Gros coup de coeur! Un jeu sous-côté qui aurait dû faire parler + de lui.

DA vraiment bonne, énigme originales (bon parfois on est bien content de pouvoir avoir la soluce sur internet quand même
Le système de combat est ok.

Ca faisait longtemps que j'avais pas poncé un jeu!

Un jeu Sublime, remplit de poèsie pour ceux qui seront l'apprécier.

Scorn n'est pas un jeu vidéo, c'est une peinture vivante qui rend un hommage très émouvant à Giger et Beksinski, deux peintres aux univers mélancolique ou horreur et beauté se mêlent étrangement bien.

Il n'est clairement pas destiné à tout le monde, déjà, parce que l'art est quelque chose de très subjectif et que les gens n'étant pas sensible à ses oeuvres ne seront pas y trouver leur compte.

Mais je ne peux que le recommander aux amoureux des arts sombres et tortueux.
Ici, vous n'êtes pas en face d'un FPS abrutissant que n'importe quel enfant de 12 ans un peu réactif sera terminer.

Les dev. avaient prévenu que nous serions lâcher dans leur univers sans tuto, sans explications et sans aides, mais bordel, ça fait aussi du bien de ne pas être prit pour un assister...

Le jeu s'apprécie comme on peut apprécier une balade dans un musée étrange. Personnellement je considère que le jeux vidéo est un art à part entière et que Scorn vient ajouter ça pierre à l'édifice.

Des paysages à couper le souffle, des couleurs magnifiques, une DA irréprochable et une ambiance lourde ou malgré sa durée de vie trop courte à mon goût, j'ai réussi à m'attacher à ce personnage qu'on accompagne dans un monde en désolation et où il faudra à toute à chacun faire un effort de réflexion pour apprivoiser cet univers.

Bref, je déconseille Scorn aux joueurs amateurs de FPS no brain.

Par contre si vous aimez Giger et Beksinski, l'horreur poétique et les jeux plus typé expérience sensoriel, alors n'hésitez pas, Scorn vous offrira quelques heures d'une belle balade qui sera vous marquez.

Un très bon puzzle game Bien dégueulasse comme on en voit rarement ("Et tant mieux") de nos jours, ce qui va surement en rebuter certains "Sur sa cruauté", qui s'attendaient surement plus à un shooter "Cool".

Scorn ne vous tiens pas par la main ("Non, il la coupe, plutôt"..) et vous laisse explorer l'environnement pour comprendre comment fonctionne l'énigme qu'il vous faudra résoudre "A la bouillie d'autrui" (Pas du tout comme un Myst, calme, bucolique et rêveur; ici c un véritable Cauchemar cyber-anthropomorphique").

L'ambiance " Très très très Malsaine" est vraiment au cœur du jeu dans un style largement inspiré de Hans Ruedi Giger, "L'horreur sadique gratuite en moins", il n'y a aucune histoire, seulement le décors pour laisser libre court à votre "Bouchère" interprétation.

Pour ça, Scorn peut compter sur un Unreal Engine 4 en fin de vie, mais qui a qui en a encore sous le capot "Pour du gros rouge bien poisseux et de la découpe d'os".

Question jouabilité on se retrouve avec quelque chose d'assez classique, ceux qui ont joué au dernier remake de Myst seront "Nauséusement" dépaysé", "aussi", A part pour la décision du studios d'avoir implémenté un système de combat est tout de même assez étrange (voire anecdotique, plus du domaine marketing pour la bande annonce...) puisqu'il est impossible pour notre personnage de sauter, ou de strafer énergiquement, "Mais pas de Hacher et se faire hacher très grossièrement".

Les énigmes sont accessibles (passé la première, une sorte de taquin, "Âmes sensibles ,Prendre 1 sac à vomi pour la suite", pas très original et ennuyeux...) mais par la suite le titre nous "rebute" dans son univers à la fois mécanique et organique, "Boucher" et on a vraiment pas de mal à lâcher la souris pour en apprendre moins sur l'univers "Très traumatisant, dérangeant et dérangé" que l'on parcoure.

Au final je trouve que l'équipe de développement a fait un travail remarquable au niveau de l'ambiance "Psychopathe d' Éviscérateur en série" sans beaucoup de moyens, d'où une méthode assez discutable au niveau de la communication qui mettait des scènes d'actions (comprendre "de Tortures inhumaines") (pas forcément misent en avant non plus) dans son trailer.

Vous aimez les jeux de tortures d'horreurs sadiques contemplatifs ?
Où l'ont doit comprendre l'environnement pour avancer ("fuir", plutôt)?
Alors Scorn est "sans Aucun doute fait pour vous".
Vous vous attendiez à un FPS glauque ("Oui, on ne peut pas mieux le définir") au "Sadisme" bien bourrin ?
Restez sur votre chemin.

Ah Scorn... Qu'en dire ?

