En 537, une bataille avait eu lieu, la bataille de camlann. Ce fut la défaite du druide Myrddin et du Roi Arthur. Le jour où tout a basculé.

Comme à son habitude le Roi Arthur siégeait sur son trône. C'était un homme blond aux yeux bleus, de courts cheveux recouverts par sa couronne. Il portait une fourrure ornée d'une teinture rouge. Son pantalon était en tissu gris. A ses pieds étaient mises de lourdes bottes en cuir.
Le peu d'agitation qu'il y avait dans la pièce fut troublée par l'arrivé d'un homme ouvrant brusquement la grosse porte, vêtu d’un vêtement propre, tout son accoutrement l’était, à l’exception de ses bottes boueuses. Il avança maladroitement en direction du trône, le beau tapi rouge était entaché par de la boue.
Le chevalier s'accroupit et dit : " Bonjour roi Arthur Pendragon, je suis un des chevaliers qui était postés à la frontière de l'Irlande. Nous avons observé des mouvements du côté de l'ennemi, il semblerait qu'il ait recruté des démons, des elfes, des géants, des fées et des nains."
Le roi se mordit la lèvre et parla : « Est-ce pour cela que vous avez amené autant de crasse ? Je laisse passer cette maladresse, pour cette fois. Que fait Myrddin ? Est-il toujours absent ? Si l’Irlande à des alliés d'autant de races, nous sommes foutus avec notre armée actuelle. Surtout depuis que Guenièvre, Mordred et Lancelot ont trahi.
Faisons appel à nos alliés, les fées d'Avalon, les elfes des forêts du nord et les nains de Storøen. Mettez 5 soldats à la recherche de myrddin, sa paranoïa dure depuis trop longtemps. »
Le messager alla les distribuer aux chevaliers disponibles.
Il arriva alors à une partie du château où les militaires n’avaient pas de plastron, la plupart portaient des cottes de mailles ou étaient revêtu d’une tunique. Des cris se faisaient entendre de toute part, « De la bière s’il vous plait ! » ou « Qui veut parier ? » Ou « Voulez-vous entendre ce qui m’est arrivé l’autre jour ». Certains faisaient plus de bruit que les autres, installés sur quelques tables. Ils tenaient des cartes, ils échangeaient de grosses sommes d’argent entre eux. Un homme pleurait et tapait du poing, il était en sous vêtement.
Tout cet entrain s’arrêta brusquement, les chevaliers fronçaient les sourcilles vers le messager. Il demanda de l’écouter attentivement, il ajouta qu’il fallait des volontaires pour ramener Myrddin.
Soudain, ils lui jetèrent de la bière, ainsi que des assiettes en bois. Il se retrouva empestant la bière et pleins d’hématomes.
Il se mit à hausser la voix, leur disant qu’il rapporterait cela au roi.

Les individus appelés Jules la chèvre, Albert le brave, Alphonse d'acier, Jean le trouillard et tom de l'Arduinna Silva furent choisis pour ramener Myrddin.
Jules s'appelait comme cela, rappelant son origine d'éleveurs de chèvres. Il était brun de taille moyenne, il s'était engagé dans l'armée à la suite d’une décision de son père qui ne pouvait nourrir ses 7 fils. Etant le cadet, il dut aller à la capitale du royaume, Gamelot.
Ensuite Albert vient d'une famille de nobles vivant près de Gamelot, il choisit donc de garder son surnom chevaleresque, plutôt que son nom qui le rattachait à ses parents. Il était roux aux yeux bleus de la taille d’un enfant.
En revanche Alphonse vient d'une contrée éloignée au nord du royaume, sa famille est très réputée par ses exploits aux champs de batailles. Dès qu'un étranger entendait le nom "Acier", il s'enfuyait aussi vite qu'il pouvait. Alphonse serait capable d'endurer des mois et des mois dans le froid sans nourriture et eau. La rumeur dit qu’il ne serait pas humain, qu'il serait un esprit des montagnes ayant pris possession de son corps. De plus, il est baraqué et très grand. Sa chevelure blonde rappelle son origine de combattant.
Maintenant parlons de Jean, c'est un cas spécial. Venant de la noblesse, il a été et sera un trouillard toute sa vie, il déteste les armes. Très jeune, il a été déshérité de son titre. Il n'est pas fait pour la chevalerie, sa voie est dans la magie. Il était frêle et roux.
Le dernier chevalier s'appelle Tom, durant son enfance, il a vécu dans l'Arduinna silva. Une géante forêt. Celle-ci était réputée pour sa dangerosité de son lien avec l'obscure. En plus, le malin y est souvent associé. Seulement les fous et les idiots vont là-bas. Il a dû se débrouiller pour tirer parti de la nature et de n'importe quoi. De bâtisseur, architecte ou de guerrier à forgeron. C'est le meilleur élément de l'armée pour survivre, il a une solution à tout grâce à son passé. Il faut savoir que cette forêt se trouve en Gaulle, il est un étranger. Malgré cela, il a été accepté par Myrddin et Arthur l'a écouté. Il est un grand brun.
Ils commencèrent à partir pour Brocéliande, où myrddin se cache. Ils arrivèrent là-bas, ils purent apercevoir que cette forêt était faits d'arbres magnifiques, jamais vu ailleurs. Celle-ci était luxuriante, les animaux tels que les sangliers, les lapins ou encore mieux des licornes.
Tom prit l'initiative de prendre une carte magique. Sur la carte vierge, apparut une grande source dans une clairière. C'est là que se trouvait myrddin.
Jean voulait faire demi-tour parce que selon lui s’il y allait, il allait mourir. Jules lui dit : " Faudrait que tu arrêtes d'avoir peur, tu n'es plus un gamin. Je me demande pourquoi on t’a emmené."
Jean pleura de tout son corps. Alphonse soupira et haussa la voix : " Jean, tout va bien se passer, ne t’inquiète pas, c'est Brocéliande. Son surnom est la forêt des merveilles."
Tom leur dit qu'ils étaient arrivés. Ils virent un vieil homme barbu, portant un tissu en lambeaux, des cheveux bruns en bataille. De la moisissure pouvait être visible sur ceux-ci en plus de la crasse. Son corps était couvert de terre.
Soudain, il se réveilla et se referma sur lui-même, en murmurants des mots incompréhensibles. La seconde d'après, il se tenait devant un rocher. Son geste fut d'écrire des caractères jamais vu ni entendu par l'homme. Il fit un dessin pour accompagner ses mots, si on pouvait appeler cela des mots.
Ce dessin en question semblait venir d'un autre monde, celle d'une citée aujourd'hui disparut. Les bâtiments donnaient une impression de vertiges, de mal de mer ou de nausée. Tellement ce qui en dégageait serait venu des enfers eux-mêmes. Ils pouvaient voir la chair respirer, en train de souffrir pour l'éternité.
De plus, en regardant de plus près, ils se rendaient compte que les alentours étaient faits de chairs bougeant en montrant l'histoire de ce lieu. Nul ne pouvait le deviner, ceci est un des secrets des temps anciens.
Il prononça ces mots : « Beth wyt ti'n ei wneud yma ? »
Et repartit dans sa paranoïa, tout cela le rongeait. Jean est celui qui lui adressa la parole, « que s'est-il passé ? »
L'homme fou prit un morceau de son propre vêtement, il écrivit avec son sang. Son message fut enfin transmis, il représentait la fin du monde magique par les humains, étrangement Myrddin faisait partie de celle-ci.
Les chevaliers furent obligés de se replier, jules fit que c'est mission impossible. Alphonse accepta en disant qu’il n’avait jamais vu cela de sa vie, c’était un fou. Jean se retourna en montrant Myrddin en train les observer.

Tom demanda à Myrddin : "Pourquoi ne peux-tu pas parler ?"
Le druide fit un simple mouvement de lèvres et se tordra de douleur.
De cet échec cuisant, ils retournèrent à gamelot. Après avoir reçu leur rapport, le roi fut déçu car il savait qu'il ne pouvait pas les aider.
Quelques semaines plus tard, le roi rencontra les dirigeants des fées d'Avalon, des Nains de Storøen et des elfes des forêts du nord dans une petite salle où il y avait une table rectangulaire.
La première personne était Morgane, représentante d’Avalon. Elle était brune aux yeux noirs, comme d’habitude elle portait une robe rouge. Sa beauté stupéfiante montrait celle d’Avalon. Malgré son apparence, elle est une redoutable guerrière prête à défendre son Ile et ses alliés. Elle s’asseyait.
Elle fut suivie de FâFnir, le roi des Nains de Storøen. Il était un demi-géant. Son armure a été forgé dans un volcan pendant 1000 jours et une nuit. FâFnir était roux, ses cheveux et sa barbe rousse sublimait son armure. Il est jugé belliqueux par les inconnus mais c’est un homme qui ne tue pas pour le plaisir. A son tour, il le fit.
Enfin, celui qui dirige le Nord, Aeglos. Il était petit et blond aux yeux verts. Il maitrise la magie lunaire tel que le vent se baladant. Son habit était celui d’un roturier, ce qui n’est pas acceptable pour un roi. Juste un pauvre tissu en cuir et un pantalon en peau d’Ours. Le plus étonnant, il ne portait pas de bottes ou autres.
Arthur Pendragon s’exprima devant eux en disant : « Mes Chers alliés, je vous ai convié ici pour un combat qui fera rage. A disposition, j’ai une armée d’une centaine d’hommes. La mauvaise nouvelle est que Myrddin ne peut pas nous aider à cause d’une raison qui nous est encore inconnue. »
Aéglos dit qu’ils possédaient une armée de 300 elfes. Ensuite, morgane fit qu’elle avait 500 fées sous ses ordres. Finalement, FâFnir répondit qu’il a 700 nains. Après avoir tout entendu, Arthur résuma la situation, « l’alliance a une force offensive de 1700 individus contre l’ennemi qui a environ 10 000 individus. Nous sommes en infériorité numérique, notre seul espoir sont les dieux.
Elle proposa de les attendre à Camlaan, ceci est la seule brèche pour pénétrer à l’intérieur des terres proche du château. Le roi hocha la tête rétorquant qu’il n’aurait trouvé mieux.
Pour remédier à l’absence de Myrddin, Morgane voulait faire venir Viviane, la dame du Lac. Malencontreusement, elle était actuellement en Grèce car elle est allée rendre visite à une amie Lamia.
Morgane réagit à ce silence gênant, elle s’exclama : « C’est une espèce qu’elle découverte, Viviane est devenue amie avec elles. Les Lamias sont des créatures ou des monstres possédant un buste de femme et un corps de Serpent. Elle juge qu’elles sont capables de bonté, d’humanité comme dirai un humain. Je pense qu’il faut téléporter quelques personnes qui savent combattre l’obscure. »

