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Sujet : Le phare et la fontaine des maux

News culture
La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - la révolution simienne est en marche !
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Vil-e-Coyote Vil-e-Coyote
MP
Niveau 10
26 mars 2005 à 15:32:49

Je crée un topic pour poster mon texte envoyé pour le concours JVWC2005 sur le thème imposé del´homosexualité, ce n´est pas l´originale car je l´ai corrigé ( comme je pouvais) et je le présente comme je l´avais avant de l´envoyer ( j´avais plus de 6 pages). En espérant que ça vous plaira car je me suis - pardonnez moi l´expression - bien casser le " Q" :)

TheBoss1606 TheBoss1606
MP
Niveau 10
26 mars 2005 à 15:35:04

Ok bah j´attends le texte avec impatience. :-) :)

Vil-e-Coyote Vil-e-Coyote
MP
Niveau 10
26 mars 2005 à 15:36:56

Le phare et la fontaine des maux

Cher Journal,

Tout d’abord, permet moi de me présenter car Nous allons faire un bout de chemin ensemble : Cyril Jaspard mais mes copains m’appellent C.J {ça se prononce : Si Jay}. Un petit gars de 25 ans qui atteint tout juste son metre septante et qui se lance à peine dans la vie active en agitant, avec platitude, le flambeau de son diplôme d’oisivité invetérée. Un aspirant monarque, qui rève d’un royaume en Autarcie mais qui s’en éloigne jour apres jour. En grosse majorité, autodidacte et apprenti funambule ; tant sur la corde sensible de la poésie que sur le fil volontier plus tenu de la vie. Comprends par la un bohême qui refuse de perdre son âme d’enfant et de rejeter sa part de rebellion puérile, le genre de loustic qui – bien que conscient de la menace d’une épée de Damoclès, prête à trancher le fil – ne s’en contrefout pas moins. Un Jean Foutre dans toute sa splendeur et fier de l’être ; Tu verras pourquoi plus tard, Cher Journal, si Tu es assez perspicace pour comprendre les vestiges d’un être torturé par les labyrinthes de son passé.
Nous sommes le 26 mai 2005. Seigneur, ca fait sept ans déjà…

