Sur le forum, il y à un topic des communistes, un topic du bloc identitaire, et même un topic pour soral !
Je pense qu'il serait intéressant d'ouvrir un topic pour échanger entre libertaires (et avec les autres, j'suis pas sectaire), pour les actus qui nous intéresse, en tant que libertaires, pour analyser la scène politique...
Ou tout simplement pour se remonter le moral dans ce monde d'autoritaristes...
Vive la dictature du prolétariat
quand on parle d'autoritaristes...
Pourquoi faire un topic sur l'anarchie et parler de libertaire? Vous n'avez pas le monopole de l'anarchie...
Le topic qui sent la baston entre libertaires et anarcaps.
La dictature du prolétariat est la dictature du prolétariat sur le reste de la population, étant donné que le prolétariat compose 99% de la population, c'est largement démocratique que les 99% imposent leurs vision au 1% restant.
Après tout ici le PS gagne avec 55% des voix et imposent sa vision sur les 45% des autres parti politiques donc la dictature du prolétariat est largement plus démocratique que le multipartisme actuel.
Sauf que beaucoup aujourd'hui n'ont pas compris qu'ils font parti du prolétariat tels que tout les ouvriers votant pour le FN.
Allez bonne journée les anarcaps et libertaires
Laisse la "dictature du prolétariat" aux marxistes-léninistes.
C'est quoi le prolétariat? Parce que les ouvriers sont absolument pas majoritaire dans les pays développés.
Yup. C'est un peu le problème du XXème siècle. Si le peuple prend le pouvoir, c'est plus la dictature des middleclass conservatrices que des prolétaires qui s'installe. Et c'est encore sur les classes moyennes que s'appuient les Républiques pour conserver leur pérennité.
Exemple historique de dictature de la classe moyenne: *censuré pour cause de Point Godwin*
Et c'est pas forcément les moins biens lotis
Moi je me sens attiré par l'anarchisme en ce moment, principalement par dégoût de la classe politique, ces corrompus qui nous imposent leur décision.
Pour moi, la démocratie représentative s'apparente à de l'oligarchie...
La classe du prolétariat regroupe les ouvriers et les fonctionnaires, la moyenne classe comme la basse classe ...
Étant donné que les frontières entre la classe moyenne et la basse classe diminuent chaque jour.
Tout ceux qui ont leur moyen de production contrôlés par une entreprise ou une personne.
Non, si on s'enfonce dans la définition des classes, la première chose est de ne pas faire du cadre d'entreprise tertaire, du professeur et de l'ouvrier des alliés dans une hypothétique lutte. Leurs intérêts, leur condition et leurs aspirations sont différentes.
Et je parle en généralités, inutile de me tomber dessus.
Les fonctionnaires catégorie A de Bercy sont donc de nobles prolétaires alors qu'un agriculteur pauvre ne le serait pas ? De même Marx chie allègrement sur les paysans (qui sont pourtant à l'origine de nombreuses révolutions y compris des révolutions socialistes ) et le lumpenprolétariat (si je me souviens bien de mes lectures c'est dans le 18 Brumaire de Napoléon Bonaparte).
Quand à la pensée qu'une classe sociale est (ou peut être) homogène dans ses aspirations politiques...
Ce débat n'a pas grand chose à faire ici étant donné que les anarchistes ne prétendent pas être la voix des seuls "prolétaires" .
La définition de ceux-ci peut varier, ca n'a que bien peu d'importance.
"Moi je me sens attiré par l'anarchisme en ce moment, principalement par dégoût de la classe politique, ces corrompus qui nous imposent leur décision.
Pour moi, la démocratie représentative s'apparente à de l'oligarchie..."
L'anarchisme, ce n'est pas juste le rejet de la classe politique actuelle, c'est le rejet de la classe politique dans son esemble, par sa position de dominant. C'est pas juste refuser, et puis repartir vers la sociale démocratie dès que la crise est finie ou qu'on à des politiciens intères (si ce n'est pas un oxymore).
