'un des meilleurs jeux mettant en scène un ninja, autrement dit Mark of The Ninja . Jeu d'infiltration en vue horizontale, la jouabilité s'avère excellente car reposant sur les notions de rapidité et d'invisibilité ainsi qu'une gestion du son, centrale dans le gameplay, chaque action générant du bruit susceptible de faire venir les ennemis vers vous. Une pure merveille ressortie dans une version Remastered en 2018.

Mark of the Ninja reste encore aujourd'hui l'un des meilleurs jeux mettant en scène ces guerriers de l'ombre

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière

Plus dispensable sans pour autant être inintéressant, Aragami (2016) se veut lui aussi entièrement pensé autour de la notion d'infiltration et vous demandera de maîtriser plusieurs techniques pour progresser dans des niveaux à la difficulté variable. En 2019, Sekiro Shadows Die Twice propose un Japon féodal magnifiquement représenté, empreint de magie, de mythes et de démons. Si l'on aurait pu espérer une dimension plus infiltration (From Software ayant développé et édité certains Tenchu), cet aspect ressort finalement peu, le jeu étant avant tout pensé comme un Dark Souls et donc construit autour d'affrontements requérant une excellente maîtrise de la parade et des contres. Enfin, nous arrivera dans quelques jours Ghost of Tsushima des Américains de Sucker Punch (les sagas Sly Raccoon, InFamous). Se revendiquant de l'influence d'Akira Kurosawa et de ses nombreux films de sabre, le jeu s'inspire ouvertement de très nombreux Wu Xi Pian (films de sabres chinois en costumes) à commencer par ceux de Zhang Yimou et plus particulièrement Hero et ses couleurs chatoyantes ou bien encore ses combats se déroulant sous d'innombrables feuilles virevoltantes.

Le samurai et son code d'honneur

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Bushido Blade incorpore au coeur de son gameplay la philosophie du samurai

Si le ninja représente le Yin, le samurai en est indubitablement le Yang. Là où le premier évoluera dans l'ombre en usant de moyens détournés pour arriver à ses fins, le samurai se doit d'affronter son adversaire face à face, quitte à le provoquer en duel. Bushido Blade (1998) est sans doute le jeu qui s'inspire le plus ouvertement de cette philosophie et reste de ce fait un véritable OVNI, encore aujourd'hui. En effet, il est ici possible d'éliminer son adversaire en un coup bien placé, ceci réduisant alors certains affrontements à une poignée de seconde. L'idée, osée, mais parfaitement liée à cette recherche perpétuelle du geste parfait, donne au jeu de Light Weight une aura indescriptible composée d'une tension de chaque instant, la moindre erreur pouvant causer notre perte. A l'autre bout du spectre, Onimusha : Warlords (2001) ne fait que reprendre la formule Resident Evil en la transposant dans un Japon féodal peuplé de démons dont le chef d'orchestre n'est autre qu'Oda Nobunaga (daimyo important de la période Sengoku). Une idée pas si farfelue que ça puisqu'elle permettra au genre survival-horror de s'affranchir des limites de l'ère contemporaine et de jouer à son tour avec le folklore japonais.

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière

En 2001, Light Weight renoue avec le jeu de samurai via Kengo : Master of Bushido . Comme on pouvait s'en douter, l'idée est à nouveau de mettre l'accent sur la philosophie du combattant et si le titre intègre cette fois des barres de vie, la notion de Ki fera cette fois toute la différence. Le gameplay, simple en apparence (une seule touche étant associée à l'attaque, une autre à la défense...), vous demandera malgré tout de la concentration pour trouver la faille de vos ennemis avant d'attaquer. En 2002, Way of the Samurai suit la même voie (sans mauvais jeu de mots). Développé par Acquire (les deux premiers Tenchu), ce titre nous met dans la peau d'un samurai à une époque où ces derniers sont mal vus par la populace. Articulé autour de choix ayant un impact sur le sort des villages que vous traverserez et votre propre existence, Way of the Samurai est un titre intéressant qui a le mérite de nous faire visiter une période charnière du Japon. Déclinaison japonaise de la saga Dynasty Warriors, Samurai Warriors (2004) propose une relecture de l'histoire japonaise à travers des batailles homériques directement issues du genre musô. Le samurai ne sert finalement ici qu'à légitimer l'aspect guerrier de ce titre qui n'en reste pas moins intéressant ne serait-ce que pour en connaître plus sur les grands noms de l'époque qu'on apprendra à découvrir au fil des très nombreuses missions.

