Toujours aussi bien, continue comme ça!

un gros
Fic très bonne

A quand la suite?

J'allais m'y mettre

Le 8-bit vaincra
http://www.youtube.com/watch?v=TXvSkeYoPeE
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Ah oui, j'oubliais, mais si vous aviez choisi les toits, Sean serait mort, et si vous aviez choisi les bâtiments se serait la fillette qui serait morte

Le 8-bit vaincra
http://www.youtube.com/watch?v=TXvSkeYoPeE
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Putain j'aurais pu mourir !

Comme quoi, les choix ont vraiment de l'influence

Le 8-bit vaincra
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J aurais bien voulu que la fillette meurt!! je sais je suis un sadique ha ha

Chapitre 3: En captivité

-Réveilles-toi! Salaud!

Le coup que je me pris me fis brutalement ouvrir les yeux. J'avais extrêmement mal à la mâchoire, comme si on m'avait tapé dessus depuis des heures. J'étais face à un homme, un soldat Serbe d'après son uniforme, et surement un assez haut gradé. J'étais pieds et mains liées, accroché à un poteau de fer. La lumière de la salle était maigre, et je ne pouvais pas voir dans les angles. Il y avait deux autres soldats en plus du chef, dont l'un qui tenait une grosse barre de fer de manière menaçante.

-Alors on est réveillé hein? Alors maintenant parle! Qui es-tu? Un Croate? Ou un Bosniaque?

-Envoyez moi six pieds sous terre dès maintenant, je ne répondrais pas, lui crachais-je au visage.

Visiblement ma remarque ne lui plu pas beaucoup, il fit un signe à l'homme avec le morceau de métal.

-Tu es Russe vu ton accent non? Mais qu'es-tu? Enfin bref, tu n'as surement pas peur de la mort, mais ce que nous allons t'infliger est cent fois pire que la mort... je te donne une chance, parle!

-Non.

L'homme s'avança vers moi et abattit sa matraque en plein dans mon épaule gauche. La douleur m'arracha un cri d'animal. Il me l'avait surement déboiter. Je commença à sue et à trembler. Le soldat prit un couteau mais son supérieur le retint. "Il faut quand même qu'il puisse parler!" Il acquiesça et s'approcha de moi. La douleur surgit brutalement quand il planta son arme dans ma cuisse, je hurla de nouveau. Mais il ne s'arrêta pas là, il tourna lentement son ustensile dans la plaie, me faisant subir une véritable torture. Puis il frappa dans la cuisse avec un poing américain.

La souffrance était insupportable mais je ne devais rien dire à propos des Black Bullet, nous étions un groupe secret, si notre existence était révélée, tout les états perdraient leurs notoriétés. Ne pas parler, pas un souffle.

Il enchaina avec un coup de pied dans les parties, là s'était trop. Puis il partit prendre un peu de verre sur une table. J'ouvris des yeux grands comme des soucoupes en comprenant ce qu'il allait me faire. Son camarade m'ouvrit la bouche de force et il l'y posa, puis il me força à mâcher. Toute ma bouche était déchiqueter à ce moment là, mes joues étaient lacérés, des morceaux de chaires étaient arraché, ma langue était pleine de coupure. Je cracha tant bien que mal chaque bout de verres, puis il s'approcha avec un petit paquet de poudre blanche, scintillante. Du sel. Je secoua la tête, refusant de subir plus. Le chef souri et se rapprocha de moi, avec une cigarette dans la bouche.

-Parle, dit-il en approchant dangereusement celle-ci de mon œil gauche.

Ne pas parler. Ne pas parler.

-Non...

-Soit, et il l'écrasa dans mon orifice, me brûlant abominablement. Je m'écrasa alors, sentant le noir m'entourer, les ténèbres et rien que les ténèbres...

...

J'ouvris lentement les yeux. Je remarqua alors quelque chose qui me terrifia. Je ne voyais plus. Du moins de l’œil gauche. Et je sentais mon corps entier hurlant vengeance, souffrant de partout. La salle était vide, je n'avais aucune notion du temps, qui sait, était-ce la nuit? Le jour? midi? Minuit? tout mes sens étaient chamboulés et je n'avais qu'une idée en tête: me sortir de là au plus vite.

Je chercha le moindre indice me permettant de fuir. Les ustensiles étaient sur la table, à deux mètres de moi, j'étais attaché au même poteau par des chaines en fer, celui-ci était en plein centre de la salle, la porte était à la même distance que la table. Une solution, il me fallait une solution. Elle était là. Le couteau.

