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Sujet : Arrêt sur Images 3.0

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Vanillahz Vanillahz
MP
Niveau 10
22 septembre 2017 à 23:04:28

C'est bizarre, mais cette fois, ce n'est pas d'un manque d'inspiration que je souffre, mais d'un excès d'inspiration. Dès que j'écris, ça part dans tous les sens et il y a beaucoup trop d'éléments que je cherche à incorporer. Ca fait une soupe trop lourde, presque inbuvable.

[[sticker:p/1jne]]
ElIiotRoger ElIiotRoger
MP
Niveau 7
22 septembre 2017 à 23:33:15

Eh ben, reprise sur les chapeaux de roue !

c'était une bonne idée de refaire un topic.

Pour cette fois je ne participerai pas, je suis sur trop de truc en même temps, mais je ne manquerai pas de vous lire et de commenter tout ça [[sticker:p/1lm9]]

Scarytaupinet Scarytaupinet
MP
Niveau 10
22 septembre 2017 à 23:52:08

Ouais pareil, je skippe pour cette fois !

Pseudo supprimé
Niveau 10
23 septembre 2017 à 18:12:11

On pourrait prolonger le délai jusqu'à lundi midi ? J'ai clairement une idée et elle est bien en route, mais j'aurai absolument zéro temps avant lundi matin pour la finir. [[sticker:p/1jnf]]

Mandoulis Mandoulis
MP
Niveau 25
23 septembre 2017 à 20:19:45

Le 23 septembre 2017 à 18:12:11 CaramelMorbide a écrit :
On pourrait prolonger le délai jusqu'à lundi midi ? J'ai clairement une idée et elle est bien en route, mais j'aurai absolument zéro temps avant lundi matin pour la finir. [[sticker:p/1jnf]]

Non. C'est dimanche soir au coucher du soleil désolé.

Pseudo supprimé
Niveau 10
24 septembre 2017 à 08:20:02

Bon ben je ferai un topic hors -asi

wahl-icht wahl-icht
MP
Niveau 10
24 septembre 2017 à 10:10:52

Le 18 septembre 2017 à 18:30:03 wahl-icht a écrit :

Bon je me lance

---------------------

Le ciel. Les étoiles. Tout n'a pas changé. Sauf moi. Je suis si vieille à présent! Que s'est-il passé dans ma vie? Pas mal de choses je peux vous en assurer. Pour vous situer le contexte je vis dans ce que l'on appelle un "univers". à vrai dire ce terme est faux, il existe une multitude d'univers c'est juste que les nombreux humains que j'ai connu appelaient ça un "univers". Ma foi qu'ils restent donc ignorants ce n'est pas mon problème. Après ce petit aparté je me dois de continuer ma présentation.Donc j'habite dans un univers dans une galaxie qu'on appelle la voie lactel ou chocolatée, je ne sais plus, quoi qu'il en soit c'est un nom avec du lait dedans. Il existe dans tout les univers un nombre incalculable de galaxies même moi malgré ma sagesse n'en connais qu'à peine 100 000 000 000! Bref dans la galaxie cité plus haut je suis dans ce que les humains appellent: le système solaire. Le système solaire est un ensemble de 9 planètes toutes différentes les unes des autres. "Pluton" a été rajouté il y a quelques centaines d'années par les humains suite à diverses raisons.
Mais je m'égare. Donc voila vous connaissez ma localité. Maintenant parlons un peu plus de moi. Je suis vieille. J'ai vécu de nombreuses choses durant ma vie. J'ai vu énormément de guerres, j'ai subi les ravages de la pollution. à chaque fois que la pollution me touchais, j'éternuais ou je tremblais. à cause de la folie des hommes je pleurai de nombreux jours mais l'être humain ne comprenait pas mes signes. Oh, il y avait bien quelques humains qui les comprenaient mais quel impact avaient leurs paroles face aux grands de ce monde?
Aujourd'hui j'en suis sûre à présent. Il est temps pour moi de mourir et de me laisser me désagréger dans l'espace. Les humains sont nombreux mais quand je mourrai ils mourront avec moi. Je suis vieille de plus de 5 milliards d'années, les humains m'ont poussée à bout. Ce qu'ils appellent l'apocalypse va bien se dérouler. Je meurs en laissant exploser mon cœur. Ce cœur qui explose les "couches terrestres". Mon noyau. Le noyau de la vie devient celui de la mort libératrice. Je vais mourir en exterminant cette vermine humaine.
Si jamais il existe un paradis pour les planètes, moi la Terre, demande à y aller pour avoir supporter la folie des hommes et avoir su me battre toute ma vie.
Je m'en vais à présent me désagrégeant parmi les milliers d'étoiles qui composent les univers.
Adieu univers cruel.

