-un bon tir de Croiseur ça fait pas de mal...
-un assassin invisible
-un sniper
-une diversion
-lui balancer une grenade type semtex
-l'encercler
-lui vider un chargeur de 250balles de mitrailleuse
-un tir antichar pendant qu'il regarde pas
-la bonne vieille technique de l'empoisonnement
-une ruse à base d'hologramme
-un lame en cortosis et après le Jedi se fait démentibuler
-un assaut blindé (type RT-TT)

je veux bien croire que les Jedi sont forts mais ils ne résisteront pas à ces techniques là à part peu-être l'empoisonnement.

HK-47 en connait un rayon là-dessus
Dans le 2, il nous cite toutes les tactiques ou armes à employer pour vaincre un Jedi.

C’était une navette de classe Herald et le Miraluka nota les quelques améliorations et ajouts de tourelles, tout comme il remarquait le sniper qui le visait avec son fusil Blaster Blastec-12. Instinctivement il empoigna son sabre laser mais Shani fit un signe et le sniper rengaina son arme et sortit de sa cachette, c’était un Mando avec une armure verte et une vibrohache capable de trancher la jambe d’un Rankor. Bishop jeta un coup d’œil intrigué au Miraluka mais s’abstînt de dire quoi que ce soit. Avan avait l’impression qu’ils attendaient le moment de le tuer. Une hostilité et une froideur palpable, les Mandos n’ont jamais oublié ce que les Jedi ont fait sur Malachor. Ce que son père avait fait. D’où son surnom de boucher de Malachor.

Shani le fit entrer et le Miraluka aperçu Edison Draay aux postes de commande, ce dernier tressaillit en voyant le Miraluka avec Shani mais s’abstint de montrer sa joie, Shani fit signe a Avan d’entrer dans l’infirmerie et c’est là qu’il découvrit un homme puissamment bâtis entrain de flotter dans une cuve a Kolto. C’était Canderous sans son armure, portant des boxers noirs moulants. Un corps labouré de cicatrices, tous symbolisait une bataille ou une compagne militaire. Le vieux Mandaloriens continuer de flotter, sa respiration était faible mais ses signaux demeuraient normaux pour l’instant.

Tokio enleva son gant et caressa la cuve de Canderous, le Miraluka sentit un douleur a peine refoulée, ses sentiments brûlants comme de la braise, un peu comme ceux que ressentait Visas pour son père, ou comme Bastila avec Revan. Il arrivait au Miraluka de détecter cette aura quand il se trouvait à proximité d’une adepte. Une sorte de liquide bouillonnant d’émotions primitives. Les femmes Mandos ne sont pas réputés pour leurs douceurs et Tokio en faisait partie, pourtant le spectacle qu’offrait Canderous suffit largement a percer l’armure de la femme. Elle caressait la cuve d’une main tremblant comme si elle n’a jamais su accomplir ce geste. Avan jeta un coup discret à Shani, la fille demeurait calme mais serrait le poing à faire craquer les doigts.

- Depuis quand il est dans cet état ? Questionne Avan a voix basse.

- Depuis plusieurs jours, après m’avoir sauver sur Thyffera il s’écroula a bout de force, j’ai du piloter moi-même le Basilique pour le transporter, je l’ai mis sur Kolto pour stabiliser son état.

- Pourquoi ne pas le mettre sur Bacta ?

- Je préfère appliquer le bacta quand dernier court, pour l’instant son état est stable.

Le Miraluka tendit la main et invoqua la force, puis entoura Canderous d’un halo d’énergie et l’examina plus attentivement avec sa double vue. Puis rouvrit les yeux et se tourna vers Shani :

- Depuis quand votre père utilise des produits dopants ?

- Depuis toujours, intervint Kelborn, Mand’alor s’injecte de l’adrénaline avant chaque combat.

- C’est ce qui a finit pour le tuer a petit feu, réplique le Miraluka, je ne suis pas spécialiste en médecine mais je recommande un lavage.

- c’est ce que le Kolto fait en ce moment. Mais j’aurais besoin d’une plus grande quantité de bacta pour le remettre sur pied.

- Le bacta que vous avez mis au point pourra le sauver ?

- Oui, et vous aussi. Réplique Shani gravement.

Le Miraluka releva sa capuche et regarda la Mando intrigué.

- Je vous demande pardon ?

- Vous êtes atteint d’une dégénérescence cellulaire, je le sais puisque c’est moi qui a examiné Visas Marr sur Ketaris.

La révélation tomba comme un bloc de pierre.

- Que faisait Visas Marr sur Ketaris ? Demande Avan d’une voix sans émotion.

Pas maman, ni mère, il prononce son nom comme si il s’agissait d’une personne étrangère. Le commandant Marr a bien changé.

- Je faisais des recherches sur la recomposition des molécules d’a.d.n, quand j’ai analyser le sang de votre… j’ai découvert une sorte de parasite qui attaque les cellules sanguines. Le processus est très lent mais petit à petit les cellules sont détruites. Chez un patient normal il aurait trépassé au bout de trente quatre heurs. Mais étant donné que votre mère était une puissante Jedi, ça durer plusieurs années grâce aux dons curatifs que lui prodiguait la force.
Les choses s’expliquent, et sont plus claire, le Miraluka se souvenait des longues séances de stase que Visas appliquait chaque jour.

- Dame Visas m’a donner un autre échantillon de sang, explique Shani, le votre, et m’a dit de faire tout mon possible pour trouver un remède au mal qui vous tuait a petit feu. Elle a financer mes recherches et m’a apporter tout le soutiens que j’avais besoin. Même quand j’ai sus qu’elle est morte je n’ai pas abandonner mes recherches, et je croix avoir trouver de quoi vous sauver.

- Vous voulez dire qu’elle passait toutes ces années hors de Katarr pour essayer de trouver un remède à cette maladie ?

- C’est une maladie étrange et inconnue, au début je croyais que c’était dû a un croisement des deux espèces, mais je me trompais, cette maladie était créée par un maître généticien, il a associer génétiquement différentes souches de Verus et a conçu une maladie redoutable.

- Vous voulez dire que quelqu’un a empoisonné ma mère ? Demande Avan d’une voix toujours aussi calme.

Shani tressaillit, un être normal serait indigné ou troublé. Mais ce Miraluka demeurait paisible même devant cette révélation terrible. Le sang glacial de Visas Marr coulait bien dans les veines du fils.

- Oui, mais je ne sais pas comment.