Morgane réagit à ce silence gênant, elle s’exclama : « C’est une espèce qu’elle découverte, Viviane est devenue amie avec elles. Les Lamias sont des créatures ou des monstres possédant un buste de femme et un corps de Serpent. Elle juge qu’elles sont capables de bonté, d’humanité comme dirai un humain. Je pense qu’il faut téléporter quelques personnes qui savent combattre l’obscure. »
Soudainement, le mur fut détruit. Ils entendirent plusieurs voix, celles-ci disaient : « Calme toi, Calme-toi, Titania, je rigolais » fit une voix masculine caché par la poussière. Le bruit s’arrêta et une voix féminine fit je te croie.
La fumée se dissipa, une jeune femme aux cheveux écarlate et aux yeux noirs en armure ayant des ailes de fées apparu. A côté d’elle se trouvait un homme brun aux yeux marrons habillé d’une tunique rouge.
Morgane s’approcha d’eux et leur cria dessus, elle dit à Titania d’arrêter d’être susceptible.
Elle lui répondit qu’elle n’était pas susceptible, c’était Ulysse qui est coupable.
Ulysse s’excusa auprès de Titania, Morgane, Arthur, Aeglos et FâFnir. Le roi de Gamelot leur dit qu’ils devront accompagner Jean le trouillard, Jules la chèvre et Tom de l’arduinna silva pour la Grèce.
Ils acceptèrent, dans la salle d’à côté ils entendirent des râlements.
- Jules, pourquoi le roi nous demande d’aller là-bas ? fit en ayant des cernes.
- Jean, tu sais c’est un honneur. Cela prouve que nous ne sommes pas inutiles. Tu sais j’ai toujours été le plus délaissé dans ma famille, car mes parents craignaient mon don, celui de ressentir l’obscure. Ils ne voulaient pas avoir affaire à tout ce bazar. C’est une chance que j’ai eue, je peux enfin l’utiliser pour aider.
- Les gars, je peux parler… dit-il en étant coupé par Jean tout en ayant les yeux rouges.
- Ouais, tout cela me fait peur. Je ne veux pas y aller. Quand j’étais encore un héritier. J’ai dû apprendre des choses sur l’obscure tel que les Lamias, sorcières ou le malin. Les Lamias ont la peau extrêmement résistante et possèdent de la magie. Ce que la plupart des humains n’ont pas.
- Vous pouvez m’écouter…. Dit-il en agitant ses bras
- Tu es bête, tu possèdes de la magie. Moi, j’ai juste mon don sinon je suis normal. Ce n’est pas possible de faire équipe avec toi, j’espère que nos compagnons féeriques seront mieux.
- Que disais tu Tom ? dit-il en soupirant.
- Enfin, c’est très bien de débattre sur comment les battre. Avez-vous réfléchi comment va-t-on y aller ?
- Tu me déçois, Tom, ne parles pas pour rien dire dit Jules en soupirant. Je suis avec une équipe de bras cassé ou quoi ? Les gars, qu’avez-vous fait ce matin ?
- On a commencé par aller à la taverne. Jusque-là tout allait bien, puis on a bu.
- ça n’explique pas la couleur de tes yeux, Tom et as-tu vu les cernes de Jean.
- Je vois des licornes, vous êtes tous des licornes.
- Ok, j’ai compris. Vous avez anormalement bu et vomi dans la forêt. C’est là que vous avez dû manger des champignons hallucinogènes.
La porte s’ouvrit, Titania rentra d’un pas ferme et se rua sur eux, « C’est bientôt fini ce boucan ! Je déteste les disputes !
- qu’avez-vous pour guérir les gens des hallucinations ?
Ulysse qui observait dans le fond, les mains dans son pantalon répliqua : « J’ai envie de dire débrouiller vous. Parce que vous vous êtes mis dans ce pétrin. Malheureusement, Morgane nous a demandé de venir avec vous.
Qui est touché ?
- Ces deux-là, le roux et le blond dit-il en les montrant du doigt
Ulysse s’avança puis récita une formule : « Tomeni »
Tom poussa un grognement et se releva demandant où était-il ?
- Je m’appelle Ulysse et elle Titania, tu vas travailler avec nous. Nous allons en Grèce.
- Merci de m’avoir sauvé, en temps normal, cela n’arrive jamais.
- Je n’ai rien fait, je l’ai juste fait parce que on nous a demandé vous aider.
Jean le remercia à son tour.
- Je vous dit, ce n’est rien.
Les deux concernés avaient repris leurs esprits, maintenant comment y aller. Ulysse répondit d’une voix tranchante et simplement, « En se téléportant, vous vivez où ? ».
Cette fois, ce fut au tour de Titania de réciter une formule, « Teleporti Athen Gwlad Groeg »

Ils se retrouvèrent au plein milieu d’une foule qui les regardaient et leur jetèrent des pierres et le tire était concentré sur Titania. Au milieu de ce Bazard, ils se situaient à proximité d’un temple qui surplombait la ville grâce sur une colline ovale et rocailleuse. Ils étaient entourés d’une petite muraille comme tout autour de cet endroit.
Ulysse demanda à Titania depuis combien de temps elle n’était pas allée en Grèce ?
- 400 ans ? Je ne sais pas. Est-ce important ?
- Oui, cela l’est parce que la magie est en train de disparaitre pour laisser la place à un autre âge. Que faisons à Athènes ?
- Je ne sais pas, c’est le seul lieu grecque que j’avais en tête.
Ils détalèrent dans les escaliers fuyant des foules puis se retrouvèrent dans d’étroites rues jonchées de bâtiments cubiques ayant des toits servant de terrasse.
- Ok. Super. J’adore, nous sommes bloqués dans une ville extrêmement retissant à la magie. Et puis qu’avons-nous pour la localiser ?
Tom prit la parole : « Arrêtez de vous disputer, je vous rappelle que nous avons des personnes à nos trousses. Bon, j’ai un plan. Est-ce que quelqu’un connait son empreinte magique. »
- Je veux rentrer chez moi dit Jean.
- Oh toi tait toi, je l’ai répondu Titania
Ils continuèrent cette course poursuite dans la rue, au bout du carrefour, ils virent des gardes munies de boucliers et de lances.
- Parfait, je te donne ma carte. Repère là avec.
Elle insuffla de la magie et un petit point apparut sur une Ile dans la mer Ionène.
- Titania, combien de temps te reste-t-il ? fit Ulysse.
- 30 minutes avant le rechargement complet.
- Sérieusement, il reste une chose à faire, courez ! courez ! Aussi loin que vous pouvez.
- Pourquoi on ne les attaque pas fit Jules.
Jean lui dit que ces personnes étaient inoffensives, il n’attaquerait pas des gens sans armes.
- Normal, tu es un lâche
- Non, je suis d’accord avec lui dit Tom. Où va-t-on ?
- Calmez-vous ! Ne voyez-vous qu’il y a des gardes armés jusqu’au prêt à nous attaquer.
Titania chargea avec ses deux sabres et récita un sort « Rhewi ». Les soldats furent gelés instantanément. Le groupe put reprendre sa fuite, au bout de cinq minutes. Il y avait un cul de sac. Bienheureusement, il y a un homme qui faisait de la peinture sur une échelle. L’homme fut poussé par Titania mais tomba sur le pauvre Jean. Il arriva à se libérer du corps puis râla contre la fée. Ils montèrent puis grâce aux toits plats et rapprochés, ils sautèrent de toit en toit pour arriver aux portes de la ville. Titania sauta en première, suivit de Ulysse puis de Tom. Jules sauta à son tour. Le seul qui était resté en haut fut Jean.
Titania lui dit : « Aller saute, ça ne fait pas peur. » dit-elle en lui tendant les bras.
Jules et Ulysse virent des gardes se précipiter vers eux. Ulysse cria à Titania qui arrivaient.
Elle soupira, pris de l’élan puis se retrouva sur le toit derrière Jean. Elle le poussa avec son pied. Elle entendit Jean pleurer et baissa ta tête, il avait le nez cassé et du sang provenait de ses genoux. Il n’avait pas à relever, il se fit aider par Jules qui cria à Titania qu’il était fragile comme un humain, il n’avait pas la résistance d’une fée.
Elle fit qu’elle était désolée. Le temps de cet incident, les gardes les avaient encerclés avec leurs lances.
Tom prit son épée commença à riposter mais avait du mal à contrer les lances, elles commencèrent à entrer dans sa chaire. De son côté, Ulysse avait une dague, celle-ci était enchanté d’un sort de feu, il réussit à trancher une lance. Malheureusement, son sort n’était d’assez haut niveau pour protéger sa dague, sous ses yeux, il dut lâcher sa dague ayant fondu. C’est alors qu’ils atteignirent sa tunique. Peu importe le nombre de coup qu’ils avaient mis, ils n’arrivèrent pas à le transpercer. D’en haut, Titania observait sans réagir, de son visage coulait des larmes. Elle murmura une phrase : « Je…. Pas...le…pousser…cela. » Elle sorti une lame de son fourreau et sauta dans le tas. En sautant, elle réussit à tuer deux personnes. Une voie s’était dégagée.
Elle récupéra Tom saignant de partout et Jules décampa avec Jean. Le dernier à s’enfuir fut Ulysse. Le groupe pouvait voir la porte de la ville devant eux, les archers postés sur les toits atteignirent certains du groupe dont Jean et Jules.
Ils sortirent en courant

Voici tout ce que j'ai écrit pour mon prologue (pas terminé). Je sais qu'il est très long mais c'est un projet très important pour moi donc soyez franc

Y a quelqu'un ?

forum est mort, ou à peu près. Vient qui veut, ça ne sert à rien de demander. Mais bon, ça doit faire 3 ans que je ne suis plus venu, donc on va dire que tu as de la chance, en quelque sorte :p

Par contre, tu as demandé de la franchise, donc mon commentaire risque de ne pas être très plaisant... Et pour être honnête, je n'ai pas tout lu (pas vraiment le temps). Bref :

En 537, une bataille avait eu lieu, la bataille de camlann.

"une bataille eut lieu", Calmann prend une majuscule et on a une répétition du mot "bataille". C'est la première phrase, celle d'accroche, elle devrait être irréprochable.

Ce fut la défaite du druide Myrddin et du Roi Arthur.

La tournure, bof... Et aussi, je chipote, mais ce serait plus logique de mentionner d'abord le roi. On imagine que le druide est là comme soutien, voire comme général mais ce n'est pas vraiment lui qui subit la défaite.

Comme à son habitude le Roi Arthur siégeait sur son trône.

Phrase inutile et qui ne donne aucune précision. Siéger, ce n'est pas vraiment une action.