----------------------------------------

voila voila voila

fautes corrigés + espérons que vous apprécierez

si jamais il y a des conseils merci de me les filer! :-)

wahl-icht

-Say- -Say-
MP
Niveau 10
24 septembre 2017 à 12:16:54

Allez, encore 4 textes et on pète le record :noel:

Chimene_Azalee Chimene_Azalee
MP
Niveau 18
24 septembre 2017 à 12:28:54

Ca va être chaud je pense :hap:

nexusislife nexusislife
MP
Niveau 8
24 septembre 2017 à 13:05:31

Salut à tous,
c'est le premier texte que je partage de ma vie, j'espère que ça vous plaira.

Le magasin des étoiles

Bienvenue à l’astronome lab que puis-je faire pour vous ?
C’est avec cette phrase que Bastien accueillait chacun des clients franchissant la porte de sa boutique. On y venait pour ces précieux conseils et son expertise sur les télescopes, jumelles et autres manuels d’astronomie.
L’astronome lab était considéré comme le principal magasin d’astronomie du pays et de ce fait il était toujours bondé. Bastien mettait un point d’honneur à aiguiller personnellement chaque client, il pensait que c’était ce qui faisait la renommé de sa boutique et il avait raison. Tout le monde dans le milieu connaissait Bastien et son astronome lab et cela le rendait particulièrement fier.
La journée du 11 avril fut excellente pour lui, son magasin ne désemplissait pas et des astronomes reconnus étaient même venus échanger avec lui sur les avancées des derniers télescopes. Bastien rentrait chez lui heureux. Il se fit réchauffer un plat précuisiné au microonde, se mit sur son canapé devant la télé, puis quand il se fit tard, il regarda une dernière fois les étoiles et alla se coucher. Toutes les journées se ressemblaient pour Bastien et il s’en moquait, cette routine lui convenait parfaitement et, tant que son magasin fonctionnait il était satisfait.

Cependant, il dormit très mal cette nuit la et en se réveillant il sentit qu’il n’était pas reposé. Il se rendit à son magasin, comme chaque matin, il mit en ordre ses vitrines, et ouvrit les portes. Mais alors qu’habituellement c’était l’effervescence dès les premières minutes, personnes ne vint. Les minutes défilèrent et toujours personnes n’avaient franchis les portes de son magasin. Il y avait quelque chose d’anormal. Bastien décida alors de regarder les informations sur internet, il ne le faisait jamais habituellement ni voyant pas d’intérêt. Il alluma son ordinateur, se connecta sur un site d’information et quand la page se chargea il fut saisi d’effroi. Il cru d’abord à un canular mais tout les sites disaient la même chose : les étoiles avaient disparu. Cette nuit, partout à travers le monde, aucunes étoiles ni planètes n’avaient été visibles, seulement le vide intersidérale. Les experts étaient désemparés mais pensaient que ce phénomène serait durable voir définitif.

Une fois le choc de la nouvelle passé, Bastien se ressaisit : on allait forcément avoir besoin de lui, le grand connaisseur en astronomie, mais la journée passa et personne n’appela, après tout il n’était qu’un petit vendeur de boutique se dit il tristement. Quelques clients passèrent tout de même à l’astronome lab mais Bastien n’avait pas le cœur à les conseiller et il les expédia rapidement. Il ferma plus tôt ce jour là et rentra chez lui le cœur lourd. La nuit tomba et ne dévoila rien d’autre qu’un ciel noir, à l’infini.
Les nuits passèrent et les étoiles ne réapparaissaient toujours pas. Bastien continuait à se rendre quotidiennement à son commerce qui restait tristement vide. Après quelques semaine, les gens se désinteressèrent complètement de l’astronomie, si bien que plus personnes du tout ne vint à l’astronome lab. Bastien était désespéré, sa boutique était sa seul raison de vivre, il n’avait pas d’amis ni de compagne, son échoppe était pour lui la seule chose qui comptait.

Au bout de quelques mois, le cœur brisé, il se décida à fermer son magasin. Il emballa tout les articles, et au moment de refermer définitivement la porte , il entendit une petite voix : « Bonjour ». Bastien se retourna et reconnu immédiatement le jeune garçon qui avait l’habitude de venir dans sa boutique d’astronomie.
« - Salut Thomas, comment tu vas ? Ca faisait longtemps que je ne t’avais pas vu
- C’est ma maman qui veut plus que je vienne, elle dit que l’astronomie ça sert plus à rien
- Elle a raison, à quoi je pourrais encore servir ? les étoiles ont disparues
- Elles ont pas disparu ! s’écria le garçon, puis, visiblement gêné de s’être emporté, il reprit d’une voix plus douce : c’est juste que les gens ne savent pas regarder.
Bastien avait peur d’avoir vexé l’enfant et l’invita à rentrer. Il le laissa déballer toute les affaires qu’il avait soigneusement empacté. Il permit au garçon de jouer dans sa boutique tout l’après midi, et quand sa mère vint le chercher, il était si heureux, que Bastien décida de repousser la fermeture au lendemain.

