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Sujet : Commencement 3 « Les Conquérants »

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Simser2008 Simser2008
MP
Niveau 9
18 avril 2011 à 17:19:15

La petite scène de romance de la Fic ;) Toujours aussi bien Tamène :)

gameur_18 gameur_18
MP
Niveau 9
20 avril 2011 à 12:49:38

Eh ben.A peine présenté et déjà des traites ça promet!
_____________________________________

En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

Kaeling Kaeling
MP
Niveau 6
20 avril 2011 à 16:44:28

ça donne un coté politique super sympa le conseil.

on attend la suite :)

harry_8 harry_8
MP
Niveau 10
20 avril 2011 à 19:02:24

rapide pour essayer de le tuer :rire: on attends la suite :ok:

tamene tamene
MP
Niveau 10
25 avril 2011 à 21:32:52

Les huit avaient quitté Koros, seul Shel et Avalane étaient restées, Shel qui présidait la fondation rogue et Avalane en souveraine de l’empire, mais le Miraluka demeura dans la capitale galactique, il devait rapidement récupérer de son coma, et ensuite partir en chasse, Shel lui promit d’utiliser ses agents pour glaner toute informations dont il a besoin, tout d’abord, savoir ce que Revan prépare, et aussi ou il se trouvait, et le plus important, trouver l’emplacement des trois clés car Avan sait que Revan recherche encore la racine, mais qu’il ne l’a pas retrouver. En deuxième lieu il devait aussi s’informer sur les actions de l’ordre et du sénat. Uko lui assura que ses espions lui rapporteraient chaque information de Coruscant. Lon Fu lui-même promit de placer ses ressources au service de l’opération, le Miraluka ignore toujours ce que le vieil homme possède comme ressource, mais préfère éviter la question.

Maintenant il est chez un médecin qui examinait sa main, l’opération pour les implants cybernétique le dérangeait un peu, mais n’avait pas le choix, il devait se remettre au plus vite, encore une fois cette même voix dans sa tête le conseilla de s’armer de patience, sa main guérira grâce a la force, il devait juste attendre, méditer, laisser faire le temps, la meilleure chose a faire était d’observer les événements en silence. Sa formation de Jedi lui a montré que la précipitation donnait de mauvais résultat. Son autre formation d’assassin lui prodigua les vertus de la dissimulation, tirer sur une cible sans la connaître est un travail mal fait. Aussi il devait s’informer avant de frapper plus fort, et les Mécrosa semblent partager certains aspects avec les Génoharadans, comme eux, ils savent tirer leur l’épingle du jeu en restant dans l’ombre sans se mouiller.

Le Miraluka se leva et dit au médecin qu’il changeait d’avis, et qu’il préférerait laisser sa main guérir toute seule, ce dernier accepta sans poser de question, encore un agent des Mécrosa ? Le Miraluka quitta les lieux sans poser la question, Koros ressemblait a Coruscant sur bien des aspects, chaque fois qu’il marchait dans ces rues et entre ces bâtiments en acier, son cœur se serrait d’angoisse, est-ce qu’un jour Katarr ressemblera a ça ? Les forets et les pleines verdoyantes lui manquent, il a besoin de sentir le calme de la nature, faire taire les échos qui déchirent son crâne, trop de vie, trop de pensées, trop d’émotions en ébullition. Il n’est jamais a l’aise et ne le sera jamais, mais enfin, cela peut être pire, après tout il a passer plusieurs années a Coruscant quand il était Jedi, étrange qu’il ne s’ait pas adapté aux échos de vie d’une cité galactique.

Mais Avan ne pouvait s’empêcher de penser à sa mère, Uko lui avait dit qu’elle était candidate pour mener les Mécrosa, c’est si vrai. Sa mère était une guerrière si forte et si vénérée qu’elle inspirait crainte et respect sur Katarr. Les Miralukas étaient réputés pour leurs modes de vie primitifs, un combat de chaque minute pour s’affirmer dans un monde sans merci. Avan ferma les yeux et remonta dans ses souvenirs, il y a des années quand il avait six ans, il avait assisté à un combat, le combat des dominants.

« Je m’en souviens comme si c’était hier, ma mère commandait toute les tribus Miraluka, et défendait ses terres contre les esclavagistes et les pirates qui atterrissaient dans notre monde, elle les tuait son pitié, et n’en épargnait aucun, elle se fit un nom dans le milieu, on l’appelait la dompteuse des pirates, la traqueuse aux yeux de démons, moi je n’étais qu’un enfant, un enfant qu’elle formait aux préceptes des Miralukas, mais qui regardait sa mère avec dévotion et respect, je ne connaissais rien d’autres, sauf ce qu’elle m’apprenait, être juste envers moi-même, envers mes semblable, être a la fois clément et sans pitié, et surtout ne jamais m’abaisser a des actes vils, et encore et encore mesurer mes actes et en assumer les conséquence. J’écoutais ce qu’elle m’inculquait, et surtout, je voyais de mes propres yeux la véracité de ses propos. »