- Darth Nihilus à transplanter des yeux a Visas quand il l’a capturé pour mieux la briser, un Miraluka avec des yeux est aussi terrible et ignoble qu’un humain aveugle, nous sommes une espèce qui a rejeter la vision de la matière brute pour la vision universelle. La question que je dois poser est la suivante : qui a pratiquer la transplantation ?

- Je suis désolé.

- J’aurais votre remède, promit Avan d’une voix imperturbable. Et les réponses a mes questions. Il semblerait que Rath veut utiliser le bacta pour d’autres raisons, les quelles ? Je l’ignore.

- Qu’est ce qui peut vous dire cela ? Intervint Bralor en croisant les bras sur sa poitrine musclée.

- J’ai découvert que les Sith envisagent de frapper la république avec du bacta empoisonné, mais Rath semble avoir d’autres projets, et je parie que ces supérieurs ne sont même pas au courant.

- Il veut faire quoi ? Demande Kelborn froidement, s’enrichir en le vendant a la place de Lycurgue ?

- Non, dit Avan en regardant le vide, il veut le bacta pour autre chose, j’en suis sur.

- Mais quoi ? Insiste Shani troublée.

- Guérir quelqu’un. Dit Avan gravement. Quelqu’un de proche atteint de la même maladie que moi, un Miraluka.

ps: je le dis sans détours, et je me fiche que ce message soit supprimé ou ignorer, mais vous merritiez humblement de passer au deuximème tour, dieu sait combien j'ai supporter les bleus en 98 et danser sur leur victoire car j'en avais marre des bréziliens. et de leur ronaldinio avec son sourire stupide, je sais aussi que l'algérie n'a pas battus les mangeurs de biscuit et buveurs de thé mais voir les deux princes constipés durant tout le matche m'a fait vraiment plaisir, je vous souhaite bonne chance au prochain matche, et priez qu'on dérouille les Yankee, eux ils n'ont aucune place parmis nous, les football est a nous, eux n'ont qu'a continuer de jouer au baseball. Merci a tous

C'est bien le fait que tu mets la mirakula de la BD des chavaliers de l'ancienne république.On va voir Zayne à la prochaine suite

Sinon d'accord avec ton message HS.
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En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

La flotte sortit enfin de l’hyperespace pour les brumes transitoires, un endroit infesté d’astéroïdes et de trous noir juste devant le consortium Hapes, a un saut seulement de Trandosha. A bord du chevalier crâne le pont grouillait comme une fourmilière. Linda donnait des ordres par-ci et des instructions par-là. Et Lisa restait debout au centre tout en observant l’amas d’astéroïdes. Elle n’était sur rien et peut être qu’elle risquait la vie de son équipage mais elle devait tenter le diable pour arriver a Trandosha pour frapper la flotte Sith a revers.

- Nous passons les jumeaux de Baras. Annonce un sous officier.

Lisa ouvrit les yeux et revint a la réalité, en tournant les talents elle prit place sur le siège de commandement tout en examinant les jumeaux de Baras sur ses écrans, le temps est venu de justifier son grade de général, elle inspira et adopta la même assurance glaciale de Den quand il commandait une opération durant les guerres Mandaloriennes, un mélange de froideur et de sérénité qui déconcerte et intimide tout officier qui oserait contrer l’instruction d’un supérieur.

- Amorcez la manœuvre, ordonna le général Hesse, activez les censeurs et déployer les bouclier a soixante pour cent.

- Censeurs activés, bouclier déployé a soixante pour cent. Répondit Linda en opinant du chef.

Le timonier inspira longuement, piloter un super destroyer en plein champ d’astéroïde est une chose qu’il n’a jamais fait avant, et pourtant il devra y mettre tout son talent de pilote, le chevalier crâne traversera les brumes transitoires en un seul morceau. Il sentit une main lui serrer l’épaule, c’était Linda qui lui donnait courage, elle connaît son angoisse.

- Premier segment a mon signal. Ordonne le navigateur en étudiant l’holocarte. Vitesse 18 kilomètre. 5.4.3.2.1. Et top.

Le chronomètre s’afficha en grand écran et le chevalier crâne pénétra dans le champ s’astéroïdes, suivie du Scorpion et des canonnières.

- Gouvernez au 2.6.0, ordonne Linda d’une voix militaire. Vitesse 18km, maintenez le cap.

Lisa suivait la manœuvre sur son écran, les mains croisés et sourcilles froncés, le scorpion suivait le chevalier crâne comme son ombre, la moindre erreur et la flotte entière mise en péril.

- Nous approchons du premier virage, annonce le navigateur en étudiant l’holocarte avec des yeux perçant. Barre a gauche : 1.9.5, dans trente seconde, maintenez la vitesse.

Linda opina du chef mais Lisa releva les yeux et ordonna d’une voix calme mais terrible.

- Augmentez la vitesse à 25km, et re-paramétrez.

Linda se tourna vers le général et la regarda surprise, elle n’était pas la seule, les autres officiers du pont aussi, un silence de mort dans le pont, et Lisa les ignora un moment en se concentrant sur son écran de commande. Linda inspira longuement puis fit signe au navigateur d’obéir sans discuter.

- Augmentation a 25km et refaites les paramètres, confirme le second du chevalier crâne. Exécution ! Répète-t-elle en foudroyant le navigateur du regard.

- Barre à mon signal, dit le navigateur en bégayant. Cinq, quatre, trois, deux, un. Top.

- Lieutenant, déclare Linda, ramenez a gauche a 1.9.5.

Le chevalier crâne tourna a gauche a 25km et évita un astéroïde si grand qu’il pouvait le réduire en pièce, le Scorpion le suivit à la même vitesse tout comme les canonnières, le premier segment fut éviter avec succès, même si Linda pensait qu’ils allaient trop vite. En regardant discrètement Lisa, elle l’aperçu entrains de boire une tasse de caf comme si ne rien était. Le reste de l’équipage avait le souffle coupé.

- Navigateur ? Demande Lisa sans lever les yeux de son écran.

- Seconde segment mon général, répondit le navigateur en essuyant la sueur de ses yeux, barre a droite 2.4.0 dans huit minutes et quarante seconde.

- Très bien, fit doucement le général, maintenez la route et l’allure.

Linda lui enviait son calme olympien, elle restait maîtresse de ses émotions et affichait un visage de marbre, le timonier tremblait comme une feuille. Discrètement, Linda se dirigea vers lui en regardant le hublot ce dernier lui jeta un regard terrifié.