C'était un homme blond aux yeux bleus,

Ca c'est une erreur de débutant (et c'est normal d'en faire). Les descriptions brutes comme ça, évite. Je ne sais pas si c'est très pertinent de te parler de show, don't tell si tu débutes totalement. Mais les descriptions complètes de perso (ou de lieu, ou autre) surtout au début du texte, à moins de maîtriser l'exercice à la perfection, c'est indigeste (et là non plus ça n'apporte rien).

A ses pieds étaient mises de lourdes bottes en cuir.

Là, ce n'est même pas seulement une mauvaise tournure, ça ne veut carrément rien dire. "Il portait de lourdes bottes en cuir", tout simplement.

Le peu d'agitation qu'il y avait dans la pièce fut troublée

Mouais, tu ne nous dis rien à propos d'une quelconque agitation donc ça ne veut rien dire pour le lecteur.

l'arrivé d'un homme ouvrant brusquement la grosse porte, vêtu d’un vêtement propre

Alors, outre le fait que ce soit un peu bizarre de nous parler d'un mec propre (on parle quand même de la salle du trône, on se doute bien que c'est pas le pécore du coin qui va débarquer), tu aurais dû arrêter la description là. Glisser l'un ou l'autre élément descriptif durant une action, c'est un bien meilleure méthode pour décrire tes persos. Mais il ne faut pas hésiter à distiller tes infos au compte-goutte. Par exemple : "le roi remit une mèche blonde rebelle en place d'un mouvement rapide de la main". C'est une action, tu ne brises pas le rythme mais tu nous indiques en même temps qu'il est blond.

tout son accoutrement l’était, à l’exception de ses bottes boueuses. Il avança maladroitement en direction du trône, le beau tapi rouge était entaché par de la boue.

Répétition de "boue". Et là c'est dommage que tu nous parles de ses bottes boueuses dans un premier temps parce que justement tu aurais pu l'indiquer en disant qu'il déposait de la boue sur le tapis. On aurait compris que la boue venait des bottes.

Le chevalier s'accroupit

Heu... Il met un genou à terre plutôt ? ^^

Bonjour roi Arthur Pendragon

Ce n'est pas vraiment une formule qu'on utilise quand on s'adresse à une personne royale.

je suis un des chevaliers qui était postés à la frontière de l'Irlande

Alors soit le roi le sait déjà, et il sait qui c'est. Et donc jamais le mec ne dirait ça. Soit il ne le sait pas et le minimum c'est que le chevalier se présente en donnant son nom. Mais là je ne crois pas une seconde à ce dialogue (surtout avec le "Bonjour" juste avant).

Le roi se mordit la lèvre et parla : « Est-ce pour cela que vous avez amené autant de crasse ?

Le mec lui annonce qu'une armée de démons et de saloperies lui arrive sur la gueule et le roi râle parce qu'il y a un peu de boue ?

Si l’Irlande à des alliés d'autant de races, nous sommes foutus avec notre armée actuelle.

"a", pas "à". "des alliées d'autant de races", ce n'est pas français. Et puis "foutus" ? Je ne crois pas qu'un roi, Arthur de surcroît, parlerait comme ça. A moins que tu écrives une comédie (à la Kaamelott par exemple, pour rester dans le thème) mais les autres dialogues ne sont pas sur ce ton-là, et le texte non plus. Je considère ça comme une erreur. Tes personnages doivent avoir une personnalité, qui ne change pas au gré des événements.

Surtout depuis que Guenièvre, Mordred et Lancelot ont trahi.

Mouais, aucun rapport ?

Faisons appel à nos alliés, les fées d'Avalon, les elfes des forêts du nord et les nains de Storøen.

Non. Les persos qui expliquent le scénario, c'est pas possible... Le mec à qui il parle est censé connaître les alliés et le lecteur les découvrira lorsqu'ils arriveront sur le champ de bataille ou si tu suis le mec qui va les contacter (si ça a de l'intérêt)

Mettez 5 soldats à la recherche de myrddin, sa paranoïa dure depuis trop longtemps.

Quelle paranoïa ?

Le messager alla les distribuer aux chevaliers disponibles.

Distribuer quoi ?

Il arriva alors à une partie du château

Quelle partie du château ?

où les militaires n’avaient pas de plastron, la plupart portaient des cottes de mailles ou étaient revêtu d’une tunique.

On s'en fout :s

Des cris se faisaient entendre de toute part

Très pauvre cette formulation

« De la bière s’il vous plait ! »

Il dit ça en criant ? :s

Certains faisaient plus de bruit que les autres, installés sur quelques tables

Je ne vois pas le rapport entre les deux idées.

Ils tenaient des cartes, ils échangeaient de grosses sommes d’argent entre eux. Un homme pleurait et tapait du poing, il était en sous vêtement.

C'est un peu triste à dire, mais je trouve que ce sont les deux premières phrases valables du texte :s (mais j'aurais remplacer la première virgule par "et")

Tout cet entrain s’arrêta brusquement, les chevaliers fronçaient les sourcilles vers le messager.

Concordance des temps : "froncèrent" Même si je vois l'idée, je trouve que l'enchaînement ne marche pas. Là j'en déduis que le messager est entré et que tout s'arrête. J'en déduis donc que les mecs occupés à festoyer bruyamment le connaissent et le détestent sans doute ? Il manque l'action qui fait que tout s'arrête. Je rappelle qu'il y a du bruit, que ça boit et joue aux cartes. Le messager devrait hurler pour se faire remarquer.

Il demanda de l’écouter attentivement

Voilà, ça ne suffit pas. Comme je le dis, soit il a une voix de dingue qui couvre les bruits, soit il arrive carrément avec une trompette ou un truc du genre pour attirer l'attention.

Soudain, ils lui jetèrent de la bière, ainsi que des assiettes en bois.

Pareil, il y a un souci. Le mec est détesté (ou alors Myrddin l'est). Tu devrais le préciser parce que sinon ce sont juste des tarés (et il vaut mieux demander à quelqu'un d'autre de s'occuper des recherches...).

Les individus appelés Jules la chèvre, Albert le brave, Alphonse d'acier, Jean le trouillard et tom de l'Arduinna Silva furent choisis pour ramener Myrddin.

Tom

Jules s'appelait comme cela, rappelant son origine d'éleveurs de chèvres.

Là tu prends le lecteur pour un con.

Il était brun de taille moyenne,

On va se taper cinq descriptions d'affilée ? :x

il s'était engagé dans l'armée à la suite d’une décision de son père qui ne pouvait nourrir ses 7 fils

Quelle décision ? C'est dommage de nous donner des infos complètement inutiles comme "taille moyenne" (ce qui ne veut rien dire et n'indique rien) mais de ne pas nous donner ce genre d'info-là qui pourrait vraiment apprendre un truc sur le perso. S'il a été abandonné par son père, ça pourrait expliquer pourquoi il a un problème avec l'autorité par exemple. Si au contraire son père lui a expliqué que tous les espoirs reposaient sur lui, ça pourrait expliquer sa détermination et sa bravoure au combat. C'est bien plus utile de savoir ça que le fait qu'il soit blond un peu vénitien avec option bronzage entre midi et quatorze heures...

Etant le cadet, il dut aller à la capitale du royaume, Gamelot.

Là pareil. Pourquoi ? En quoi c'est une obligation par rapport au fait ce soit le cadet ? D'ailleurs c'était l'inverse au Moyen-Âge, c'était l'ainé qui embrassait une carrière militaire. Les suivants, et surtout le cadet, étaient bons pour les ordres en général (dans les familles nobles en tout cas, les paysans étaient tous dans les champs, ou étaient artisans).

Ensuite Albert

Là on sent beaucoup trop l'énumération, un peu comme un gosse qui raconte une histoire :x

il choisit donc de garder son surnom chevaleresque, plutôt que son nom qui le rattachait à ses parents

Il n'y avait pas vraiment de nom de famille à l'époque, donc il ne choisit rien. Et nous donner le nom du patelin, ça peut être intéressant. En tant que noble, il devrait logiquement être amené à se présenter comme suit "Albert le Brave, de Trou Paumé, fils de Bidule". C'est un peu cliché mais ça marche toujours.

Il était roux aux yeux bleus de la taille d’un enfant.

Il n'est pas plus grand qu'un enfant et c'est lui qu'on choisit pour ramener un druide (mission sans doute périlleuse) ? D'ailleurs qu'est-ce qu'il fout là ? Jamais personne ne le recruterait.

En revanche Alphonse vient d'une contrée éloignée au nord du royaume

Pourquoi "en revanche" ? En quoi ça s'oppose au physique du précédent ?

Dès qu'un étranger entendait le nom "Acier", il s'enfuyait aussi vite qu'il pouvait

J'y crois pas une seconde...

Alphonse serait capable d'endurer des mois et des mois dans le froid sans nourriture et eau. La rumeur dit qu’il ne serait pas humain, qu'il serait un esprit des montagnes ayant pris possession de son corps.

Donc jusque là, on a un pécore, un mec qui mesure 1m20 et un mec possédé ? Je rappelle que vu le ton du texte, ce n'est pas de la comédie ou de la parodie... Alors pour avoir une histoire crédible et sérieuse avec ça, il va falloir se lever tôt... C'est possible de mener une histoire avec une bande d'anti-héros mais c'est un exercice très difficile. Il vaut mieux avoir un peu d'expérience en terme d'écriture sinon c'est un coup à se casser les dents :

De plus, il est baraqué

"baraqué" ? C'est comme ton roi qui dit "foutus", ce n'est pas dans le ton.

Sa chevelure blonde rappelle son origine de combattant.

Heu ? Tous les combattants sont blonds ? C'est une condition d'admission à la caserne du coin ? WTF ?

Maintenant parlons de Jean

Donc là tu brises le quatrième mur ? Après c'est peut-être personnel, mais même quand Tolkien le fait je trouve ça très bizarre et inapproprié. Pour moi ça n'apporte rien et ça nous rappelle qu'on lit une histoire.

Venant de la noblesse, il a été et sera un trouillard toute sa vie

Donc tous les nobles sont des trouillards ? Hé ben, pour une histoire qui se base sur la chevalerie, tu ne lui rends pas honneur avec des trucs comme ça. A se demander pourquoi tu l'écris ?
Au passage, sur quatre mecs on a quatre bras cassés...

il a vécu dans l'Arduinna silva

Vu le nom ce n'est clairement pas en Bretagne. Une précision sur son pays d'origine, ça peut être intéressant, ne fut-ce que pour envisager les éventuels problèmes de communication avec les autres.

Une géante forêt. Celle-ci était réputée pour sa dangerosité de son lien avec l'obscure. En plus, le malin y est souvent associé.