Il se rendit donc le lendemain à l’astronome lab résolu à passer seul sa dernière journée dans sa boutique. Mais à sa plus grande surprise, il reçut la visite de plusieurs clients qui passaient pour discuter quelques heures avec Bastien, des gens que le ciel noir avait rendu tristes et qui voulaient entendre des histoires sur le ciel d’avant. Les jours passèrent et les clients revenaient en plus grand nombre chaque jour à l’astronome lab, non pas pour acheter des articles mais par nostalgie du temps où les étoiles brillaient la nuit. Car, alerter par la rumeur de fermeture imminente du magasin, ils se remémorèrent les moments passés dans cette curieuse boutique, quand, écoutant les histoires incroyables de Bastien, ils se laissèrent emporter par sa passion. En effet, il les avait touché, tous ceux qui étaient passés dans cette boutique, et ils en avaient gardé un souvenir merveilleux tant l’énergie déployée par Bastien pour parler du ciel et des étoiles était renversante. Lui qui pensait n’être qu’un simple vendeur conseillant des clients, il ne se rendit pas compte qu’il permit à toutes ces personnes de s’évader le temps de quelques heures.
Après quelques temps, la boutique retrouvait de sa superbe, il décida alors de modifier les lieux pour faciliter les rencontres et les échanges. Bastien était plus rayonnant que jamais, et on l’écoutait pendant des heures parler de constellations, de galaxies lointaines et de planètes inconnues.

Le temps passa et cela faisait déjà bien des années que les étoiles avaient disparues mais Bastien n’avait jamais été aussi heureux de se rendre à l’astronome lab qui était devenu le lieu de rendez vous des rêveurs qui se laissaient bercer par les histoires qu’on y racontait.

AlexGnar4j5 AlexGnar4j5
MP
Niveau 5
24 septembre 2017 à 15:01:23

Lutte étoilée :

L’herbe sauvage de la steppe dansait sous le souffle printanier, caressant mes chevilles nues. Les rayons du soleil levant réchauffaient ma peau brunie par des semaines de marche. Étirant mes muscles endoloris à la suite d’une posture de yoga, je posais mon regard sur l’objet de notre quête. Au-delà d’un océan de verdure se dressait fièrement le mont Burkhan Khaldum, drapé d’une délicieuse couleur verte, seulement taché en son sommet par quelques neiges éternelles.

Je respirais à plein poumon cet air pur, profitant au maximum de ce moment magique.

Des doigts fins vinrent caresser mes épaules, et des cheveux d’or virevoltèrent le long de mon cou. Un frisson de bonheur parcourut mon échine, tandis qu’un large sourire éclaira mon visage.

— Nous y sommes, lui chuchoté-je en la regardant.

— Oui, murmura-t-elle. Enfin.

Ses yeux brillaient d’excitation. Cette même lueur que j’avais remarquée dans son regard lorsqu’elle m’avait avoué, pour la première fois, son projet. Je l’avais alors traité de folle, ne concevant pas son entêtement. Pourquoi s’exiler en Mongolie alors que tout était prêt chez elle ? Ses proches désiraient être auprès d’elle durant cette épreuve. J’avais tenté tant de fois de la faire changer d’avis, l’appelant à la raison. Mais aucune parole ne la détournait, même un instant. Et puis j’avais compris. Pour moi aussi le verdict avait été sans appel : je mourrais dans trois mois. Foudroyant qu’ils disaient. Incurable.

L’horreur de la situation m’avait poussé dans une détresse absolue, la peur d’un avenir si sombre obscurcissait mes moindres pensées, et les semaines imminentes n’offraient qu’agonie. Mes amis, ma famille, tous étaient venus à mon chevet, me cajolant, se voulant rassurant sur un avenir pourtant déjà tracé, dans lequel je n’avais nulle emprise. Et puis, elle était revenue, me racontant une fois de plus son projet. Ce coup-ci, il m’avait apparu si sensé : briser l’engrenage de la maladie, combattre le destin et ne pas abandonner.

On avait commencé par choisir la date, ni trop proche afin d’avoir le temps d’embrasser nos proches, ni trop loin pour pouvoir encore voyager. L’emplacement n’avait pas demandé de longues réflexions : il était déjà tout tracé dans son esprit. Passionnée d’histoire, et plus particulièrement de Genghis Khan, il lui importait de se rendre sur la montagne sacrée. Pour moi qui adorais les étoiles, l’idée de m’en rapprocher un peu plus m’avait tout de suite plu.