- On va trop vite, murmure-t-il a voix basse. On va trop vite, on ne respecte pas la vitesse recommandée pour traverser un champ d’astéroïde, à cette vitesse nous devons changer les paramètres toutes les cinquante seconds, et ce vaisseau est trop gros pour virer a temps !

- Surveillez votre langage, timonier, gronde Linda froidement.

Linda regarda Lisa qui se concentrait toujours sur son écran, le timonier avait raison mais si Lisa avait décidé ainsi, c’est sûrement pour une bonne raison, tant pis, elle obéira a Lisa même si elle lui ordonne de foncer sur un soleil. Le chevalier crâne arriva enfin au segment toujours à grande vitesse.

- Plus que quinze seconde avant la passe, mon général. Déclare le navigateur, devons-nous réduire notre vitesse ?

- Négatif, réplique Lisa sans lever les yeux de son écran, préparez vous a virer a droite.

- Oui mon général. Huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un et Top.

- Barre avant a moins quinze, ordonne Linda, virez par la droite au deux, quatre, zéro. Plus vite.

Le chevalier crâne vira a droite et évita un autre astéroïde, les autres vaisseaux le suivaient à la même vitesse, l’officier senseur fronça les sourcilles et se tourna rapidement vers Lisa.

- Général, nous avons un vaisseau non identifié au troisième segment, c’est un cuirassé Deriphan.

- Dans les brumes transitoires ? Dit Linda surprise.

- Oui commandant.

Linda se tourna vers Lisa.

- Ils nous ont repéré. Confirme-t-elle gravement.

- Non, dit Lisa en secouant la tête, ils espéraient nous prendre a revers si nous avions maintenu notre cape.

- Le Scorpion confirme la présence du Derriphan, annonce l’officier senseur.

- Au poste de combat, ordonne Lisa froidement, combien de temps avant le prochain segment ?

- Quatre minutes, dix secondes. Répondit Linda.

- Contre mesure prêt à lancer, armez les canons deux et six, torpille a proton parer au lancement. Ordonne le général.

La première bataille spatiale dans les brumes transitoires, un endroit infesté d’astéroïdes, avec un cuirassé Deriphan, et dieu sait quoi encore. Lisa inspira longuement et s’arma de détermination comme l’or d’une mission d’assassinat. Elle compte bien gagner sa première bataille, non elle va la gagner coûte que coûte.

on a perdu contre les Yankee, mais tant pis c'est le sport. Inutile de vous dire qu'ici la décéption était a son paroxisme, j'imagine que c'est la même chose en france. En tout cas merci de nous avoir fait réver, si l'ancienne garde avait jouer je suis certain qu'ils auraient décrocher la coupe une seconde fois. Bon courage a vous tous, et restez soudés pour votre équipe malgré tout.

@+

Moi j'étais super content qu'ils perdent,ils me soulaient à force.!Viva espagna!
Sinon 18 et 25 Km/H ça fait pas un peut lent dans l'espace
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En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

Très bonne suite ou l'on voit que Den a une grande influence sur le comportement de Lisa en tant que général j'adore

il s'agit en fait de voler dans un champ d'astéroïde a basse vitesse, surtout pour un super destroyer, j'aurais du remplacer kilomètre par clic. Mais bon.

Viva espagna! ?

désolé TAmène mais j'étais pour les Ricains...
ça fait deux buts qu'ils se faisaient voler...
d'ailleurs l'arbitre a refusé un but pour un pseudo hors-jeu...sauf que sur le ralentit Donovan l'était pas...

ah ok, bof c'est pas grave, un sport reste un sport. Et puis il faut avoir un bon esprit sportif et les Yankee ont bien joué. Mais tu ne supportais pas l'équipe de france ?

Nous les français nous avons été de mauvais patriotes pendant cette coupe du monde(aussi mauvais que nos joueurs).

anduril-fury Merci dectte explcitation.Et par "Viva espagna! ? "
C'est la faute qui te "gène" ou le fait que je sois pour l'Espagne?Si c'est cette dernière c'est que je suis d'origine espagnole (Garcia )
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En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

Si si j'étais pour les bleus sauf qu'ils étaient deja éliminés lorsque les USA ont joué contre les Algériens.
et honnetement moi c'était le pays que je supportai mais en aucun cas je ne cautionne ces abrutis de joueurs pourris par le fric...qui se croient on ne sait où...

- Cuirassé Deriphan Azimut 1.9.6. Mon général, annonce le senseur d’une voix tendue.

- Direction 1.5 propulseur normal. Ordonne le général Hesse. Situation silence, ce qui veut dire : tout le monde ferme sa gueule.

Normalement un officier supérieur ne devait jamais employer de langage grossier, c’était le protocole. Ouais comptes le dessus ! C’est pas le protocole qui va livrer bataille, elle se demande souvent comment des amiraux pouvaient respecter les règles de conduite durant une bataille spatiale, il y a discipline et discipline, et la seule valable pour Lisa c’est celle d’obéir aux ordres, un léger sourire se dessinait sur ses lèvres, elle a toujours enfreins les ordres, et voila qu’elle réfléchit comme un de ces officiers supérieurs qu’elle a mépriser dans le passé, une galaxie en ébullition.

Pendant ce temps, Den Orion méditait dans sa cabine, son calme olympien transcendait le trouble de sa protégée. Ione n’a jamais participé a une bataille spatiale et s’assoire dans un coin et suivre le spectacle comme dans un Holofilm ne l’enchantait guère, elle voulait faire quelque chose, participer, mais pas rester sur place sagement.

- Gardes ton calme. Recommande Den.

- J’essaye maître, souffle Ione en faisant le vide dans son esprit.

La porte de la cabine s’ouvrit, c’était le capitaine Dorovit, un vétéran des deux guerres comme Lisa et Linda, un type de l’ancienne garde qui supporte de plus en plus mal la nouvelle génération de soldat qui regarde la guerre comme un jeu, si il y a une chose que Dorovit déteste c’est l’assurance mal placée des Venoms, ils se croient invincible après un seul combat. Des bleus bites.

- Général (Il continue de l’appeler par son grade des guerres Mandalorienne) il y a un cuirassé Deriphan en pleine zone d’astéroïde et nous sommes mal positionnés pour un combat spatial.

- Le général Hesse sait très bien se débrouiller. Réplique Den.