En l'état, pas grand chose de bon.

Il possède une certaine ambiance visuel et... C'est bien tout.

Ce jeu est une véritable purge. Vous allez passer tout votre temps à insérer vos doigts / votre main / le canon de votre arme dans des orifices, ce qui va activer des objets, presque toujours phalliques, qui vont a leurs tours s'insérer dans... (Roulement de tambours ) d'autres trous.

Come vous l'aurez compris, il s'agit un jeu créé par un pervers pour d'autres pervers. Tout rappel le phallus et le vagin, à presque chaque instant.

S'en est autant lassant que ridicule.

Personnellement c'est un gros non, le jeu n'a aucun intérêt, sauf si a la limite vous avez une certaine carence dans votre vie sexuelle.

Ah si, pour continuer l'analogie, le jeu est aussi bon qu'un mauvais plan cul sur Tinder, a peine commencer et dedans qu'il en sera déjà terminé avec environ 6h pour en venir à bout, ce qui est bien bien trop long pour ce qu'il offre.

Ce jeu et une horreur aussi bien en pc que en console aucune explication un inventaire incompréhensible une mort en un seul coup des énigmes bidon qui font tourner sans cesse en rond à chercher. Encore un beau cadeaux du gamepass. Ame nerveuses passer votre chemin sinon vous aller Peter un câble ou votre manette et clavier. Seul avantage c'est le décors inspirer de GIGER le reste a éviter.

"Belle" experience. Une fois plongé dans l univers et les mecanismes assimilé, le jeu se fait en une traite. Il est vrai que sa durée de vie est assez courte, mais l'immersion en vaut la chandelle.

Les enigmes sont intelligente et bien menée, les quelques phases de fps font le taf, mais c est surtout a travers son ambiance glauque et mysterieux que le jeu vaut le detour.

J ai pas compris grand chose à l'histoire, seulement que l experience de jeu etait plaisante, et c est là l'essentiel.

Obtenu avec le PC Game Pass.
Config : AMD Ryzen 5 3600, Nvidia RTX 2060 Super, 16Go DDR4 3200CL16, SSD NVMe.

Dénué de tout dialogue ou texte, le scénario sibyllin de Scorn laisse la part belle à l'interprétation (ou l'incompréhension totale, selon chacun). Et bien que diverses explications sourcées fort intéressantes puissent être trouvées sur internet, nul besoin d'intellectualiser pour profiter de l'expérience. Il s'agira donc de plonger au cœur d'un univers cauchemardesque en pleine déliquescence, sans carte ni indication d'aucune sorte, et d'avancer et résolvant quelques casse-têtes et énigmes environnementales. J'ai trouvé la difficulté bien dosée en la matière, et le level design suffisamment ingénieux pour être stimulant, mais jamais complexe au point de s'y perdre trop longtemps.

La progression se ferait donc avec fluidité si les affrontements n'étaient pas aussi lourds et débilement punitifs, surtout avec l'arme de base à piston, seule disponible pendant la première moitié du jeu. Et même quand l'arsenal se renforce par la suite, les munitions et recharges de santé se font rares, face à des ennemis toujours plus nombreux, agressifs et létaux. Rajoutez des checkpoints souvent mal placés, et vous comprenez vite qu'il est préférable d'esquiver tout ce beau monde tant que faire se peut. Alors oui, l'apport d'ennemis redoutables peut accentuer la tension, le sentiment de danger, d'être constamment sur la brèche, ce qui est commun à beaucoup de survival horror, mais en l'occurrence le juste équilibrage n'a ici pas été trouvé.

Pour donner corps à cet univers biomécanique, les serbes du studio Ebb Software se sont très largement inspirés d'Hans Ruedi Giger, de Zdzislaw Beksinski ou encore de David Cronenberg. Le résultat est fascinant de froide cruauté, où des architectures sombres et brumeuses sont gangrénées par des organismes difformes, sanguinolents et visqueux. Une atmosphère malsaine, d'une grande violence physique et psychologique, pèse constamment sur le joueur. Implacables, les musiques, le sound design et les animations viennent enfoncer le clou. Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance.

Malheureusement, Scorn fait parti de ces (trop) nombreux jeux tournant sous Unreal Engine 4 qui souffrent de suttering récurrent. En effet, les saccades se multiplient à l'arrivée dans chaque nouvelle zone, comme autant d'obstacles à l'immersion, pourtant le principal moteur qui nous pousse vers l'avant. Un énorme gâchis. D'ailleurs, le phénomène a quasiment disparu lors de mon deuxième run, confirmant un problème initial de compilation de shaders. Il m'a d'abord fallu 6h30 environ pour arriver au bout de l'aventure, puis 3h45 en sachant quoi faire et où aller. Une durée de vie que j'estime adéquate et satisfaisante, s'agissant davantage d'un voyage sensoriel que d'un jeu aux systèmes profonds. Par contre, fait étonnant et encore une fois contreproductif quant à l'immersion, le dernier plan de l'épilogue est suivi d'un retour immédiat au menu principal, sans générique de fin pour prolonger l'ambiance. Une décision peu courante que je ne m'explique pas.

