Le printemps n’amènera visiblement pas que des températures en hausse ou des arbres qui bourgeonnent dans les prochaines semaines. Asus ROG nous a ainsi invités dans ses locaux parisiens afin de nous présenter concrètement deux produits qui ont ou vont remplir les rayons de vos enseignes high-tech : le boitier XG Station 2 et la déclinaison STRIX de la GTX 1080 Ti. Commençons ce point « produit » par le boitier pour carte graphique XG Station 2, puisqu’il est disponible depuis hier chez au moins un revendeur français. Pour ceux qui ne seraient pas familiarisés avec le concept, qui semble intéresser de plus en plus de fabricants ces derniers mois, rappelons rapidement de quoi il s’agit : le XG Station 2 est un boitier dans lequel on viendra loger une carte graphique, et que l’on viendra connecter à un PC Portable, généralement de faible puissance. Dès lors, la carte graphique externe va se substituer au GPU interne de la machine, et en augmenter considérablement les performances 3D, le but étant typiquement de pouvoir travailler en mobilité et jouer confortablement à la maison, sur un seul et même système. Comme la plupart des autres boitiers de ce type présents sur le marché, le XG Station 2 reposera sur une connectique Thunderbolt 3 pour la liaison au PC hôte. Comme les autres, il proposera également différents ports, afin d’augmenter l’offre forcément limitée qu’un PC portable pourra déployer : on trouvera ainsi sur son panneau arrière 4 ports USB 3.0, 1 port USB type B, et un port Ethernet Gigabit. Et bien entendu, la liaison T3 servira également à recharger le portable. De fait, le XG Station 2 sera-t-il un boitier GPU finalement assez semblable à ceux déjà commercialisés par AKiTio, Razer, PowerColor ou Alienware ? Pas tout à fait, en vérité… D’abord, il tranchera par son système d’ouverture, qui va permettre de déployer les deux façades latérales, afin d’offrir un accès facilité à la carte (on imagine que ce type d’ouverture reste plus pratique que des panneaux vissés et coulissants, par exemple). Ensuite, le PCB de la carte intégrera un bouton ON / OFF, dont l’utilisation sera sans doute réservée à des cas particuliers, puisqu’au quotidien, le boitier sera asservi au PC connecté pour ce qui est de son allumage ou de son extinction (le branchement à chaud est géré). Par ailleurs, Asus a vu plutôt grand concernant les formats de cartes graphiques acceptées : en effet, le XG Station 2 est un des rares boitiers à pouvoir embarquer des modèles 2,5 slots / 30 cm de long, de même que l’alimentation (custom) est de type 600W / Gold 80+. Enfin, dernière particularité, que vous n’aurez pas manqué de noter sur les photos qui parcourent ce texte : le XG Station 2 présente un maximum d’éléments rétroéclairés internes comme externes, dont un tube dit « plasma » à l’avant, qui génère des arcs électriques colorés, le tout étant évidemment pilotable via le logiciel Aura Sync propre à la marque. Ceci étant dit, plusieurs points continuent de nous laisser perplexes, des points qui sont d’ailleurs tout aussi applicables à Asus, qu’à ses concurrents : premièrement, l’addition d’un tel système reste salée, puisque le XG Station 2 vous coutera la bagatelle de 550€. A titre de comparaison, c’est moins onéreux que le Razer Core (599€) et plus cher qu’une DevilBox ou qu’un AKiTio Node (autour de 350€), mais cela reste quoi qu’il en soit très élevé, quand on sait qu’il faut y ajouter le prix d’une carte graphique. D'autre part, l’utilisation d’une connectique T3 sur ce type de produits laissait espérer une compatibilité maximale, mais la réalité est plus segmentante : comme Razer, Asus ne garantit le fonctionnement de son boitier GPU que sur ses produits (voir tableau ci-dessous). Cela ne signifie pas nécessairement que d’autres PC ne fonctionneront pas, mais vu le niveau de fonctionnalités du XG Station 2, il pourrait ne pas être pleinement exploitable par des systèmes dont les BIOS n’auraient pas été mis à jour, par exemple. L’autre produit présenté était en revanche sans doute plus rassembleur, et plus attendu, puisqu’il s’agit de la déclinaison STRIX de la dernière carte graphique NVIDIA, la GeForce GTX 1080 Ti. Une déclinaison dont certains éléments ont connu quelques ajustements notables, comme le système de refroidissement. Par rapport à celui qui équipe la GTX 1080 Strix, on trouvera par exemple un dissipateur thermique dont la surface aura bénéficié d’un usinage particulier, visant à améliorer la qualité du contact avec le GPU, et donc, la qualité des échanges de chaleur avec ce dernier. De même, le bloc de dissipation dans son ensemble a pris du volume, ce qui fait de la GTX 1080 Ti Strix une carte 2,5 slots, tandis que la GTX 1080 Strix se contentait de 2 slots. Enfin, la nouvelle référence disposera de trois ventilateurs équipés de nouvelles pales certifiées IP5X. Avec ses ajustements, Asus espère notamment regagner des points en termes d’efficacité de refroidissement et de silence de fonctionnement sur certains de ses concurrents. Le modèle GTX 1080 Gaming X de MSI, par exemple, s’était montré supérieur à la GTX 1080 Strix d’Asus sur ces critères, lorsque nous avions comparé les deux cartes. Asus nous a fait une démonstration de sa carte qui tournait sous Time Spy à 1923 MHz de manière stable, pour une vitesse de rotation des ventilateurs de 1576 RPM… Si l’on se réfère aux chiffres que nous avions nous-mêmes enregistrés sur le modèle GTX 1080 Strix précédemment, nous dirions qu’Asus devrait effectivement réussir à combler son retard. Pour le reste, la GTX 1080 Ti STRIX pourra évidemment compter sur une intégration personnalisée de la puce NVIDIA, ainsi que sur différentes fonctionnalités propriétaires : ainsi, outre un circuit d’alimentation renforcé sur 10+2 phases et sur deux connecteurs PCIe 8 broches, la carte proposera deux sorties HDMI au lieu d’une seule pour faciliter le branchement des casques VR, un système de fonctionnement passif en faible charge, différents éléments rétroéclairés RGB, et deux connecteurs PWM visant à asservir la ventilation du boitier non plus sur le seul fonctionnement du CPU, mais sur la charge du GPU également. Reste la question du prix, qui n’a pas encore été tranché chez Asus. La GTX 1080 Ti Founders Edition se situant dans une fourchette entre 820 et 870€ actuellement, on peut supposer que sa version STRIX sera un cran au-dessus. La réponse ne tardera de toute façon plus, puisque ce nouveau modèle est attendu dans les rayons pour fin mars, début avril au plus tard.

