Fallait le dire si vous vouliez un deuxième récit

Bon, aujourd'hui faut que je bosse pour mes propres examens et je vais passer le peu de temps libre que je m'accorde à profiter du soleil et d'un bon livre, normalement demain il fera moche, je pourrai prendre mon tour

Sauf si bien évidemment death-kuja2 revient d'ici là ! Si oui, signale-le

Hasj4 I [a régné un total de 18 ans]
death-kuja2 I [a régné un total de 54 ans] (à toi !)
Bigrat I [a régné un total de 19 ans]
Mister_Pingou I [a régné un total de 29 ans]

Bon, je m'y mets

Fais plaisir à papa. Récupère Constantinople.

Bon, je viens de jouer une petite heure, on peut dire que ça avance bien...

Les suomenusko sont toujours aussi chiants avec leurs légions qui sortent d'Oblivion toutes les deux semaines.

17 années de jeu écoulées, mon perso a maintenant 42 ans... compte tenu de l'espérance de vie moyenne de la famille, m'en reste encore 15 à jouer, ce sera pour ce soir

J'ai laissé l'IA jouer en mode observe pour voir.
Stanislav a réussi à mourir avant Zenobia. ...

J'ai cru que ça allait m'arriver aussi puisque... après deux ans de règne, j'ai été blessé au combat, m'a fallu près de huit ans pour guérir de la blessure

http://www.supportduweb.com/page/images/uploads/gifAsm_tuuSebodWppr2627.gif

J'ai posté trop vite. Voici pour accompagner mon image.

Une prophétie raconte que des démons venus de l'Est ravageront nos terres et que seul un Rukovich en possession du Saint suaire arrivera à les bouter hors de ce monde.

Encore 10 autres années écoulées.

Va y avoir quelques surprises...

Oh mon Dieu, un Jihad pour Grèce réussi ? Un pour Italie réussi ? 3/4 du territoire bouffé par des gogoles ?

Voilà, je suis mort ! Après toutes ces guerres et toutes ces batailles, mon perso a été terrassé par les Mong... euh, non en fait, ce con est mort d'un rhume.

Le résumé, les screens et la save ce soir !

Est-ce sérieux descendant?Pour la peine,t'aura droit à un trône en fer,c'est tout

Un trône de fer ? Oh mais ça me va tout à fait, merci.

Bon, je m'attaque à l'écriture du résumé.

On frémit d'impatience.

Oui, bien que 3 heures après

Bon,dépêche toi un,j'ai eu 3 fois le temps de me faire toutes les belles russes,y compris mes descendantes,ayant jamais existé et je vais bientôt finir de rédiger la biographie complète de chaque russe

Minute, y'avait 40 ans de règne, y'avait des trucs à dire
... Bon d'accord j'ai arrêté pendant un petit moment pour aller regarder le Game of Thrones de la semaine.

Voilà donc le récit de cette partie... En résumé même si c'est le pavé de l'année.

[Edit] JV m'informe que le message est trop long donc je vais le mettre en deux parties.