Positif :
+ esthétique viscérale
+ sound design qui glace le sang
+ level design suffisamment tortueux
+ énigmes bien calibrées

Négatif :
- combats pénibles
- problèmes de stuttering

Ce n'est pas un jeu. Certainement pas. C'est une expérience extraordinaire, que tout jouer, qui a le cœur bien accroché, se doit d'éprouver. Je crois que les mots pour définir ce *jeu* sont impossibles à trouver. C'est beau, sublime et monstrueux, inspiré de l'œuvre de -feu- Hans Ruedi Giger (qui a participé au design de Alien). Tout est fou et cohérent. C'est sanglant, noir, mais noir comme jamais un jeu ne l'a été à mon sens. Il n'y a aucun dialogue, et pourtant l'histoire est solide. Fuir... S'échapper. C'est vraiment un titre extraordinaire. Perturbant. Disposant d'une ambiance exceptionnelle, mais profondément difficile. S'il n'y avait pas eu Elden Ring en 2022, ça aurait été sans doute le jeu de l'année, en tout cas le mien. A faire absolument... Mais attention, ça ne rigole pas. C'est vraiment éprouvant, vraiment perturbant. Un chef d'œuvre, immense chef d'œuvre, déconseillé aux âmes sensibles.

Scorn est un jeu d’aventure horrifique en vue à la première personne, inspiré par les œuvres de H.R. Giger et Zdzislaw Beksinski. Le jeu se déroule dans un univers cauchemardesque de formes étranges et de tapisserie sombre, où le joueur doit explorer et survivre à des environnements organiques et mécaniques.

Graphismes : Le jeu offre des graphismes impressionnants et détaillés, qui rendent justice à l’esthétique "organique" du jeu. Les effets de lumière, d’ombre et de brouillard sont bien maîtrisés, et les textures sont réalistes. Le moteur qui propulse le jeu est l'Unreal Engine 4 et est utilisé ici de fort belle manière.

Gameplay : Le gameplay de Scorn est basé sur l’exploration, la résolution d’énigmes et la gestion des ressources. Le joueur doit utiliser des armes organiques qui ont besoin d’être rechargées avec des fluides corporels. Le jeu ne donne pas d’indications au joueur, qui doit découvrir par lui-même le fonctionnement du monde. Quelques scènes d’action ponctuent le jeu, mais elles sont rares et difficiles. Si on devait résumer le style du jeu, on a ici donc un FPS mi-puzzle game, mi-survival, un concurrent direct à Resident Evil 7, par exemple.

Durée de vie : La durée de vie de Scorn dépend du niveau de difficulté choisi par le joueur et de sa capacité à résoudre les énigmes. En moyenne, il faut compter entre 8 et 10 heures pour terminer le jeu. Il n’y a pas de mode multijoueur ni de contenu additionnel prévu pour le moment. La durée de vie est donc plutôt courte de façon générale et la rejouabilité inexistante.

Bande son : La bande son de Scorn est composée par Brian Williams et Adis Kutkut. La musique crée une ambiance oppressante et angoissante, qui s’adapte aux situations du jeu et les bruitages sont également très immersifs et réalistes. On a vraiment l'impression d'être tout le long de l'aventure à l'intérieur d'un système digestif géant.

Scénario : Le scénario de Scorn est volontairement vague et mystérieux. Le joueur incarne une créature humanoïde qui se réveille dans un monde hostile sans savoir pourquoi ni comment. Il doit progresser à travers différents niveaux thématiques, en affrontant des ennemis variés et en découvrant des indices sur l’origine du monde. Le jeu laisse beaucoup de place à l’interprétation du joueur.

En conclusion, Scorn est un jeu unique en son genre, qui propose une expérience horrifique originale et immersive. Même si les combats sont vraiment difficiles (mais peu nombreux) et que l'histoire manque cruellement d'explications, les graphismes du jeu, l'originalité du level design et de l'ambiance font de ce jeu une expérience assez unique en son genre. À savoir que le jeu est disponible dans le Xbox Game Pass, ce qui permet aux abonnés de profiter gratuitement du jeu.

Un excellent jeu avec une direction artistique de dingue !
Une pépite Indé dont on ne se lasse pas. L'ambiance est terrifiante. Le level design au top du top et le concept original

Exclusivement Microsoft et toujours pas testé chez JVC...

Un jeu marquant par son atmosphère visuelle et sonore.
On est dans quelque chose de viscérale et on ne peut faire que des interprétations de ce qu'on vit durant le jeu.
L'intégration au Game Pass était logique vu la proposition clivante.