Alors tranquille j'étais avec ma copine comme ça, on se promenait on était en voiture, on a pas rouler très très longtemps et là un moment donné TCHONG! Ta grosse mère la Monika comme ça qui s'affiche avec sa grosse ******, et après je me suis dit nan c'est pas possible c'est la ****** a Monika!

Honnetement je n'ai jamais réussi à autant m'impliquer émotionellement dans une histoire.
Les personnages sont un peu clichés dans leur caractère mais tous extremement attachants et profonds
Le jeu est une suite d'éléments simples mais très bien ammenés et imprévisibles a premiere vue
juste INCROYABLE

"Simple" mais efficace ! L’un des meilleurs jeux d’horreur que j’ai testée ! La première partie est un peu long mais une fois que c’est lancé c’est difficile de décrocher! :hap

Très difficile de noter un jeu gratuit. Le prix est bien évidemment un facteur à prendre en compte, mais compense-t-il les lacunes d’un jeu? Certainement pas.

Doki Doki Litterature Club est un visual novel extrèmement fade, même s’il cache quelques mécaniques très intéressantes. Le problème, c’est que ces mécaniques représentent moins d’un pour-cent du jeu.
Les personnages sont d’affreux clichés (classique pour un VN certes, mais ils auraient quand même pu faire un effort) et le scénario est complètement bateau (là pour un VN c’est plus embêtant). Le joueur passe les premières heures de jeu à passer des dialogues vide d’interet en espérant que ça devienne enfin intéressant. Au bout d’un moment le ton du jeu change enfin, passant de la love story bidon à un ton beaucoup plus inquiétant. Un changement surprenant certes, mais le jeu devient-il passionnant pour autant? Malheureusement non, même si je suis conscient que certains pourront apprécier.

Pour conclure, Doki Doki Litterature Club est très insuffisant, malgré sa gratuité. Certaines mécaniques sont toutefois extrêmement bien pensées, je vous conseille donc plutôt de regarder un let’s play du jeu sur YouTube, où les moments inintéressants seront coupés au montage (vous permettant également de découvrir les différentes routes possibles sans devoir tout vous retaper), plutôt que de perdre du temps à jouer à ce jeu.

Alors je vois de suite les fans aveugles de DDLC me dire que je suis un rageux parce que je n'y connais rien aux VN, gna gna gna, mais il faut être réaliste les enfants, DDLC n'est pas le meilleur VN comme vous essayez parfois de le faire croire. Alors, pour cette critique, je vais simplement reprendre les points positifs de notre cher VisualNovelist, et dire pourquoi, à mon sens, ça ne va pas.

- La réalisation globale... Elle n'est pas supérieure aux VN de base que l'on peut trouver gratuitement, donc techniquement, c'est pas un argument très recevable.

- Un plot-twist surprenant et réussi… Le coup de Monika en plot twist aurait pu être très intéressant, s'il avait été bien écrit. Et j'entends par bien écrit autre chose que "mdr elle est omnisciente, elle efface des trucs sur le disque dur, olala, elle est consciente qu'elle est un personnage de jeu." C'est tellement mal écrit qu'au final, le plot-twist "réussi" n'est pas plus réussi qu'une série du dimanche sur TFX en pleine après-midi....

- Des mécaniques de jeu intéressantes. C'est un VN les gars, les mécaniques de jeu ne sont pas hallucinantes non plus. Et je suis un énorme fan de VN. La création de poèmes, c'est pas ouf, vraiment, vendre ça comme révolutionnaire....

- Des personnages caricaturaux mais attachants... C'est vrai qu'on s'attache vraiment à une dégénérée qui se plante sans raison parce qu'elle adore les couteaux, par une neuneu qui fait des gâteaux à un psychopathe, une meuf qui se pend sans raison.... La mort de chaque personnage a été pour moi une délivrance tellement leur écriture était plate et ne me donnait absolument pas envie de m'y attacher.

- Une vraie pression psychologique. Ok, donc, DDLC a une pression psychologique.... Ok, d'accord... Donc si DDLC a une pression psychologique, Saya No Uta, de l'horreur lovecraftienne, et la série des Muv Luv qui joue sur l'horreur dissimulée, ça vous envoie en hôpital psychiatrique. DDLC, dérangeant, avec deux pauvres screamers qui se battent en duel, et trois pauvres glitchs... A moins que je sois trop fort psychologiquement pour me laisser impressionner par une telle avalanche de pression psychologique...