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PARTIE I

Il y a quelques mois, j’ai revêtu des habits de simple civil et je me suis promené dans Moscou, pour aller à la rencontre de simples citoyens et connaître leurs préoccupations. Dans une taverne, j’ai rencontré un vieil homme qui m’a dit « J’ai l’impression de t’avoir déjà vu… Qui es-tu ? ». Qui suis-je, vieillard ? Tu ne le sauras jamais, mais je suis le Tsar Stanislav, je suis le bras de Dieu, je suis le porteur des mille couronnes, je suis le seigneur des empereurs… Je suis la lumière de ce monde.
Je joins à ce testament politique des extraits du journal que j’ai tenu durant l’intégralité de mon règne. Puisse l’étude de ces extraits inspirer mes successeurs et les conduire sur la voie de la justesse, de la justice, et de notre Seigneur Jésus-Christ.
Année 1186
- 5 août : Mon illustre père Vladislav, premier Tsar de toutes les Russies, est mort. J’ai hérité de tous ses titres, car je suis son seul enfant mâle et son successeur légitime. Je promets de rendre mes ancêtres fiers, et de faire en sorte que, dans mille ans, le nom de « Rukovich » soit prononcé avec le même respect que l’on prononce aujourd’hui celui de Caesar ou celui d’Auguste. Mon père avait entamé une guerre sainte pour Perm, je compte bien la mener à terme et répandre la parole de Dieu en ces terres païennes.
Année 1187
- 15 janvier : Perm a rejoint la chrétienté. J’ai décidé de nommer le cadet de mes fils, Simeon, âgé de tout juste quelques semaines, évêque honoraire de Perm. Il grandira dans un environnement épiscopal afin de servir Dieu.
- 2 novembre : Le roi de Hongrie, avec lequel je suis pourtant allié, est un traitre : il a attaqué les frontières du Basileia Tôn Rhômaiôn, détenu par ma noble mère. En conséquence de quoi, j’ai demandé à mon beau-frère, Tverko, le frère du roi hongrois, qu’il se convertisse à la religion orthodoxe et abandonne la religion catholique. Il a accepté : je peux donc envahir la Hongrie et placer Tverko sur le trône. Je justifierai cela auprès de l’Église par une guerre sainte, et auprès des vassaux par le fait de porter assistance à ma mère, notre alliée.
Année 1188
- 2 avril : Les Hongrois se défendent bien. Nos armées se sont rencontrées pour la première fois ; j’ai été blessé par une flèche. C’est douloureux, mais la bataille est gagnée, alors qu’importe !
Année 1189
- 20 juin : Les Hongrois ont appelé les Polonais à l’aide, et ceux-ci ont envoyé pas moins de dix mille hommes. Une grande bataille vient d’avoir lieu, opposant cinq mille Hongrois et dix mille Polonais à vingt mille Russes. Notre victoire a été incontestable, et le roi de Hongrie a été capturé. Il n’a eu d’autre choix que de renoncer à son trône.
Année 1190
- 12 janvier : En guise de compensation pour les nombreuses vies perdues, j’ai envahi la Pologne. Nous leur avons ravi le comté de Sacz, à titre de payement, et pour qu’ils se souviennent que l’on n’attaque pas le Tsar sans s’en mordre les doigts. Je vais profiter du fait que mes armées se trouvent dans ce coin-là pour christianiser un peu plus la Lituanie.
Année 1191
- 24 janvier : Il est temps d’achever l’œuvre commencée par ma grand-mère Rogneda. La Finlande deviendra chrétienne !
- 17 octobre : La couronne de Finlande m’échoit désormais. Il ne reste plus que quelques petites poches de paganisme à éradiquer, ce sera fait sous peu.
- 24 octobre : Le grand chef d’Estonie, impressionné par notre puissance, se vassalise sans combattre.
Année 1192
- 14 mai : Jon af Haudakalur, prince de Norvège, est arrivé à ma Cour. Il me propose de se convertir à l’orthodoxie, en échange de quoi il veut que je le place sur le trône norvégien. Il jure d’être mon vassal et de convertir la Norvège à l’Église d’orient… J’accepte.
Année 1193
- 7 janvier : Mon fils aîné, Vladislav, est désormais majeur. Son éducation est ma plus belle réussite.
- 17 juillet : Accueillez tous le Roi Jon de Norvège ! Le Tsar régit désormais la vie des Norvégiens. Mes ordres ont force de loi jusqu’en Islande.
Année 1194
- 18 juillet : Je suis embarrassé. Mon fils Vladislav n’a rien trouvé de plus intelligent à faire que d’engrosser une servante. Je lui ai ordonné de garder l’enfant et d’en prendre soin : ce petit Davyd est un bâtard, mais il est de mon sang.
Année 1195
- 26 mai : J’ai l’art d’attirer à ma Cour les princes déchus ! Le prince Dujam, le fils de l’ancien roi de Croatie, m’a proposé le même marché que Jon de Norvège. Il s’est converti à l’orthodoxie, et les armées du Tsar marchent désormais vers Zagreb.