« Le Miraluka vit en clan mais chasse en solitaire. »
Visas avait prononcé ces maximes a voix basse, son fils la regardait avec crainte, car il ne connaissait rien de Visas, si ce n’est qu’elle est la dominante des tribus, et les dominants sont redoutés, hors cette femme qui se trouve être sa mère doit être respectée tant que telle. Visas était assise devant un rocher et observait les étoiles, elle n’avait pas son bandeau et ses yeux noirs perçants, la rendait plus intimidante que jamais, ses longs chevaux tombaient en cascade sur son dos, pieds nues, elle portait une jupe ouverte sur les deux cotés, et qui laissait voir des jambes sculpturales et musclés, elle avait un corps de guerrière et un visage de déesse. Intimidé, le petit Avan baissa ses petits yeux bleus. Visas continuait de regarder les étoiles, puis tourna son regard vers son fils.
- J’ai entendu dire que tu t’es battu.
- Oui, amedha. Fit le petit d’une voix troublée.
- Tu as gagné ?
L’enfant baissa honteusement la tête.
- Non, amedha. Il était plus grand que moi.
- Pourquoi tu t’es battu ?
- Il m’a traité de Kainde impure.
Kainde voulait dire viande en langue Miraluka. Celui qui a blessé son fils savait trouver les insultes qui faisaient mal. La seule chose qui blessait le cœur d’une mère, c’était cela : son fils a moitié humain n’était pas chez lui sur ce monde sauvage, et ne le sera pas non plus dans une autre planète, les gens ont tendance a rejeter ceux qui sont différends, qu’il soit d’une autre race, ou d’une autre culture. Visas détourna les yeux et Avan trembla, il devait s’imaginer qu’il a déçu l’amedha. Amedha qui voulait dire : la difficile. Une amedha condamnée a dressé des barrières avec son propre enfant, et qui aurait dû lui montrer plus d’amour. Visas maudit sa position, et maudit aussi son destin, son fils ne pouvait même pas savoir a quel point elle l’aime, d’un amour sauvage et brûlant capable de détruire un soleil. Sans le titre maudit d’amedha, elle aurait trouvé ce Miraluka pour lui arracher lentement la peau. Avan était son trésor, un trésor sans prix, personne ne fait de mal a son fils. Mais aimer allait aussi dans l’autre sens, son petit devait apprendre et s’adapter a la rude existence de Katarr, une fois passer les épreuves il deviendra un homme, non il deviendra bien plus, comme dans sa vision, un grand guerrier.
- Ce qui compte mon fils, c’est combattre, vaincre est une question que tu apprendras a poser.
Le petit osa enfin la regarder, et elle retourna à sa contemplation des étoiles, le petit semblait soulagé, elle voulait l’attirer vers lui pour le serrer dans ses bras mais n’en fit rien, et son petit ne se plaignait jamais, comprenant que seuls les forts et les durs survivent. Visas fronça soudainement les sourcilles et regarda par-dessus son épaule, le petit vit un groupe de guerriers avec des torches s’approcher d’eux. Ils étaient de la tribus des Maxitanis, l’une des plus puissante du contré, elle seule avait refuser Visas comme Amedha, l’enfant serra les poings, car on lui raconter le combats des dominants, deux guerriers qui s’affrontent jusqu'à la mort pour la place du chef. Il regarda sa mère qui demeurait paisible, malgré la foule agitée qui venait vers eux. Elle était guidée par une guerrière Miraluka, elle avait les bras et les jambes tatouées, et un visage déformé par la fureur. Ses vêtements constitués uniquement de peaux de bête qu’elle a tué. Sharish était son nom, une guerrière qui n’a jamais perdu de combat, elle s’arrêta à quelques mètres de Visas qui lui tournait le dos, toujours dans sa contemplation des étoiles.
- Moi Sharish des Maxitanis, j’invoque en cet instant mon droit au karikani, car je ne te reconnais nullement comme amedha des clans.
- Et pourquoi ? Demande Visas d’une voix tranquille.
- Tu n’es pas des nôtres, fit rageusement Sharish. Tes yeux en sont la preuve, tu es une abomination, et tu n’as nul droit de fouler le sol de cette terre sacrée.
- Tu te considères donc supérieure aux autres ? Fit Visas en la regardant enfin de ses yeux noirs. Si tu es Miraluka comme tu dis, tu dois savoir que l’amedha traite ses semblables avec égalité, et sa fonction n’est pas de commander mais de servir.
- Tes mots sonnent creux, tout le monde te craint et te méprise, même nos shamans te redoute, tu es un démon et je suis venu te chasser de cette terre.
- Je n’ai jamais demandé à être aimé, qu’a fait ta puissante tribu pour redonner vie a ce monde ? Vous vous êtes enfui sur Alpheridies et aucun d’entre vous n’est revenu, maintenant que Katarr est vivable vous vous imposer en tribu dominante ?
- Tu oublies que ma tribu est la plus puissante de toute.
- J’oublie surtout que tu as bonne mémoire, si tu ne veux pas de moi comme amedha, tu es libre de partir.
- Le karikani est lancé, tranche Sharish d’une voix puissante, si tu refuses de m’affronter nous te chasserons toi et ton bâtard Kainde.
Visas demeura immobile, puis se leva et se tourna lentement vers Sharish qui fit un tic nerveux en sentant le regard de l’amedha la transpercer de part en part. Si Avan redoutait sa mère, maintenant il pouvait trembler de peur, un vent étrange balaya les pleines, il faisait froid tout a coup, a moins que ce ne soit la peur, il observait la confiance de Sharish vaciller, ce ne sera pas un duel, mais une sentence de mort. Visas avança vers elle en la regardant avec des yeux meurtriers, les autres guerriers s’écartèrent de Sharish, elle recula mais fit face en dégainant une vibrolame.
- La lune deviendra rouge. Murmure Visas d’une voix terrible.
Sharish ne savait pas quoi faire, Visas était désarmée, mais elle marchait vers elle en ondulant son corps comme un serpent des marais. Ses longs cheveux noirs balayés par le vent rendaient son regard plus terrible que jamais. Sharish lança désespérément son cris de guerre et chargea vers l’amedha en tournoyant son arme. Avan détourna les yeux mais entendis un bruis sec de craquement d’os, en ouvrant les yeux, il vit Sharish gisant a terre, sa mâchoire inférieur pendait, mais elle était toujours en vie, le poing de Visas était en sang, l’amedha se mit a arracher les dents qui ce sont collées sur son tranchant. Puis elle mit un genoux a terre, agrippa Sharish par la gorge et la souleva d’une main, puis la regarda avec mépris, sans aucune pitié, elle fracassa son crâne contre le rocher et recommença encore et encore, sous les yeux terrifiés de son fils. Le sang éclaboussait sa mère, la rendant plus terrifiante que jamais, elle continuait son opération macabre malgré la mort de la Maxitanis, en ce jour, Visas a montré qu’elle aimait son fils, de manière sauvage et meurtrière.
- Ne… (Elle frappa, et un bout de cervelle sortit du crâne fracassé) dis… (Nouveau coup) plus jamais… (Encore plus fort) de mal… (Encore un coup) de mon fis ! Plus… (Sa main devint plus maculée de sang) jamais… (Le crâne fut fracassé et la cervelle coula de plus belle) tu ne traiteras… (Elle continuait malgré tout) mon fils… (Elle criait furieusement) de bâtard !
- Maman, fit une toute petite voix.
Visas s’arrêta et croisa le regard bouleversé de son fils. Les Maxitanis étaient partis, et il ne restait que Visas et l’enfant, ainsi qu’un cadavre en piteux état. Visas se leva et continua de regarder son petit, a la fois surprise et inquiète.
- Cela suffit maman, dit Avan d’une voix étranglée, je ne perdrais plus jamais un combat, mais s’il te plais arrêtes.
Visas respira rapidement pour calmer ses émotions volcaniques, puis tendit sa main ensanglantée vers son petit.
- Viens là, supplie-t-elle.
L’enfant se précipita dans ses bras, et Visas le serra farouchement, tout en l’embrassant avec fougue. Puis prit le menton de son fils dans sa main et le regarda dans les yeux.
- Plus personne n’osera t’insulter.
« Et ce fut ainsi, plus personne ne me traita de Kainde, car la façon de mourir de Sharish demeura un exemple pour tous, plus personne n’osa défier ma mère pour lui voler le titre d’amedha. C’était la première et la dernière fois qu’elle me serra dans ses bras, mais je n’oublierais jamais ses paroles, Ce qui compte, c’est combattre, vaincre n’est qu’une question. »