"Une forêt géante". Et donc là tu pars d'un détail pas très intéressant d'un perso pour décrire un lieu qui n'aura sans doute aucun rapport avec l'histoire...

Seulement les fous et les idiots vont là-bas.

Ok, donc sur les cinq mecs choisis, il n'y en a pas un seul de valable. Ton messager est plutôt con, ce qui pourrait expliquer pourquoi il s'est pris une volée d'assiettes dans la gueule. Ce qui montre aussi que les chevaliers du roi Arthur sont des gros enfoirés. Alors je veux bien, mais je ne sais pas comment tu vas pouvoir monter une histoire crédible avec ça. Pour moi, tes cinq types devraient se faire éclater par les trois premiers bandits qu'ils croisent. Ou alors je n'y croirai pas.

J'ajoute un truc : dans tes descriptions, tu passes parfois au présent alors que le texte est au passé.

Ils commencèrent à partir pour Brocéliande, où myrddin se cache.

Evite ce genre de tournure : "Ils partirent pour Brocéliande". Evite de faire compliqué.
Et donc tu nous dévoiles où se trouve le druide. On n'a aucun intérêt à lire si on sait où il est. Pour l'instant le seul enjeu c'est de savoir où il se cache justement. Et en plus les mecs vont directement là où il se trouve. Limite il n'y a pas d'histoire :x

Ils arrivèrent là-bas

Pas un mot sur les conditions de voyage, pas un seul obstacle, pas une seule hésitation sur la route à prendre, pas un seul campement dressé, pas un seul conflit entre les protagonistes, pas une seule histoire ou chant au coin du feu pour en apprendre un peu plus sur les mecs. Bref, aucun world building ou story telling (en gros, des éléments qui apportent des précisions sur ton univers et tes persos).

Et le terme "là-bas"... "à destination", "au bout du voyage" ou tout simplement "dans la forêt".

ils purent apercevoir

"Ils aperçurent"

Celle-ci était luxuriante, les animaux tels que les sangliers, les lapins ou encore mieux des licornes.

Il manque un verbe.

Tom prit l'initiative de prendre une carte magique. Sur la carte vierge, apparut une grande source dans une clairière. C'est là que se trouvait myrddin.

Heu... Explique au moins le fonctionnement de la carte ? Et là encore je n'y crois pas non plus. Où est l'enjeu ? On dirait que tes mecs ont quitté le château il y a cinq minutes, l'un d'eux sort un vieux parchemin moisi et leur pote est là, comme par magie justement... Tu nous aurais dit qu'ils allaient à la gare pour prendre le train et suspense... le train est là et ils montent dedans, ça aurait été pareil. Il n'y a aucune tension, aucun enjeu, aucun intérêt (et je préfère être franc, c'est pour avoir une critique plus approfondie que je continue la lecture).

Jean voulait faire demi-tour parce que selon lui s’il y allait, il allait mourir.

La tournure est très pauvre. Et même si c'est clairement établi que c'est le trouillard du groupe, déjà pourquoi est-ce qu'il a accepté la mission ? Et pourquoi il veut se barrer alors qu'ils viennent de finir ladite mission, sans le moindre problème ?

Jules lui dit : " Faudrait que tu arrêtes d'avoir peur, tu n'es plus un gamin. Je me demande pourquoi on t’a emmené."

Ha ben voilà, même tes persos le disent !

Jean pleura de tout son corps

Il pleure par les pieds aussi ? xD

Jean, tout va bien se passer, ne t’inquiète pas, c'est Brocéliande. Son surnom est la forêt des merveilles.

Lui pour le coup ce n'est pas le psy du groupe...

Tom leur dit qu'ils étaient arrivés. Ils virent un vieil homme barbu, portant un tissu en lambeaux

L'enchaînement des actions me laisse perplexe... Ce n'est pas naturel. Et ho merde ! Encore une description...

Soudain, il se réveilla et se referma sur lui-même

Si c'est soudain, c'est qu'il se réveille en sursaut, il faudrait insister là-dessus. Et se refermer sur soi-même, je ne sais pas ce que ça veut dire. Enfin, dans le contexte en tout cas.

La seconde d'après, il se tenait devant un rocher.

Hein ? Il s'est téléporté ? Il s'est levé super vite ? C'est confus.

Son geste fut d'écrire des caractères jamais vu ni entendu par l'homme.

"Son geste" ?

Il fit un dessin pour accompagner ses mots, si on pouvait appeler cela des mots.

Ce dessin en question semblait venir d'un autre monde

Répétitions...

Ce dessin en question semblait venir d'un autre monde, celle d'une citée aujourd'hui disparut.

"disparue" Autant l'idée est sympa mais cette histoire de cité rend le tout confus parce que tu as l'air de nous parler d'un truc précis (sans vraiment en parler justement). Ou alors ça vient du mot "celle", qui ne fait référence à aucun mot ?

Les bâtiments donnaient une impression de vertiges, de mal de mer ou de nausée.

Quels bâtiments ? Vu que la phrase précédente est ambiguë, on ne sait pas de quoi tu parles.

Ils pouvaient voir la chair respirer, en train de souffrir pour l'éternité.

La chair de qui ?

De plus, en regardant de plus près, ils se rendaient compte que les alentours étaient faits de chairs bougeant en montrant l'histoire de ce lieu.

Incompréhensible. En plus tu répètes le mot "chair" (sans "s").

Nul ne pouvait le deviner, ceci est un des secrets des temps anciens.

Deviner quoi ? Honnêtement, tu aurais dû dire que le dessin venait d'un autre monde et en rester là. Déjà, un peu de mystère ça peut être intéressant. Et là chaque phrase est moins claire que la précédente. Donc tout l'effet tombe à plat.

Il prononça ces mots : « Beth wyt ti'n ei wneud yma ? »

Et repartit dans sa paranoïa, tout cela le rongeait.

Oui, il aurait pu dire "sdgs ejrjf afafa;ak afazr", ça aurait été pareil. Ca veut dire quoi ? Et quelle paranoïa ? On ne sait toujours pas de quoi il s'agit. Tu aurais dit "folie", à la limite vu qu'il agit bizarrement mais je ne vois pas le rapport avec la paranoïa.

Jean est celui qui lui adressa la parole, « que s'est-il passé ? »

Trop ampoulé, encore : "Jean demanda : (...)"

L'homme fou prit un morceau de son propre vêtement, il écrivit avec son sang.

"Le fou" et remplace la virgule par "et" et tu auras une phrase pas trop mal. Même si clichée AF...

Son message fut enfin transmis, il représentait la fin du monde magique par les humains, étrangement Myrddin faisait partie de celle-ci.

Bah, osef non ? Ce sont cinq chevaliers (merdiques), même s'il y en a un qui est un peu plus porté sur la magie, ils devraient à peu près s'en foutre. En plus, même si c'est cliché en général les chevaliers n'aiment pas la magie donc...
Et je ne l'ai pas relevé, mais ce n'est pas la première fois : parfois tu devrais mettre un point plutôt qu'une virgule. C'est le cas ici. Si je réécris juste pour pallier ce problème-là :
"Son message fut enfin transmis : il représentait la fin du monde magique par les humains. Etrangement Myrddin faisait partie de celle-ci."
Et à la fin, c'est "celui-ci" (le monde magique).

Les chevaliers furent obligés de se replier, jules fit que c'est mission impossible.

Obligés par quoi ou quoi ? La mission est de ramener un vieux débile, il n'y a qu'à l'assommer s'il ne veut pas. En plus le druide ne les menace même pas. Ils se replient devant quel danger ? Et puis paye tes braves chevaliers... Hormis le trouillard avéré, les autres devraient se battre s'il y a un danger, non ?
Sinon, la virgule devrait être un point, de nouveau. Et la seconde phrase avec Jules (majuscule aux noms propres, je ne le relèverai plus...) ne veut rien dire.

Alphonse accepta en disant qu’il n’avait jamais vu cela de sa vie

Il accepta quoi ?

Jean se retourna en montrant Myrddin en train les observer.

Hein ?

Le druide fit un simple mouvement de lèvres et se tordra de douleur.

"tordit"

De cet échec cuisant, ils retournèrent à gamelot.

Quel échec ? oO

Après avoir reçu leur rapport, le roi fut déçu car il savait qu'il ne pouvait pas les aider.

Pareil que tout à l'heure. Décrire leur retour, la peur au ventre en imaginant le courroux du roi (je rappelle qu'ils ont fui sans raison face à un vieux fou muet alors qu'ils étaient cinq chevaliers, à priori jeunes, en bonne santé et même "baraqués" pour certains...), le regard interrogateur des autres, les moqueries parce qu'ils sont quand même vachement nuls. Ca aurait pu être le moment pour glisser quelques descriptions du château (durant une action idéalement : "Machin releva la tête et ses yeux se posèrent sur la grande tour de Gamelot" (juste ça, ça peut suffire, ça donne déjà une caractéristique du château sans noyer le lecteur dans un pavé de descriptions, puis durant une autre scène, tu peux donner une autre info : "Jules traversa le long pont-levis et s'enfonça dans les terres de Logres.", là pareil, tu donnes une info supplémentaire sans briser le rythme, et ça peut très bien être 5000 mots plus tard).

Quelques semaines plus tard, le roi rencontra les dirigeants des fées d'Avalon, des Nains de Storøen et des elfes des forêts du nord dans une petite salle où il y avait une table rectangulaire.

Là encore. Il se passe quoi durant ces semaines ? Myrddin est toujours à Brocéliande ? Les "chevaliers" ont été punis ? On a envoyé d'autres mecs, vraiment compétents cette fois, pour ramener le druide ? On a envoyé un autre druide pour l'ausculter ? Ou alors tout le monde est resté figé sur place sans rien faire, sans rien dire, en attendant que le temps passe ? :s

Elle était brune

Bon... Ce n'est pas un texte, ce sont des fiches de perso destinées à un roleplay... :s

Malgré son apparence, elle est une redoutable guerrière prête à défendre son Ile et ses alliés. Elle s’asseyait.

Non, l'apparence ne conditionne pas les capacités martiales des gens... Tu peux être super beau et défoncer tout le monde. Mais tu peux être très moche et défourailler tout autant. C'est l'entraînement qui détermine si tu es bon ou pas, rien d'autre (sauf en SFFF où forcément un dieu zigouillera naturellement tout le monde sans entraînement).
Et c'est "Elle s'assit".

Elle fut suivie de FâFnir

Je relève surtout à titre personnel parce que Fafnir (ou Fafner) est un perso que j'aime beaucoup dans l'Anneau des Nibelungen de Wagner
(Je m'interroge juste sur le second "f" majuscule mais comme on est dans de la fantasy justement, ce genre de truc peut passer)

le roi des Nains de Storøen. Il était un demi-géant.