Les adieux n’avaient pas été aisés. Il avait fallu expliquer à nos familles nos motivations, démontrer que c’était un choix sensé et non de désespoir, et surtout leur expliquer qu’ils ne pourraient pas nous accompagner. Des larmes salées, amères, avaient coulé, des cris de désespoir avaient déchiré l’air et affaibli nos volontés, et tant de mains avaient accroché nos vêtements pour nous retenir. Mais nous étions partis.

Il faisait nuit quand nous atteignîmes l’ultime objectif de notre quête : le bas de la montagne. Désireux de montrer notre humilité, c’est à ses pieds que nous souhaitions nous reposer.

On avait fait l’amour. Une dernière fois, mélangeant nos corps et nos âmes dans un ultime ballet, seulement visible par des milliers d’étoiles. Plus tard, allongé à côté d’elle, j’écoutais son cœur battre, et calait mon souffle sur le sien dans une harmonie parfaite.

— Raconte-moi encore la légende d’Altair et Vega, me dit-elle soudain.

Dans nos moments de doute, quand le désespoir et les mauvais sentiments devenaient trop forts, on se raccrochait à cette légende. Je fixais alors les deux points les plus brillants du ciel et d’une voix tendre récitais :

— Nara, empereur du ciel, voyait d’un mauvais œil la liaison de son épouse Vega avec un jeune berger, du nom d’Altaïr, rencontré lors d’une descente sur terre. La déesse voyait en lui toutes les qualités qu’un homme devait réunir : l’honnêteté, la bravoure et la loyauté. Elle répétait souvent que c’était sur cette image qu’elle avait créé les humains. Pour se venger de cet amour qu’il jalousait, Nara transforma les deux amants en astres. Chaque nuit, Vega reprenait la même place, tandis qu’Altaïr était condamné à errer autour d’elle, sans jamais pouvoir la toucher. Le chagrin du berger est tel qu’il s’illumine, chaque nuit, un peu moins.

Nous nous étions tous deux abîmés dans la contemplation de la voûte céleste, seulement bercé par le silence.

Puis, l’heure était venue. De son sac elle avait sorti un paquet soigneusement emballé, et tiré le ruban qui le maintenait fermé. Du tissu protecteur émergea deux lames étincelantes, aux pommeaux sculptés à l’effigie de cupidon. Et c’est, placé sous le signe de l’amour éternel, que dans un grand élan de volonté, nous montâmes rejoindre les étoiles.

Pseudo supprimé
Niveau 10
24 septembre 2017 à 17:36:25

Le chien, l'homme et les étoiles

I.

Quelque part dans l'infini, parmi les globes de feu et les globes de glace, la Terre tourne... Péniblement, machinalement, avec la mollesse d'un mineur épuisé : Elle est de corvée. Engouffrée dans le noir sidéral, elle creuse dans l'absurdité.
Quelque part sur la Terre, dans une ruelle plus sombre que la peste ; dans une ruelle où le silence est mêlé à l'air ; dans une ruelle ou l'air se respire avec l'intensité lourde héritière des tragédies et fille de l'angoisse, il avance. Semblable à une carcasse poussée par le souffle tranchant du vent gelé, il avance, traînant ses pâtes décousues comme une poupée déchirée. La ruelle forme une ligne bien droite, alors il avance. Jusqu'au bout des ténèbres, il avancera. Jusqu'à ce qu'il en bave des litres. Jusqu'à ce moment rêvé dans lequel sa bave recouvrira la ruelle, le pays, le monde, le temps, l'univers, et Dieu lui même. Il avance. Le sans nom. Le chien errant. Et malgré la soif et le froid il continuera à baver.
Il a autant de cicatrices que de poils, aussi vrai que tous les reliefs de sa souffrance s'édifient dans l'éternel halètement qui est le sien. Frigorifié jusqu'aux gencives, la peau statufiée subissant la douleur aiguë du froid, il continue tout de même sa marche... Le pathétique chien est moche. Toutes ses dents sont détruites, sauf ses deux crocs.  Bien qu'en piteux état, ils restent là, étonnamment, tels des grattes ciels dans une ville fantôme. Et comme une œuvre d'art, le duo de canines semble souhaiter dire quelque chose - une imposante rage voulant s'exprimer à tout prix. Pas tant par leur singularité de canines servant à déchiqueter la viande, mais pas leur témérité à subsister dans cette gueule déformée. Par le simple fait de continuer à exister, ils expriment autant de colère que le plus malheureux des peintres. Ses yeux portent aussi cette flamme de colère en eux. Cependant, ils possèdent également ce regard profondément triste et larmoyant qui fait la particularité de tous les chien errants. Une couleur rougeâtre encercle les deux pupilles qui blanchissent au fil du temps ; l’œil droit est largement enflé et seule la moitié de ce dernier est visible, l'autre moitié étant cachée par la grosse paupière. Un vétérinaire aurait sûrement diagnostiqué toute une liste de maladies comme la conjonctivite, la sclérite, la blépharite, ou une autre anomalie oculaire dont même un spécialiste ignorerait jusque le nom. Envahi de maladie, le museau l'est probablement aussi : amoché, effrité et sec sont des mots qui le définissent, au point que du sang coagulé irrite le petit museau depuis bien des jours. Quand aux oreilles, elles auraient pu être les uniques parties valorisantes du pauvre chien si l'une d'elles n'avait pas été tailladée.
En somme, ce n'est qu'un chien errant blessé comme les autres. Mais il a cette caractéristique si particulière, celle de toujours avancer peu importe la tristesse de sa condition, celle de toujours sembler chercher on-ne-sait-quoi, et surtout il a ce don et cette force irréelle d'aboyer vers la Lune à chaque nuit tel le plus féroce des loups...