- 5 novembre : Une bien bonne nouvelle : j’ai appris que les grands chefs des Coumans s’étaient réunis et avaient décidé de faire de moi leur roi légitime. Ils me demandent de les aider à combattre les musulmans, qui sévissent à l’est de leur contrée… Ce sera avec plaisir que le Tsar aidera ses loyaux sujets.
Année 1196
- 19 janvier : Le Tsar a placé Dujam sur le trône de Croatie. Nous avons désormais un accès direct à la mer Ionienne. J’ai mené ces troupes moi-même, et j’ai fait un détour par le Basileia Tôn Rhômaiôn pour revoir ma chère mère.
Année 1197
- 17 avril : Le Tsar tient toujours ses promesses. Je viens d’envoyer vingt mille hommes combattre les musulmans de l’est et protéger les Coumans.
Année 1198
- 20 juin : Musulmans de l’est anéantis. Les Coumans acclament le Tsar, même s’ils sont païens. Je vais envoyer des missionnaires pour les convertir en douceur, ça devrait être facile.
- 25 octobre : J’ai ordonné à ces vingt mille hommes de descendre vers le sud et de conquérir tous les petits émirats musulmans jusqu’à la frontière perse.
Année 1199
- Au fil de l’année, ces émirats sont tombés un à un.
Année 1200
- 28 octobre : Ma bien-aimée mère, la Basilissa Zenobia, impératrice des Grecs, vient de décéder à l’âge de soixante-six ans. J’en suis très affecté, nous correspondions encore beaucoup. Je reçois en héritage le royaume de Serbie, mais les doux grecs ont décidé d’élire un lointain cousin de ma mère, Artemios, comme Basileus Autokratôr. Soit : il fait partie de la maison Doukas, celle de ma mère, il a la légitimité du sang…
Année 1201
- 19 septembre : Le Basileus Autokratôr est mort, atteint de phtisie. Les électeurs grecs ont décidé d’élire un certain Manuel Tarchaneiotes sur le trône. C’est un outrage ! A moi, qui ai une légitimité directe, ils préfèrent ce parvenu, dont le lignage ne remonte qu’à son grand-père, un paysan adoubé ! Ces Grecs insultent le Tsar ? Que le Tsar marche sur Constantinople !
Année 1202
- 28 août : J’ai pris Constantinople. Les Grecs sont en marche pour me déloger, je les attends de pied ferme.
- 5 décembre : Ces Grecs croyaient pouvoir vaincre le Tsar avec dix mille hommes, alors que mon armée en compte le quadruple ! Ils ont été massacrés.
Année 1203
- 19 février : L’armée grecque n’existe plus, et les doux ont été forcés de me reconnaitre comme leur seigneur légitime. Je règne désormais de la Volga à l’Islande et de la Finlande à la Crête. L’Anatolie et l’Arménie sont miennes, mais la Géorgie reste indépendante.
- 30 juin : Les frontières du Tsar s’arrêtent à un jet de pierres d’Antioche, cette ville si sacrée pour tous les chrétiens. J’ai essayé de négocier avec le Calife, il n’a rien voulu entendre. Peut-être entendra-t-il mieux le son des sabres russes trancher les gorges de ses hommes ?
- 29 septembre : Antioche est tombée. Le Calife ne s’attendait pas à ce que nous prenions si rapidement la ville, mais aussi les cités et forteresses avoisinantes. Nous avons convenu d’une trêve : le Tsar conserve Antioche et les territoires conquis, mais une trêve de dix ans est signée. Soit, j’accepte. Je peux toujours attaquer les musulmans qui ne relèvent pas de l’autorité du Calife… Cela m’occupera pendant cette décennie.
- 30 septembre : J’ai restauré le Patriarcat d’Antioche ! J’ai désigné comme Patriarche mon petit-fils Davyd, le bâtard de mon fils Vladislav. En tant que bâtard, il devait de toute façon rentrer dans les ordres… Au moins, il m’a permis de placer un Rukovich au patriarcat d’Antioche.
Année 1204
- 9 février : Mes troupes se sont emparées de l’émirat indépendant de Syrie.
- 25 mai : J’ai reçu une visite bien singulière. Un vieillard de soixante-et-onze ans… qui n’est autre qu’Humbert III de Sicile. Devenu roi à la mort de son père en 1155, il avait été chassé du trône vingt ans plus tard. Après trente années d’exil, il venait vers moi et me demandait de l’aider à récupérer ce trône qui lui revenait de droit. Je lui ai posé mes conditions : la Sicile serait vassale du Tsar, et lui-même deviendrait orthodoxe. Il a accepté, le Tsar en est ravi.
- 10 octobre : Le Rex Episcopus Adélard de Sicile a été chassé du pays, et Humbert a été remis sur le trône. Les catholiques devraient me remercier : il n’est pas bon de voir un évêque exercer les pouvoirs temporels d’un roi. J’ai eu les remerciements les plus chaleureux d’Humbert. Le vieil homme pleurait de joie en portant cette couronne qu’il avait dû délaisser trente ans plus tôt.
- 4 décembre : Mariage de mon fils Vladislav avec la princesse Chioto de Géorgie.