harry_8 harry_8
MP
Niveau 10
25 avril 2011 à 23:46:50

Flashback splendide on voit que Avan a beaucoup appris de sa mère c'est juste exceptionnelle j'adore :ok:

Simser2008 Simser2008
MP
Niveau 9
26 avril 2011 à 21:01:38

Je sais pas mais Avan m'attire de moins en moins, je suis plus tourné vers Revan

gameur_18 gameur_18
MP
Niveau 9
29 avril 2011 à 19:35:30

1800éme post! :fete:
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En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

tamene tamene
MP
Niveau 10
30 avril 2011 à 19:44:40

Bureau du chancelier, rotonde du sénat, Coruscant.

Le chancelier Anarius semblait plus inquiet que jamais, et Revan assis tranquillement dos au mur l’observait tout en gardant l’amiral Jocasta dans son champ de vision. Anarius était plus vieux que Den et semblait prendre de l’âge aussi facilement que son frère. Jocasta en revanche irradiait une confiance et une détermination en duracier, mais son regard la trahissait, elle était toujours mal a l’aise avec lui, et semblait produire un effort surhumain pour tolérer sa présence, Jocasta ne lui a jamais fait confiance, et Revan le lui rendait si bien. Même si elle admirait en secret la méfiance qu’elle lui témoignait, bien étrange est l’univers, tout l’ordre Jedi lui faisait confiance, des êtres sensibles a la force qu’il pouvait aisément manipuler et tromper, mais des sensitives comme Jocasta regardaient le monde en restant terre a terre. Contrairement aux Jedi qui croient tout regarder simplement parce qu’ils ressentent la force. Jocasta et Hesse font partis d’une poignée d’individus qui méritaient de ressentir la force, pas comme certains Jedi idiots trop attaché au code.

