Chapitre 14 : Le passage de la falaise

( ATTENTION, CHAPITRE TRÈS COURT ! )

Après un repos bien mérité, le groupe se prépara à repartir, Nyte avait découvert un passage entre la mer et la montagne, très étroit en bordure de falaise. Il s'y rendit avec sa troupe et leur expliqua comment passer.
Nyte _ " Voilà le passage, il est très étroit mais court, il n'y a aucun danger apparent et aucun monstre, mais restez sur vos gardes. "
Nyte commença donc a traverser puis se retrouva rapidement de l'autre côté, quelques minutes plus tard, ils avaient tous traverser.

Le groupe se remit en route vers le Nord-Ouest jusqu'au crépuscule, puis établissa son campement a la lisière d'une forêt.

Evite les répétition, jeune gomme !

répétitionS*

Chapitre 15 : L'harmonisateur.

Pendant la nuit, un bruissement dans les feuillages éveilla Myria, pensant qu'il ne s'agissait pas d'une menace, elle se leva pour aller jeter un oeil sans réveillé personne. Lorsqu'elle arriva, il n'y avais rien de suspect, mais alors qu'elle se retourna et tomba nez-à-nez avec un homme avec des longs cheveux noirs, une cape noire qui lui tombait au genoux une habit qui lui couvrait le torse de couleur noir également et un pantalon d'un rouge très foncé. Il avait une longue épée a la ceinture, du côté gauche. Du côté droit, une arme étrange, avec un mécanisme complexe, semblable à un tourmenteur, mais plus lisse, plus abouti. Il avait un visage fin, une cicatrice au niveau du menton et une inscription étrange sur la paumette gauche. Il avait un regard brillant et des yeux verts pâle. L'homme prononça quelques mots avec une voix très faible, Myria voulu hurler, mais aucun son ne sorti de sa bouche. L'homme, d'un mouvement très rapide, passa dans son dos, lui bloqua les deux bras et prononça une incantation qui téléporta les deux êtres dans une caverne aux parois blanches.

L'homme lâcha Myria, puis il parti s'asseoir par terre, sur un tapis doré, avec des pièces mécaniques détachées tout autour, des outils et un livre étrange. Myria se précipita vers la sorti et se retrouva face au vide, au sommet d'une montagne, au dessus d'une mer de nuages. Elle se retourna et vit une homme sortir du fond de la grotte et il lui fit signe de venir. Sa seule réponse fût d'invoquer un sanglier qui chargea l'homme. Ce dernier sorti une main de sa tunique et arrêta le sanglier avec un mur de glace, puis posa sa main sur le sanglier pour le faire disparaître en fumée. L'osamodas, totalement décontenancé, avança vers l'homme qui ne semblait pas menaçant. Elle lui demanda son nom, l'homme la regarda droit dans les yeux : les yeux de l'hommes était bleu foncé. Ses cheveux était courts et blanc. Son visage était marqué et ridait, il était visiblement très âgé. Il avait une peau très claire et une tunique beige. Un bâton dépassais de la tunique, il était tenu par la main droite, tandis que la gauche se dissimulais, prête à agir.

L'inconnu fît signe a Myria se le suivre, et il s'enfoncèrent dans la grotte. Arriver au fond, l'homme montra a Myria une chaise et prononça ses premiers mots :

- " Assieds-toi, jeune Amaknéenne. "

Myria n'ayant pas le choix, elle pris la chaise et s'installa face a la table, l'homme ne tarda pas a la rejoindre, avec dans la main gauche, deux verres remplis d'un liquide gazeux.

Il déposa le premier verre devant Myria et déposa le second devant lui, il sorti son second bras de sa tunique et posa son bâton en appui sur la table. Son bras droit était brûlé, plein de cicatrices, usé par le temps. Le vieil homme remarqua le regard intrigué de la jeune fille sur son bras. Il engagea la conversation :
- " Et bien, jeune disciple d'Osamodas, ton bras m'intrigue tant que ça ? Il porte seulement les stigmates de ceux qui ose défié les lois d'Alkimia. "

Myria - Mais... ou suis-je ? Qui êtes-vous ? Qu'avez-vous fait de mon invocation ?

L'homme - Il y a beaucoup de questions qui se bousculent dans ta tête, jeune fille, mais je vais faire en sorte d'y répondre, je suis Arnasa, le dernier harmonisateur de ce monde, et nous sommes sur l'île de Zerua, au dessus de l'Arglodar. Et j'ai simplement désassemblé ton invocation.