PARTIE II ( encore trop long ? )

Année 1205
- 4 juin : Pour qui se prend le pape de Rome ? Il m’a envoyé une lettre dans laquelle il me somme – je dis bien, il ose me sommer ! – de restituer la Sicile à l’évêque déchu, Adélard. Je compte remettre à Sa Sainteté ma réponse personnellement, lorsque les murs de Rome seront tombés et que les soldats du Tsar reprendront la Ville Sainte. Peut-être apprendra-t-il qu’il n’est pas sage de provoquer un homme qui dispose de trente mille soldats armés à quelques jours de marche à peine…
- 30 septembre : Rome est tombée. J’ai accordé au pape le droit de quitter les lieux avec tous ses hommes et tous les prélats, et je leur ai octroyé le droit de partir avec la plupart de leurs richesses. En contrepartie de quoi le pape a été forcé de reconnaitre l’existence du nouveau Patriarcat de Rome. J’ai nommé Patriarche un de mes vieux cousins, Rodislav ; il a toujours été de bonne compagnie, qu’il soit dit que le Tsar récompense grassement ceux qui sont aimables et loyaux envers lui.
- 17 novembre : Nous quittons l’Italie et la Sicile et rentrons à Constantinople. Toutefois, j’ai appris que les musulmans étaient en guerre civile, et qu’une grosse partie de l’Égypte avait pris son indépendance vis-à-vis du Calife. Un détour ne nous fera pas de mal…
Année 1206
- 8 janvier : Ces imbéciles ne s’attendaient pas à nous voir débarquer ! La vieille ville sainte d’Alexandrie est nôtre, et nous restaurons un quatrième Patriarcat ! J’ai nommé à cette fonction un parfait inconnu manipulable à souhait, un prêtre du nom de Roman Matveev, afin que l’on ne m’accuse pas trop de népotisme.
- 23 septembre : Mis à part quelques poches de résistance, la Tripolitaine et la Cyrénaïque sont nôtres, désormais.
Année 1207
- 19 août : Afin d’étendre notre influence, j’ai marié ma fille à Wolfram, le fils aîné et héritier de l’empereur allemand, Walther le Noble.
- 2 septembre : Le pape a lancé une croisade contre la Sicile ! Cependant, même les rois catholiques ont trouvé ce procédé honteux et refusent de prendre les armes pour se battre contre le Tsar, car il est lui aussi chrétien. Aussi, le roi de France et le roi d’Angleterre ont accepté de partir en Sicile… mais uniquement pour éliminer la présence des musulmans ! Je ris en imaginant la tête du pape. Qu’il s’étouffe avec sa mitre.
Année 1208 : rien.
Année 1209
- 11 juillet : Mon cœur a été brisé comme un vase de fine porcelaine. Il n’est pas dans l’ordre des choses qu’un père doive enterrer son fils adulte. Vladislav avait trente-deux ans et une intelligence hors du commun, mais il avait une santé fragile… Mon fils aîné, dans lequel j’avais mis tous mes espoirs, meurt sans laisser d’héritier légitime. Son seul fils, le bâtard Davyd, est patriarche d’Antioche. Mon héritier et successeur devient donc mon second fils, Radoslav… Mais il n’est pas à la hauteur de son aîné. Les Grecs le savent, et, puisque le Basileia Tôn Rhômaiôn est un empire électif, il est bien peu probable qu’ils décident de lui confier les rênes du pays. Aurais-je fait tous ces efforts pour rien… ?
- 28 décembre : Les rois d’Angleterre et de France ont délivré la Sicile de la présence des musulmans et ont rendu ces territoires à Humbert. J’aurais préféré qu’ils gardent ces territoires et trouvent un moyen de me rendre mon fils.
Année 1210
- 11 juin : Comme un malheur n’arrive jamais seul, mon épouse, Maer, est décédée. Je vais reprendre femme immédiatement, peut-être une jeune épouse me fera-t-elle oublier ma peine, pour quelques heures seulement…
- 24 juin : Premyslava n’est que la fille cadette d’un petit baron russe, mais la voilà Tsarine de toutes les Russies, Basilissa du Basileia Tôn Rhômaiôn, et suzeraine de Norvège, de Hongrie, de Croatie et de Sicile.
- 10 novembre : Peut-être un pèlerinage à Jérusalem adoucira-t-il ma peine…
- 25 décembre : J’arrive à Jérusalem le jour de Noël. La visite de cette ville a changé énormément de choses pour moi. Je ne souffre plus, je comprends que tout ce qui est est l’œuvre de Dieu. Je dois délivrer Jérusalem !
Années 1211 et 1212 : rien.