J’aurais voulu commence par il était une fois…

Si je couche une partie de ma vie en Tes pages vierges, ce n’est pas pour une question de posterité ou même qu’elle soit d’une grande originalité. Non, ce genre de chose est arrivée – et continue d’arriver - à des miliers de gens partout dans le monde et pourtant… et pourtant aucune leçon n’en a jamais été tirée. Partout l’intransigeance et le mépris continue à se déveloper telle une gangrène, irrémédiablement. Le « On » ne loupe pas souvent le coche. Il s’agglutine autour du ragot, telle une sangsue sur une plaie, et le grignote - avec un infime mais infâme bruit de succion - comme si c’était un vulgaire ragoût. ll s’empare du vécu d’autrui et bafoue ce qu’il ne comprend pas.
Que veux-Tu ? Les mouches ont l’ouïe fine. Elles vénèrent la Rumeur, cette Déesse Gargantuesque – aux mille bouches et aux mille langues – qui enfle, et qui enfle sans cesse, sous le flux des potins dont elle s’abreuve avec un un appétit toujours plus titanesque. En effet, se tenant toujours à l’affut : elle a faim, et elle guette avec avidité le prochain jet en provenance de la fontaine des maux, telle une cannibale de la psychee humaine qui attend qu’ « On » remplisse sa prochaine gamelle. Enfin bref.
Non donc, si j’écris ce qui va suivre ce n’est pas par excès d’égocentrisme mais bien pour un exorcisme. En vérite, Tu vas être la croix me permettant de vaincre le démon qui m’a possédé voici sept années. Grâce à Toi Je vais entreprendre la cure qu’Angel, mon petit ami, me pousse à faire depuis des lustres. En réalité, il se nomme Pete DiAngeli, c’est un type tout a fait extraordinaire. Un grand philanthrope incorruptible et d’une sagesse infinie qui me sert aussi d’ange gardien, a ses heures perdues bien entendu. Et comme il me l’a conseillé : il est temps pour moi d’empoigner le taureau par les cornes. C’est finit ! Je ne pactiserai plus avec la bête cornue qui se repaît de ma peur. Pas de compromis ! Je n’écouterai plus les discours grandiloquents, ventripotents et corrompus de l’homme aux pieds fourchus. Je suis peut-être un con promu, mais pas à ce point la. Ca fait trop longtemps que je suis hanté par les fantômes de mon passé. J’ai decidé de partir en croisade contre mes chimères, le goût du péché encore aux lèvres.
La rédemption.sera mon Graal. Tu seras ma bouée de sauvetage dans ces marecages ou je surnage.
Le mal dont je veux me purger n’est pas mon homosexualité - elle n’est pas en cause même si elle est au centre de l’affaire - mais bien les perfides maléfices que laissent en nous de trop terrible secret, dévorant, ruinant et percant petit a petit les défenses de son detenteur. Le secret en question me flagelle l’esprit depuis cette sinistre soirée d’un hiver de 1998 fait de brume, de neige poudreuse et d’un fait divers cruel. Comme bien des secrets, celui ci comprend sa part d’Amour et « d’Amort ».
C’est donc une histoire oscillant entre le miel et le fiel que je me propose de rapporter en Tes pages. Une histoire de haine et de peine, de chaire et de sang : mon histoire. Celle d’un mec paumé et sans repaire devant les multiples choix qu’offre une société bouleversée. Une féroce jungle urbaine négligée, à saciété, par ses « fauves » eux meme delaissés et adeptent de la politique de l’autruche. Ne vas pas croire que mes petites digressions ne soient pas en rapport avec ce qui va suivre : elles sont necessaires ! Du moins j’ose l’esperer car sinon comment pourrait-on expliquer le fait que des monstres tel que Lui existent en si grand nombre ? Ils ne naissent pas comme ca, non, ils le deviennent en mangeant a tous ces rateliers dégénérés qu’offrent les médias et autres télédys… fonctionnements de l’esprit critique. Quand la télé s’en mèle, les neurones se font souvent la malle. Bien sur ca n’explique pas tout mais je suis intimement convaincu que ca joue pas mal. Les requins de la finance ne sont pas directement responsables des maux mais ils n’en ont pas moins les dents longues… surinformation, sous-information et desinformation prolifèrent mais l’information est, désormais, six pieds sous terre…

Tic Tac Toc ! L’étau se ressere…
Les taux augmentent… Scouic, Scouac, et Scroque !

Je me souviens de la blancheur immaculée de la neige ; des formes éphémères que prenaient les flocons à travers le brouillard, ce jour là… j’avais 18 ans. J’avais passé un excellent après-midi à la patinoire avec mon ami sauf que j’avais été sur les nerfs tout le temps, me rongeant le sang en vue de ce que j’allais anoncer ce soir à mes parents. Angel pensait que c’était une mauvaise idée. J’aurais du l’écouter. Quoique… après réflexions, je n’en suis plus si sur… si c’était à refaire peut-être bien que je recommencerai. Néanmoins, j’en souffrais encore aujourd’hui et j’y réflechirais à deux fois avant de réinvoquer un Nemesis de cet accabit…
Ma maman était un paradoxe vivant. A la fois d’un courage si tenace, et si rare, qu’il m’est à jamais interdit de croire que j’en possederais un jour ne fut-ce qu’une quelconque forme. Elle était aussi d’une lacheté affligeante qui me faisait parfois la mépriser. Je lui en voulais - à l’époque - de faire naître en moi des sentiments aussi contradictoires que la dévotion et le mépris. Maintenant, je n’éprouve plus qu’un amour et qu’un respect sans borne pour cette sainte femme que j’admire plus que tout mais il est vrai que j’ai compris bien des choses depuis lors. Quant à Lui… sous ses airs d’ancien militaire : stricte, bien carré et « trop » droit dans ses bottes pour être honnête, c’était le plus immonde des salopards.
Je Te brosse, Cher Journal, le portrait typique d’un macho accro aux coups de crosses et aux taloches…

« Tic Tac ! » Fait l’heure qui tourne, le temps qui se détraque.
« Boum je t’attrape ! » Fait l’ogre qui nous retourne et nous met dans son sac…
… un picnic de plus qui nous estomaque !