Il faut se décider par contre : c'est un nain ou un demi-géant mais les deux en même temps j'ai du mal à visualiser.

Son armure a été forgé dans un volcan pendant 1000 jours et une nuit.

"fut forgée"

FâFnir était roux, ses cheveux et sa barbe rousse

La répétition fait presque mal aux oreilles...

Il est jugé

Pourquoi tu passes au présent ?

Il est jugé belliqueux par les inconnus

Jugé par des inconnus ? Ca me paraît bizarre.

c’est un homme qui ne tue pas pour le plaisir. A son tour, il le fit.

"A son tour", par rapport à quoi ? Et il fit quoi ? J'oubliais... Encore et toujours des descriptions. Il faut arrêter...

Il maitrise la magie lunaire tel que le vent se baladant.

La magie lunaire, je ne sais pas ce que ça veut dire mais ça ne m'a pas l'air de coller des masses avec le vent.

Son habit était celui d’un roturier, ce qui n’est pas acceptable pour un roi.

Pour moi tu brises encore le quatrième mur. Comment ça se fait que le narrateur porte un jugement de valeur. Puis bon, là par exemple ça aurait été intéressant que ce soit un personnage qui le lui fasse remarquer. J'aurais dit Arthur mais vu que c'est son allié et qu'il a besoin de lui, l'insulter devant tout le monde, ce n'est pas très subtil. La femme du gars en question pourrait le lui faire remarquer par exemple.

en peau d’Ours

Pourquoi une majuscule à "ours" ?

Le plus étonnant, il ne portait pas de bottes ou autres.

Il est à pied nu ? Avec une chemise dégueu et un pantalon en peau d'ours ? Ce n'est pas un roi, c'est un clodo... Il faudrait aussi voir à respecter la logique et cohérence sinon on n'y croira pas non plus.

Arthur Pendragon s’exprima devant eux en disant

Pas besoin de préciser Pendragon, on se doute bien de quel Arthur tu parles. Et la tournure, encore compliquée pour rien.

Mes Chers alliés

"Cher Tonton"... Désolé

je vous ai convié ici pour un combat qui fera rage.

Mrbof...

La mauvaise nouvelle est que Myrddin ne peut pas nous aider à cause d’une raison qui nous est encore inconnue.

C'est un vieux gâteux qui fait peur aux enfants... pardon, qui fait peur à cinq chevaliers accomplis et surarmés.
Bon, à la limite je veux bien que d'un point de vue stratégique il leur cache la vérité mais il passe un peu pour un con quand même. Il aurait pu dire qu'il n'était pas dispo, ou terriblement blessé/malade, histoire de sauver les apparences. Ou alors tout simplement ne pas en parler.

Ensuite, morgane fit qu’elle avait 500 fées sous ses ordres.

"fit" ?

l’alliance a une force offensive de 1700 individus contre l’ennemi qui a environ 10 000 individus

Des individus de type ennemi qui ont décidé de ne pas respecter le code de la route sur la chaussée de la voie publique
Pourquoi il nous sort un terme comme ça ? Puis deux fois d'affilée histoire que ce soit un peu plus indigeste...

Nous sommes en infériorité numérique, notre seul espoir sont les dieux.

Ha ouais... Je serais l'un des alliés, je me casserais loin avec mon armée. Ca pue tellement la défaite.

Elle proposa

Elle ? Arthur est une femme ?

Camlaan, ceci est la seule brèche pour pénétrer à l’intérieur des terres proche du château.

Camelot c'est en plein milieu d'une plaine normalement...

Le roi hocha la tête rétorquant qu’il n’aurait trouvé mieux.

Je confirme : il avoue en moins de deux minutes à ses seuls alliés que le druide surpuissant est devenu une vieille merde inutile et que seul un miracle peut les sauver. Il est con comme un balai alors forcément dès qu'un type crie un peu fort il est d'accord avec lui. C'est Trump en fait

Pour remédier à l’absence de Myrddin, Morgane voulait faire venir Viviane, la dame du Lac. Malencontreusement, elle était actuellement en Grèce car elle est allée rendre visite à une amie Lamia.

Mais... "Heu je peux pas venir sauver votre royaume parce que je fais du jet ski à Mykonos puis j'irai cramer au soleil. Bisous".
Crédibilité, tout ça...

C’est une espèce qu’elle découverte, Viviane est devenue amie avec elles

De quoi tu parles ?

Les Lamias sont des créatures ou des monstres possédant un buste de femme et un corps de Serpent. Elle juge qu’elles sont capables de bonté

ENCORE une description ? A partir de maintenant je les skip toutes...

Bon, j'ai terminé le premier post.

Si je devais résumer, il y a énormément de choses à revoir. J'imagine que tu débutes donc c'est tout à fait normal mais plus vite tu auras conscience des (nombreux) problèmes plus vite tu t'amélioreras. Au niveau de la forme, tu dois faire attention à beaucoup de choses : la concordance des temps, les tournures de phrase qui sont souvent compliquées pour rien et qui mènent à des phrases qui n'ont aucun sens, les répétitions, l'orthographe, la structure du texte (tu fais souvent des phrases à rallonge et tu mets des virgules là où tu devrais terminer ta phrase), etc. Au niveau du fond, il y a aussi beaucoup de choses à revoir : la logique (les chevaliers qui fuient sans raison, le roi qui annonce à ses alliés que c'est mort, la mission qui se passe sans problème mais un mec panique, etc.), l'agencement des idées, les descriptions, les digressions inutiles, la personnalité des personnages.
Bref, accroche-toi, il faudra pas mal relire, reformuler et réécrire pour approcher un résultat acceptable.

Ouais merci de ta réponse. J'ai beaucoup rigolé. T'es le premier à amener ma conversation sur logique du sénar

Ça fait des années que j'écris. Après je suis toujours un adolescent

Le 21 février 2022 à 15:31:09 :
forum est mort, ou à peu près. Vient qui veut, ça ne sert à rien de demander. Mais bon, ça doit faire 3 ans que je ne suis plus venu, donc on va dire que tu as de la chance, en quelque sorte :p

Par contre, tu as demandé de la franchise, donc mon commentaire risque de ne pas être très plaisant... Et pour être honnête, je n'ai pas tout lu (pas vraiment le temps). Bref :

En 537, une bataille avait eu lieu, la bataille de camlann.

"une bataille eut lieu", Calmann prend une majuscule et on a une répétition du mot "bataille". C'est la première phrase, celle d'accroche, elle devrait être irréprochable.

Ce fut la défaite du druide Myrddin et du Roi Arthur.

La tournure, bof... Et aussi, je chipote, mais ce serait plus logique de mentionner d'abord le roi. On imagine que le druide est là comme soutien, voire comme général mais ce n'est pas vraiment lui qui subit la défaite.

Comme à son habitude le Roi Arthur siégeait sur son trône.

Phrase inutile et qui ne donne aucune précision. Siéger, ce n'est pas vraiment une action.

C'était un homme blond aux yeux bleus,

Ca c'est une erreur de débutant (et c'est normal d'en faire). Les descriptions brutes comme ça, évite. Je ne sais pas si c'est très pertinent de te parler de show, don't tell si tu débutes totalement. Mais les descriptions complètes de perso (ou de lieu, ou autre) surtout au début du texte, à moins de maîtriser l'exercice à la perfection, c'est indigeste (et là non plus ça n'apporte rien).

A ses pieds étaient mises de lourdes bottes en cuir.

Là, ce n'est même pas seulement une mauvaise tournure, ça ne veut carrément rien dire. "Il portait de lourdes bottes en cuir", tout simplement.

Le peu d'agitation qu'il y avait dans la pièce fut troublée

Mouais, tu ne nous dis rien à propos d'une quelconque agitation donc ça ne veut rien dire pour le lecteur.

l'arrivé d'un homme ouvrant brusquement la grosse porte, vêtu d’un vêtement propre

Alors, outre le fait que ce soit un peu bizarre de nous parler d'un mec propre (on parle quand même de la salle du trône, on se doute bien que c'est pas le pécore du coin qui va débarquer), tu aurais dû arrêter la description là. Glisser l'un ou l'autre élément descriptif durant une action, c'est un bien meilleure méthode pour décrire tes persos. Mais il ne faut pas hésiter à distiller tes infos au compte-goutte. Par exemple : "le roi remit une mèche blonde rebelle en place d'un mouvement rapide de la main". C'est une action, tu ne brises pas le rythme mais tu nous indiques en même temps qu'il est blond.

tout son accoutrement l’était, à l’exception de ses bottes boueuses. Il avança maladroitement en direction du trône, le beau tapi rouge était entaché par de la boue.

Répétition de "boue". Et là c'est dommage que tu nous parles de ses bottes boueuses dans un premier temps parce que justement tu aurais pu l'indiquer en disant qu'il déposait de la boue sur le tapis. On aurait compris que la boue venait des bottes.

Le chevalier s'accroupit

Heu... Il met un genou à terre plutôt ? ^^

Bonjour roi Arthur Pendragon

Ce n'est pas vraiment une formule qu'on utilise quand on s'adresse à une personne royale.

je suis un des chevaliers qui était postés à la frontière de l'Irlande

Alors soit le roi le sait déjà, et il sait qui c'est. Et donc jamais le mec ne dirait ça. Soit il ne le sait pas et le minimum c'est que le chevalier se présente en donnant son nom. Mais là je ne crois pas une seconde à ce dialogue (surtout avec le "Bonjour" juste avant).

Le roi se mordit la lèvre et parla : « Est-ce pour cela que vous avez amené autant de crasse ?

Le mec lui annonce qu'une armée de démons et de saloperies lui arrive sur la gueule et le roi râle parce qu'il y a un peu de boue ?

Si l’Irlande à des alliés d'autant de races, nous sommes foutus avec notre armée actuelle.

"a", pas "à". "des alliées d'autant de races", ce n'est pas français. Et puis "foutus" ? Je ne crois pas qu'un roi, Arthur de surcroît, parlerait comme ça. A moins que tu écrives une comédie (à la Kaamelott par exemple, pour rester dans le thème) mais les autres dialogues ne sont pas sur ce ton-là, et le texte non plus. Je considère ça comme une erreur. Tes personnages doivent avoir une personnalité, qui ne change pas au gré des événements.

Surtout depuis que Guenièvre, Mordred et Lancelot ont trahi.

Mouais, aucun rapport ?

Faisons appel à nos alliés, les fées d'Avalon, les elfes des forêts du nord et les nains de Storøen.