- L’impératrice de Koros refuse d’adhérer a notre ligue galactique, déclare Anarius en s’asseyant en face de Revan et de Chiara. En revanche elle a accepté de soutenir l’effort de guerre contre les Sith, sans demander rien en retour, pas d’ouverture de routes commerciales et pas de siège au sénat.

- Très futé cette gamine, commente Chiara froidement, elle a trouver le moyen de nous dire oui et non a la fois.

- La neutralité est une arme à double tranchant, commente Revan avec gravité. De plus elle a conscience que si l’empire reçoit un siége au sénat, c’est son sénateur qui sera le vrai visage de Koros dans la république, pas l’impératrice et son conseil.

C’était vrai, les sénateurs pouvaient être corrompus. Et Revan comptait ajouter Koros dans son garde manger. Les sénateurs représentaient leurs mondes respectifs au sénat galactique, mais jouaient un plus grand rôle qu’ils ne le pensaient, ils pouvaient voter les lois sans demander la permission à leurs gouvernements respectives, puisqu’ils faisaient partis de la république. Et Revan avait la moitié du sénat dans sa poche, mais avoir Koros et Hapes lui donnera plus de pouvoir que le chancelier lui-même. Le pouvoir derrière un siège, est le vrai pouvoir.
- Vous ne parlez que de politique en ce moment, fit Chiara d’un ton irrité. Dois-je vous rappeler que nous sommes toujours en guerre contre les Sith, et que nos forces sont dispersées aux quatre coins de la bordure ?

- Le soutien des mondes du noyau est nécessaire, réplique Revan. La guerre n’est qu’une autre forme de politique.

- Un langage inconnu chez les militaires, répondit Chiara froidement. Je ne me soucis pas de lois ou de sénat quand la vie de mes soldats est en jeu, un champ de bataille n’a rien a voir avec la rotonde.

- Un point de vue intéressant, dit Revan en souriant, mais vous avez raison amirale, les militaires ne font pas de politique. Ils obéissent aux ordres d’un gouvernement civil. Imaginez seulement qu’un gouvernement soit entièrement dirigé par des militaires de carrière, eux non plus ne feraient pas de différence entre neutralité et impartialité, ils exerceront la politique comme on lance une offensive par delà une tranchée. Avoir a nos coté des mondes puissamment armés c’est comme posséder une seconde armée auxiliaire, ou une flotte de secours si vous voulez. Voila pourquoi le chancelier veut a tout pris réunir autant de système possible dans la ligue.

- Avoir ces mondes nous donnera non seulement un avantage militaire, mais aussi politique, amiral Jocasta. Intervint Anarius en croisant les bras sur son bureau.

- C’est comme vider les eaux du lac pour attraper le poisson. Répondit Chiara en évitant de regarder Revan. Mais on perd du temps, alors que nous devons concentrer nos ressources pour repousser les Sith de la voie Hydienne et du bras de Tingel.

- Je suis d’accord avec l’amiral, fit Revan d’un ton sincère, nous oublions les Sith alors qu’ils sont au cœur du problème.

Jocasta sourit avec mépris, c’est toujours quand il semble plus raisonnable, qu’il est plus dangereux.

- De toute façon je me suis arrangé pour rencontrer les ambassadeurs de Las Lagon et Beris plus tard dans la journée, dit Anarius. Voyons si eux pourront accepter d’entrer au sein de la république.

- Quel est leur problème ? demande Revan.
- Ils ne veulent pas engager leurs troupes.

- Donnez leur une dérogation.

- Quel message ça enverrait-il a Koros ? Ce serait faire marche arrière. Intervint Jocasta d’une voix indignée. Je croyais que le principe de la ligue galactique est de mettre en commun les capacités de tous.

- Ils ne possèdent que vingt mille soldats, réplique Revan, pas un de plus, pauvrement armés et mal entraînés. Le bénéfice diplomatique est plus important que le principe de leur utilité. Personnellement ils ne manqueront pas.

- Je croyais que vous envisagez tous les scénarios possibles, en bon stratège que vous êtes. Dit Chiara en regardant Revan surprise.

- Ce n’est pas pire que d’engager des troupes mercenaires peu motivées mais plus entraînées, je ne voudrais pas vous choquer en disant que la meilleure stratégie pour une armée de bleusailles est des les envoyer au front pour tester la puissance de nos ennemis, d’où l’expression grotesque : de la chaire a canon utile.

Revan devait rester prudent avec Jocasta, devant son air scandalisé, il ajouta rapidement :

- Heureusement nous n’en sommes pas encore là. Fit il en utilisant légèrement la persuasion de force. (Jocasta avait l’esprit solide, mais avec de bons arguments dosés avec la force…). Néanmoins, ajoute-t-il a l’adresse d’Anarius, je suis d’accord avec l’amiral. Nous sommes trop dispersés à cause de la géographie, trop de fronts, c’est mauvais.