… Le tableau pathétique d’un pseudo-boss qui se tripe de son ego, sa moralité passée à la trappe.
Je l’avait surnommé « l’Abominable Acromagnon des foyers » {le néandertalien accro-homme a gnon}. Un malabar vautré devant la téloche avec sa sempiternelle paluche dans le calebar. Le stade utltime du cliché chope\canapé. Cette ordure s’était bien joué de maman. Il lui avait promis monts et merveilles : Il lui en avait fait voir des vertes et des pas mûres ou plutôt ; des bleutées et des fractures… Il se prétendait militaire de carrière, Il devait l’être car Il touchait une pension d’invalidité. Je lui reconnaissais au moins ça : Il avait bien entubé l’armée.aussi. Il était en alors de garde la nuit - pendant la seconde guerre mondiale - quand le camp se fit attaqué, Il profita du choc d’une grenade imaginée pour se faire passer à moitié sourd et à moitié aveugle. Il avait ainsi achever son service à l’abri en tant que cuistot - non que ce ne soit pas honorable - mais Lui, en parlait comme si Il avait été un para-commando de la dernière heure et n’avait fait mention de son état de marmiton. J’avais pour ma part appris la vérité de notre medecin de famille qui ne pensait pas a mal. Ce brave docteur me demanda des nouvelles de Lui car il l’avait connu à cette époque, je l’orientais quelque peu et, de fil en aiguilles, j’en appris plus : en fait j’en savais déjà « trop ». Il était le dernier des hypocrites et un parasite total de A à Z en passant par X et Y.
C’était à ce sauvage - dont je craignais la réaction primate – que j’allais devoir faire accepter mon homosexualité. L’Abominable Acromagnon allait en devenir rouge. De toute facon qu’Il l’accepte ou pas j’ai 18 ans pensais-je, naïf. Si ca part en couac ou que mes pneus éclatent : Je sors mon cric et plante mon bivouac. J’avais fort bien prévu mon coup. Angel possedait un petit studio assez grand pour deux, au cas ou la situation tournerait au vinaigre. Bigre, c’est qu’il en venait presque à prier pour que ca dérape ce bougre… Sept ans plus tard un sourire me monte encore au lèvres en repensant à ce qu’Angel m’avait dit dans sa voiture ce jour là : « Baroum bardouf m’wana m’wana ! Ce qui veut dire dans le langage pittoresque du néandertalien de base courant : Si l’Acromagnon te chasse de sa grotte, sache que la mienne t’es ouverte, mon jeune chainon manquant ! C’est tout ce que j’ai à dire. » Le sourire à jauni avec le temps car cette scène a pris l’allure d’une vision prophétique douloureuse. Non pas que l’amour adjacent ai disparu mais parce que les évènements qui se sont passé ce soir la ont teintés ce souvenir d’une aura funeste. Tout cela, je m’en souviens comme si c’etait hier. Je me rappelle de la nervosité qui me contractait le corp alors que Pete « Angel » DiAngeli me ramenait chez moi, des frissons que j’éprouvais à l’idée de rompre le climat malsain habituel – de plus en plus palpable – des repas familiaux dont l’atmosphère glaciale et insalubre empirait au gré des ans, de quelle manière j’avais embrassé Angel en sortant de sa voiture : avec la fougue de l’adolescence mais aussi et surtout, avec une angoisse bien trop adulte… ou encore de comment je m’engouffra – l’esprit ouvert à la brume - dans l’allée du 45 rue des esquisses.
Ici, Nous entrons au coeur des bris d’une amertume couvée. Tu vas acceuillir en Ton sein la mélopée de mon malheur, sous l’egide du glâs de ma souffrance et des bruits d’une rancoeur eclatée. Ici, Nous pénétrons dans le placard ou mes squelettes croupissent et ou leurs miasmes viciés dansent la sarabande sur l’air lugubre d’une flute d’os. Sur cette mélodie, je n’ai pu fermer l’oeil pendant bien des nuits… piegé tel un insecte dans un attrape-rêve.
Aussi loin que je me souvienne – jusqu’à mes quatre ans donc ça fait vingt-et-un ans pour être précis - je l’ai toujours hai. Lui, ce porc qui n’a jamais rien trouvé de mieux à faire que de rabaisser ceux qui étaient plus faible pour se donner un semblant de vie. Le hall d’entrée donne directement sur le salon, ce qui fait qu’on est obligé de passer dedans. Et devines, Cher Journal, qui est d’emblée dans le canapé faisant office de perchoir pour ce rapace friand d’emission à scandal ? Je Te le donne en mille, oui c’est Lui. Je vais Te donner un exemple du genre de salutation qu’on avait l’un envers l’autre, jours après jours, et du langage chatoyant dont Il raffolait :