Le 10 mars 2000, Bill Gates monte sur la scène de la Game Developers Conference face à un public essentiellement composé de développeurs, d'éditeurs ou de constructeurs de composants informatiques. Après une vingtaine de minutes passées à parler du jeu sur PC et de la puissance de DirectX, le patron de Microsoft finit par lâcher la bombe que tout le monde attendait depuis les fuites de l'ECTS quelques mois auparavant : Microsoft va se lancer sur le marché des consoles de jeu avec une machine qui porte encore le simple nom de code de X-Box. Une annonce qui intervient à peine un an après que 4 employés de Microsoft n'aient présenté un document qui aurait pu leur coûter leur carrière. Les plus anciens s'en souviennent, mais sachez, vous autres les petits jeunes, qu'en ce temps-là personne ne croyait que Microsoft avait la moindre chance, aussi bien les consommateurs, qui riaient à gorge déployée, que les éditeurs. L'époque n'était pas tendre. Sony s'était déjà fait sa place à coups de bulldozer et les deux acteurs historiques encore en place, Nintendo et Sega, en avaient durement fait les frais.

Voilà un élément intéressant que remarquent les premiers acheteurs de la Switch, nouvelle console de Nintendo : le temps que nous avons passé sur un jeu n'apparaît sur notre profil qu'après un certain nombre de jours.