Ils l'avaient laisser, planter dans ma chaire, perpendiculairement à la plaie pour l'ouvrir au maximum. Je fis un énorme effort en déplaçant ma jambe vers ma main gauche, la droite n'étant plus utilisable. Je sentis tout mes muscles, chaque veine, chaque morceau de chaire se tendre et hurler de douleur. J'attrapai le couteau je le retirai violemment. Du sang gicla par terre. J'entrepris de scier la chaine avec la petite arme, cela prit du temps, peut-être une heure, peut-être une minute, mais pour moi ce n'était plus une question de temps: C'était une question de vengeance.

Le fer céda. J'étais libre. Mais j'entendais déjà mes tortionnaires revenir, je me faufila dans un des coins, me rendant compte que ceci était réellement totalement plongé dans les ténèbres. En entrant ils ne me virent même pas. Ils regardèrent juste le poteau bêtement, jetant des coups d’œil aux alentours. Ils filèrent alors sonner l'alerte, j'attendis quelques secondes et je les suivi à distance respectable. Oh non pas d'alerte.

Les deux péons partir à ma recherche pendant que le chef allez au poste radio. C'était lui que j'allais avoir en premier. Tel son ombre, je le traqua à travers les couloirs plongés dans l'obscurité. Il ouvrit une porte et entra dans une salle déserte ou se trouvait justement le poste radio en question. je m'approcha doucement pendant qu'il faisait les réglages et je lui tapota l'épaule.

Il se retourna et je lui colla mon poing dans la figure. Il tomba par terre et lorsqu'il me vis, il pâlit à une vitesse fulgurante. Me voyant approcher il voulu crier à l'aide mais je me jeta sur lui pour le faire terre avec ma main valide qui tenait le couteau.

-Chut, chut chut chut... il ne faudrait pas attirer tes amis n'est-ce pas?

Il blanchit de plus en plus, ne pouvant hurler. Je vis une scie à bois sur le bureau et une idée me vint. Je le ligota rapidement, je m'assura que la salle était insonorisée, puis je me saisi de la scie. Je tendis sa jambe, cherchant la partie où l'os était le plus dur. Juste après le genou. Et je scia. Il hurla, il hurla de toutes ses forces, il hurla tout les noms, il hurla. Et comme je le souhaitait il se mordit la langue sans faire exprès, s'infligeant encore plus de douleur. Finalement je ne poussa pas trop le vice et je l'égorgea. Je n'avais pas de temps à perdre.

Il fallait trouver l'infirmerie pour m'appliquer les premiers soins. Je me faufila de nouveau dans les couloirs de ce qui devait être un bunker et je la trouva. Là bas je pris des bandages et un livre sans me faire repérer, les médecins étant bien trop occupés par les deux ou trois patients. Je trouva un placard à balais où je pu bander ma jambe et mon œil en toute tranquillité. Dans le livre je trouva comment remboiter mon bras. Je me saisi de celui-ci et je donna un coup sec vers le haut. La douleur me surpris, mais le bonheur de pouvoir de nouveau bouger mon membre la dominait.

Maintenant il fallait sortir d'ici, par n'importe quel moyen.

Le 8-bit vaincra
http://www.youtube.com/watch?v=TXvSkeYoPeE
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Super gore !

Suite !

C'était une partie spécialement sanglante en effet et je n'en ai pas prévu d'autre pour l'instant, en tout cas vous avez sans doute remarqué les références:

À la campagne de Black Ops avec le verre
À la campagne de World at War avec la cigarette
À Game of Thrones avec le coup de la scie (Bien que dans Game of Thrones ils amputent car c'est nécessaire et ils passent même un gant à mordre au patient pour pas qu'il se coupe la langue )

Le 8-bit vaincra
http://www.youtube.com/watch?v=TXvSkeYoPeE
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J'ai pas vu Games of Thrones

Tu dois

Le 8-bit vaincra
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Super j adore quand c est gore!
Toujours aussi bien continue!

A quand la suite?

Quand je trouve le temps et l'inspiration

Le 8-bit vaincra
http://www.youtube.com/watch?v=TXvSkeYoPeE
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Ce topic est il mort?

En fait je tient deux fics en même temps alors j'essaie de pas trop laisser dépérir l'autre qui n'a pas eu de chapitre depuis le 20 avril

Ah ok... Depeche toi de faire l autre comme ça tu continu celle la