- Au dessus de l'Arglodar ? Mais comment ? Et qu'entendez-vous par " désassemblé " ?

- Via les dons de l'harmonisation, j'ai peut faire voler cette île, la rendant ainsi a l'abri des éventuels agresseurs. Par désassemblage, j'entend le fait que j'ai séparé les atomes qui composais ton invocation et que je les ai dispersés dans l'air.

- Vous pouvez faire ça ? Mais comment c'est possible ?! "

L'homme ria, puis pris un fruit placé dans un panier, sur le bord de la table. Il posa sa main gauche sur la pomme. La pomme se disparu sans laissé de trace.

Myria - " Mais ... comment ?

Arnasa - C'est le désassemblage, ça part d'un principe très simple, chaque chose est constitué de matière. Cette matière est composée d'atomes, ces atomes, une fois assemblés, forment donc la matière. Grâce a un principe nommé l'harmonisation, je suis capable de défaire cette assemblage et de le disperser dans l'air. Mais ce n'est pas tout. "

Arnasa plaça sa main droite sur la table, une légère aura bleuté fît une apparition très courte au centre de sa paume, la seconde d'après, la pomme était au centre de sa main. Myria se dit que c'était un tour de passe-passe, mais elle n'eut pas le temps de le dire que l'homme lui expliqua.

Arnasa - " Une fois que j'ai désassemblé une matière, mon esprit en analyse sa composition et l'assimile, je suis ensuite capable de recréé cette matière en analysant les atomes contenus dans l'air et en les réassemblants. Je peut également déformé la matière, mais je ne peut pas changer sa composition, je ne peut donc pas transformé une pomme en poire. "

Myria avait tout compris, mais il y avait encore trop de question dans sa tête.

Myria - " Mais comment avez-vous appris ça ?

Arnasa - Dans les livres de la déesse Alkimia, j'ai pu les sauvés de la folie du compte Do'Gunden. Je suis son avant-dernier disciple. Le dernier étant Silphenix, l'homme qui t'as emmené ici.

- Pourquoi m'avoir emmené moi et pas un autre ?

- Tu es venu toi, si un autre serais venu a ta place, il serais assis a ta place. Silphenix n'est pas comme moi, il a obtenu d'Alkimia une puissance aussi grande que celle de l'harmonisation : la synchronisation . Il est capable de transformé la matière en anti-matière, celle même que vous utilisez dans vos sorts. Seulement votre anti-matière est peu puissante car elle vient du royaume des dieux, son anti-matière vient directement de cette terre . La seule chose que j'ai de plus que lui, c'est la sagesse. "

Myria semblait songeuse, elle avait une dernière question .

Myria - " Que voulez-vous de moi ?

Arnasa - J'ai une mission a te confier. "

Arnasa fît fît apparaître une lettre sur la table.

Je repost, en voulant corriger une faute j'ai cliqué sur poster, désolé

Chapitre 16 : La mission.

Arnasa fît apparaître une lettre sur la table.

De la pointe du doigt, il fît glisser la lettre jusqu'à Myria puis la regarda dans les yeux.
Arnasa - " Cette lettre, tu devras l'ouvrir quand tu sera de retour sur la terre ferme, avec tes compagnons, ne dit rien, lève toi et retourne dans le hall de la grotte. "

Myria se leva et retourna donc dans le hall de la grotte, quelques secondes plus tard, Arnasa la rejoignit, plaça sa main droite au sol et un cercle se forma au sol, tout autour de l'Osamodas. Le cercle émit une lumière aveuglante puis disparu dans une gerbe d'étincelles et de crépitements. Myria chancelât avant de s'écrouler. Quelques minutes plus tard, alors qu'elle recouvrait ses esprits, elle était à la lisière de la forêt, à l'endroit même ou elle avait rencontrer Silphenix. " C'était un rêve, un sortilège d'une créature ou c'était réel ? " se demanda la jeune fille avant de sentir un courrier dans sa poche. C'était la lettre d'Arnasa, au moment ou elle toucha la lettre, une milliard d'images lui défilèrent dans la tête en quelques secondes, comme un flash. Quand ce phénomène se termina, elle avait en tête toute les clefs de l'harmonisation, sans savoir ni comment, ni pourquoi.