- Nous mourrons tous pour le général Hesse, mais nous refusons de mourir sans combattre, nous sommes une armée au sol, et le général Hesse n’est pas taillée pour commander un combat dans l’espace, et cela avec tout le respect qui lui est dû.

- Si j’étais votre supérieur je vous aurez collé un blâme, dit une voix glaciale.

Taurus Segavax se tenait dans l’embrassure de la porte et regardait Dorovit sévèrement, mais ce dernier se tourna vers le jeune capitaine comme si il s’apprêtait a lui en coller une.

- Ecoute moi bien petit, déclare Dorovit froidement, ta dégaine de petit soldat courageux tu peux la ranger dans les vestiaires pour nana, à ton age j’émasculais un Rankor avec un coupe-ongle, alors arrête de me gonfler.

- Dorovit ! Menace l’exilé gentiment.

- Toute mes excuses, général.

- Général ? S’exclame Segavax amusé, cet hommes n’est plus général, capitaine Dorovit. C’est un simple soldat et votre grade vous donne le droit de lui ordonner de danser sur une seule jambe. De plus il est sous mes ordres. C’est peut être est un héro de guerre mais sa place est dans une maison de retraite quelque part sur Alderande. Si je tolère sa présence ici c’est uniquement à cause des ordres que j’ai reçus de l’amirauté.

- Sans Den Orion tu parlerais Mandalorien mon pauvre gars. Réplique Dorovit d’un ton tranchant.

- Si vous le dites, dit Segavax en haussant les épaules.

Ione se tourna vers Den, et aurait souhaité qu’il remette ce boy-scout a sa place, mais l’exilé gardait le silence, quand il reçu soudain un appel du pont, Linda Frey le second de Lisa convoquait Den Orion de toute urgence. Segavax fronça les sourcilles.

- Excusez moi monsieur. Dit Den en passant devant le capitaine des Venom. Ione le suivait avec un sourire moqueur pour Taurus.

- Je crois qu’il y a trop de vos d’adorateurs dans ce destroyer monsieur, dit Taurus en suivant l’exilé dans le couloir.

- Tout âge porte ses fruits, il faut savoir les cueillir. Réplique l’exilé d’une douceur étrange.

Vieux salopard de chien Kath, les insultes brûlait les lèvres de Taurus, mais pas question de laisser ce vieux fossile jouait les héros pour cette fois. Sa colère grandit encore plus en voyant le soulagement de Lisa quand elle le vit faire son entrer dans le pont, il y a bien quelque chose entre eux, c’est sur, les yeux du général Hesse brillent toujours quand elle le regard, jamais il ne l’a vit regarder personne de cette manière. Lui y comprit.

- Général Hesse ? Salut Den avec respect.

Lisa lui gratifia de son plus beau sourire mais son visage redevint sérieux, en regardant a nouveau son écran de contrôle.

- Etant donné que cette situation est nouvelle pour moi, je préfère en appeler à votre expérience, maître Orion.

- Je suis a votre disposition.

- Merci, nous avons un destroyer Deriphan qui surveille le segment cinq, je ne peux malheureusement engagé le combat dans ce champ d’astéroïde, le chevalier crâne est trop gros et ne pourra manœuvrer devant ces mastodontes en pierre.

- La position du Deriphan ? Questionne l’exilé d’une voix calme.

- Il a prit place derrière le Scorpion, et les canonnières, si je poursuis le chemin en les laissant comme ça, nous perdrons la moitié de notre flotte.

L’exilé jeta un coup d’œil a l’holocarte pus fronça les sourcilles, Linda intervint avec énergie.

- Nous pourrons envoyer un escadron de chasseur pour le retarder.

- Sans destroyer pour les couvrir, ils se feront descendre, dit Lisa en hochant la tête.

- Général, coupe l’officier senseur, le Deriphan à lancer une torpille a proton, azimut 0.4.8.0.5.0.

- Gauche toute barreur. Grogne l’exilé d’une voix sauvage.

Le général Orion s’est réveiller, lui-même a réagit par instinct devant le feu de l’action, les autres obéirent sans discuter, même Lisa répondit en qualité de second.

- Gauche toute a vos ordres !

Le timonier tourna la barre a gauche et le chevalier crâne s’exécuta. Segavax les regarda abasourdis, ils ont oublier qui était leur chef ou quoi ? De son coté l’exilé regarda l’écran de Lisa avec un œil vorace, calculant et cherchant les stratégies de ripostes les plus efficaces. Le scorpion et les cannières dépassèrent le chevalier crâne au prochain segment, l’amiral Sorel avait aussi réagit par instinct, il fallait sauver la flotte et laisser le vaisseau amiral couvrir leur position, le Deriphan voler a vitesse normal, et la torpille a proton fonçait comme un rapace vers sa proie.

- En tirant on devraient l’avoir, intervint Segavax.

- Non on est trop prés, réplique Den d’une voix impatiente, nos torpilles ne pourront pas s’armer, en avant toute. Général Hesse, en manœuvre a vitesse maximale, en avant toute.

- Vitesse maximum a vos ordres. Grogne Lisa.

Le chevalier dépassa les canonnière et fit front a la torpille, il n’est pas question qu’elle touche un astéroïde.

- Officier senseur, crie l’exilé d’une voix rapide, prévenez moi quand on sera a distance de tire, au moins 900 mètres.

- A vos ordres, réplique l’officier en surveillant l’écran.

- Il faut descendre ce Deriphan, général Hesse, intervint Segavax, tirez on a rien a foutre des calculs de ce type.

- Il faut au moins 900 mètres pour que les torpilles a proton s’arment, qu’est ce que tu fais là pauvre type ? Réplique Lisa en le fusillant du regard.

- Torpille a proton à 140 mètre en approche, azimut 0.7.0.0.7.4. Crie l’officier senseur.

- Lancement contres mesures. Ordonne le Jedi.

- Contre mesures lancés. Confirme Lisa.

- parer pour impacte. Continue Den en étudient l’écran.

Le chevalier crâne projeta des droïdes contre mesure, la torpille changea de direction et fonça sur eux, puis explosa sans toucher le destroyer ou d’astroïdes.

- Le Deriphan change de direction, et il tire une seconde torpille. Annonce l’officier senseur en criant.

L’exilé étudia la position, si il lance une autre contre mesure, l’explosion touchera plusieurs astéroïdes a portée, le commandant Sith est un malin. Le timonier tremblait comme une feuille, puis regarda Linda et secoua la tête.