- Tu ne me salue pas p’tit morpion ?
- bonjour…
- C’est quoi ces couinements de gorets ? J’entend rien p’tite pédale ! J’ai pas mis au monde une larve de p’tit branleur !
- Bonjour…
- QUOI ? Je m’en vais t’apprendre le respect moi bordel de merde. Bonjour qui lopette ?
- BONJOUR…. Père !
- Espèce de Jean Foutre ! Quand j’étais à l’armée…

J’arrète là les fraits car c’est assez ; l’outre est pleine, pleine de rage, pleine de fiel. Je pense que Tu as compris une ou deux petites choses maintenant sinon c’est que je m’y suis mal pris… voilà comment était mon train train quotidien. Tiens c’est marrant ca me fait songer que c’est le seul qui n’est jamais en retard et le seul qu’on ne rate ( presque) jamais non plus d’ailleurs… Mes wagons était du style de cette farce grotesque, cette comédie macabre dont les actes se répetaient sans cesse et me donnait l’impression d’être dans un film noir et desabusé de la fin des années 50.
Je traversais donc le salon en coup de vent, le salua d’une voix à peine audible et coupa court – en m’enfuyant vers le sanctuaire - au sermont qui naissaient sur sa bouche. Rien à battre je savais bien qu’il y avait je ne sais quelles foutaises abrutissantes qui passaient à la télé maintenant. Du genre tout le monde en parle avec des guillemets… Peuh ! Et vas-y que ca se discute à coup de kalashnikov. Je dois néanmoins remercier ce carnaval de faux-culs en col blanc car ainsi Il n’avait pas de temps à perdre pour me coller une trempe et m’apprendre le « Respect ».
Ma mère passait une grosse majorité de son temps dans ce sanctuaire dont elle était la gardienne ou la grande prétresse : la cuisine.

Vil-e-Coyote Vil-e-Coyote
MP
Niveau 10
26 mars 2005 à 16:14:43

Arf j´avais oublié... normalement à chaque fois que je parle du père les " Il" et les " Lui" sont en italique et leur première lettre en majuscule, ce qui lui donne une présence imposante, presque menacante avant même qu´on en entende parler. Pour le journal c´est pareil les " Tu", " T´" et les " Tes" sont en italique et le journal est un personnage à part entière dans le récit. :)

Breve Breve
MP
Niveau 5
29 mars 2005 à 19:39:42

Comme tu me l´as demandé, je vais te dire ce que j´en pense :

Je dois dire que tu m´as bluffée sur ce coup là...

Malgré les fautes, il y a un véritable travail de style sur ton texte. Des allitérations aux assonances, des métaphores aux allégories,...

Bref : ton texte et son ensemble m´a conquise, j´adore son lyrisme et sa noirceur. J´adore ton jeux de mot sur l´acromagnon, il personnifie le père ( le tien ? ) et lui donne une image de monstre avant même qu´il apparaisse dans le dialogue. Ta chute est superbe elle aussi.

Tu pourrais me mailer ton texte pour que je me rende compte par moi même de ce que tu veux dire avec l´italique ?

P.S: Vivement d´autres écrits !

Vil-e-Coyote Vil-e-Coyote
MP
Niveau 10
29 mars 2005 à 19:58:46

:ouch: Et ben... merci c´est tout ce que je trouve à dire.