- Alors nous devons réessayer avec Koros et Hapes. Déclare Anarius.

- Cette fois je vais demander à l’ordre Jedi d’envoyer des consuls, fit Revan. Nous obtiendrons plus de résultats, après tout les Jedi aussi savent exercer la diplomatie.

Revan les salua puis se leva et se dirigea vers la porte, une fois renfermées derrière lui, Jocasta regarda le chancelier fixement, puis se leva a son tour et marcha en direction de la fenêtre blindée pour observer Coruscant. Anarius poussa un soupir, cœur de glace (c’est comme ça qu’elle est surnommée) était plus qu’inquiète.
- Que somme nous devenus, chancelier, si ma réaction en entendant le commandant Revan admettre qu’il sacrifierait volontiers une armée peu entraînée pour tester les forces nos ennemis ? Je ne suis pas Jedi mais je suis sure et certaine que Den Orion lui-même en serait choqué.

Jocasta se tourna lentement et le regarda avec gravité, droite comme un « i » dans son uniforme noir, elle semblait plus intimidante que jamais, mais Anarius est un politicien, il ment, il triche, si d’une main il caresse les bébés, de l’autre il vole leurs bonbons. Jocasta le savait mieux que quiconque, si jamais il disait ce qu’elle avait besoin d’entendre, c’est qu’il se fichait d’elle.

- Nous ne somme qu’humains, réplique Anarius. Et la stratégie oblige parfois les êtres à adopter un comportement pragmatique.

- Revan n’est pas pragmatique, dit elle en regardant par la fenêtre, il est imprévisible. Et c’est ça qui m’inquiète.

Elle garda le silence puis ajouta.

- Votre cercle de conseillers se compose que de chefs d’armées, je joue un des rôles, c’est vrai, mais je suis avant tout mandaté par la république et le sénat. J’y pense depuis quelque temps, vous savez. Je me demande comment un commandant peut devenir si influent, et j’ignore si j’ai laisser faire parce qu’il est un Jedi, ou parce qu’il représente la république.

- Faire la guerre appartient à une poignée, dit Anarius en jouant avec ses doigts. Qu’il s’agisse de celle hors de nos frontières ou du conflit interne.

- Vous croyez que nous aurons un ?

- Amiral, voyons. Dit Anarius d’un ton apaisant. Ne soyez pas choqué par les propos du commandant.

- Parce que vous ne l’êtes pas ?

- Perdez un vaisseau avec des milliers de soldats, les civils diront que c’est dommage, mais qu’ils connaissaient les risques en s’engageant. Perdez quelques civils, et c’est une tragédie planétaire.

Jocasta sourit avec froideur et regarda le chancelier avec amusement, mais à qui il croyait s’adresser ?

- Chancelier, dit elle d’une voix douce mais emplis de venin. Je suis un soldat élevé dans la tradition de la décence. De l’honneur. Des règles de la loi, je suis consciente que tout ça passe à la trappe quand les temps sont difficiles. Mais je ne suis pas de cette trompe, j’ai mené maintes guerres, et je sais garder mon intégrité, surtout avec ceux placés sous mon commandement.

- Vous pensez que le commandant Revan dépasse les bornes et je devrais le lui rappeler ?

- Lui rappeler ? Je trouve hypocrite de sa part d’insulter les mercenaires, alors que lui-même possède des flottes de combat et une armée sans l’autorisation du sénat. Tout comme je trouve insultant qu’il s’implique dans les affaires d’état alors que son rôle de Jedi l’oblige a rester neutre.

- Vous l’avez entendu ? La neutralité est une arme à double tranchant.

- Théorie plutôt étrange.

- Que voulez vous… que j’admette que moi aussi je suis inquiet ?

- L’êtes-vous ?

- Parfois.

- Oh, fit-elle en hochant la tête. Je sais qu’il n’est pas facile de brider un allié qui fait tant pour rassurer le public.

- Nous avons tous besoin de héros dans les moments difficiles, amiral. Même si leur protection nous est moins nécessaire que nous le pensions.

- C’est juste, même si ils prétendent le contraire, je suis sur que les Jedi aiment l’idée que l’un des leurs est admiré pour sa manière musclée d’exercer la stratégie, militaire ou politique. Ça fait oublier l’image qui les montre comme des mystiques passifs ayant perdu tout contact avec la réalité.

Jocasta mit sa casquette et fit quelque pas vers la porte de sortie, mais s’arrêta et regarda Anarius par-dessus son épaule.

- Sois Revan gagnera cette guerre pour vous, chancelier. Sois il causera votre perte, après tout, c’est ce que les héros font toujours.

Jocasta le salua et sortit en laissant Anarius seul, cette femme est un militaire mais savait semer le doute dans les esprits. Mais il savait que Revan est un franc-tireur dévoré d’ambition, et qui l’évincerait si il ne restait pas en alerte, mais Anarius avait besoin de lui pour voir ses projets se réaliser, il devrait mener sa barque dans des eaux agitées, mais réussira bien a arriver au bon port, Anarius n’est pas aussi naïf que tout le monde s’imagine, son rêve est de construire une république puissante et pacifiée, pour cela il est prêt a s’allier avec Revan, le moment venu, il l’évincerait, il ne sait pas comment, mais l’évincerait. La politique est un jeu de Dejarik, les pions peuvent êtres sacrifiés pour avancer le jeu, et Anarius sait comment mener son jeu.