- Petit ovni dans le monde du VN. Y'en a plein des comme ça, c'est pas une révolution.

- Gratuit. Heureusement qu'il est gratuit. Car s'il avait été payant, j'suis pas sûr que la fame autour du jeu soit la même. On lui passe beaucoup de choses, et on lui accorde beaucoup de positif, car il est gratuit. Payant, vous ne l'auriez certainement pas vu comme aussi bon.

Alors, je peux donner l'air d'être un rageux, je le conçois, mais dire que DDLC est une référence dans le domaine du VN, alors qu'il n'est vraiment pas aussi bien écrit qu'on le prétend, que les personnages sont plats... J'ai vu bien mieux, et dans le gratuit. Y'a bien pire, mais mettre 18 à DDLC quand Everlasting Summer fait bien mieux, et qu'il se tape 15... la blague.

Alors déjà " LGOGNGO TLAIQ TUR CONNAIS RIEN AUX VISUAL NOVELS ". Non Célestin j'ai sûrement joué à plus de vns que toi qui jouent que à des trucs mainstream uniquement traduits en français. Bref. Début très ennuyeux. Personnages pas très intéressants mais oh attendez ! On me dit dans l'oreillette que tous les gamins mettent 20/20 parce que OGNOGNG9 MAIS ÇA DEVIENT DARK OGMGLGLYMT MONIKA ELLE CHANGE LES FICHIERS DU JEU OGMGMMG JUST MONIKA! OH ET YURI C'EST UNE YANDERE OH ET PUIS Y'A DU SUICIDE ET DU SANG TROP DARK TROP DARK HIHI.
Alors oui j'avoue que c'est assez intéressant et désarçonnant ( et encore pas vraiment vu que tout le monde a spoilé la véritable nature du jeu partout sur internet ... ) de partir sur ça après un début extrêmement classique. Mais au final c'est vraiment vide derrière, juste une succession d'événements " flippants " pour impressioner les pnjs. Mettre plus de la moyenne pour ça c'est vraiment se foutre de la gueule du monde.

Quelle mascarade...
Comment peut-on raisonnablement mettre un 18/20 à un produit pareil sans se discréditer totalement ? Ce jeu est un néant... pas d'histoire, pas de fond, pas de graphisme, des dialogues pathétiques et interminables, une épaisseur des personnages quasiment nulle. Bref, ce « jeu » est un échec confondant. Trois ou quatre décors insipides et vides, c'est tout ! 5 personnages dont celui que l'on « incarne », et c'est tout. Aucune interaction ou presque. Traitement d'une superficialité tellement pathétique. Je crois vraiment que les mises en garde ne sont là que pour appâter le chaland... De même que la note incompréhensible de JVC. Ne vous laissez pas avoir, ce jeu, de même que les différents scénarios sont grotesques !!! Ridicule.

bonne histoire, bonne histoire mais je veux pas dire, je sais pas pour vous, mais le jeu... il était un peu buggué non, bizarre je sais que c'est de l'indé et ils ont pas forcément du budget, mais j'ai eu des spirit qui glitch et des dialogue plus foncé que d'habitude, vraiment bof bof donc 5/20 et je suis gentil, ça gâche vraiment l'expérience.

En dépit des apparences, il est excellent. L'un des meilleurs jeux de ce monde. Attention, ceux qui souhaiterai l'essayer, faite le maintenant avant de vous spoil, c'est très important de ne SURTOUT PAS ce spoil avant de le lancer

Tension….

SPOILER

S'il s'agit d'un visual novel de drague aux premiers abords, on se rend compte après les premières heures de jeux que ce jeu s'agit en fait d'une expérience assez unique qui contraste fortement avec l'aspect très niais et cliché des dating sim.

En effet, lorsqu'on commence le jeu on peut être très vite lassé de cet aspect très tout va bien dans le meilleur des mondes mais il s'agit ici en fait d'un jeu qui aborde des thématiques beaucoup plus profondes que l'aspect visible niais et de romance du début de jeu nous laisse croire. Dépression, suicide, obssession, abus, manque, etc. Le jeu nous annonce par ailleurs que si l'on est plutôt sensibles à des sujets tels que ceci, ce n'est pas un jeu qui est fait pour nous.