Après quelques instants pour reprendre ses esprits, elle retourna au campement et réveilla Nyte doucement, elle lui donna la lettre qu'il ouvrît sans plus attendre, il la lisa rapidement.

"En ce jour visiteur, moi, Arnasa l'harmonisateur, t'investi de la mission suivante : Depuis trop longtemps, des mystères brumeux entour l'île d'Atrgh'Galv, les hommes de mon espèce n'ont aucun droit d'y pénétrer sous peine du châtiment divin. Je vous demande de découvrir ce que cache cette île. Elle se trouve au Nord-Ouest du continent. Je vous recommande la plus grande prudence, aventuriers.

                                           Arnasa"

Myria expliqua ensuite à Nyte ce qu'elle venait de vivre, il ne lui reprocha qu'une chose : son imprudence de quitter seul le campement en territoire inconnu.

A VENIR :
La carte du continent !

J'aime ta fiction, même si elle est en MOUSSEUH.

Une petite sweet me ferai plaisir j'ai relu ta fiction hier soir et j'ai vraiment apprécié.
Passe voir la mienne si tu as le temps

Un autre chapitre classé parallèle, celui de Lanfeuss cette fois !
Après la biographie de Prin', c'est au tour du sacrieur de s'ouvrir a vous !

Chapitre 16 X : La vie de Lanfeuss

Dans le silence d'une nuit glaciale de Descendre 590, dans une petite maison au coeur du village d'Amakna, un cri résonne, faisant presque vibrer l'épais manteau blanc qui jonche le sol.
C'est après plusieurs heures qu'enfin le bruit cesse, laissant place a des pleurs, ceux d'un nouveau-né, les pleurs qui annonce le bonheur d'une mère.
Au coeur de la pièce au murs d'une couleur brune éclairé par la forte lumière du feu d'une cheminée, un prêtre tient le nouveau-né, lui accordant la première bénédiction pendant que la mère récupère de ses efforts, serrant les mains de son mari. Lanfeuss était né.
Durant ses 6 premières années, il fût élevé par ses parents dans une petite maison juste a côté d'un bois. Un père bûcheron et une mère sympathique, il vivait dans un contexte sain.
Après ses premières années, il fît vite preuve d'une endurance a toute épreuve mais également d'un esprit tactique très aiguisé, ce qui poussa ses parents a le rapproché du château d'Amakna , chez ses grand-parents pour qu'il puisse aller a l'école et devenir quelqu'un de bien. La-bas, il est devenu très proche de ses grand-parents, s'élançant sur la voie de la déesse Sacrieur, il était un élève très prometteur a l'école : de très bonne note, une très bonne attitude. Puis, en Juinssidor 604, alors qu'il a 14 ans, une bande de bandits attaqua le château d'Allister, profitant de le fainéantise du roi féca et de la faiblesse de sa garde pour piller le château et tuer un maximum d'habitants. Lanfeuss, en bon petit fils, se dressa entre un petit groupe de bandit et ses grand-parents. Seul contre 6, il fût vaincu et laissé pour mort, son grand-père tué alors qu'il tenté de protéger son épouse et cette dernière tué a son tour.
A son réveil, il était dans une grande salle remplie de blessés, il savait sans même l'avoir vu que ses grand-parents n'était plus. Persuader d'être fautif, il a fui vers Astrub, ou il traîna et enchaîna les idioties : bagarres, vols, agression ...
A l'âge de 20 ans, il fût banni de la cité des mercenaires, il traîna alors pendant longtemps avec pour seuls biens un chapeau et une cape aerdala ainsi qu'un sabre Nidanwa, il fît un long chemin d'une année avant de finir par arrivé par hasard a Pandala.

Une fois sur la place, il rentra dans la taverne et fît connaissance d'une sympathique bande de braconniers qui voulurent engager Lanfeuss. Ce dernier, certe mauvais garçon, n'avais pas l'intention de faire des choses mauvaises, il entra en conflit avec ces sympathiques personnes.
Après quelques jours d’errance, ses amis de la taverne vinrent a sa rencontre, une dizaine d'homme qui en entourait un seul, plus grand que les autres, avec une veste en fourrure de firefoux.

- " C'est donc toi qui fait des crasses a mes gars a la taverne ! Sache qu'on ne refuse pas nos offres d'emploi, soit tu viens, soit tu meurs !

Lanfeuss - Bah je meurs alors, plutôt crever que de bosser avec des types dans votre genre !