Non. Les persos qui expliquent le scénario, c'est pas possible... Le mec à qui il parle est censé connaître les alliés et le lecteur les découvrira lorsqu'ils arriveront sur le champ de bataille ou si tu suis le mec qui va les contacter (si ça a de l'intérêt)

Mettez 5 soldats à la recherche de myrddin, sa paranoïa dure depuis trop longtemps.

Quelle paranoïa ?

Le messager alla les distribuer aux chevaliers disponibles.

Distribuer quoi ?

Il arriva alors à une partie du château

Quelle partie du château ?

où les militaires n’avaient pas de plastron, la plupart portaient des cottes de mailles ou étaient revêtu d’une tunique.

On s'en fout :s

Des cris se faisaient entendre de toute part

Très pauvre cette formulation

« De la bière s’il vous plait ! »

Il dit ça en criant ? :s

Certains faisaient plus de bruit que les autres, installés sur quelques tables

Je ne vois pas le rapport entre les deux idées.

Ils tenaient des cartes, ils échangeaient de grosses sommes d’argent entre eux. Un homme pleurait et tapait du poing, il était en sous vêtement.

C'est un peu triste à dire, mais je trouve que ce sont les deux premières phrases valables du texte :s (mais j'aurais remplacer la première virgule par "et")

Tout cet entrain s’arrêta brusquement, les chevaliers fronçaient les sourcilles vers le messager.

Concordance des temps : "froncèrent" Même si je vois l'idée, je trouve que l'enchaînement ne marche pas. Là j'en déduis que le messager est entré et que tout s'arrête. J'en déduis donc que les mecs occupés à festoyer bruyamment le connaissent et le détestent sans doute ? Il manque l'action qui fait que tout s'arrête. Je rappelle qu'il y a du bruit, que ça boit et joue aux cartes. Le messager devrait hurler pour se faire remarquer.

Il demanda de l’écouter attentivement

Voilà, ça ne suffit pas. Comme je le dis, soit il a une voix de dingue qui couvre les bruits, soit il arrive carrément avec une trompette ou un truc du genre pour attirer l'attention.

Soudain, ils lui jetèrent de la bière, ainsi que des assiettes en bois.

Pareil, il y a un souci. Le mec est détesté (ou alors Myrddin l'est). Tu devrais le préciser parce que sinon ce sont juste des tarés (et il vaut mieux demander à quelqu'un d'autre de s'occuper des recherches...).

Les individus appelés Jules la chèvre, Albert le brave, Alphonse d'acier, Jean le trouillard et tom de l'Arduinna Silva furent choisis pour ramener Myrddin.

Tom

Jules s'appelait comme cela, rappelant son origine d'éleveurs de chèvres.

Là tu prends le lecteur pour un con.

Il était brun de taille moyenne,

On va se taper cinq descriptions d'affilée ? :x

il s'était engagé dans l'armée à la suite d’une décision de son père qui ne pouvait nourrir ses 7 fils

Quelle décision ? C'est dommage de nous donner des infos complètement inutiles comme "taille moyenne" (ce qui ne veut rien dire et n'indique rien) mais de ne pas nous donner ce genre d'info-là qui pourrait vraiment apprendre un truc sur le perso. S'il a été abandonné par son père, ça pourrait expliquer pourquoi il a un problème avec l'autorité par exemple. Si au contraire son père lui a expliqué que tous les espoirs reposaient sur lui, ça pourrait expliquer sa détermination et sa bravoure au combat. C'est bien plus utile de savoir ça que le fait qu'il soit blond un peu vénitien avec option bronzage entre midi et quatorze heures...

Etant le cadet, il dut aller à la capitale du royaume, Gamelot.

Là pareil. Pourquoi ? En quoi c'est une obligation par rapport au fait ce soit le cadet ? D'ailleurs c'était l'inverse au Moyen-Âge, c'était l'ainé qui embrassait une carrière militaire. Les suivants, et surtout le cadet, étaient bons pour les ordres en général (dans les familles nobles en tout cas, les paysans étaient tous dans les champs, ou étaient artisans).

Ensuite Albert

Là on sent beaucoup trop l'énumération, un peu comme un gosse qui raconte une histoire :x

il choisit donc de garder son surnom chevaleresque, plutôt que son nom qui le rattachait à ses parents

Il n'y avait pas vraiment de nom de famille à l'époque, donc il ne choisit rien. Et nous donner le nom du patelin, ça peut être intéressant. En tant que noble, il devrait logiquement être amené à se présenter comme suit "Albert le Brave, de Trou Paumé, fils de Bidule". C'est un peu cliché mais ça marche toujours.

Il était roux aux yeux bleus de la taille d’un enfant.

Il n'est pas plus grand qu'un enfant et c'est lui qu'on choisit pour ramener un druide (mission sans doute périlleuse) ? D'ailleurs qu'est-ce qu'il fout là ? Jamais personne ne le recruterait.

En revanche Alphonse vient d'une contrée éloignée au nord du royaume

Pourquoi "en revanche" ? En quoi ça s'oppose au physique du précédent ?

Dès qu'un étranger entendait le nom "Acier", il s'enfuyait aussi vite qu'il pouvait

J'y crois pas une seconde...

Alphonse serait capable d'endurer des mois et des mois dans le froid sans nourriture et eau. La rumeur dit qu’il ne serait pas humain, qu'il serait un esprit des montagnes ayant pris possession de son corps.

Donc jusque là, on a un pécore, un mec qui mesure 1m20 et un mec possédé ? Je rappelle que vu le ton du texte, ce n'est pas de la comédie ou de la parodie... Alors pour avoir une histoire crédible et sérieuse avec ça, il va falloir se lever tôt... C'est possible de mener une histoire avec une bande d'anti-héros mais c'est un exercice très difficile. Il vaut mieux avoir un peu d'expérience en terme d'écriture sinon c'est un coup à se casser les dents :

De plus, il est baraqué

"baraqué" ? C'est comme ton roi qui dit "foutus", ce n'est pas dans le ton.

Sa chevelure blonde rappelle son origine de combattant.

Heu ? Tous les combattants sont blonds ? C'est une condition d'admission à la caserne du coin ? WTF ?

Maintenant parlons de Jean

Donc là tu brises le quatrième mur ? Après c'est peut-être personnel, mais même quand Tolkien le fait je trouve ça très bizarre et inapproprié. Pour moi ça n'apporte rien et ça nous rappelle qu'on lit une histoire.

Venant de la noblesse, il a été et sera un trouillard toute sa vie

Donc tous les nobles sont des trouillards ? Hé ben, pour une histoire qui se base sur la chevalerie, tu ne lui rends pas honneur avec des trucs comme ça. A se demander pourquoi tu l'écris ?
Au passage, sur quatre mecs on a quatre bras cassés...

il a vécu dans l'Arduinna silva

Vu le nom ce n'est clairement pas en Bretagne. Une précision sur son pays d'origine, ça peut être intéressant, ne fut-ce que pour envisager les éventuels problèmes de communication avec les autres.

Une géante forêt. Celle-ci était réputée pour sa dangerosité de son lien avec l'obscure. En plus, le malin y est souvent associé.

"Une forêt géante". Et donc là tu pars d'un détail pas très intéressant d'un perso pour décrire un lieu qui n'aura sans doute aucun rapport avec l'histoire...

Seulement les fous et les idiots vont là-bas.

Ok, donc sur les cinq mecs choisis, il n'y en a pas un seul de valable. Ton messager est plutôt con, ce qui pourrait expliquer pourquoi il s'est pris une volée d'assiettes dans la gueule. Ce qui montre aussi que les chevaliers du roi Arthur sont des gros enfoirés. Alors je veux bien, mais je ne sais pas comment tu vas pouvoir monter une histoire crédible avec ça. Pour moi, tes cinq types devraient se faire éclater par les trois premiers bandits qu'ils croisent. Ou alors je n'y croirai pas.

J'ajoute un truc : dans tes descriptions, tu passes parfois au présent alors que le texte est au passé.

Ils commencèrent à partir pour Brocéliande, où myrddin se cache.

Evite ce genre de tournure : "Ils partirent pour Brocéliande". Evite de faire compliqué.
Et donc tu nous dévoiles où se trouve le druide. On n'a aucun intérêt à lire si on sait où il est. Pour l'instant le seul enjeu c'est de savoir où il se cache justement. Et en plus les mecs vont directement là où il se trouve. Limite il n'y a pas d'histoire :x

Ils arrivèrent là-bas

Pas un mot sur les conditions de voyage, pas un seul obstacle, pas une seule hésitation sur la route à prendre, pas un seul campement dressé, pas un seul conflit entre les protagonistes, pas une seule histoire ou chant au coin du feu pour en apprendre un peu plus sur les mecs. Bref, aucun world building ou story telling (en gros, des éléments qui apportent des précisions sur ton univers et tes persos).

Et le terme "là-bas"... "à destination", "au bout du voyage" ou tout simplement "dans la forêt".

ils purent apercevoir

"Ils aperçurent"

Celle-ci était luxuriante, les animaux tels que les sangliers, les lapins ou encore mieux des licornes.

Il manque un verbe.

Déjà pour les paroles de Myrddin, c'est du gallois.
Et pour la paranoïa, c'est moi qui me suis trompé, il est plutôt fou.
Par contre, peux-tu m'aguiller sur mes perso anti héro ?

Et pour Artur, tu ressenti ce que je voulais. Il n'est pas intelligent

Pour le roi des nains, j'ai pris en exemple une mythologie où les nains étaient géants. C'est pour ça que c'est un demi géant

J'aime bien ta réponse. Ce n'est pas simple de recevoir une critique négative. Beaucoup d'autres auteurs auraient été offusqué par mon commentaire. Or c'est comme ça qu'on progresse

Alors pour répondre à tes derniers posts :

Je me doute que c'est du gallois mais n'oublie pas que le lecteur a peu de chances de connaître cette langue. N'hésite pas à traduire (à la limite avec des notes de bas de page si tu ne veux pas briser le rythme de la narration).
Pour les anti-héros, c'est ce que j'ai ressenti à la lecture. Lorsque tu décris tes cinq chevaliers, tu mets à chaque fois en avant soit un énorme défaut qui n'est pas vraiment contrebalancé par des qualités, soit une origine qui ne correspond pas vraiment à la condition qu'on attend d'un chevalier (l'éleveur de chèvres par exemple). Alors, je sais que dans la matière de Bretagne, certains chevaliers font effectivement partie du monde paysan à l'origine, ou alors ont été élevés à l'écart de la civilisation, mais ils avaient alors des qualités de malade qui les rendaient plus forts que toute la cour du roi réunie (c'est le cas de Lancelot et de Perceval dans la plupart des légendes). Chez Barjavel par exemple, Lancelot est élevé par Viviane et Merlin garde un oeil dessus. Même s'il vit dans un endroit complètement paumé, on sent bien qu'il a un énorme potentiel vu qui sont ses tuteurs.
Au niveau de ton histoire, tu peux tout à fait garder tes cinq chevaliers tels quels, ce n'est pas un problème. Ce sont alors des antihéros parce qu'ils ne présent pas les caractéristiques habituelles des héros (honneur, bravoure, abnégation, etc.). Mais alors le traîtement de tes personnages sera sans doute différent. Le trouillard doit apprendre à surmonter ses peurs, l'éleveur de chèvres doit batailler ferme pour se faire une place à la cour du roi (il n'est logiquement pas considéré comme un vrai chevalier par les autres chevaliers, issus de familles nobles), le mec "possédé" doit trouver ses vraies origines et peut-être combattre un démon (littéral) intérieur, l'étranger doit peut-être aussi se faire une place parce qu'il serait rejeté par défaut par ses pairs. En gros tes personnages doivent surmonter des obstacles personnels en plus de ceux qui se dresseront naturellement sur leur route. Avoir des antihéros, c'est très intéressant parce que tu peux montrer comment ils passent de ce statut à celui de véritable héros.
La non intelligence d'Arthur, ok, mais elle devrait se retourner contre lui. Un con à la tête du pays mais tout réussit ça risque de ne pas être crédible.
Enfin, la mythologie dont tu parles est peut-être la même que celle que j'évoque avec Wagner (ou du moins la même base). Le nom FâFnir vient de cette même mythologie ?