Jocasta, Anarius, et Revan. Nul ne savait que les trois individus qui faisaient la guerre n’osaient jamais se tourner le dos. C’est cela la politique et Revan les menaient comme des marionnettes sans qu’ils le sachent.

gameur_18 gameur_18
MP
Niveau 9
01 mai 2011 à 10:03:44

Magnifique jeu de politique!
_____________________________________

En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

harry_8 harry_8
MP
Niveau 10
01 mai 2011 à 16:27:20

Tout simplement magnifique j'adore :ok:

Kaeling Kaeling
MP
Niveau 6
02 mai 2011 à 07:56:12

j'ai mal compris ou anarius est le frère de Den?

harry_8 harry_8
MP
Niveau 10
02 mai 2011 à 13:47:09

Non Anarius lui fait penser à son frère :ok: revan compare Anarius à Den en gros :)

Kaeling Kaeling
MP
Niveau 6
02 mai 2011 à 17:39:27

Ok merci

tamene tamene
MP
Niveau 10
07 mai 2011 à 15:29:56

Den changea les protections qu’il avait au bras et choisis des gantelets en phrik, l’alliage coûtait cher et ces gantelets lui ont étaient offertes il y a longtemps par Talia d’Onderon, il vérifia son sabre et contempla ses hommes qui vérifiaient aussi leurs armes, même les Jedi examinaient leurs sabres, comme si ils imitaient le grand maître dans chaque geste. Ils doivent penser que faire ce que je fais leur permettrait de survivre dans la prochaine attaque. La guerre faisait des morts et Den perdait des soldats et même quelques Jedi sous son commandement, mais il a suffisamment d’expérience pour accepter ce coté tragique d’une campagne militaire. Aussitôt le capitaine Segavax arriva au hangar avec son unité, Den aperçu Ione avec eux et un malaise noua son estomac, la jeune femme avait fini son initiation et avait rejoint les Venoms du capitaine Taurus, elle commandait sa propre unité sous le grade de lieutenant. Grâce a la méditation de combat qu’elle a apprise avec Den, elle sauva plusieurs fois les membres de son unité. Mais Ione changea, elle devint plus agressive dans la guerre contre les Sith, son sourire disparut de son visage d’ange, même si elle entretient en ce moment une liaison amoureuse avec l’un des Venoms, Anson Gates.

Den poussa un soupire, Ione avait aimé Avan mais depuis les rumeurs de sa chute au coté obscure, elle refusait d’évoquer son nom et préférait l’effacer de sa mémoire. L’exilé était désolé pour elle, car Ione n’avait pas le cran d’une dure -elle n’était ni Visas, ni Lisa - et elle demandait aux hommes son image de la pureté. Den lui souhaitait bonne chance mais n’y croyait guère. Sous de bonnes conditions, la bête ressortait toujours, et une femme comme Ione ne pourrait pas aimer un homme bien longtemps, les hommes parfaits sont rares en cette galaxie, et quand ils viennent, ce ne sont pas les filles comme Ione qui se les accrochent. Et Avan n’a jamais succomber au coté obscure, Den ne connaît peut être pas son fils, mais il connaît Visas, et sait très bien que sa défunte épouse n’aurait pas tout sacrifier pour élever un enfant qui succomberait un jour au coté obscure. Il est dommage que Ione ne puisse pas le voir ou le sentir et Den la plaignait un peu, mieux vaut se concentrer sur le présent. Segavax salua l’unité et hocha froidement la tête en voyant Den, ce dernier ne lui rendit pas le salut le se contenta de le regarder avec indifférence.

Cet homme ne l’a jamais porté dans le cœur, alors qu’il est mal placé pour le juger, lui aussi possède sa propre vision sur l’univers et sur les femmes en général, Den n’était pas idiot et voyait bien la façon dont Taurus dévorait Lisa du regard, très courageux de sa part, pensa le Jedi. « Il ignore que je suis capable de le dépecer avant qu’il ne réalise quoi que ce soit. » mais il n’a aucun souci à se faire, Lisa l’aime et ne lui fera jamais de tort.

Ione en l’apercevant lui sourit chaleureusement, mais Den répliqua d’un bref hochement de tête, sourire en la voyant avec un autre est une trahison pour la mémoire du Miraluka, elle croyait tourner la page en oubliant le passé, ça lui brisait le cœur en la voyant avec Anson alors qu’elle a déclarer qu’elle n’aimerait jamais un autre que son fils, ses rapports avec Ione restaient courtois et poli, mais ne dépassait jamais les limites, elle est chevalier et lui un maître qui se respecte, même si Ione espère retrouver secrètement leur ancienne complicité d’antan.