- Tu sais qui je suis ? Je suis Gal Kar, le plus grand des braconniers ! J'ai tué un foux a main nue pour sa fourrure !

- Ah ... " Lanfeuss se gratta le cou
Lanfeuss - " Tu m'excuse, mais je te connais pas et puis franchement, je m'en fou complètement, je vais t'exploser ! "

Gal ordonna ses hommes de l'abattre, la dizaine de braconniers se lancèrent sur lui, Lanfeuss dégaina son épée et se lança dans le tas, l'utilisant uniquement avec des réflexes, ça donnais presque l’impression qu'il savait s'en servir, il était rapide, puissant mais ses mouvements était très aléatoires, mais malgré ce défaut, il écrasa son ennemi, laissant derrière lui une dizaine d'hommes a moitié agonisants. Gal était debout, il sorti une énorme hache d'en dessous de sa cape rousse et fît un pas en avant avant de brandir son arme dans l'air, ce fût le dernier mouvement de son bras, il fût tranché quelques secondes plus tard par une attaque sifflante invisible. Un pandawa était la, debout entre le sacrieur et le braconnier, 4 katanas a la ceinture, dont un sorti et planté dans le torse de Gal, qui s’effondra aussitôt que la lame fût retiré. L'homme avança vers Lanf, releva son solomonk et l'observa de la tête au pied. Il était plutôt âgé, une fine barbe tressé et ses katanas a la ceinture, c'était vraisemblablement un bretteur très doué. Il fît signe a Lanfeuss de le suivre et l'emmena dans une caverne au Sud, à Akwadala. Dans cette caverne, il enseignât a Lanf a se battre au sabre et lui appris a se servir de techniques plus puissantes les unes que les autres, notamment une technique de lame d'air, un enchaînement de mouvement pour infliger de petite blessures a un adversaire, mais en très grand nombre et en très peu de temps. Lanf ne connaîtra jamais le nom de son maître, muet. Il ne trouverons jamais de moyen de communiquer, mais Lanf comprenais ce qu'il devait faire. Après une dizaine d'année, en 621, Lanf quitta la caverne définitivement, ayant gagner en force, en technique et en sagesse. Aussitôt de retour en Amakna, il forma une guilde qu'il guida d'une main de fer. Au détour d'une chemin, il recruta celui qui allais devenir son élève pour 5 ans : Nyte.
Il appris a Nyte les rudiments du combat, l'attitude a avoir en combat et même a jouer aux cartes et a boire la bière d'Amakna sans avoir mal au crâne ! Après 5 ans passer avec lui, il le laissa prendre son envol vers Bonta pour devenir milicien. Il continua a mener sa guilde pendant 3 ans avoir un dernier incident : durant l'exploration d'une caverne dans la vallée Mor Ki'Thu, il découvrit une porte qu'il n'aurais jamais du voir. Il l'ouvrit et fût happer par l'énergie contenu derrière. Il passa 3 ans sans être vue une fois dans le monde des douze. de 629 à 632, ou il réapparu comme par enchantement au milieu des marais, entouré par des crocodailles de toute taille. Personne ne sais ce qu'il sait passer entre temps a part lui, mais il a juré de ne jamais le raconter, une chose est sur : il y a vécu des évènements qui l'ont rendu encore plus fort. Il se releva, dégaina son épée, qui avait changé elle aussi, ce n'était plus le simple sabre Nidanwa, mais un katana qu'il nomme Dezkail. Une lame sombre et un pommeau blanc, chargé d'énergie. Il découpa tout les crocodailles sur son chemin, sans aucune difficulté avant de sortir des marais et de retourner a Amakna. Durant sa disparition, sa guilde fût dissoute par absence de meneur, il retourna alors voir ses parents ...

A son arrivée, sa mère n'eut besoin que d'un coup d'oeil pour le reconnaître, il arriva vers elle et la serra dans ses bras. Il regarda par la fenêtre et vit un vieil homme marcher vers la sorti, une fois en dehors de la maison, il se planta face a son fils et lui tendit les bras, Lanf le serra affectueusement dans ses bras. Il entendit alors une voie dans son dos :

- " Qui êtes-vous ? "

Lanfeuss se retourna et vît un jeune homme d'un vingtaine d'année, une hache de bûcheron a la main. Il se lança sur le sacrieur avec la hache en avant. Il n'avait pas fait la moitié de la distance que Lanfeuss avait saisi la hache, dégainer son épée, placée sous le coup de son adversaire, mit a genoux. Il le regarda de haut avant de lui dire :

Lanf - " On continue ?