Non c´est pas de mon père qu´il s´agit, en tout cas pas entièrement. Je me doutais bien que ca te plairait mais pas à ce point là :)

Mieux je te les photocopierais et je te les filerais en mains propres :ok:

mere_denis mere_denis
MP
Niveau 10
30 mars 2005 à 07:44:00

C´est un beau travail, coyote. :ok:
Très interessant dans sa forme et sur son fond.
Tu présentes visiblement des dons pour la narration, et tu le fais d´une façon très originale.
J´espère comme Breve, que ce n´est pô trop autobiographique... LOL!

bakou bakou
MP
Niveau 10
30 mars 2005 à 14:25:42

Coyote, il y a quelques défauts faciles à corriger : trop d´adjectifs par exemple, et des conjugaisons bizarres ( je m´affala)LOL
Mais ton récit est formidablement mené
avec en plus un sens de l´expression qui touche droit dans la cible
Un grand bravo

Vil-e-Coyote Vil-e-Coyote
MP
Niveau 10
01 avril 2005 à 17:15:55

Merci à tous pour vos chaleureux commentaires :)

Pour les fautes ça va aller en s´améliorant car si ça fait vraiment longtemps que je lis, ça ne fait pas très longtemps que j´ai décidé de me lancer et je suis en train de relire tout ce qui est règle de grammaire, de conjugaison,...

Sinon, je pense qu´un texte est toujours un tantinet autobiographique mais je n´ai tué personne, rassurez-vous ; )

Il y a juste la première partie du premier paragraphe qui est un peu autobiographique :rouge:

redsissi redsissi
MP
Niveau 10
02 avril 2005 à 09:02:23

J´ai un peu perçu ce que tu dis Coyote... pour l´autobiographie et aussi les majuscules pour le journal et le père pour leur donner de l´importance... mais bon sang! tu aurais dû commencer à écrire avant!

J´aime aussi le rythme, le vocabulaire très riche que tu emploies, oui y a beaucoup de fautes mais bon... un peu de travail et d´attention et je suis sûre que tu en corriges plusieurs... si t´as besoin d´un coup de main pour la correction fait-le moi savoir... je savais pas du tout que tu avais ce talent... persiste... j´ai pas tout lu encore seulement le premier bloc mais je vais repasser lire le suivant là je suis trop crevée...

Tout le forum + 35 va te suivre ici??? :ouch:

redsissi redsissi
MP
Niveau 10
02 avril 2005 à 15:39:28

Bien trouvé le truc du phare... cela vient adoucir la fin plutôt sanglante et macabre, assez dure somme toute, mais pas plus que le personnage du Père, on s´attendait un peu à ce qu´il finisse dans une marre de sang... que l´un des deux personnages finirait par le tuer... façon comme une autre de voir la lumière au bout du tunnel. Y a aussi une référence à la noirceur du personnage du Père et à la douceur de celui de la mère...

bakou bakou
MP
Niveau 10
03 avril 2005 à 17:18:04

Coyote, tu as déjà participé à un concours de nouvelles ou un truc comme ça ?

Vil-e-Coyote Vil-e-Coyote
MP
Niveau 10
26 avril 2005 à 16:50:20

:hap: merci beaucoup Red

Tout le + de 35 ? Ben je sais pas, j´ai fait un peu de pub pour mon texte c´est tout :rouge:

Bakou,

Pas encore mais j´y pense fortement... en fait je suis en train de reblquer la bonne vieille théorie de la langue française, je trouve que je fait encore trop de faute pour participer à un concours mais je m´y prépare :hope:

En tout cas merci pour vos comm et dsl du temps de réponse

bakou bakou
MP
Niveau 10
30 avril 2005 à 00:16:41

eh bien penses-y vraiment
fais relire ton texte par quelqu´un qui pourra corriger un max de fautes ( orthographe et grammaire)
comme je t´ai dit, les passés simples farfelus vraiment ça ne pardonne pas

mais le plus important, c´est que tu as un vrai style, comme a dit Breve,
et que quand on a lu le premier paragraphe, on est accroché

Alors lance-toi et tous mes voeux :-))

Vil-e-Coyote Vil-e-Coyote
MP
Niveau 10
30 avril 2005 à 10:39:57

Merci, je vais vraiment essayer ; )

En fait, je fais mes premières armes ici pour essayer de m´améliorer mais mes meilleurs idées de nouvelles et de romans, je ne les postes pas ici mais j´y travaille...

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