La présentation officielle du Projet Scorpio, puissante console de Microsoft, approche à grands pas et le sujet revient naturellement dans l'actualité très régulièrement. Plutôt bien informée à son sujet, la rédaction de Windows Central a une nouvelle information à nous donner sur la machine.

La nouvelle console Xbox, nommée pour le moment "Project Scorpio", arrivera pour les fêtes de Noël et Microsoft prépare peu à peu le terrain ; récemment, une page de précommande a pointé le bout de son nez sur le Store de la firme américaine.

La Nintendo Switch étant sortie récemment, les retours positifs et négatifs des utilisateurs sont légion à l'heure des réseaux sociaux et des forums. À propos des Joy-Con, du dock et d'autres points discutés par les joueurs, quel est le commentaire de la firme de Kyoto ?

L'E3 2017 approche tout doucement et chez Microsoft, on commence doucement à se relâcher, et Phil Spencer ou Aaron Greenberg se montrent plus bavards au sujet de la prochaine console Xbox. Mais si les deux cadres restent finalement assez sibyllins, ce n'est pas forcément le cas de la source de Windows Central, qui a publié hier plusieurs informations concernant le Projet Scorpio. Avec notamment des données intéressantes pour quiconque ne souhaiterait pas investir dans une télé 4K.

Avec la multiplicité d'appareils portables que nous utilisons, les batteries nomades sont devenues une affaire courante. L'utilisateur de Nintendo Switch pourrait être tenté d'en utiliser une afin de prolonger son expérience de jeu ; mais toutes ne sont pas adaptées.

Le Projet Scorpio, nouvelle machine de Microsoft capable de rendre les jeux en 4K, arrivera en fin d'année ; nous n'en connaissons toutefois pas encore tous les détails. En attendant, Ken Lobb, un homme côtoyant la machine de près, fait les louanges de la machine et en particulier de sa rétrocompatibilité.

La Nintendo Switch est sortie récemment, et que vous la possédiez ou prévoyiez de l'acquérir, vous pouvez vous demander si la console hybride constitue un investissement durable. Comment la Switch résiste-t-elle aux outrages du temps ?

Comme vous avez pu le remarquer en allumant la Nintendo Switch ou en regardant notre test de cette console, elle ne fait pour ainsi dire que dans les jeux pour le moment. Nous remarquons qu'une partie du public espère voir arriver d'autres applications et Reggie Fils-Aimé répond à ce sujet.

Nous vous en parlions récemment, il semblait à Digital Foundry que le Joy-Con gauche est davantage sujet aux problèmes de déconnexion que le droit, ce qu'ont remarqué plusieurs utilisateurs de la Nintendo Switch. Un phénomène qui trouve une explication matérielle assez simple.

A chaque arrivée d'une nouvelle console, les joueurs se demandent la même chose : est-ce que les autres plates-formes du constructeur sont amenées à mourir rapidement ou ont-elles encore un avenir ? Une question qui s'avère double avec la Nintendo Switch, qui lorgne à la fois sur le marché de la Wii U et de la 3DS avec son format hybride. Mais d'après Nintendo France, les deux n'en patîront pas de la même façon.

Alors qu'on sait maintenant que la Nintendo Switch est synonyme de lancement record en France (105.000 exemplaires sur le week-end de lancement, 10.000 de plus que la Wii), les joueurs ont déjà une partie de leur réponse concernant l'impact sur les ventes de l'absence de packs console+jeu à la sortie. Mais Philippe Lavoué, directeur de Nintendo France, est allé plus loin dans le détail lorsque nous l'avons interrogé.

La Nintendo Switch est sortie en magasins il y a quelques jours, et les premiers constats semblent positifs pour Big N. Hélas tout ne se fait pas sans accrocs et si l'on peut déplorer quelques soucis techniques, il semble qu'il faille être vigilant aussi en termes de hardware.

La semaine passée, nous vous rapportions que la manette Pro de la Nintendo Switch est compatible avec les PC grâce au Bluetooth. Aujourd'hui, on nous informe que le principe est similaire avec les manettes Joy-Con, qui sont reconnues sur PC, Mac et Android.