- N... non, prenez moi mais épargnez mes parents ! "

Lanf ria de bon coeur, il releva l'homme pour lui dire qu'il était son frère.

- " Tu es mon ... frère ?

Lanf - Ouaip', je suis Lanfeuss, ton grand frère !

- Je suis Dogma, ton petit frère "

La famille rentra dans la maison pour écouter le récit de Lanf, qui leur raconta tout, a l’exception de ce qu'il s'était passer durant les 3 années dans l'autre monde. Puis il reparti vivre en ville comme mercenaire, jusqu'au jour ou Nyte arriva pour lui demander de devenir un membre des soldats d'élite de Bonta, il accepta et rentra au service de Bonta ...

Jamais les évènements n'ont réussi a altérer la personnalité du sacrieur, qui a continué a garder son arrogance, son ironisme et son instabilité ...

Chapitre en hommage a Lanfeuss, mon vieil ami qui m'a aider pour mes premiers pas sur le jeu ! Je t'oublie pas vielle racl'

Chapitre 17 : Lord Urghand, pour vous asservir.

Au réveil, Nyte laissa ses hommes déjeuner en paix pendant qu'il étudiais la carte. Il repéra vite l'île d'Atrgh'Galv. Elle était très loin, a au moins 2 jours de marche. La forêt toute proche ne présentait pas d’intérêt visible, il décida d'y envoyer les derniers miliciens en vie pour être sur qu'il n'y avait aucun mystère. Il réunit les 11 miliciens pour leur donner leurs ordres avant de demander a ses hommes de se préparer pour partir vers 14h.
Les 11 miliciens se rendirent dans la forêt, croisant un cervidé par-ci, quelques insectes par-là, puis un bruissement dans les arbres, un oiseau qui s'envole, et un autre qui se pose devant le groupe. Les 11 hommes reculèrent alors que l'énorme homme-oiseau se tenait debout, du haut de ses 2mètres. Ses ailes repliées sur ses bras, elles étaient ornées de plumes très fines et sombres. Ses ailes paraissaient immenses. Son visage avait tout de celui d'une humain, sa barbe noire semblait faites de minuscules plumes alors que ses cheveux, très longs, lui arrivant a la moitié du dos, paraissait très normaux. Il avait des dents pointues. Ses jambes étaient dans un pantalon de cuir très sombre, il y avait seulement ses serres rougeâtres et acérés qui en sortait.
L'homme fît un pas vers le groupe et tous sortirent leur armes et leurs boucliers. Il coassa horriblement fort, faisant fuir toute la faune aux alentours. Un homme sorti alors un objet de sa poche, il le lança dans les airs et arriver au dessus des arbres, il explosa, provoquant une détonation très forte et une lumière rouge vif dans le ciel bleu. Le ciel était bleu de ce côté du continent, alors que de l'autre il était rougeâtre. C'est la dernière réflexion que se fît le milicien qui pris les serres du monstre en plein gorge, le tuant sur le coup. L'oiseau ria et regarda les faibles humains terrorisés.

-" N'ayez pas peur ! Je vais juste vous arracher les tripes un par un, vous ne souffrirez que quelques minutes chacun, promis ! " déclara l'oiseau d'une voix enrouée.

Aucun des hommes n'osa bouger, il déplia ses ailes pour sortir ses bras, il était pourvu de plumes noires et de serres oranges au bout, a la place des mains. Il étripa chaque milicien avec plaisir, laissant des morceaux de tripes partout, faisant rougir l'herbe de sang, faisant gicler les boyaux sur les arbres, l'odeur était devenue insupportable. Lorsque que Nyte et les autres arrivèrent, ils tombèrent sur l'oiseau en train de rire en écrasant le crâne d'un homme contre une grosse racine. L'oiseau riait en répétant " Esclave, esclave, vous serez tous mes esclaves ! " Lorsque Nyte hurla de rage, la serre du monstre écrasa définitivement le crane, projetant du sang, des morceaux de crane et de cervelle partout. Il fixa le groupe et déplia ses ailes en hurlant :
- " Je suis Lord Urghand et bientôt, les visiteurs seront tous mes esclaves ! "
Il s'envola et passa au dessus du groupe, frappant du genoux le crane de Lya, assommant la disciple de Xelor, il l'a pris entre ses serres et l'emmena avec lui dans les cieux, vers le pic centrale de l'Arglodar en riant et ne cessant de répéter qu'ils seraient tous ses esclaves.
Ils retournèrent prendre leur affaire au campement : pas le temps d'inhumer dignement les miliciens, ils devaient sauver Lya !