II.

J'ai dormi le jour – je déteste le jour. Je lui préfère la nuit - il est enfin Minuit. Le silence gouverne les êtres. L'atroce lumière du jour n'irrite plus mon désert de solitude je peux enfin m'y aventurer moi le vagabond de la vie. Tout à l'heure j'ai décidé que j'allais me balader à minuit. Je ne me balade pas souvent, je sors rarement de chez moi, juste pour le travail et les courses mais je ne travaille plus depuis des jours j'ai démissionné. On dirait qu'il fait froid dehors alors j'enfile ma veste mes gants et mon écharpe. Le goût âcre du tabac pollue encore ma bouche. J'ouvre ma porte afin d'entamer mon rendez vous avec la rue ; la nuit n'est pas aussi noire que je l'espérais, le ciel est tout plein d'étoiles cette nuit. Je trouve tout de même que c'est assez beau. Je marche en me disant qu'il est étonnant que je trouve quelque chose de beau, ça faisait longtemps. Combien de fois ai-je désespéré devant une œuvre d'art découvrant qu'elle ne me faisait rien ; combien de temps ai-je gaspillé à chercher ce qui me reste de beauté dans un livre sans jamais rien trouver ? C'est vraiment éprouvant ce sentiment, ce sentiment d'être vide, de ne pas être à la hauteur de la félicité - de n'être rien. Les étoiles me le rappellent, je ne suis rien, nous ne sommes rien. Les étoiles on les voit toutes petites toutes fragiles elles ont du mal à se démarquer dans la noirceur mais ce n'est que le reflet de la nôtre, de fragilité. La douleur dans mes oreilles causée par le froid appuie cette assertion et j'aimerais avoir un bonnet. J'aimerais avoir un bonnet autant que j’aimerais y aller, vers les étoiles, vers les limites de l'Univers si il y en a, sur d'autres planètes – peut-être que j'y rencontrerais d'autres âmes perdues. En fait c'est vertigineux, même angoissant mais je suis angoissé de nature. Cette angoisse est-elle la cause ou la conséquence de mon athéisme ? Pourquoi Dieu aurait-il façonné un Univers aussi immense si ce n'est pour nous infliger ce vertige à nous, pauvres humains privés d'infini – mais alors pourquoi est-il si beau ce ciel étoilé ? En groupe, les frêles scintillements des étoiles - petits halos égarés - s'unifient pour modeler une cascade de lumière argentée qui tendrement s'écoule sur la terre aride de notre monde. Ce n'est pas l'eau mais le sang frais de l'empyrée qui dégouline des gouttières en cette nuit givrante. Les vitres en reflétant les surnaturelles lueurs étoilées ressemblent à des portails menant vers d'autres dimensions, d'autres mondes où peut-être règne la paix plutôt que ce silence assassin... Cette façon religieuse qu'ont les étoiles de se donner à nous, créatures hérétiques, m'émeut profondément autant qu'elle m'est incompréhensible. Je suis toujours angoissé. Cet insolite double sentiment d'angoisse et de béatitude contemplative est un maelstrom qui m’absorbe vers une amère nostalgie. Cette nostalgie que je redoute ; ô Dieu sauvez moi, je replonge dans les abysses de ma mémoire ...! C'est ainsi que je repense encore à cette nuit. Tu étais belle, nous étions sur la plage et tu portais la mer comme une robe. Ce jour là, nos âmes solitaires fusionnaient avec le soleil, nous formions une harmonieuse trinité. La température de l'eau était suffisamment agréable pour que nous y restâmes des heures. Le clapotis de la mer rythmait nos éclats de rire ; le goût du sel ne les entravait pas. Ta chair était pure et nue comme le ciel bleu. Pour la première fois tu n'avais pas le regard abattu, pour la première fois tu avais l'instinct énergique, toi la grande malade, toi l'habituée des hôpitaux. C'était pareil pour moi. Avant ce jour, jamais je n'avais été heureux. Jamais plus je ne l'ai été.. Le soleil commençait à se coucher. Le paysage marin flamboyait ; l'astre solaire avait décoré la mer de reflets rouges et oranges. Le sable était sombre et ardent à la fois, sa présence et son allure de poussière féerique enchantait l'atmosphère. Ton angélique visage était en accord avec la nature : crépusculaire et érubescent – c'est à ce moment que tu es tombé. Dos au soleil. Auréolée. Cri. Fracas de l'eau. Cacophonie. Crise cardiaque. Et après plus rien. Une nuit sans étoiles précéda le coucher de soleil.
Depuis j'erre. Maintenant il est trois heures du matin, cela fait déjà trop longtemps que je suis assis sur un banc à regarder les étoiles, me perdant dans leurs rayons et dans d'autres souvenirs douloureux. La cigarette réchauffe trop légèrement mon corps. Moi, je crèverais bien ici. En compagnie des étoiles et de la Lune. Pas si seul finalement. J'en enlève même mon écharpe. Mes gants aussi, pareillement pour mes chaussures et mon pull. Déterminé à tout enlever. Mais un chien me surpris avant. Il gambade laborieusement ce chien ; en fait, je crois bien qu'il est en train d'agoniser. Je prend les vêtements précédemment ôtés et y enroule le chien dedans. Il semble comblé. Moi, je n'ai plus le temps d'être triste, je dois sauver ce pauvre chien.
« Je te ramène chez moi, que je lui dis. Étoile, voici ton nouveau nom. »