- Je ne peux pas continuer commandant, j’ai trop peur.

- Reprend toi bon sang, c’est pas le moment. Gronde Linda.

- Ione ! Ordonne l’exilé froidement, prends sa place, commandant Frey, virez moi cet incapable.

Le timonier tremblant s’éclipsa mais Ione regarda son maître, morte de trouille.

- Mais je ne sais pas piloter de destroyer. Proteste-t-elle avec énergie.

- Fais exactement ce que je te dis. Fit Den ferme.

Ione prit place et prit la petite barre a deux mains. Linda hocha la tête, c’est de pire en pire

- A droite toute ! Ordonne Den rapidement.

- A droite toute, répondit Ione, mais elle se tourna gênée vers Den : mais… comment je fais ?

- Ce bouton, intervint Linda, tourne le complètement a droite.

Ione s’exécuta et le chevalier crâne commença la manœuvre.

- Barre a droite 3.1.5. Ordonne l’ancien général.
- Hé une minute, intervint Taurus, c’est foncer tout droit vers la torpille. Ione arrêtez de tourner cette foutu barre

- Barre a droite Ione jusqu'à ce qu’on lise sur l’écran 3.1.5. Répète Orion d’une voix menaçante.

- Général Hesse c’est votre bâtiment, n’écoutez pas ce cinglé. Dit Taurus en se tournant vers la femme.

Lisa regarda Den un moment, ce dernier surveillait l’écran sans leur prêter attention, mais leva ces yeux bleus et la regarda profondément. Lisa inspira et regarda Ione avec gravité :

- 3.1.5. Brindille, exécution.

Le chevalier crâne fonça à pleine vitesse sur la torpille, tout le monde retint son souffle, Linda ferma les yeux, Ione tremblait mais gardait son calme. Taurus jeta un regard haineux a Den, la torpille était toute proche et Den croisa les bras tout en regardant l’écran avec un air satisfait. La torpille s’arrêta soudainement et flotta dans l’espace, Linda regarda le plafond et jeta un regard ahuri a Orion.

- Je veux bien être pendu, souffle Linda d’une voix essoufflée.

- Qu’est ce qui se passe ? Demande Taurus étonné.

- C’était une nouvelle tactique, capitaine Segavax. Explique Lisa d’une voix d’autre tombe. En plongeant droit sur la torpille, le maître Orion a réussi à la contrer avant qu’elle ne puisse s’armer.

- Alors ça y est ? Explose Ione de joie.

- Pas tout a fait, dit Den gravement, soyez sur que les Sith vont débloquer les systèmes de sécurité sur toute leurs torpilles, ils ne feront pas la même bêtise deux fois. Amorcez la manœuvre au prochain segment, la passerelle est a vous général Hesse.

"à la poursuite d'octobre Rouge"

Pas mal.C'est pas pour tout de suite le retraite de Den
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En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

Partir en infiltration est beaucoup plus difficile qu’une mission d’assassinat, le Miraluka ouvrit sa cache d’arme du Nébulon et choisit ses armes. Tout d’abord le stylet pour les éliminations silencieuses, ensuite des fléchettes empoisonnées qu’il enroula dans sa ceinture, puis un mini sarbacane qu’il fourra dans une pochette de son pantalon noir. Le Sat’skar dans sa hanche droite, et enfin le sabre laser a lame verte dans son avant bras. Puis se drapa dans un manteau noir et couvrit son visage dans la capuche. Il ne restait plus qu’a méditer pour canaliser toute l’énergie qu’il a besoin, et enfin chasser toute trace de doute de son esprit, la peur avant une mission est tout a fait naturelle, fais la travailler, transforme la en énergie et retourne là contre tes ennemis.

Shani arriva et observa le Miraluka un moment, il était plus jeune qu’elle mais avait quelque chose de spécial. Une assurance et un caractère semblable a celui de sa mère. Une froideur et un calme qui faisait peur, sans oublier cette sensation de porter le monde sur ses épaules que Shani trouvait très touchante. Mais il lui faisait aussi de la peine, une mère absente, un père disparu, une vie baignée de sang et de larme. Et pourtant il continue d’avancer sans regarder en arrière, il avait du cran et certain Mando comme Kelborn ou Bishop le trouvait sympathique. Shani en revanche condamnait ses méthodes un peu trop fourbe, les Mando son pragmatiques et adoptent souvent l’approche direct, mais le Miraluka agit comme un prédateur Nexu qui attend le bon moment pour attaquer et tuer sa proie.

- Non je ne suis pas un Nexu. Fit Avan sans regarder Shani.

- Vous lisez mes pensées ? Dit Shani un peu fâchée.

- Je ne lis pas, dit Avan en vérifiant encore une fois le tranchant de ses armes. Quand vous pensez vous criez très fort.

- Je réfléchirais en silence, dit Shani froidement. Vous allez tuer qui cette fois ?

- Je vais plutôt chercher à qui Rath administre le Bacta.

- Et tuant quelques Sith au passage ?

- Si je n’ai pas le choix.

- On a toujours le choix, commandant Marr. Ou est passé le Miraluka de Kashyyyk qui a préféré épargné la Sith après l’avoir vaincu ?

- Il est mort. Dit Avan froidement, vous croyez que c’est avec des convictions qu’on va repousser les Sith ? Et puis passer mon temps à m’inquiéter des dommages collatéraux commençait a m’ennuyer.

- Vous autres Miraluka êtes semblables aux Mandos, comme nous vous êtes pragmatiques, mais avez un sens de l’honneur aiguisé. Sur ce point vous nous dépassaient, mais ce que je vois devant moi ce n’est pas un Miraluka.

- Je ne l’ai jamais été, un Miraluka est aveugle, or moi j’ai des yeux, dit Avan avec un sourire sinistre.

Shani se mordit la lèvre, elle a gaffé gravement.

- Pardon je ne voulais pas…

- Oubliez ça.

Shani n’est pas la première qui le voit ainsi, même avec les autres Miraluka il se sentait étranger, a la fois humain, a la fois Miraluka, sans être les deux. Comme si c’était sa faute d’être né ainsi. Mais cette pensée s’envola rapidement comme chassée par une volonté farouche, c’est aux autres de l’accepter comme il est, décidément ce que lui a fait Revan est très efficace. A ce moment, Kelborn entra dans l’armurerie, et observa les armes émerveillé.

- C’est une vraie mine d’or ici, dit il admiratif. Je peux ajouter une de ses armes à ma collection.