Vu la réponse et l'attitude de l'auteur envers Tanil et son commentaire je ne vais même pas prendre la peine de lire

Le 21 février 2022 à 21:20:13 :
J'aime bien ta réponse. Ce n'est pas simple de recevoir une critique négative. Beaucoup d'autres auteurs auraient été offusqué par mon commentaire. Or c'est comme ça qu'on progresse

Alors pour répondre à tes derniers posts :

Je me doute que c'est du gallois mais n'oublie pas que le lecteur a peu de chances de connaître cette langue. N'hésite pas à traduire (à la limite avec des notes de bas de page si tu ne veux pas briser le rythme de la narration).
Pour les anti-héros, c'est ce que j'ai ressenti à la lecture. Lorsque tu décris tes cinq chevaliers, tu mets à chaque fois en avant soit un énorme défaut qui n'est pas vraiment contrebalancé par des qualités, soit une origine qui ne correspond pas vraiment à la condition qu'on attend d'un chevalier (l'éleveur de chèvres par exemple). Alors, je sais que dans la matière de Bretagne, certains chevaliers font effectivement partie du monde paysan à l'origine, ou alors ont été élevés à l'écart de la civilisation, mais ils avaient alors des qualités de malade qui les rendaient plus forts que toute la cour du roi réunie (c'est le cas de Lancelot et de Perceval dans la plupart des légendes). Chez Barjavel par exemple, Lancelot est élevé par Viviane et Merlin garde un oeil dessus. Même s'il vit dans un endroit complètement paumé, on sent bien qu'il a un énorme potentiel vu qui sont ses tuteurs.
Au niveau de ton histoire, tu peux tout à fait garder tes cinq chevaliers tels quels, ce n'est pas un problème. Ce sont alors des antihéros parce qu'ils ne présent pas les caractéristiques habituelles des héros (honneur, bravoure, abnégation, etc.). Mais alors le traîtement de tes personnages sera sans doute différent. Le trouillard doit apprendre à surmonter ses peurs, l'éleveur de chèvres doit batailler ferme pour se faire une place à la cour du roi (il n'est logiquement pas considéré comme un vrai chevalier par les autres chevaliers, issus de familles nobles), le mec "possédé" doit trouver ses vraies origines et peut-être combattre un démon (littéral) intérieur, l'étranger doit peut-être aussi se faire une place parce qu'il serait rejeté par défaut par ses pairs. En gros tes personnages doivent surmonter des obstacles personnels en plus de ceux qui se dresseront naturellement sur leur route. Avoir des antihéros, c'est très intéressant parce que tu peux montrer comment ils passent de ce statut à celui de véritable héros.
La non intelligence d'Arthur, ok, mais elle devrait se retourner contre lui. Un con à la tête du pays mais tout réussit ça risque de ne pas être crédible.
Enfin, la mythologie dont tu parles est peut-être la même que celle que j'évoque avec Wagner (ou du moins la même base). Le nom FâFnir vient de cette même mythologie ?

Ok merci pour ces informations supplémentaires. Ok, je prend note pour le gallois.
Sinon je viens de me demander si je devrais écrire un livre entier au lieu d'un prologue

Le 21 février 2022 à 21:54:59 :
Vu la réponse et l'attitude de l'auteur envers Tanil et son commentaire je ne vais même pas prendre la peine de lire

Comment ça ? Je le respecte qu'il prenne autant de temps

En effet, je n'ai pas ressenti une mauvaise attitude par rapport à mon commentaire.

Si tu veux, je peux commenter la suite quand j'aurai le temps.

[21:54:59] <Chimene_Azalee>
Vu la réponse et l'attitude de l'auteur envers Tanil et son commentaire je ne vais même pas prendre la peine de lire

Je trouve que ça va, l'auteur l'a remercié et réagit sur 2/3 trucs pour des précisions. Bon, vu le travail impressionnant effectué par Tanil, j'avoue que l'auteur aurait pu faire davantage de courbettes. l'auteur est un ado, nous avons sans doute le double de son âge, je mets ses réponses bancales sur sa jeunesse.
Mais on en a vu certains s'offusquer que leur génie soit incompris, et dénigrer tout commentaire utile sur leur chef-d'œuvre. On en est loin.

L'auteur, relis encore et encore les conseils de Tanil. Tu n'en es qu'au début, tu as un long chemin devant toi pour progresser, ne baisse jamais les bras !

l'auteur est un ado, nous avons sans doute le double de son âge, je mets ses réponses bancales sur sa jeunesse.

Voilà, pareil

Le 22 février 2022 à 09:04:08 :

[21:54:59] <Chimene_Azalee>
Vu la réponse et l'attitude de l'auteur envers Tanil et son commentaire je ne vais même pas prendre la peine de lire

Je trouve que ça va, l'auteur l'a remercié et réagit sur 2/3 trucs pour des précisions. Bon, vu le travail impressionnant effectué par Tanil, j'avoue que l'auteur aurait pu faire davantage de courbettes. l'auteur est un ado, nous avons sans doute le double de son âge, je mets ses réponses bancales sur sa jeunesse.
Mais on en a vu certains s'offusquer que leur génie soit incompris, et dénigrer tout commentaire utile sur leur chef-d'œuvre. On en est loin.

L'auteur, relis encore et encore les conseils de Tanil. Tu n'en es qu'au début, tu as un long chemin devant toi pour progresser, ne baisse jamais les bras !

Merci ! vous êtes incroyables.

Le 21 février 2022 à 15:31:36 :

Tom prit l'initiative de prendre une carte magique. Sur la carte vierge, apparut une grande source dans une clairière. C'est là que se trouvait myrddin.

Heu... Explique au moins le fonctionnement de la carte ? Et là encore je n'y crois pas non plus. Où est l'enjeu ? On dirait que tes mecs ont quitté le château il y a cinq minutes, l'un d'eux sort un vieux parchemin moisi et leur pote est là, comme par magie justement... Tu nous aurais dit qu'ils allaient à la gare pour prendre le train et suspense... le train est là et ils montent dedans, ça aurait été pareil. Il n'y a aucune tension, aucun enjeu, aucun intérêt (et je préfère être franc, c'est pour avoir une critique plus approfondie que je continue la lecture).

Jean voulait faire demi-tour parce que selon lui s’il y allait, il allait mourir.

La tournure est très pauvre. Et même si c'est clairement établi que c'est le trouillard du groupe, déjà pourquoi est-ce qu'il a accepté la mission ? Et pourquoi il veut se barrer alors qu'ils viennent de finir ladite mission, sans le moindre problème ?

Jules lui dit : " Faudrait que tu arrêtes d'avoir peur, tu n'es plus un gamin. Je me demande pourquoi on t’a emmené."

Ha ben voilà, même tes persos le disent !

Jean pleura de tout son corps

Il pleure par les pieds aussi ? xD

Jean, tout va bien se passer, ne t’inquiète pas, c'est Brocéliande. Son surnom est la forêt des merveilles.

Lui pour le coup ce n'est pas le psy du groupe...

Tom leur dit qu'ils étaient arrivés. Ils virent un vieil homme barbu, portant un tissu en lambeaux

L'enchaînement des actions me laisse perplexe... Ce n'est pas naturel. Et ho merde ! Encore une description...

Soudain, il se réveilla et se referma sur lui-même

Si c'est soudain, c'est qu'il se réveille en sursaut, il faudrait insister là-dessus. Et se refermer sur soi-même, je ne sais pas ce que ça veut dire. Enfin, dans le contexte en tout cas.

La seconde d'après, il se tenait devant un rocher.

Hein ? Il s'est téléporté ? Il s'est levé super vite ? C'est confus.

Son geste fut d'écrire des caractères jamais vu ni entendu par l'homme.

"Son geste" ?

Il fit un dessin pour accompagner ses mots, si on pouvait appeler cela des mots.

Ce dessin en question semblait venir d'un autre monde

Répétitions...

Ce dessin en question semblait venir d'un autre monde, celle d'une citée aujourd'hui disparut.

"disparue" Autant l'idée est sympa mais cette histoire de cité rend le tout confus parce que tu as l'air de nous parler d'un truc précis (sans vraiment en parler justement). Ou alors ça vient du mot "celle", qui ne fait référence à aucun mot ?

Les bâtiments donnaient une impression de vertiges, de mal de mer ou de nausée.

Quels bâtiments ? Vu que la phrase précédente est ambiguë, on ne sait pas de quoi tu parles.

Ils pouvaient voir la chair respirer, en train de souffrir pour l'éternité.

La chair de qui ?

De plus, en regardant de plus près, ils se rendaient compte que les alentours étaient faits de chairs bougeant en montrant l'histoire de ce lieu.

Incompréhensible. En plus tu répètes le mot "chair" (sans "s").

Nul ne pouvait le deviner, ceci est un des secrets des temps anciens.

Deviner quoi ? Honnêtement, tu aurais dû dire que le dessin venait d'un autre monde et en rester là. Déjà, un peu de mystère ça peut être intéressant. Et là chaque phrase est moins claire que la précédente. Donc tout l'effet tombe à plat.

Il prononça ces mots : « Beth wyt ti'n ei wneud yma ? »

Et repartit dans sa paranoïa, tout cela le rongeait.