Message édité le 24 septembre 2017 à 17:39:12 par
Pseudo supprimé
Niveau 10
24 septembre 2017 à 17:37:20

je m'y prendrais plus tôt la prochaine fois https://image.noelshack.com/fichiers/2017/14/1491484186-risitasueur.png

wahl-icht wahl-icht
MP
Niveau 10
24 septembre 2017 à 18:36:43

Le 24 septembre 2017 à 17:37:20 MaldHorreur a écrit :
je m'y prendrais plus tôt la prochaine fois https://image.noelshack.com/fichiers/2017/14/1491484186-risitasueur.png

merci khey https://image.noelshack.com/fichiers/2017/38/5/1506112212-purificationdepression.jpg

TheSniderMcWood TheSniderMcWood
MP
Niveau 10
24 septembre 2017 à 18:48:02

Flemme de faire la nouvelle que j'étais censé faire, voici une mini-parodie du khey Ben Solo connu sous le pseudo de Kylo Ren [[sticker:p/1lm9]]

xXx_StaRKilleR137_xXx

Ben était enfermé dans sa chambre, en boule sous sa couette. "Pourquoi je suis pas comme toi, papy !?", pleurait-il, recroquevillé sur lui-même.

Son grand-père était son modèle, son idole. Depuis que Luke, son oncle, lui en avait parlé au détour d'une conversation, rien ne le fascinait plus que Dark Vador. Ben se leva, essuyant ses larmes, et s'approcha du casque de son aîné. "Un jour, je serai comme toi." dit-il nerveusement, comme s'il essayait de paraître confiant. Soudain, il lui sembla entendre un rire lointain, un rire qui semblait à la fois s'adresser à lui tout en étant désintéressé, car en vérité, personne, pas même un rire, ne s'intéressait au jeune homme au sombre passé. Il passa la tête dans l'encadrement de la porte, et, dans le couloir, il vit Armitage Hux, le général de la base, ricanant avec un commandant de bord. Ben saisit son masque accroché à sa porte, l'enfila et s'avança vers les deux hommes. Il poussa le général, mais la force de son corps frêle fit à peine flancher l'agressé.

- Pourquoi tu ris, tu te moques de moi, c'est ça !? s'écria Kylo Ren, presque en larmes. Papa avait raison, j'aurai pas dû te faire confiance !

- Mais, non, je me moque pas de toi, Ben ! rétorqua Hux, partagé entre malaise et peur.

- Je m'appelle pas Ben ! grogna l'adolescent. Je m'appelle Kylo Ren ! On... on va voir ce que... si tu vas encore rigoler après que j'aurai... tu vas voir ce que tu vas voir !

À ces mots, Ben s'élança le long du couloir à longues enjambées, retenant ses sanglots. Il entra avec vacarme dans la salle de contrôle, précédé d'Armitage, qui l'avait suivi en toute hâte. Kylo saisit l'un des employés par le col et le menaça avec son sabre laser.

- Tourne le rayon vers l'étoile, toi ! ragea-t-il.

- Arrête, Kylo Ren, tu peux pas détruire l'étoile ! s'écria Hux.

- Ah ouais, et pourquoi !? lança l'adolescent. Elle s'appelle Starkiller, la base, donc on peut la détruire ! ironisa-t-il.

