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Sujet : Les cent poèmes du vélociraptor, fragments

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La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - la révolution simienne est en marche !
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Placoteur Placoteur
MP
Niveau 9
03 octobre 2021 à 14:35:49

(5)
JOUR DU DIMANCHE

Travail et...
Poèmes d'été...
Toute l'année tend
L'enfance dans le rang
Pour moi fini

L'ambition est bien lente
Car je n'ai pas connu les professeurs de l'entente
Mais j'ai énormément compris

Sans les candeurs de l'économie
Sans les tyrans que l'amour trient,
que des justices crient, que la vérité nie

L'été est beau et l'hivers se passe au chaud
L'humeur se lève pour faire des poèmes montés aux yeux beaux

Quelques fois la voix...
Va jusqu'à la fin qui se noie
Dans mon ignorance et mon inconnu :
L'image est floue et crû

Mais je n'abandonne pas
Le rêve de mes pas
Et j'espère lever
Un jour un monde parfaitement travaillé

Un monde parfaitement travaillé
Que j'imagine être né
D'une solidarité longue et aimée
D'une solidarité longue et aimée

La réalité prend du rêve
Une brique dans l'édifice, l'élève
Elle nie la réalité
Cet agressif bélier
Qui dans la nature perce
La fragilité des espèces

L'avenir se masque alors
D'une religion du citoyen fort

Sans la pensée des règles
Qui va jusqu'à la simplicité du rêve de l'aigle
La Terre se dérègle

---

(8)
JACQUES BREL BLUES

Vie, mort, changement de décor
Brise de nuit, rosé d'or
L'espoir s'en est allé
Firmament gagné
Noir à-propos de l'enfer
Se mouvant hier

---

(10)
LE ROI, LA LOI

La bêtise est amèrement vôtre
Car je sais la raison qui est nôtre
L'impatience de la haine cruelle... crève
Et la vérité descend vers le grand soin du glaive
Je t'aime pourtant, vérité
Des dieux tu es aimée

Comment ne pas être un singe handicapé
Moi, muet de sagesse, je ne suis pas pressé
Pourquoi voir une frénésie
Dans ce monde grand et libre de ses ennuies
Je t'aime pourtant, vérité
Des demi-dieux tu es aimée

Quand soudain, l'apôtre vient te dire
Que la seule gloire est de l'Un, et de son fils martyre
Je ne le crois pas ! Je suis aimant et il y a une gloire à aimer !
Comme il y a un honneur à bien tomber, vieux ou guerrier !

L'épopée est immense ! Il ne reste que deux pas !
Enfin, il reste plus de dix-milles pas !

L'erreur génétique en moi est sans conséquence
Car la chair de l'amour est ma pénitence
L'erreur intellectuelle en moi est absente
Car sur la mer de mes sentiments la raison vente
Et la liberté est là, nue
Dans mes choix puissants et les chaînes
que je n'ai jamais eues

---

(21)
LA FABLE DE L'ARTISTE

Une pomme était tombée dans sa mousse...
Toute belle et rouge, tellement douce.
Sauf qu'un monstre la vit et s'en languit !
C'est entre ses dents qu'on vit la bouillie !
...
Puis le monstre acheva son bon dîner...
Dans ses simples merveil's ensommeillées...
...
N'enlevez pas à l'épeurant !
Le droit de se coucher en rêvant !
...
(Ou sinon !)
...
(Vous serez en haillons...)
(En haillons !)
...
Elle était belle et rouge et bien douce !
Celle qui fut en haillons dans la mousse !
Et un gentilhomme passant par là.
Pas si gentil, la viola...
...
Mais la fille avait un couteau !
Et c'est le gentilhomme qui fut en lambeau !
Sauf que ce dernier était le roi !
Et que c'est le monstre que l'on trouva !
On le tua. Alors, la fille se sentit coupable...
Elle devint artiste et en fit une fable !
...
Une fable !
...
Une fable !

---

(27)
J'ESPÈRE

Je passais le temps
En vous incitant
À attraper un amour
D'un monde plein d'humour
D'une compréhension profonde
« Nous » que je tréfonde
Pour toujours par des mots
Pour des faits optimaux
Que j'abandonne
Entre vos mains qui bourdonnent

---

(29)
PARDON MON SOMMEIL

À vous, mes alter ego ignorés d'un tout
Cherchant à saisir le sens de ces manitous
Qui discutent des vies d'autrui erronées
Selon eux, puisqu'ils disent et disent les venger
À vous, mes alter ego, amis par les mots
Je vous dis merci d'être cachés par le faux
Pour pouvoir comprendre avec votre naturel
Dans cet océan d'esprits attentionnels
Mais vous faites erreur, cependant, si vous croyez
Que tous ces manitous souffrent d'un mal monté
Qu'aucun n'est vraiment sensible à l'existence
Que nous ne sommes qu'un secret d'abstinence
Le monde se meurt, c'est vrai. Nous n'agissons pas
Avec suffisance aux colères que l'on drapa
Le monde se meurt, c'est vrai. Nous n'agissons pas
Avec suffisance au temps que l'on attrapa
Le monde se meurt, c'est vrai. Nous n'agissons pas
Avec suffisance à l'amour qui n'est qu'appât

---

(32)
DESTIN

Sort qui annule les agréments du destin
Du travail pour saisir la valeur des scrutins
Quand te dissiperas-tu : changements ou mort ?
Nul ne le sait et je n'ai que ma vie qui dort
Pourquoi sauvegarder les plaisirs sensibles
Si c'est pour mourir d'un silence pénible

---

(35)
LES BAVARDES

Le temps est un sérieux que j'ai abandonné
Le temps est un requis que j'ai déserté
Il est une normalité que j'ai quittée
Une prétention que j'ai théâtralisé
À n'en plus finir. Le temps, je l'ai mise à terre
Je l'ai soumis, ce méchant temps, à mon équerre
Maintenant, il ne discute plus, elles passèrent
Et mes amours, devant personnage, bavèrent

---

(36)
LES LOIS

Je suis né sur une Terre humaine en sanglot
Malmenée par des tonnes de fous mégalo's
Nous sommes dieux ne sachant plus punir nos droits
Car la vie tombe et qu'elle est au-dessus des lois

---

(64)
AGISSONS !