Bon Ben sweet !
Je sais que tu aimes bien prendre ton temps mais là je trouve que tu es un peu long ...
Peut être des raisons IRL t'en empêche ...
J'espère que cette fiction différente des autres ecritent en ce moment continuera

Bon je doute que tu voies mon post sur la fic de Bagast, donc je le copie ici...

• Shiba-kun Voir le profil de Shiba-kun
• Posté le 6 décembre 2010 à 11:23:30 Avertir un administrateur
• J'avoue, les fautes c'est ...

Zatos => Tu lui dit de faire relire par ses parents, mais je pense qu'il ne ferait pas mieux ( je n'insulte pas ses parents hein ), car par expérience, j'ai remarqué que la majorité faisant ce genre de fautes ont des parents qui en font beaucoup aussi et cela parce que soit : ils sont d'origine étrangère non francophone ou parce qu'ils ne lisent que très peu, donc si ses parents lisent très peu, il parait logique que leur enfant ne lise pas non plus.

Utilise un correcteur orthographique au pire

• Lien permanent

Non mais attends, je suis consterné là
Autant nous traiter de famille d'illettrée, non mais tu te prends pour qui pour dire que mes parents ne savent pas bien écrire ? (je suis le frère de Bagast). La seule faute est que Bagast ne lit pas de livres et refuse de se faire corriger par ses parents ou encore par moi. Alors avant de nous traiter d'étranger à notre pays natal (je suis pur breton alors bon), ou encore de sous-entendre que mes parents sont c*ns, dis-toi bien que y'a pas que des généralités, ok ? Car oui, mes parents ont un boulots et un orthographe tout ce qu'il y a de plus sain contrairement à ce que tu pourrais croire.

Je sais que ce n'était pas le but de ton post, mais réfléchis une ou deux secondes avant de poster n'importe quoi
Ou encore :
"Lire des livres quand on en a pas vraiment chez soit c'est dur"
Non mais on a une tonne de livres dans notre bibliothèque, des grands classiques comme des moins importants, donc arrête tes préjugés

Mais enfin bref, j'ai lu le premier chapitre de ta fic (fais de même pour la mienne ), et c'est bien écrit, j'aime bien ton style, je suivrais sûrement

Désolé, j'était en vacances, j'ai le droit de fêter noël sur des skis non ?

John-Marston => J'ai peut-être été un peu fort, mais je voulait pas dire que tes parents était illettrés, je me fit a mes expériences vécues et tout le monde n'a pas une bibliothèque chez lui, j'ai vu des logements sans aucun livre.
Dans mon lycée, la majorité des gens qui écrivent relativement mal correspondent au profil que j'ai dit, avec des parents qui ont peu de culture et qui s'abrutissent devant TF1 ou des gens d'origine étrangère.
Après il y a des exceptions
Je suis désolé si je t'ai vexé, c'était pas mon but

Shiba j'ai lu ta fiction, et j'aime bien (j'en suis au chapitre 14 qui est très court )

+ Dans ma fic, tu es Nyvirion (il me semble) tu es un des persos principale

Et je suis bientôt mort aussi

J'adoreeeeeeee!!!! Enfin uen fic avec du bon récit, de bon gros pavé bien compacts et bien jouissifs à lire *.* Seul défaut: répétitions. par exemple pour nyte tu peux dire: nyte, le jeune disciple de la guerre, le iop temeraire, le jeune con(bas oui c'est un iop), l'ancien apprenti de lanfeuss ect...

salut je suis nouveau j'ai lut tout tes chapitres need et je voudrais pouvoir lire la sweet parce que je kif un max ta fiction

Le problème, c'est que j'ai une panne d'inspiration et un doigt cassé, donc je galère un brin pour écrire, désolé

ok c'est pas grave on attendra avec impatience ton prochain chapitre n'est pas vous autre ? bon bah bon retablisemant et a+

Je suis de retour, pour vous pondre une suite

youpi la sweet on va pouvoir continuer la lecture de cette fic passionante