- Ne touche a rien, fouette Shani en le regardant menaçante.

- Dommage, fit il en faisant la moue, j’aime bien ce lance grenade.

- Vous pouvez aménager au Nébulon, amenez votre père ici, l’infirmerie est mieux équipé et servez vous Kelborn. Je ne compte pas revenir.

- Vous plaisantez ? S’écria Shani, c’est quoi cette histoire ?

- Les plans ont changé, explique Avan, mon opération a prit un tournant différend, il ne s’agit plus d’assassiner cette fois, mais de découvrir ce que Rath manigance.

- Vous comptez découvrir l’identité du Miraluka que Rath veut sauver ? Demande Shani étonnée.

- Ceci et autre chose.

- Ce gosse possède vraiment une sacrée paire de burnes, fit Bralor qui apparut dans l’embrasure de la porte.

- C’est du suicide, fit Shani d’un ton tranchant, vous les hommes êtes tous pareilles, vous vous tapez le torse a la recherche de bagarre mais vous êtes idiots tous comme vous êtes.

- Doucement gamine, fit Kelborn froidement, t’as beau être la fille du Mand’alor je ne te permets pas de nous alpaguer comme ça.

- Il ne s’agit pas d’aller tuer ou de prouver quoi que ce soit, intervint Avan pour calmer le jeu, mais d’aller jusqu’au bout.

- Jusqu’au bout de l’enfer, crache Shani méprisante.

- Laisse tomber gamin, fit Bralor en levant la main, les femmes peuvent pas comprendre.

Si elles le peuvent ! Se dit Avan intérieurement, si il y a quelqu’un qui peut le comprendre c’est Ione, sa chère et tendre Ione qui se bat quelque part pour rendre l’univers meilleur, et qui pense a lui toute les seconde. Shani regarda Bralor et l’expression de son visage devint meurtrière, mais le Mando ne bronchait pas, comme si il s’amusait en la regardant perdre les pédales.

- Quoi qu’il en soit, poursuit Avan. J’ai découvert que Rath était autrefois un maître Jedi du nom de Lucien Draay, d’après les archives il connaissait une Miraluka du nom de Qanilia, je me trompe peut être mais je crois que c’est elle qu’il veut soigner.

- Un Sith qui fait ça par amour ? Dit Bralor peu convaincu, ces chakars possèdent un trou noir à la place cœur, et une merde a la place du cerveau, ta théorie n’a pas de sens.

- C’est pour ça que je compte la vérifier sur place, je m’infiltre à la pointe des pieds et je me renseigne. C’est tout simple.

Voyant l’expression de Shani, il ajouta comme pour rassurer la jeune femme qui avait l’age de Mira.

- Je sais me rendre invisible, ne vous en faites pas pour moi.

Elle est trop inquiète pour lui, et se demande bien pourquoi, peut être qu’elle le considère comme un petit frère innocent a protégé à tout prix.

- Maintenant je vous prie de m’excuser.

En sortant de l’armurerie, il trouva Tokio entrain de jouer avec un couteau, instinctivement, il empoigna son Sat’skar. Mais la mère de Shani lui donna le couteau, il était en Beskar et pouvait supporter une lame laser. Le Miraluka la remercia en hochant la tête et se dirigea vers la sortie, Tokio l’observa s’éloigner, impossible de savoir ce qu’elle pensait.

Arriver dehors, la nuit était plus noire que d’habitude, le Miraluka sortit sa lame et ferma les yeux pour prier ses dieux.

- Que le feu et les vents du ciel imprègnent ma lame. Que la glace endurcit mon cœur, que les ténèbres frappent mes ennemis et les maudissent, que la force éclaire ma route jusqu'à a la lumière, ou jusqu'à la mort.

A cette instant le Miraluka disparut comme emporté par le vent, sa mission vient de commencer.

Une vaisseau sortit de l’hyperespace et se dirigea vers la planète Umbara, a son bord une dame noire de la Sith au bras mécanique, et au cœur aussi noir que les tréfonds du néant, Darth Mercurius portait une tenue grise qui moulait chaque muscle de son corps, un visage pale et des yeux dorés par la rage, une haine concentré pour toute vie, car la Chalacta nourrissait qu’une seule obsession, trouver le Miraluka qui a osé l’humilier et le faire payer pour tout, sur Kashyyyk elle croyait le battre, il avait une technique médiocre et son lien bien que puissant le rendait pourtant faillible devant son maîtrise du coté obscure et son expérience du combat, elle a tenu tête a Den Orion en personne sur Koros, et ce petit novice l’a battu non par la force, ou même par le pouvoir, mais par ruse.

Il a deviner qu’elle lisait ses pensées, surtout quand elle se battait contre Lisa Hesse, ses sentiments pour elle était visibles même dans la force, mais le Miraluka s’est montré plus rusé et plus fourbe qu’un seigneur Sith, il empala celle qu’il aimait comme sa mère et la lame lui transperça le poumon, puis lui coupa le bras et l’insulta en lui laissant la vie sauve. Il l’a piégé avec son amour, et fit retourner son pouvoir contre elle. Bien sur elle a croisé le fer contre des Jedi, mais jamais elle n’a croisé d’esprit aussi machiavélique. Sauf chez les Sith, ce Miraluka combat les Sith en utilisant leurs propres armes, tromperie, fourberie, trahison, meurtre. Des dogmes de la Sith, enseignés et pratiqués par les Sith, et retournés contre eux par un apprenti Jedi, un enfant a peine sortit de l’adolescence. Une insulte pour Mercurius, la colère grandit toujours chaque fois qu’elle repasse le souvenir de Kashyyyk.

- Avan Marr ! Murmure-t-elle d’une voix terrible.