À chaque machine, son erreur fatale que les joueurs redoutent : si les possesseurs de Xbox 360 croisaient les doigts pour ne pas avoir de "Red Ring of Death", les utilisateurs de Nintendo Switch espéreront apparemment éviter le "Blue Screen of Death".

Voilà plusieurs semaines que la prochaine mise à jour de la PlayStation 4 a été annoncée, et est en phase de bêta pour celles et ceux qui le souhaitent. Répondant au doux nom de "firmware 4.50", elle paraîtra demain et apportera son petit lot de nouveautés.

Sortie en magasins vendredi dernier, la Nintendo Switch a suscité la curiosité d'iFixit : une équipe qui se donne pour mission de démonter les appareils et vérifier si leur réparation est aisée ou non. Dans le cas de la console hybride de Big N, le constat est plutôt positif.

La Nintendo Switch est de sortie et avec elle, plusieurs accessoires dont une manette plus traditionnelle appelée "Switch Pro Controller". Celle-ci contient un petit message bien caché, à l'attention des joueurs.

La Nintendo Switch vient de sortir, et ses premiers utilisateurs commencent à profiter de son line-up. Certains d'entre eux pourront être tentés de personnaliser la machine avec des stickers en vinyle, devenus très populaires. Une grande marque en ce domaine nous met en garde sur le fait de coller des skins sur la console hybride de Big N.

La Nintendo Switch, tout juste sortie dans nos boutiques, va recevoir sa première maintenance mardi prochain. C'est à cette date que la firme japonaise la mettra hors-ligne, ainsi que la 3DS et la Wii U, durant six heures ; heureusement ces horaires seront matinaux.

Tout juste sortie, la Nintendo Switch commence à trouver son public en magasins ; des premiers acheteurs qui pour certains d'entre eux, rapportent des soucis de connectivité au niveau de leurs Joy-Con. La firme japonaise nous donne quelques indications pour éviter les déconvenues.

Le fabricant d'accessoires Thrustmaster annonce la sortie simultanée de 3 nouveaux casques gaming, tous aux couleurs du prochain jeu d'Ubisoft, Ghost Recon Wildlands, prévu pour le 7 Mars prochain Au programme, une nouvelle version du Y-300CPX compatible avec la plupart des plateformes (au prix de quelques prises de tête avec le câblage), ainsi que deux éditions du Y-350, l'une pour Xbox One et PC, l'autre pour PS4. Cette dernière profite d'ailleurs pour la première fois du Y Sound Commander, un boitier de contrôle qui vient se placer au bas de la manette et qui donne accès à la plupart des fonctions sans avoir à lever les mains du pad. Ces 3 modèles seront disponibles à partir du 7 Mars, aux prix de vente public conseillés de 59,99 € pour le Y-300CPX et de 139,99 € pour chaque version du Y-350X.

Fanatec, le fabricant de matériel pour pilotes virtuels, présente une mise à jour de son modèle phare, la base pour volant ClubSport, qui passe dès aujourd'hui en version 2,5. Une évolution qui s'annonce plutôt minime au regard des différences avec le modèle précédent. En effet, alors que le design ne semble profiter d'aucune modification, mis à part un léger changement esthétique en façade, c'est au coeur des caractéristiques de la bête qu'il faut fouiller pour trouver quelques améliorations. Ainsi, on découvre que le taux de rafraichissement USB est passé de 500Hz à 1000Hz, tandis que le Drift mode (un réglage qui permet d'alléger le poids du volant pour simuler une conduite assistée) propose désormais quelques options supplémentaires. Fanatec ajoute néanmoins que l'électronique comme la motorisation bénéficient aussi de nouveaux composants permettant d'améliorer les sensations comme la durabilité. Pour le reste, nous devrions retrouver toutes les qualités de la série ClubSport, dont nous vous détaillons les caractéristiques et le rendu dans notre test complet. Quant à cette version 2.5, elle est désormais disponible en exclusivité sur le site du fabricant, avec un prix en baisse de près de 200€, puisqu'on peut l'acquérir hors bundle à 549,95€. > Retrouvez notre comparatif rassemblant 11 modèles de volants à cette adresse