Attends une minute j'ai pas écris ça

Je crois qu'on m'à pirate mon compte

C'est Tenshirock.

Hein ?

Réference à la série NOOB, Tenshirock le Hacker.

Par contre elle à l'air très bien cette fic, c'est quand la sweet?

J'y travaille j'attaque la suite ce soir j'avais pas mal de boulot

Merci au passage

Ebony

Le 04 octobre 2016 à 18:21:27 SheogorathCDC a écrit :

Merci du ! J'avance dans la suite, là

Mais je me demande , si elle sort de bordeciel il se passe quoi :0

une cassure du dragon

Le 05 octobre 2016 à 23:13:50 Hiendral a écrit :
Mais je me demande , si elle sort de bordeciel il se passe quoi :0

Elle n'est pas dans Skyrim le JEU, mais dans l'UNIVERS du jeu, donc rien

Le 05 octobre 2016 à 23:13:50 Hiendral a écrit :
Mais je me demande , si elle sort de bordeciel il se passe quoi :0

Le Landfall.

Sweet ?

Bonsoir, voici la suite du récit ! Un peu court par rapport aux autres fois, mais je rallongerais les prochaines fois ! Bonne lecture
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Chapitre 6 : Au clair de la Lune

Je me suis réveillée en panique, les larmes aux yeux et les poignets apparemment maintenus par des mains. J’essayais de me débattre un instant, à cause de la surprise. La voix de Dro’Karash, calme et douce se fit entendre dans l’obscurité :

« -Du calme, du calme... C’est fini ! »

Je réalisais que c’était le khajiit qui me tenait les poignets. Je cessais de me débattre lentement, comprenant que j’avais affaire à un allié. Celui-ci me demanda :

« -Ca va mieux ? Vous êtes calmée ? »

Je ne le voyais pas, mais je parvenais à prononcer du bout des lèvres un « oui ». L’homme-chat retira ses mains de mes poignets et un instant plus tard, la lumière de la Lune vint se glisser dans l’ouverture de la tente :

« -Qu’est ce qui s’est passé ? l’interrogeai-je.

-Dro’Krash pensait que vous dormiriez comme un loir, commença-t-il. Il s’est rendu compte que ça ne serait pas le cas quand vous vous êtes mise à crier dans votre sommeil.

-Ah… Je criais ?

-Oui. Je suis surpris d’être le seul réveillé dans le coin, d’ailleurs. »

Je baissais la tête, honteuse. Tout ça à cause d’un foutu cauchemar. Je revivais l’incident d’hier après-midi dans les moindres détails : la marche, la rencontre avec les deux elfes et soudainement, le combat, la violence des coups, l’odeur âcre du sang mêlé à la chair brûlée. Mais lorsque je pensais que tout était terminé, les trois morts se relevaient, couverts de sang, les membres tordus avant de se ruer sur moi… Et puis, je me réveiller quand je sentais leurs bras m’agripper.
Pas étonnant que je gémissais dans mon sommeil. Le khajiit soupira :

« -Vous avez fait un mauvais rêve, n’est-ce-pas ? »

Je répondis par un hochement de tête, essayant de chasser les images de mon esprit :

« -Je suis vraiment désolée, bredouillai-je, j’ai fait un très mauvais rêve.

-Que se passait-il ? reprit-il. »

Je m’asseyais en tailleurs sur le tapis et regardait le rayon de lune à travers l’ouverture de la tente :

« -Je… Un mauvais souvenir, c’est tout. Je préfère ne pas en parler.

-Vous devriez, expliqua Dro’Karash en se mettant à son tour en tailleur. Dro’Karash pense que cela vous ferait grand bien. »

Que lui raconter ? Que j’avais tué trois représentants du Thalmor de sang-froid ? Inventer un mensonge que je n’arriverais pas à garder cohérent ? Je déclarai finalement :

« -Une autre fois. Je n’ai pas envie d’en parler, maintenant.

-Très bien, soupira l’homme-félin. »

Nous restâmes un instant à nous regarder d’un air perdu. Partager une tente avec un khajiit… C’était vraiment bizarre. Encore plus que d’en avoir un en face de moi. Après plusieurs secondes de silence, il me demanda :

« -Vous comptez redormir ? »

Je fis « non » de la tête avant qu’il ne reprenne :

« -Moi non plus. Une balade nocturne, ça vous tente ?

-Si ça peut m’aider à me rendormir, pourquoi pas, répondis-je. »

J’enfilais ma cape avant de sortir de la tente, suivie par mon acolyte de tente. Le feu au centre achevait de s’éteindre, certaines braises encore rougeoyantes. Nous commençâmes à nous éloigner du campement à travers la plaine entourant Blancherive. La nuit était assez froide, de la buée s’échappant de ma bouche à chaque expiration. La plaine était calme, hormis l’écho du hurlement d’un loup qui parvenait à nos oreilles dans le lointain. Personne n’avait osé dire un mot jusqu’à présent. On ne communiquait seulement par regards. Dro’Karash m’indiqua un rocher de la taille d’un cheval qui trônait le long de la route contournant la cité commerciale, comme pour me demander si je voulais qu’on s’y arrête. J’approuvais d’un signe de tête. Un instant plus tard, nous étions assis l’un à côté de l’autre. C’est lorsque j’enroulai ma cape autour de mes bras que le khajiit me demanda :

« -Vous venez d’où, au fait ? »

J’avais envie de lui dire ce que j’avais déjà raconté à Erik et son père, mais je me suis rendu compte que j’aurais du mal à justifier le fait qu’une nordique venait de Lenclume sans créer d’incohérences, j’ai décidé de partir sur une histoire que tout le monde pourrait comprendre :

« -Je… A vrai dire, c’est compliqué, murmurai-je.