- Voici les ordres de mission, déclare Taurus, nous allons ratisser les trois lunes de Jaguada, nous venons de capter des signaux, ce qui veut dire que des Sith s’y cachent. Nous lancerons des offensives en quatre vagues et nous…

« Nous perdons du temps. » Pensa Den en gardant son calme.

- Capitaine Orion, fit Taurus en croisant les bras. Vous avez quelque chose à dire ?

- Est-ce que les ingénieurs ont décrypté les bases de données sur la base de Jaguada ? Demande Den d’une voix sereine.

- Oui, fit Taurus avec un sourire narquois, et ils n’ont rien trouver, juste des ordres de missions pour la bordure intérimaire, ils comptaient relancer l’offensive depuis Jaguada.

- Et pour l’offensive dans le système de Zhar ? Le général Orion n’a rien dit a ce sujet ?

- Justement, nous avons discuter pendant de longues heurs, fit Segavax avec un sourire charmeur, et j’ai réussi a la convaincre de ratisser les trois lunes avant de lancer une offensive sur un système.

Son ton calme et faussement apaisant avait le don de tester sa patience – petit con condescendant.

- Et vous pensez qu’une attaque éclaire n’est pas une bonne stratégie ? Demande Den poliment.

- C’est vieux jeu, capitaine Orion. Mieux vaut avoir une solide base de replis au cas ou l’offensive échouerait.

- Pourquoi ne pas a la fois lancer une offensive et sécuriser les trois lunes, d’une pierre deux coups.

- Non ce n’est pas une bonne idée, et le général Orion… pardon le général Hesse penserait la même chose, diviser nos forces ne serait pas bénéfique pour la flotte.

Il y a des nombreuses techniques pour calmer les nerfs, mais Den n’avait pas envie de les utiliser, il voulait se sentir frustré et en colère, les militaires n’ont pas cette capacité de penser sur plusieurs nivaux, et militaire c’est a dire sa femme, une guerrière aguerrie. Pas ce crétin qui se croit a l’université.

- Nous perdrons un temps précieux en fouillant les lunes. Fit Den en gardant toujours sa voix apaisante, et Taurus qui semble surpris par son calme olympien malgré les piques qui lui a lancés.

- C’est mon opération, capitaine Orion. Déclare Taurus. Et le général Hesse partage mon point de vue, nous devons ratisser le secteur au peigne fin, vous avez peut être fait la guerre auparavant, mais aujourd’hui les règles du jeu ont changé, il faut vous rendre a l’évidence.

- C’est curieux, dit Den en souriant légèrement, moi je n’ai jamais pris ça pour un jeu. Et vous oubliez une chose importante, ainsi que le général Hesse… pardon le général Orion.

Taurus fronça les sourcilles.

- Je ne suis pas militaire, je suis un Jedi. Amusez vous dans vos lunes, moi je pars pour le système de Zhar.

- Vous osez discuter un ordre de vos supérieurs hiérarchiques ? S’écria Taurus surpris.

- Théoriquement l’ordre Jedi n’est aux ordres de personne, nous suivons la force, et celle-ci me dit que nos champs de batailles sont différends.

- C’est de l’insubordination ! Fit Taurus amusé. Le général Hesse ne va pas aimer ça.

- Je vous laisse lui dire combien je suis un modèle a ne pas suivre. Fit Den en lui tournant le dos

- Maître ! Intervint Ione avec douceur, vous demeurez toujours précieux pour la flotte, si vous partez cela va porter un coup dur a notre armée, et… je ne vous avais jamais vu si en colère.

Elle pouvait donc voir qu’il était en colère ? Intéressant, mais non ce n’est pas de la colère, mais une prise de conscience, il a placé ces Jedi sous les ordres des militaires pour coordonner les efforts de chacun dans la guerre contre les Sith, naïvement il croyait que les sensibles et les sensitives pouvait s’entendre, le coté terre a terre des soldats et l’instinct Jedi en une seule poigne de main, mais il se trompait, les militaires ont horreur des donneurs de conseils, il y a toujours des crétins obtus qui croient donner des leçons a ceux qui ne partagent pas leurs pensées, comme Segavax. Den a était patient et a même servit sous ses ordres même si il n’était pas d’accord avec lui en tout point, il peut accepter de donner quatre vingt dix neuf pour cent d’effort et laisser le un pour cent restant a Segavax, si lui ne fait pas d’effort pour seulement un pour cent, a quoi bon se fatiguer alors ?

- Tu oublie parfois qui tu es Ione, réplique Den en la regardant avec gravité, tu es un chevalier Jedi, et les Jedi écoutent la force avant d’écouter un ordre de mission, tu t’es égaré !

« Et tu as déjà oublié Avan. »

- Je plaide coupable, maître. Fit Ione en hochant la tête, mais ce que vous faites n’est pas sage.

- Personne n’est parfais, fit il tristement, prends soins de toi.

Le grand maître quitta le hangar, tous le regardaient bouleversés, et Taurus secoua la tête, plus irrité que désolé.