Le vaisseau atterrit dans le hangar de la ville, mais déjà elle sent un murmure dans la force, elle leva un sourcille et ferma les yeux, une présence a peine audible, mais sa résonance lui était familière. Ce murmure si bas qu’elle l’entend a peine, oui ! Il est ici sur Umbara, son instinct ne l’a pas trompé, après tout c’est une chasseuse et quand il s’agit de traquer une proie, personne ne la surpasse, le Miraluka est ici sur Umbara et elle sent sa soif de meurtre, elle fronce a nouveau les sourcilles, elle sent quelque chose de différend cette fois, ce n’est pas le même qu’elle a rencontrer, le petit a changé, sa présence dans la force avait grandit, il débordait de confiance, aucune peur, aucune hésitation, comme chez les maître Jedi qu’elle a affronter et tuer, non plus que ça. Elle ne sent aucune émotion comme si quelque chose avait purgé toute émotion négative, c’est un loup assoiffé de meurtre, cette fois le gibier c’est mué en chasseur et la Sith sentit l’excitation galvaniser ses sens. Plus une proie est dangereuse, plus la chasse devient amusante. Elle ferme a nouveau les yeux et sonda la force, il a disparut, elle fit une grimace, il utilise une technique étrange, elle reconnaît bien l’empreinte de Revan, cet homme a toujours pratiqué des techniques pour le moins insolites. Il a sûrement fait des ravages parmi les assassins Sith, ils ne sont pas taillés contre lui, Rath et ses deux acolytes peut être, mais elle ne parie pas trop sur ces deux chiens Kath, en particulier cette Nagaï de Sorcha incapable de maîtriser ses pulsions meurtriers, la passion est une voix vers le coté obscure, mais demeurait insuffisante pour accéder au vrai pouvoir et Sorcha ne le comprendra jamais. Saurod n’est qu’une larve qui passe son temps a léché les bottes de Rath, il ne fera pas un bon Sith de toute manière.

Même Rath la dérangeait un peu, son accession au conseil a été trop rapide, cet homme cache beaucoup de chose a son goût, elle a entendu parler de son accord avec Lycurgue, le premier ministre Corelliens, mais n’y croit pas trop, tout cela n’est qu’une façade, il compte utiliser le bacta a d’autres fins, et elle est ici pour le découvrir, mieux vaut éviter de se faire repéré, mieux vaut que Rath ne sache pas qu’elle est là sur Umbara, elle va attendre, observer et tendre l’oreille, elle laissera le Miraluka faire le travail a sa place, puis interviendra le moment venu, elle fera d’une pierre deux coups, elle découvrira ce que Rath mijote, et aura sa vengeance en même temps, la patience aussi est une vertu Sith.

Les couloirs de l’académie grouillaient de soldats qui utilisaient la vision A.T.H de leur casque. Ils ignorent que son pouvoir n’est pas une illusion mais agit bien dans le monde physique. Avan avançait néanmoins sans faire de bruit, sa technique conjuguée avec sa formation d’assassin le rendait invisible au Sith et aux soldats qui patrouillent, il arriva dans l’escalier et commença a le descendre vers les sous sols sombre de l’académie, il trouva un soldat et passa devant sans que ce dernier ne se doute de quelque chose. Mais sentit soudain une odeur familière, c’était Sorcha, elle portait l’ombre gris, un parfum rarissime qui l’avait trahis sur Bonadan quand elle faillit tuer Mafuyu, cette femme a croisé le fer contre Visas sur Katarr, bien sur elle ne fit pas le poids contre sa mère, mais ce combat l’avait épuisé, pour Avan c’est comme si elle l’avait tuer, sa religion interdisait d’attaquer aux femme, mais pas de venger sa mère. Et puis il a déjà franchit le pas en tuant Bagnag, l’instructrice Sith du corps a corps.

Sans hésiter, il suivit l’odeur et aperçu la Nagaï avec Saurod, le Sith qui portait un casque en acier. Les deux semblaient agités.

- Je ne comprend plus le maître Rath, dit elle inquiète, en ce moment nous devrions êtres au front entrain de saigner nos ennemis, mais nous restons confinés dans cette académie.

- Tu dois te montrer patiente, recommande Saurod. Le maître sait ce qu’il fait.
- La patience est loin d’être une de mes vertus, je veux tuer du Jedi, mesurer mes talents martiaux aux plus grands guerriers de l’ordre.

- Pourquoi tu n’irais parler au maître, tu es son premier disciple, je pense qu’il t’écoutera. Surtout que tu as accès a la salle.

- Il est dans cette salle interdite, et n’en sort presque plus, je n’ose pas aller le déranger.

- Nous devrions aller tout les deux, laisse moi le temps de terminer ma patrouille puis nous irons le trouver ensemble.

- Très bien je t’attends. Soupire Sorcha

Après son départ, elle s’assit sur une chaise et observa le silence un moment, au bout d’un moment. Saurod revint et Sorcha le regarda surprise, il a fait vite.

- Déjà terminé ?

- Autant ne pas perdre de temps, dit Saurod gravement, je viens de recevoir un message de la flotte, Revan se dirige vers Onderon et nous devons tout de suite envoyer des assassin sur le secteur, le maître doit en être informé sur le champ.

- Allons-y !

Les acolytes sortirent de la salle de méditation et marchèrent dans le couloir éclairé de torche, Saurod tournait la tête et regardait nerveusement derrière lui.

- Tu es troublé ! Observa Sorcha.

- J’ai comme l’impression qu’on est suivis ! Souffle le maraudeur d’une voix étranglée.

- Je ne sens rien du tout, dit Sorcha froidement, et puis même si c’est le cas, nous sommes deux contre un.

Arrivé devant la grande porte, Sorcha posa sa main sur un panneau, puis la lourde porte s’ouvrit et un vent glacial frappa le visage de la Nagaï. Les deux hésitèrent quand la voix menaçante de Rath résonna dans le couloir sombre menant a la salle interdite.

- Entrez donc !

Sorcha sentit une peur effroyable parcourir ses poumons, puis inspira longuement et fit un pas quand elle sentit une douleur effroyable dans la poitrine, c’est la qu’elle vit une lame sortir de sa poitrine. Elle fit un hoquet, toussa, et cracha du sang puis tourna lentement la tête, qu’elle était sa surprise en découvrant son assaillant, c’était Saurod son compagnon d’arme.

- Mais que fais-tu ?

Saurod enleva son casque et découvrit un visage blafard avec des yeux limpide, ce n’était pas Saurod.

- Mais qui… ?!

- Chuuut ! Murmure le spectre d’une voix douce.

Délicatement, il l’a déposa par terre et se pencha sur elle, toujours avec ce regard sans expression.

- Tu ne me reconnais pas Sorcha ? Demande le spectre d’une voix incroyablement douce, tu ne reconnais pas mon visage ? Mes yeux ? Ma bouche ? Tu ne te souviens pas de moi.

- Tu es l’assassin, dit elle en gémissant, tu es le spectre des Génoharadans, tu as tué Izmir et Bagnag.

- Ainsi que ton ami Saurod, ne t’en fait pas, tu vas bientôt le rejoindre, Et puis ce sera le tour de ton maître.

