Je vous partage ce que je viens d'écrire, j'ai le cœur lourd, alors je passe l'ennuis ainsi, vous excuserez si il ne se soumet pas à certaines règles qui le définirait de poème, j'ai dit cela pour être clair, huer donc ma fraude si vous le souhaitez mais pas mon être.

L'eau brille, ses cheveux scintillent et je l'admire.
L'aube fait rougir ses joues couverte par sa douce soie,
Offrir mon amour me fait-il donc, tant souffrir ?
Les chants des oiseaux ne couvrent pas son doux rire.

La vie est un navire
Qui vague sur la mer
Iniquement avide
Vers une autre Amérique

En dessous d'autres eaux
Mers calmes habillant
Sous rageux océans
Les naufragés d'Homère
Capitaine d'un véritable enfer
Vieux pécheur aux écumes passé
D'une forte étreinte prenant au cœur
Navigant sans rancœur dans une mer aux milles couleurs

Il me languis de poser pied
Sur c'est terre désolé, toi celle qui connait le chemins
Au beau milieu de tout s'est potins
Rien ne fut changer le destin

Je ne pense que trop à celle qui apaise mes mots
Sûrement arrivera tu trop tôt est moi trop tard, nous le verrons bien assez tôt, quand au milieu de tous ces fêtards, deux petits pieds se pointerons. talons, espérant atteindre les douce lèvres d'un amour sans fond n'y substrat.

Fonce vieux pécheur fou, biquet d'une reine inattaquable !

Le 28 janvier 2023 à 00:07:56 :
Je vous partage ce que je viens d'écrire, j'ai le cœur lourd, alors je passe l'ennuis ainsi, vous excuserez si il ne se soumet pas à certaines règles qui le définirait de poème, j'ai dit cela pour être clair, huer donc ma fraude si vous le souhaitez mais pas mon être.

L'eau brille, ses cheveux scintillent et je l'admire.
L'aube fait rougir ses joues couverte par sa douce soie,
Offrir mon amour me fait-il donc, tant souffrir ?
Les chants des oiseaux ne couvrent pas son doux rire.

La vie est un navire
Qui vague sur la mer
Iniquement avide
Vers une autre Amérique

En dessous d'autres eaux
Mers calmes habillant
Sous rageux océans
Les naufragés d'Homère
Capitaine d'un véritable enfer
Vieux pécheur aux écumes passé
D'une forte étreinte prenant au cœur
Navigant sans rancœur dans une mer aux milles couleurs

Il me languis de poser pied
Sur c'est terre désolé, toi celle qui connait le chemins
Au beau milieu de tout s'est potins
Rien ne fut changer le destin

Je ne pense que trop à celle qui apaise mes mots
Sûrement arrivera tu trop tôt est moi trop tard, nous le verrons bien assez tôt, quand au milieu de tous ces fêtards, deux petits pieds se pointerons. talons, espérant atteindre les douce lèvres d'un amour sans fond n'y substrat.

Fonce vieux pécheur fou, biquet d'une reine inattaquable !

Prose, vers rimé, vers libre, rime féminine, masculine, syllabe, tu fais ce que tu veux. Ce sont des règles auxquelles tu peux, si tu veux, te soummetre mais rien n'y oblige. Au contraire, tu peux créer tes propre règles voir jouer avec la règle "pas de règle". Donc tu n'as pas de crainte à avoir là dessus.

L'eau brille, ses cheveux scintillent et je l'admire.
L'aube fait rougir ses joues couverte par sa douce soie,
Offrir mon amour me fait-il donc, tant souffrir ?
Les chants des oiseaux ne couvrent pas son doux rire.

Le et peut être en trop, casse un potentiel rythme
La soie est douce par nature, tautologie. Ce qui n'est pas une erreur en soit, mais trop simple.
La non réciprocité d'un amour c'est assez facile surtout que la tu le dis directement c'est enfantin.
Le chant des oiseaux : facile + Encore l'adjectif doux

En dessous d'autres eaux
Mers calmes habillant
Sous rageux océans

Pas de connexion symbolique, rythmique, formel, narrative. Ca choque.
Propos étranges.

Vieux pécheur aux écumes passé

Inutile et vague. Formule facile.

Sur c'est terre désolé, toi celle qui connaît le chemins
Au beau milieu de tout s'est potins
Rien ne fut changer le destin

Propos étranges. De tous ces potins ? Rien ne pu changer ?

Je ne pense que trop à celle qui apaise mes mots

Très enfantin

Sûrement arrivera tu trop tôt est moi trop tard, nous le verrons bien assez tôt, quand au milieu de tous ces fêtards, deux petits pieds se pointerons. talons, espérant atteindre les douce lèvres d'un amour sans fond n'y substrat.

nous le verrons bien assez tôt De trop, inutile.

quand au milieu de tous ces fêtards, deux petits pieds se pointerons. Sympa mais le quand ne mène nulle part.

Talons ? D'où tu le sort ? d

n'y substrat ?

Fonce vieux pécheur fou, biquet d'une reine inattaquable ! Le vieux pêcheur fou est lourd mais la c'est pas si mal comme fin.

Globalement c'est naïf, enfantin, facile. Le rapport avec le navire et l'univers marin est flou, mal amené. C'est mal agencé je dirais. Lis ces conseils en prenant en compte que je suis nul en écriture.