Oui, il aurait pu dire "sdgs ejrjf afafa;ak afazr", ça aurait été pareil. Ca veut dire quoi ? Et quelle paranoïa ? On ne sait toujours pas de quoi il s'agit. Tu aurais dit "folie", à la limite vu qu'il agit bizarrement mais je ne vois pas le rapport avec la paranoïa.

Jean est celui qui lui adressa la parole, « que s'est-il passé ? »

Trop ampoulé, encore : "Jean demanda : (...)"

L'homme fou prit un morceau de son propre vêtement, il écrivit avec son sang.

"Le fou" et remplace la virgule par "et" et tu auras une phrase pas trop mal. Même si clichée AF...

Son message fut enfin transmis, il représentait la fin du monde magique par les humains, étrangement Myrddin faisait partie de celle-ci.

Bah, osef non ? Ce sont cinq chevaliers (merdiques), même s'il y en a un qui est un peu plus porté sur la magie, ils devraient à peu près s'en foutre. En plus, même si c'est cliché en général les chevaliers n'aiment pas la magie donc...
Et je ne l'ai pas relevé, mais ce n'est pas la première fois : parfois tu devrais mettre un point plutôt qu'une virgule. C'est le cas ici. Si je réécris juste pour pallier ce problème-là :
"Son message fut enfin transmis : il représentait la fin du monde magique par les humains. Etrangement Myrddin faisait partie de celle-ci."
Et à la fin, c'est "celui-ci" (le monde magique).

Les chevaliers furent obligés de se replier, jules fit que c'est mission impossible.

Obligés par quoi ou quoi ? La mission est de ramener un vieux débile, il n'y a qu'à l'assommer s'il ne veut pas. En plus le druide ne les menace même pas. Ils se replient devant quel danger ? Et puis paye tes braves chevaliers... Hormis le trouillard avéré, les autres devraient se battre s'il y a un danger, non ?
Sinon, la virgule devrait être un point, de nouveau. Et la seconde phrase avec Jules (majuscule aux noms propres, je ne le relèverai plus...) ne veut rien dire.

Alphonse accepta en disant qu’il n’avait jamais vu cela de sa vie

Il accepta quoi ?

Jean se retourna en montrant Myrddin en train les observer.

Hein ?

Le druide fit un simple mouvement de lèvres et se tordra de douleur.

"tordit"

De cet échec cuisant, ils retournèrent à gamelot.

Quel échec ? oO

Après avoir reçu leur rapport, le roi fut déçu car il savait qu'il ne pouvait pas les aider.

Pareil que tout à l'heure. Décrire leur retour, la peur au ventre en imaginant le courroux du roi (je rappelle qu'ils ont fui sans raison face à un vieux fou muet alors qu'ils étaient cinq chevaliers, à priori jeunes, en bonne santé et même "baraqués" pour certains...), le regard interrogateur des autres, les moqueries parce qu'ils sont quand même vachement nuls. Ca aurait pu être le moment pour glisser quelques descriptions du château (durant une action idéalement : "Machin releva la tête et ses yeux se posèrent sur la grande tour de Gamelot" (juste ça, ça peut suffire, ça donne déjà une caractéristique du château sans noyer le lecteur dans un pavé de descriptions, puis durant une autre scène, tu peux donner une autre info : "Jules traversa le long pont-levis et s'enfonça dans les terres de Logres.", là pareil, tu donnes une info supplémentaire sans briser le rythme, et ça peut très bien être 5000 mots plus tard).

Quelques semaines plus tard, le roi rencontra les dirigeants des fées d'Avalon, des Nains de Storøen et des elfes des forêts du nord dans une petite salle où il y avait une table rectangulaire.

Là encore. Il se passe quoi durant ces semaines ? Myrddin est toujours à Brocéliande ? Les "chevaliers" ont été punis ? On a envoyé d'autres mecs, vraiment compétents cette fois, pour ramener le druide ? On a envoyé un autre druide pour l'ausculter ? Ou alors tout le monde est resté figé sur place sans rien faire, sans rien dire, en attendant que le temps passe ? :s

Elle était brune

Bon... Ce n'est pas un texte, ce sont des fiches de perso destinées à un roleplay... :s

Malgré son apparence, elle est une redoutable guerrière prête à défendre son Ile et ses alliés. Elle s’asseyait.

Non, l'apparence ne conditionne pas les capacités martiales des gens... Tu peux être super beau et défoncer tout le monde. Mais tu peux être très moche et défourailler tout autant. C'est l'entraînement qui détermine si tu es bon ou pas, rien d'autre (sauf en SFFF où forcément un dieu zigouillera naturellement tout le monde sans entraînement).
Et c'est "Elle s'assit".

Elle fut suivie de FâFnir

Je relève surtout à titre personnel parce que Fafnir (ou Fafner) est un perso que j'aime beaucoup dans l'Anneau des Nibelungen de Wagner
(Je m'interroge juste sur le second "f" majuscule mais comme on est dans de la fantasy justement, ce genre de truc peut passer)

le roi des Nains de Storøen. Il était un demi-géant.

Il faut se décider par contre : c'est un nain ou un demi-géant mais les deux en même temps j'ai du mal à visualiser.

Son armure a été forgé dans un volcan pendant 1000 jours et une nuit.

"fut forgée"

FâFnir était roux, ses cheveux et sa barbe rousse

La répétition fait presque mal aux oreilles...

Il est jugé

Pourquoi tu passes au présent ?

Il est jugé belliqueux par les inconnus

Jugé par des inconnus ? Ca me paraît bizarre.

c’est un homme qui ne tue pas pour le plaisir. A son tour, il le fit.

"A son tour", par rapport à quoi ? Et il fit quoi ? J'oubliais... Encore et toujours des descriptions. Il faut arrêter...

Il maitrise la magie lunaire tel que le vent se baladant.

La magie lunaire, je ne sais pas ce que ça veut dire mais ça ne m'a pas l'air de coller des masses avec le vent.

Son habit était celui d’un roturier, ce qui n’est pas acceptable pour un roi.

Pour moi tu brises encore le quatrième mur. Comment ça se fait que le narrateur porte un jugement de valeur. Puis bon, là par exemple ça aurait été intéressant que ce soit un personnage qui le lui fasse remarquer. J'aurais dit Arthur mais vu que c'est son allié et qu'il a besoin de lui, l'insulter devant tout le monde, ce n'est pas très subtil. La femme du gars en question pourrait le lui faire remarquer par exemple.

en peau d’Ours

Pourquoi une majuscule à "ours" ?

Le plus étonnant, il ne portait pas de bottes ou autres.

Il est à pied nu ? Avec une chemise dégueu et un pantalon en peau d'ours ? Ce n'est pas un roi, c'est un clodo... Il faudrait aussi voir à respecter la logique et cohérence sinon on n'y croira pas non plus.

Arthur Pendragon s’exprima devant eux en disant

Pas besoin de préciser Pendragon, on se doute bien de quel Arthur tu parles. Et la tournure, encore compliquée pour rien.

Mes Chers alliés

"Cher Tonton"... Désolé

je vous ai convié ici pour un combat qui fera rage.

Mrbof...

La mauvaise nouvelle est que Myrddin ne peut pas nous aider à cause d’une raison qui nous est encore inconnue.

C'est un vieux gâteux qui fait peur aux enfants... pardon, qui fait peur à cinq chevaliers accomplis et surarmés.
Bon, à la limite je veux bien que d'un point de vue stratégique il leur cache la vérité mais il passe un peu pour un con quand même. Il aurait pu dire qu'il n'était pas dispo, ou terriblement blessé/malade, histoire de sauver les apparences. Ou alors tout simplement ne pas en parler.

Ensuite, morgane fit qu’elle avait 500 fées sous ses ordres.

"fit" ?

l’alliance a une force offensive de 1700 individus contre l’ennemi qui a environ 10 000 individus

Des individus de type ennemi qui ont décidé de ne pas respecter le code de la route sur la chaussée de la voie publique
Pourquoi il nous sort un terme comme ça ? Puis deux fois d'affilée histoire que ce soit un peu plus indigeste...

Nous sommes en infériorité numérique, notre seul espoir sont les dieux.

Ha ouais... Je serais l'un des alliés, je me casserais loin avec mon armée. Ca pue tellement la défaite.

Elle proposa

Elle ? Arthur est une femme ?

Camlaan, ceci est la seule brèche pour pénétrer à l’intérieur des terres proche du château.

Camelot c'est en plein milieu d'une plaine normalement...

Le roi hocha la tête rétorquant qu’il n’aurait trouvé mieux.

Je confirme : il avoue en moins de deux minutes à ses seuls alliés que le druide surpuissant est devenu une vieille merde inutile et que seul un miracle peut les sauver. Il est con comme un balai alors forcément dès qu'un type crie un peu fort il est d'accord avec lui. C'est Trump en fait

Pour remédier à l’absence de Myrddin, Morgane voulait faire venir Viviane, la dame du Lac. Malencontreusement, elle était actuellement en Grèce car elle est allée rendre visite à une amie Lamia.

Mais... "Heu je peux pas venir sauver votre royaume parce que je fais du jet ski à Mykonos puis j'irai cramer au soleil. Bisous".
Crédibilité, tout ça...

C’est une espèce qu’elle découverte, Viviane est devenue amie avec elles

De quoi tu parles ?

Les Lamias sont des créatures ou des monstres possédant un buste de femme et un corps de Serpent. Elle juge qu’elles sont capables de bonté

ENCORE une description ? A partir de maintenant je les skip toutes...

Bon, j'ai terminé le premier post.

Si je devais résumer, il y a énormément de choses à revoir. J'imagine que tu débutes donc c'est tout à fait normal mais plus vite tu auras conscience des (nombreux) problèmes plus vite tu t'amélioreras. Au niveau de la forme, tu dois faire attention à beaucoup de choses : la concordance des temps, les tournures de phrase qui sont souvent compliquées pour rien et qui mènent à des phrases qui n'ont aucun sens, les répétitions, l'orthographe, la structure du texte (tu fais souvent des phrases à rallonge et tu mets des virgules là où tu devrais terminer ta phrase), etc. Au niveau du fond, il y a aussi beaucoup de choses à revoir : la logique (les chevaliers qui fuient sans raison, le roi qui annonce à ses alliés que c'est mort, la mission qui se passe sans problème mais un mec panique, etc.), l'agencement des idées, les descriptions, les digressions inutiles, la personnalité des personnages.
Bref, accroche-toi, il faudra pas mal relire, reformuler et réécrire pour approcher un résultat acceptable.

T'as raison, je vais retravailler la partie avec Myrddin.
Aussi l'elfe est habillé comme ça parce que son peuple pauvre et lui aussi ( habite en écosse)