C'est vraiment ce contraste et cette histoire beaucoup plus profonde que de la simple romance (notamment grâce aux poèmes qui devienennt de plus en plus creepy au fur et à mesure et les comportements des personnages devenant étranges) et le côté sombre qui m'a séduit et surtout tous les questionnements que le jeu nous offre. Ca en devient presque psychologique et on a envie de comprendre davantage sur ce qui pousse les personnages (et les personnes qui souffrent de ces troubles dans la vraie vie) à agir ainsi, ce qu'ils ressentent, comment ça se manifeste, etc. Surtout qu'on découvre l'histoire de chaque fille au fur et à mesure du jeu qui nous permet de s'attacher à chacune (selon ses goûts). Peut-être j'aurais aimé un peu plus de complexité au niveau de l'histoire de chaque fille avant que Monika commence à foutre le bordel avec chacune d'entre elles. Pour finir sur le scénario, le jeu casse complètement le 4ème mur, Monika s'adressant directement au personnage lorsqu'elle a comprit qu'elle vit dans une simulation et ses amies et son club de littérature ne sont rien d'autre que des données et des lignes de code.

Les musiques sont immersives, adaptées à la situation, et la réalisation technique est impressionannte : le jeu va jusqu'à fouiller les fichiers du jeu, quitter le jeu sans nous prévenir, le changement de caractères lorsque le personnage parle pour rendre le tout plus effrayant... La façon dont il utilise la méta technique dans le jeu est fascinante, par exemple, pour supprimer Monika, le joueur doit en fait plonger dans ses fichiers informatiques ! Le tout est très bien réalisé et surprennant pour le joueur.

Ce n'est que mon avis mais ce jeu m'a beaucoup touché avec son aspect horreur psychologique et le paradoxe dans laquelle vit Monika.

Clairement un chef-d'oeuvre ce jeu .

Comme il a été dit plusieurs fois, il est difficile de donner un avis ou d'expliquer la qualité de DDLC sans spoil. Je vais donc me limiter au minimum, il y a ainsi bien plus a voir dans le jeu que ce que je vais détailler ici.

DDLC est donc un visual novel, comme il peut en exister des milliers, c'est vrai. On retrouve des graphismes classiques, quelques décors, et des personnages sexualisés et stéréotypés au max. Et comme dans la plupart des jeux de ce genre, le gamplay est également peu présent. Sa qualité ne se trouve donc pas dans son visuel (même si ceratins en proftent, mais y'a des meilleurs jeux pour ça je pense) mais bien dans sa morale. On parle bien de "Litterature Club", on tourne donc constamment autour de la lecture et plus précisemment des poèmes qui constituent une part majeur de ce jeu et qui donnent de nombreuses leçon de vie. Pour ce qui survient à la moitié du jeu (et dont je ne parlerai pas plus), clairement c'est du propre, ça fait toute la différence avec tous les autres jeux de ce type et développe vraiment le côté artistique de DDLC. En ajoutant à ça les musiques exceptionelles et le joli brisage du 4eme mur constant dans le jeu, on peut définitivemment parler de chef-d'oeuvre.

Mais n'étant pas fan des visual novels de base (je m'étais intéressé au jeu que pour ce qui se passait après), j'avoue avoir trouvé le début du jeu un peu long et con con. Mais j'imagine que c'était dans l'intention des développeurs.

Au final, on a donc un jeu clairement axé sur le côté artistique de part sa beauté morale et son "originalité" qui le démarque bien des autres visual novels. C'est une pépite, vraiment un grand bravo à Team Salvato. Voilà un 17/20 pour vous.

Doki Doki Litterature Club! est un mignon petit jeu de drague avec plein de filles mignonnes d'animé.

À faire de ce pas pour tout les amoureux de romance !!

Un excellent jeu, je ne pourrais pas trop en dire pour ne pas spoiler, mais les musiques, les personnages (en particulier une…) les dessins et surtout le scénario et même le gameplay (encore une fois je ne vais pas spoiler) sont excellent !

A ne pas mettre dans les mains de tous le monde cependant…

Un des Visual novel le plus connus ces dernières années, notamment car il a explosé au grand public et ça fait plaisir. L'histoire est intrigante, je ne vais pas spoil mais il en vaux vraiment la peine