-Dans quel sens ? m’interrogea Dro’Karash.

-Je suis amnésique. »

Il me dévisagea d’un air songeur avec ses grands yeux félins avant de déclarer :

« -Ca… Ce n’est pas commun. Pourtant, vous vous souvenez de votre prénom ?

-Arey ? Je ne sais même pas s’il s’agit de mon prénom à moi. C’est la seule chose dont je me souviens, lui expliquai-je.

-Par les sables ardents… Quelle est votre souvenir le plus lointain ?

-Je me suis réveillée dans une auberge à Rorikbourg, il y a trois jours. Le propriétaire m’a retrouvée à moitié morte au bord de la route. Il m’a recueillie et s’est assuré que j’allais bien.

-Mais pourtant vous semblez…

-Habituée aux environs ?

-Exactement, lança-t-il en hochant la tête.

-Je pense que ma mémoire collective est toujours en fonctionnement, dans le sens où je sais parler, lire, écrire, je sais ce qu’est une ville, de la magie… Tout ce genre de choses. Mais ma mémoire émotionnelle est complètement vide. Tout ce que je vois, c’est un prénom : Arey.

-Vous n’aviez rien qui puisse aide à vous identifier ?

-De l’argent dans une bourse, des vêtements et une épée. Rien, en somme. »

Je n’y connaissais rien en mémoire collective ou ce genre de choses. J’avais plus un esprit littéraire que scientifique. Cette affirmation par rapport à la mémoire, je ne la connaissais que par une bande dessinée que j’avais lu il y a quelques années. Néanmoins, cela paru crédible au khajiit à la fourrure noire qui regarda un instant la route en se frottant sa moustache de chat d’un air songeur. Il me demanda :

« -Comment vous avez tué ce smilodon, cet après-midi ? Vous savez vous… Battre ? »

Je fis « oui » de la tête avant d’ajouter :

« -Apparemment oui. C’est comme si des réflexes à l’épée étaient revenus. Pas seulement à l’épée, j’ai…

-Vous avez… ?

-Je ne sais pas vraiment… J’ai comme lancé un pic de glace avec ma main gauche. De la magie, apparemment.

-De la magie ? Vous avez fait comment ?

-Aucune idée. Je ne saurais pas le refaire maintenant, mais peut être qu’en situation, les réflexes reviendraient. »

J’ouvrais les yeux, regardant dans le vague afin pour ajouter de la crédibilité à mon mensonge, comme pour montrer que je n’en revenais pas moi-même de ce que j’étais capable de faire… Ce qui était vrai, en quelque sorte :

« -Vous avez des plans ? demanda le khajiit.

-Rien du tout. Je ne préfère pas prendre de risques, même, expliquai-je. Peut-être que quelqu’un ou même plusieurs personnes en ont après moi, ou pire…

-Qu’est-ce qui vous fait croire ça ?

-On m’a retrouvé à moitié morte sur la route il y a quelques jours. Il se peut qu’il s’agisse de simples bandits qui m’ont rencontré par hasard, mais je préfère m’assurer de deux ou trois choses.

-Vous êtes plutôt paranoïaque.

-Vous êtes un khajiit, je pensais que vous comprendriez. »

Il leva un cil, l’air faussement offensé :

« -Qu’est-ce que vous insinuez, là ?

-Les khajiits sont souvent accusés de vol. Vous devez souvent rester sur vos gardes à causes des gens qui voudraient vous lyncher sans savoir si vous avez volé quelque chose, non ?

-C’est un peu exagéré, mais par moments, il est vrai que… »

Dro’Karash sourit, révélant ses deux canines de chat. Il se remit sur ses pieds en un bond en lançant :

« -Bien, que faisons-nous, maintenant ?

-Je ne sais pas, répondis-je en haussant les épaules. On devrait rentrer.

-Tant que vous ne vous faites pas de cauchemars…

-Très drôle. »

Nous reprîmes le chemin inverse. Je me sentais déjà mieux grâce à cette promenade. C’est marrant… Je ne me posais plus de questions par rapport à ma situation actuelle. Alors que nous approchions du campement, l’homme-chat se tourna vers moi et déclara :

« -Dro’Karash aurait besoin de votre aide, demain.

-Comment ça ? lui demandai-je.

-Les nordiques ne veulent pas de nous dans leurs villes. J’aimerais entrer dans Blancherive pour aller faire quelques courses, pour la caravane. Si j’y vais seul, ils ne me laisseront pas entrer. Mais si vous m’accompagnez et que vous dites que je suis votre serviteur, ils devraient nous laisser entrer.

-Pourquoi pas ? Je voulais visiter Blancherive, de toute façon.

-Merci, Arey. Vous êtes une espèce de nordique rare au milieu de ces contrées glacées. »

Je lui souris alors que nous approchions du campement. Dro’Karash me laissa entrer dans la tente en première avant de l’ouverture. Je me suis allongée sur la peau de bête et j’ai attendu. Les ronronnements du khajiit se firent rapidement entendre. Apaisée par ce bruit doux, je me suis endormie immédiatement et cette fois, je n’ai pas fait de cauchemars.
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Voilà ! J'espère ne pas vous avoir fait trop attendre !

Sweet ?

Ceci est un up.

Le 20 octobre 2016 à 23:02:26 SheogorathCDC a écrit :
Ceci est un up.