- Tu vas tous nous tuer, si tu fais ça !

- Et alors ! De toute façon, personne m'aime dans la galaxie, et personne vous aime non plus ! C'est pas grave si on meurt, ça changera rien !

La base se mit alors à tourner lentement en direction de l'étoile.

- Arrête, Ben ! cria le général en s'approchant du chevalier.

- Je m'appelle pas Ben ! sanglota-t-il avant de trancher la gorge de son otage.

Armitage Hux accourut. Kylo pointa son sabre vers lui, puis, dans un moment de colère intense, et ne voulant pas tuer son seul ami dans la galaxie, détruisit le tableau de bord derrière lui, avant de s'écrouler de fatigue par terre, lâchant son arme. Le général s'approcha de lui pour le câliner affectueusement, comme le ferait un grand frère aimant, et l'adolescent éclata en sanglot contre son épaule. "Pardon, pardon !", répétait ce dernier. "Je voulais pas, je... Moi, je veux juste être comme papy ! Il aurait été fier de moi !". Hux le serra un peu plus fort et lui ébouriffa les cheveux pour le réconforter.

- Je sais, mais je ne crois pas qu'il aimerait que tu meurs en essayant.

- Il s'en fout comme tout le monde, personne m'aime, je le sais ! pleura Ben.

- C'est pas vrai ! Tes parents t'aiment, eux !

- N'importe quoi, ils me détestent ! Papa veut pas que j'aille à Mos Eisley, c'est bon quoi, j'ai 16 ans, je suis plus un gosse, je fais ce que je veux ! Et Maman voulait pas que je m'habille en noir et que mon sabre soit rouge parce que ça lui rappelle son père, mais je m'en fout ! Je l'aime bien, moi, son père, et il était sombre et mystérieux comme moi, en plus ! Je suis sûr qu'il murmurait des choses intrigantes à ses stormtroopers, genre "okamari no suzoki", j'en suis sûr !

- Non, Ben, arrête, tu te fais du mal. Tu devrais arrêter de traîner avec des gens bizarres, ça ne te réussis pas.

Soudain, l'alarme de la base sonna.

- Monsieur, dit un soldat à Kylo Ren, des intrus ont infiltré Starkiller !

Kylo Ren fut remit sur pieds par le général, s'approcha des caméras et tressaillit.

- Putain, c'est Papa, on peut jamais être tranquille ! Papa, dit-il au microphone, dégage, c'est ma base ici !

- Mon fils, répondit Han à travers une des caméras, je te retrouve enfin !

- Arrête de me harceler, sanglota Ben, dégage je t'ai dit ! Je ferais pas la vaisselle, Maman peut le faire, elle, c'est à ça que ça sert, une femme, non ?

- Descends, mon fils ! J'aimerai te parler !

- Non, laisse-moi tranquille ou je te tue ! Je te jure, je vais te tuer ! Dégage !

- Descends ! ordonna sévèrement le contrebandier.

- Putain, t'es chiant, c'est trop la honte ! pleura Kylo Ren en tournant fébrilement les talons, tremblant comme un chaton sous la pluie. J'arrive ! cria-t-il nerveusement, tâtant la poignée de son sabre.

Message édité le 24 septembre 2017 à 18:48:19 par TheSniderMcWood
-Say- -Say-
MP
Niveau 10
24 septembre 2017 à 18:48:14

Désolé pour la longueur :hap:
Maintenant je me met à la lecture des textes que j'ai pas encore lus !

On est à 14 textes nan ? On a pété le record ! :fete:

clisthene clisthene
MP
Niveau 9
24 septembre 2017 à 19:44:22

Voilà le mien, écrit trop rapidement mais le temps a manqué [[sticker:p/1lmk]]

Je lis les vôtres dans les prochains jours les kheys [[sticker:p/1kku]]

Douce nuit dans laquelle tu te tiens face au monde.

Sainte nuit, le vacarme de Jérusalem résonne dans ton oreille sourde.

Toute la vie est en creux dans ta sainteté et dans ton doute. Les rayons de lune te baignent de leurs larmes pâles, et l'empire des hommes s'exacerbe contre toi, s'achève, expire, encore et encore. Tu ouvres déjà l'infini, et la fin du temps, et la lumineuse résignation qui par toi ne se taira plus, celle de la vie qui se bat, encore et encore. Tu te tiens là, tout efflanqué contre le vent, maigre, une pauvre robe sur le râble, et les mains calleuses du charpentier sont ton seul héritage terrestre. Ton visage est crevassé, rongé par les cicatrices de l'adolescence ; tu n'as jamais été net et propre comme un crucifix.

« A quoi tu penses, Nazaréen ? », disait l'enfant.