Pour infiltrer un système occupé, il fallait un chasseur rapide, bien que Den ne soit pas pilote. Il sait tout de même piloter un chasseur Aurek, rapidement il vérifia les tourelles et donna quelques coups de clés hydrauliques, puis ferma la trappe et vérifia une nouvelle fois son sabre et son paquetage, comlink, ration de survie, et kit médical. Puis ferma les yeux et laissa la force calmer son trouble, il a déjà fait ça quand il était chevalier, a l’époque la route a suivre lui paraissait très claire, suivre Revan a la guerre était nécessaire, laisser les Mandaloriens prendre Dagary Minor était nécessaire aussi, même partir pour les régions inconnus et laisser sa femme et son fils derrière lui. Aujourd’hui il écoutait a nouveau son instinct alors qu’il choisissait la sagesse pour calmer sa fougue. Ce pourrait-il qu’il se soit ramolli en freinant ses instincts guerriers ? Son coté rationnel lui dictait de rester avec la flotte et obéir aux ordres des supérieurs qu’il a prêter sermon de servir. Mais une partie de lui, enfouis sous la carapace du code Jedi, du titre de grand maître. Criait d’écouter a nouveau son cœur, il devait aller la bas et accomplir ce qu’il devait faire, il n’est pas soldat, mais Jedi. Et il est trop vieux pour supporter des jeunots arrogants.

- Capitaine Orion ! Fit une voix autoritaire et glaciale.

Den se retourna et vit Lisa Hesse qui le fusillait du regard, elle était avec deux soldats armés jusqu’aux dents, l’exilé l’ignora et continua ses préparations.

- Dites moi que vous n’êtes pas entrain de faire ce que je pense ? Dit Lisa plus froidement que jamais, êtes vous entrain de déserter la flotte ? Rassurez moi capitaine, vous n’allez quand même pas quitter nos rangs pour faire cavalier seul ?

- Je ne vais pas quitter la flotte, répondit Den en souriant, je vais juste faire une petite balade dans l’espace.

- Ce n’est pas ce qu’on m’a rapporté.

- Je suis ravie que le capitaine Segavax vous rapporte fidèlement mes faits et gestes.

- C’est Ione qui est venu me voir, dit Lisa lentement. Si c’était Segavax je ne l’aurais pas cru une seconde, le Den Orion que je connais ne fait jamais quelque chose d’aussi stupide.

- Je suis un Jedi, et la force me dit que je dois aller au système de Zhar, et comme je dois écouter la force…

- Moi j’appelle ça une fuite, coupe Lisa d’un ton sec.

- Appelez ça comme vous voulez, mais je dois absolument partir, et vous ne m’en empêcherez pas.

- Dans ce cas, vous ne me laissez pas le choix.

L’exilé fut cloué sur place et regarda sa femme surpri, puis en jetant un œil aux gardes, il comprit.

- Capitaine Orion, je vous mets aux arrêts.

- Général… souffle Den.

- Je vous avais dis de ne pas me mettre dans cette situation, fit Lisa en essayant de garder son sang froid, mais vous n’avez pas voulu écouter, je vous place en détention… ensuite… je réglerais cela avec vous plus tard.

Den pouvait aisément se débarrasser des deux gardes, mais ceux-ci ne faisaient qu’obéir aux ordres, l’un d’eux s’excusa et lui fit passer les menottes, l’autre lui confisqua son sabre mais Lisa s’écria presque indignée.

- Non, donnez moi son sabre.

Le garde obéit sans discuter, puis les deux accompagnèrent Den passa devant Lisa, celle-ci évita de le regarder, si jamais elle croisait ses yeux, elle flancherait.

gameur_18 gameur_18
MP
Niveau 9
07 mai 2011 à 17:27:49

Den se ramollit?
_____________________________________

En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

harry_8 harry_8
MP
Niveau 10
07 mai 2011 à 18:35:47

Très bonne suite ou l'on retrouve Den :) c'est fou comment d'un coup je déteste lone :rire:

Simser2008 Simser2008
MP
Niveau 9
08 mai 2011 à 21:18:24

Lone je te <3

Simser2008 Simser2008
MP
Niveau 9
08 mai 2011 à 21:23:06

Mais nan... Den a toujours un plan c'est connu ;)

tamene tamene
MP
Niveau 10
11 mai 2011 à 21:01:37

La suite est pour bientôt, soyez patients, je veux juste avancer dans l'intrigue en analysant chaque détailles. la suite prochaine ce sera avec Avan qui va pour une fois enquéter sur les motivations de son ancien maître, tout en restant dans l'ombre, j'ai aussi entendu dire que certains n'ont pas aimer le basculement de Revan au coté obscure, je sais. Je n'ai pas aimer ça aussi, mais c'était necessaire, comme le disait Kreia, peut être que c'est une des facettes de sa personnalité trop complèxe, je n'en dirais pas plus.

la suite est pour bientôt, Avan devra se préparer pour entrer en action, mais cette fois il ne sera pas seul, mais accompagné d'une charmante jeune recrue que vous ne devinerez même pas l'identité, ce sera une surprise. je spoil un petit truc en attendant : Ione et Avan c'est défénitivement terminé. Voila @+

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