D'ailleurs, la démocratie représentative n'est pas la seule chose rejeté par l'anarchisme, la démocratie directe l'est aussi dans certains cas, si tu ne fais que remplacer une entité humaine (le politicien) par une entité morale (le programme, les différentes parties du programme), ça ne change rien au problème...
La solution consisterai à prendre possession de chaque lieu, et de l'auto organiser entre les personnes concernés par ce lieu : quartiers définis, usines, locaux, endroits culturels, tout et n'importe quoi. Et, si la solution pour l'autogestion utilisée est la démocratie directe, ne pas forcer quelqu'un à faire quelque chose pour quoi il n'a pas voté (c'est un principe qui était très utilisé dans les sociétés amérindiennes d'amérique du nord=> assemblée, vote, et un personne qui n'a pas voté une décision n'est pas obligé de le faire).
Pour ce qui est du débat sur le prolétariat, je pense que c'est une notion dépassée. La ou je mettrais plus la lutte, c'est dans un contexte dirigeant/dirigé. Ainsi, qui est le dirigeant, qui est le dirigé ? D'un coté, on peut opposer grands patrons, financiers, politiciens, et toute forme de hiérarchie autoritaire, et y opposer les salariés, les petits patrons qui taffent sans être réellement le chef de leur petite boite, plutôt le gestionnaire, les employés, les petits fonctionnaires, etc...
"Moi je me sens attiré par l'anarchisme en ce moment, principalement par dégoût de la classe politique, ces corrompus qui nous imposent leur décision.
Pour moi, la démocratie représentative s'apparente à de l'oligarchie..."
L'anarchisme, ce n'est pas juste le rejet de la classe politique actuelle, c'est le rejet de la classe politique dans son esemble, par sa position de dominant. C'est pas juste refuser, et puis repartir vers la sociale démocratie dès que la crise est finie ou qu'on à des politiciens intères (si ce n'est pas un oxymore).
D'ailleurs, la démocratie représentative n'est pas la seule chose rejeté par l'anarchisme, la démocratie directe l'est aussi dans certains cas, si tu ne fais que remplacer une entité humaine (le politicien) par une entité morale (le programme, les différentes parties du programme), ça ne change rien au problème...
La solution consisterai à prendre possession de chaque lieu, et de l'auto organiser entre les personnes concernés par ce lieu : quartiers définis, usines, locaux, endroits culturels, tout et n'importe quoi. Et, si la solution pour l'autogestion utilisée est la démocratie directe, ne pas forcer quelqu'un à faire quelque chose pour quoi il n'a pas voté (c'est un principe qui était très utilisé dans les sociétés amérindiennes d'amérique du nord=> assemblée, vote, et un personne qui n'a pas voté une décision n'est pas obligé de le faire).
Pour ce qui est du débat sur le prolétariat, je pense que c'est une notion dépassée. La ou je mettrais plus la lutte, c'est dans un contexte dirigeant/dirigé. Ainsi, qui est le dirigeant, qui est le dirigé ? D'un coté, on peut opposer grands patrons, financiers, politiciens, et toute forme de hiérarchie autoritaire, et y opposer les salariés, les petits patrons qui taffent sans être réellement le chef de leur petite boite, plutôt le gestionnaire, les employés, les petits fonctionnaires, etc...
Oui, les politiciens pourris existent depuis la nuit des temps.
En tout cas, en ce moment je me sens "anarchiste nationaliste" (rejet de l'Etat mais pas de la nation en tant qu'entité culturelle).
anarchiste nationaliste, ben putin mon cochon. L'anarchisme, c'est la liberté, ça s'oppose à toute forme de nationalisme, quel qu'il soit.
Absolument pas, car il parle de l'héritage culturel.
Maintenant si l'anarchisme, c'est se forcer de tout abandonner sous la contrainte idéologique, y a une sacré contradiction au niveau doctrinal.
Si les anarchistes arrêtaient de tout rejeter en bloc et utilisaient un peu leur cervelle, ils seraient plus crédible qu'aujourd'hui.