Oui enfin avant on écouter Johnny Hallyday c'était pas forcément mieux. Le mec était vu comme un dieu vivant je le rappelle pour son passage au Stade de France
Génération de fragiles, de teubés addicts aux réseaux sociaux et à la bonne conscience que leur procure l'indignation facile.
Je suis très pessimiste quant à l'avenir de cette humanité. Mais j'essaie d'en rire plutôt que d'en pleurer : https://babylonbee.com/news/breaking-hazmat-scene-college-student-may-exposed-opposing-worldview
Le 07 mars 2021 à 11:55:54 Great_D_Aldana a écrit :
Oui enfin avant on écouter Johnny Hallyday c'était pas forcément mieux. Le mec était vu comme un dieu vivant je le rappelle pour son passage au Stade de France
Johnny c'est magnifique
https://www.youtube.com/watch?v=Xs-_NZ0LhrA&ab_channel=JohnnyHallydayVEVO
Le 07 mars 2021 à 12:40:51 shayde09 a écrit :
Génération de fragiles, de teubés addicts aux réseaux sociaux et à la bonne conscience que leur procure l'indignation facile.Je suis très pessimiste quant à l'avenir de cette humanité. Mais j'essaie d'en rire plutôt que d'en pleurer : https://babylonbee.com/news/breaking-hazmat-scene-college-student-may-exposed-opposing-worldview
ok boomer
Le 07 mars 2021 à 09:16:09 toto_au_bistro a écrit :
Vitalisme : je ne trouve pas ton explication convaincante. La génération Y écoutait déjà Booba et regardait déjà des séries TV etc.Quant à la mentalité sociale, je pense qu'il n'y a rien de naturel. Les mentalités sociales s'il y a 50 ans n'étaient pas plus naturelles que celles d'aujourd'hui.
Il était écouté, mais la proportion de gens qui consommaient du Booba il y a 15 ans n'a strictement rien à voir avec celle d'aujourd'hui. La résurgence du rap trash est représentatif de tous les symptômes d'un État qui subit du communautarisme. Et les séries télévisées étaient plus authentiques auparavant parce que la consommation de masse et l'abrutissement sur le contenu "pro Netflix" n'étaient pas aussi importants que maintenant. On a réduit la qualité de nos créations artistiques au profit de la rentabilité et de la tolérance (politique de la censure). Le cinéma, la musique, et l'industrie vidéoludique sont enchaînés par les exigences de la propagande mondialiste. On fait du "moins bien", et c'est flagrant.
Une bonne guerre.
leur fera du bien.