Avan lui caressa le visage et Sorcha se mit a pleurer, puis trembla de tout ses membres.

- Je ne veux pas… mourir comme ça… pas comme ça…

- Tu veux mourir au combat ? Une mort reste une mort, que ce soit au combat ou de cette manière. Ce n’est pas une question de mérite, je t’ai posé une question : Tu ne sais pas qui je suis ?

- Non ! Dit elle tremblante, je ne t’ai jamais vu.

- laisse moi te rafraîchir la mémoire, un jour de printemps, tu combattais une Miraluka, une très belle Miraluka aux yeux noirs comme cette nuit, tu ne faisais pas le poids contre elle, et tu sais pourquoi ? Car c’était une Jedi, une grande Jedi qui a redonner vie a un monde mort, une femme merveilleuse, dure mais aimante comme jamais, elle m’a façonner, instruit, et m’a fait accepter ce que je suis, gravement malade elle n’en demeurait pas moins robuste, elle voulait continuer de vivre jusqu’au jour ou elle reverrait son mari disparu.

L’expression d’Avan changea et une peur plus effroyable s’empara de Sorcha, il se pencha sur elle et remonta une mèche de ses cheveux.

- Mais tu es venu avec ton maître des régions inconnues, vous traquiez Revan. Et tu as osé défier ma mère, tu voulais la tuer pour gagner du prestige, tu voulais me la prendre, me l’arracher, je suis intervenu et tu m’as blesser aux yeux, ton visage m’a marqué et je n’ai cesser de penser a toi depuis ce jour.

- Tu es le fils de Visas Marr Orion, dit Sorcha avec une expression de terreur sur son visage. Tu es cet enfant qui c’est interposer quand j’ai voulu lui donner le coup de grâce.

- Ouiiiiiiii ! Ronronne Avan avec un sourire diabolique. Tu te souviens enfin Sorcha.

- Mais je ne l’ai pas tué, implore Sorcha. Revan est intervenu.

- Tu l’a épuisé, dit Avan en sortant le couteau que Tokio lui a donner. Tu lui as raccourcis la vie, sans toi elle aurait pu vivre assez longtemps pour attendre ou aller combattre avec mon père, mais tu as creusé ta tombe depuis ce jour en laissant l’enfant blessé derrière toi, ce qui ne tue pas nous rend plus fort.

- Tu ne peux pas me tuer, tu es un Jedi, un Miraluka, et les Miraluka ne tuent pas de femmes, c’est contre votre religion.

- Parce que ton crime est religieux peut être ? Foudroie Avan d’une voix glaciale, oh que non ma religion n’entre plus en compte désormais, j’exerce mon droit le plus universel, celui de me venger.

Le Miraluka entailla la joue de Sorcha qui gémit de douleur.

- Arrête ! Supplie-t-elle.

- Quelle merveille vous faites, vous les Sith ! Dit Avan d’une voix amusé, vous aimez la douleur car elle vous rend fort, je m’en vais vous subir cette douleur, et vous la partagerez tous.

Le Miraluka traça des lignes sur la peau nue de la Nagaï qui gémissait et pleurait en même temps. Puis planta sauvagement le couteau sur la poitrine de la Sith qui cabra de tout son poids.

- J’ai juré de t’arracher le cœur, comme tu m’as arraché le mien, fit Avan avec un sourire de fous furieux.

Le couloir résonna de gémissement, de bruit de chair arraché, de sanglot et de soupir de satisfaction, l’ombre que projetait Avan contre le mur avec la lumière des torches faisait peur, l’ombre dans le mur montrait un démon sans forme entrain de torturer une proie, une proie gémissante et misérable. Le spectre a tenu parole, il tua comme il a promit et une rivière de sang maculait le sol en brique, il se releva comme un automate, avec le cœur tout chaud de Sorcha dans sa main, il laissa tomber le couteau et marcha en titubant vers la salle interdite de Rath, les choses avaient prit une tournure dramatique, sa vengeance était accomplie, mais Visas restait morte. la vengeance est douce à tous coeurs offensés ; il en faut toujours une, il n'y a que cela qui soulage les cœurs opprimés ; les uns l'aiment cruelle, les autres généreuse. Un homme a toujours le droit de se venger, si peu que ce soit ; la vengeance est bonne pour le caractère ; d'elle naît le pardon. Mais le Miraluka ne pourra pardonner facilement, du moins pas encore, un jour peut être. Pas assez de souvenir pour oublier, pas assez de courage pour pardonner, pas assez de cœurs arrachés pour calmer la douleur, pas assez de Sorcha a tuer pour venger Visas. C'est moi qui ai fait cela, dit ma mémoire. Il est impossible que je l'ai fait, dit mon orgueil. Finalement, c'est la mémoire qui cède. Bénis soient les oublieux, car ils l'emportent même sur leurs bévues, on oublie tout ; on s'oublie soi-même ; on ne sait plus où on est, ni qui on est. Le Miraluka s’assit par terre, remontant ses genoux puis pleura enfin la mort de sa mère. Il sentit des bras le serrer contre une poitrine, des bras robuste, doux et fermes comme ceux de Visas, mais ce n’était pas Visas Marr, c’était Tokio la Mando eu visage brûlé, elle le serra contre elle le réconforta d’une douceur maternelle. D’une douceur qu’il n’a jamais soupçonner chez une femme dure. Mais il se laissa aller et pleura tout de même, Tokio le tint contre elle, mais murmurait des mots avec l’esprit, des mots qu’il entendit.

- C’est du beau travail mon fils.

Ouh la dernière phrase
Par contre j'aimerai réctifier une petite(grosse) erreur:
"la jeune femme qui avait l’age de Mira."
Elle doit pas être si jeune que ça Shani alors car dans Kotor 2
Mira a 23 ans et comme Avan(qu est née pendant cette même période) a 22 ans si je ne m'abuse fait que Mira a 45 ans!
Et je vois mal Shani avoir 45 ans.
Sinon c'est très bien comme d'habitude.

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En te voyant je sais maintenant que Dieu a le sens de l'humour..

très bonne suite, par contre je ne comprends pas la fin, je m'explique, Avan tue sorcha etc etc, et s'assit ensuite sur le sol de l'academie sith, mais pour que tokio le serre dans ses bras, il faudrait qu'elle soit aussi dans l'academie, hors je ne pense pas qu'elle y soit.

Tu peux m'éclairer Tamene s'il te plait ? =)