Je délaisse le vent et mon sourire
Je suis Satan à qui le sens est un rire
Je paie votre folie en abandonnant
Je vous maudis de mon trop grand élan
Qu'il m'a fallut pour vous voler
Votre passivité mal avisée
Et vous sauver de votre stupide traîtrise
Cette mort qui s'est vue devenir votre maîtrise
Alors que vous ne pensiez pas que cela pourrait...
Lâchement, faire un arrêt...
À cause des limites de la vie
Vous ne savez plus ce qui vous est ami
Et vous préférez mourir généreusement
Qu'agir bestialement
Je suis le génie de l'altruisme
Qui combat votre stupidité monolinguisme
Pour vous sauver vous et la nature
Je suis prêt à endurer les pires tortures
Jusqu'à ce que vous compreniez
Que votre place, vous ne pouvez la nier
Et qu'il vous faut construire un monde où
L'humanisme total et le respect de la nature domine tout
Sinon vous mourrez
D'une planète que vous détruirez
Et tout ce que vous aimez disparaîtra
Et seul un philosophe s'épanouira
Solitaire pour toujours
À cause de tous ces mauvais tours
Dont je ne suis pas l'unique responsable
Autour de ma ronde table
Qui accueille
Qui recueille
Qui aime
Qui germe
Qui sait
Qui fait
Ma table ronde
Elle est juste et féconde
Ce n'est pas uniquement de ma faute
Si le monde a décidé que je n'étais pas le bon hôte
Je suis ce que je suis, je n'y peux rien
J'ai des défauts, mais je cherche le bien
Je suis fort et j'agis !
Peu de gens peuvent en dire autant, peu de génies !
Nous sommes tous humains !
Mais combien de nous contrôlons nos mains ?
Je vous le demande !
Ce n'est pas moi qui quémande !
Ce n'est pas moi qui me trompe !
Pourquoi voulez-vous que je corrompe ?
Je n'en ai pas envie ! Je veux être juste !
L'humain n'est pas assez robuste !
Pour me contrer éternellement...
Moi qui ne ment...
J'aime la vie !
Vous aussi !
Alors agissons !

---

(70)
LA DÉSASTRE

Oh grandes folies des bourses non-consolées !
À cause de vous les brutes savent chômer !
La vie est une misère au creux des gendarmes...
Où la mort attend ceux qui d'esprits n'ont pas d'armes.
À jouer l'autruche le monde va abattre ;
Scintillera la mort des opiniâtres,
Car la vie ne peut plus endurer notre mue :
Grande folie des bourses polies jusqu'aux nus !

---

(72)
À MON PETIT FRÈRE

Éh toi ! Oui toi ! Que penses-tu faire là ?
N'es-tu donc au courant qu'en au-delà,
On punit de mort les âmes franches !
Et on omet cet amour des hanches ?
Range-moi cet instrument et contrôle
Tes ardeurs ! La conscience n'est ton rôle !
Et si par malheur tu dénies Dieu !
Satan le vengera de son pieu !
Mouahahahaha !

---

(84)
LA SOLITUDE DES GÉNIES

La métaphore oppresse un droit
De diriger par des abois
De ces chiens qui pissent sur tout
Marquant la vie de peurs surtout

Vivre sérieusement, c'est dur!
Il faut être un génie bien mûr!
Ce n'est pas un jeu de raison
C'est le combat des vrais passions

C'est une passion du vivant
Vieille comme l'enfance ancrant
Dans les fous, les idées pures
Plus vraies que les sans natures

Vivre avec soi, c'est important!
Et découvrir le vrai, c'est tant!
Ne sous-estimez pas l'espoir
Qui rend chaleureux le vouloir

N'empêchez pas l'éducation
De nos petites attentions
Liberté créée par l'amour
Écrase les discours trop lourds

---

(94)
LA COLÈRE DU JUSTE

Quelle perte de temps quand nous voulons finir...
Pour endormir le vrai dans la haine, mourir!
Placer des lois fortes qui ne savent cadrer!
Des lâchetés à la virilité prouvée!

Quelle perte de temps quand les dieux sont mis...
Et lorsque nous voulons exiler nos folies!
Ne pas être guidés par notre bonne foi!
Et que nous nous laissons détruire toutes joies!

Nous perdons notre temps à obéir aux pleurs!
À vouloir bâtir la maîtrise des douleurs!
Rendre esclave les morts par peur des vrais bons jours!
Empêcher l'autre de parcourir tout l'amour!

Mais sagement, le temps est moins despotique...
Il s'arme et attaque d'un amour logique...
Les fortes volontés se soumettent aux grands jours!
Moins de fous, moins de folles et sagement, l'amour!

Ne perdons plus de temps à chasser le mourant...
Et pour notre plaisir, vivons honnêtement!
Excluons les faux rois et leurs minables chants!
La mort va arriver ; libérons nos enfants!

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