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Genji met en avant deux personnages historiques, autrement dit Genkuro Yoshitsune et son fidèle moine guerrier Benkei

Poursuivons avec deux jeux eux aussi ancrés dans un univers fantastique né du Japon féodal et des mythes associés. Otogi : Myth of Demons (2003) se veut empreint de mysticisme malgré son orientation action. Cette exclusivité Xbox se pare d'une superbe direction artistique et si l'esprit du samurai est finalement très lointain, le beat'em all de From Software n'en demeure pas moins un très beau livre ouvert sur la mythologie japonaise. Exclusivité PS3, Genji (2005) entend bien, à l'instar d'Otogi, nous faire profiter d'un folklore typiquement japonais. Mettant en scène Genkuro Yoshitsune et son fidèle moine guerrier Benkei (tous deux ayant véritablement existé), le titre, bien qu'inspiré de faits réels, prend rapidement des chemins de traverse pour propulser ces deux personnages dans un univers fantastique peuplé de crabes géants, Yokais et autres divinités. En 2017, Nioh arrive sur PS4 et PC. Engoncé entre Dark Souls et Ninja Gaiden , le jeu de la Team Ninja repose énormément sur son univers pour se démarquer. En résulte une ode au Japon féodal et à ses mythes à travers une aventure exigeante se déroulant durant l'ère Sengoku où l'on croisera Kuroda Yoshitaka (célèbre stratège du clan Toyotomi) ou bien encore Hattori Hanzo, ninja et samurai de son époque.

Nioh fera sensation en 2017

La victoire appartient au stratège

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Shogun Total War s'avère être un excellent spin-off de la série originale

Les STR et jeux tactique ont eu aussi profité du contexte géopolitique et des guerres de clans de la période, pour offrir aux fins stratèges une porte d'entrée à cet univers. Pour autant, on ne compte pas tant que ça de titres du genre, le Japon féodal étant vraisemblablement plus inspirant quand il s'agit d'action/infiltration. Néanmoins, on trouve quelques excellents jeux à commencer par le Shogun : Total War (2000) de The Creative Assembly, spin off de Total War se déroulant durant l’ère Sengoku Jidai, autrement dit «l'époque des provinces en guerre». Nous proposant de diriger un clan parmi sept de disponibles, cette possibilité apporte une grande variété d'approches, chaque clan ayant sa spécificité (assassinat, diplomatie, maîtrise su sabre...). Shogun Total War permet donc d'avoir une bonne vision d'ensemble de cette période via différents points de vue complémentaires synonyme de gameplay enrichi. La même année, Koei nous offre le jeu tactique Kessen , chose plutôt rare sur PS2. Sans atteindre la profondeur de Shogun : Total War, Kessen ne démérite pas pour autant. Se situant entre les 16e et 18e siècles, période ayant été ravagée par des guerres incessantes, Kessen vaut davantage pour ses cinématiques et certaines batailles impressionnantes que pour la précision de son gameplay et son aspect stratégique. Signalons tout de même des scénarios alternatifs apportant un peu de variété... pour peu qu'on connaisse l'histoire originale.

Le Japon féodal dans le jeu vidéo : Entre ombre et lumière
Age of Empires III : The Asian Dynasties s'inspire d'un contexte historique réel

En 2008, la seconde extension de Age of Empires III : The Asian Dynasties , s'intéresse de près à l'orient et notamment aux Japonais, l'une des trois classes inédites, avec les Chinois et les Indiens. Se situant en 1600, on y incarne Kichiro, chargé d'aider son maître Tokugawa Ieyasu à devenir shogun afin de régner sur le Japon. Composé de plusieurs sièges, le jeu propose entre autres de participer à la bataille de Sekigahara, marquant la fin de l'époque Sengoku et le début de celle d'Edo. Pour l'anecdote, signalons que si les parties japonaise et indienne se veulent fidèles au contexte historique, la dernière campagne le sera beaucoup moins en faisant accoster les Chinois sur les côtes américaines pour les faire affronter les Aztèques. Terminons cette petite revue des troupes avec Shadow Tactics : Blades of the Shogun (2016), jeu tactique aussi somptueux que difficile. Outre ses immenses qualités, autant dans la forme que dans le fond, le jeu des Allemands de Mimimi Productions vaut également pour son contexte historique, l’époque d'Edo, jamais explorée auparavant dans le genre Commandos-like. Une excellente idée apportant beaucoup de fraîcheur au genre d'autant que l'histoire en profite également à l'image de la bande-son distillant de douces sonorités nippones.

Shadow Tactics : Blades of the Shogun est un jeu des plus exigeants

Commentaires
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sasuke_is_back sasuke_is_back
MP
Niveau 22
le 16 juil. 2020 à 13:24

Petite erreur dans la phrase ci-dessous :

"Exclusivité PS3, Genji (2005) entend bien, à l'instar d'Otogi, nous faire profiter d'un folklore typiquement japonais."

Exclus PS2*

Vérifié sur le site même.

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