La sueur coule le long de ton bras, et dégoutte sur le rocher qui hurle dans le vent. Toi tu n'oses pas crier, ni même gémir. Pas encore. Plus tard. Maintenant, il n'y a que les étoiles, le linceul que ton père et ta mère ont cousu pour toi, et chaque goutte d'eau qui perlait de leurs yeux pendant l'ouvrage est venu parsemer le ciel : c'est un océan de détresse, et d'amertume, qu'on appelle univers.

Tu l'interpelles ? « Père, si tu veux, éloigne de moi cette coupe ».

Il est là avec toi, et murmure à ton oreille. Il est doux aux cœurs en détresse. Il n'a pas l'indécence de te rassurer, de te mentir comme on est doux avec un mourant, il n'est que toute présence dans sa chaleur intime. Le temps est arrêté, les lumières de Jérusalem luisent de leurs tourments humains. Il y a un grand feu quelque part. Là, des agneaux que l'on rentre. Il est déjà tard, et la nuit profonde. Plus loin, l'étable dont la mangeoire fut langes, la terre couverte du sang de l'enfantement, Bethléem, pauvre Bethléem, que recouvrira toujours une robe de tristesse. Le musque des oliviers embaume l'air nocturne, et les rares touffes d'herbes sont fraîches et souples aux doigts. Machinalement, tu en arraches une, puis deux, puis trois, que tu fais rouler entre tes doigts. Tu penses aux yeux cernés du gros Jean, qui doit déjà dormir, à son ventre rond qui s'épanouit et s'affaisse à chaque ronflement. Tous étaient exténués après le chemin dans la vallée de Josaphat. Et tous étaient inquiets. Même Pierre, le chétif, celui qui devrait plus tard ne plus te reconnaître, celui qui devrait plus tard céder à la peur, t'a regardé l’œil rempli d'amour. Et le forfait ne t'atteint déjà plus.

« A quoi tu penses, Nazaréen ? » disait l'enfant.

Tu penses déjà à l'invective, tu penses déjà à l'abandon de celui qui toujours t'a soutenu.

« Comment as-tu fait pour te donner ainsi, Nazaréen ? ». Tu devais être fou, ou bien très malade, Nazaréen, pour accepter de devenir Christ. Tu devais souffrir d'un mal qui ronge les entrailles, d'un mal qui change la sueur en sang, pour accepter d'endurer un sort pire même que la vie. Tu devais saigner en ton sein, de tout l'amour du monde.

Il y aurait déjà le premier clou, sur le poignet droit, et ta mère pleurait à tes pieds.

Le second percerait tes tibias, les os seraient fracassés, et une pensée étrange naîtrait, que la croix était de peuplier, pour se faire pénétrer si mollement par la pointe de fer.

Il y aurait le dernier, et la peur de la mort lorsqu'il approcherait la chair tendre et l'os fragile.

Un lance te transpercerait, et le jonc à la bouche, tout serait enfin accompli.

Tu doutes, et tu es Christ. « Père, pourquoi m'as tu abandonné ? » est le plus beau discours qu'il te reste à prononcer. Tes os se détachent de ton corps, et tes muscles tremblent malgré toi. Et pourtant, tu sais que tu ne peux t'y soustraire. Car au creux de ton cœur gît une maladie incurable, et c'est l'amour du monde, celui d'un disciple endormi, celui d'un être qui naît et des vieillards dont on clôt les paupières, celui d'un ami qui marche et d'un ami qui pleure, d'un homme qui meurt de faim et dont les yeux te crèvent. Et dans le creux de la vie, se heurter au poids du monde, à son arrogante simplicité, à sa hargne d'en finir dans la haine et le meurtre. Et toujours, encore, recommencer, parce que l'on est malade, malade de l'amour du monde, celui qui vaut toutes les gorgées de miel et les douces figues des hauts jardins, et la tendresse de l'herbe. N'en finir qu'au triomphe.

« A quoi pensais-tu, Nazaréen, au Mont des Oliviers ? »

Laurich97 Laurich97
MP
Niveau 8
24 septembre 2017 à 20:11:36

J'ai manqué de temps nom de dieu!
Tant pis, je me suis surestimé en m'y prenant trop tard. Mon texte est à moitié terminé...
Je me reprend la semaine prochaine :ok:

(C'est pas facile qiand même.. C'est un très bon défi)

ElIiotRoger ElIiotRoger
MP
Niveau 7
24 septembre 2017 à 20:43:12

wahou :ouch:

et bonjour à tous ceux que je ne connais pas, j'ai hâte de vous lire :)

bon, j'ai déjà lu quelques textes et j'ai déjà un ptit coup de cœur, mais j'attends de voir le reste :oui:

SatoTatsuhiro SatoTatsuhiro
MP
Niveau 10
24 septembre 2017 à 20:54:13

On va avoir de la lecture cette semaine ! [[sticker:p/1kki]]

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