PARTIE III ( final )

Année 1213
- 14 janvier : La trêve de dix ans a expiré. Que mes armées marchent sur Jérusalem ! Nous délivrerons la Ville Sainte !
- 5 décembre : Une seule année aura suffi. Jérusalem est nôtre. Le Calife a accepté de nous céder la ville et ses alentours, ainsi qu’un couloir jusqu’à la Méditerranée, en échange d’une trêve de dix ans. J’ai accepté, à condition qu’il renonce au titre de Sultan de Syrie. Il a accepté. J’ai décidé que le nouveau Patriarche de Jérusalem serait un de mes cousins, Vselovod.
- 10 décembre : J’ai été couronné roi de Syrie, roi d’Arménie, roi d’Anatolie et roi de Rhômania à Jérusalem.
- 25 décembre : En ce jour de Noël, trois ans après ma première entrée à Jérusalem, les cinq patriarcats sont délivrés du joug des musulmans. Le monde chrétien l’a appris et me voit désormais comme le sauveur de la chrétienté. Le pape a perdu toute influence auprès des souverains chrétiens : tous se tournent désormais vers l’Église d’Orient, celle de Constantinople. L’orthodoxie est désormais un synonyme de la chrétienté. Le grand schisme de 1054 n’est plus qu’un mauvais souvenir. Pour avoir réalisé ce qui semblait impossible il y a encore trente ans, nombre de petites gens me voient comme un Saint.
Année 1214
- 3 novembre : Une grande armée de païens s’est levée à l’est et veulent « libérer » Le Turkestan. C’est inquiétant : mes informateurs m’annoncent qu’ils seraient plus de quinze mille.
Année 1215
- 9 janvier : J’ai eu vent, de la part de plusieurs de mes informateurs, qu’une grande armée se dirigerait vers nous. Cette armée, composée exclusivement – ou presque – de cavaliers aurait reçu ordre de conquérir toutes les terres qu’elle trouverait… Nombre de mes conseillers ne prennent pas la menace au sérieux. Ils sont idiots. Si cela s’avérait exact, nous serions en grave danger. J’ordonne que tous les seigneurs de mon empire lèvent la moitié de leurs troupes et qu’elles soient toutes envoyées à l’est. Mieux vaut prévenir que guérir.
- 26 janvier : Je n’ai rien demandé, mais l’émir arabe de Damas s’est converti au christianisme et m’a juré fidélité. Cela me fait plaisir de voir que certains Infidèles sont ouverts à la conversion.
Année 1216 :
- 28 avril : Mes troupes ont exterminé les membres de la rébellion au Turkestan. Par ailleurs, j’ai dû vider mes coffres du tiers de leur contenu en divers pots-de-vin… Mais j’ai réussi. Les doux grecs ont accepté à l’unanimité que l’électivité du Basileus Autokratôr soit abrogée. Ils ont cependant été inflexibles sur la règle nouvelle : pas question de primogéniture, mais uniquement d’ultimogéniture. Soit, je n’ai de toute façon qu’un fils qui puisse hériter, puisque les deux autres sont prêtres !
Année 1217
- 21 janvier : Le Tsar avait raison d’être méfiant. Soixante mille cavaliers venant de l’est lointain ont commencé à envahir Samarcande. Qu’ils viennent ! Les troupes du Tsar se sont rassemblées à la frontière. Voyons s’ils osent attaquer nos cent mille hommes !
- 21 décembre : Les Mongols ont pris Samarcande. Le Khagan mongol, Hülegü, m’a envoyé un émissaire. Il veut qu’on se rencontre. J’accepte ce rendez-vous.
- 29 décembre : J’ai rencontré le Khagan mongol. Ses soixante mille cavaliers faisaient face aux cent mille soldats du Tsar. Hülegü et moi avons discuté, et je lui ai fait comprendre qu’une guerre serait aussi meurtrière pour ses hommes que pour les miens. En conséquence de quoi il m’a fait la promesse de ne pas attaquer le Tsar, et je lui ai fait la promesse de ne pas chercher à l’empêcher de conquérir le monde musulman. Ensuite, le Khagan est reparti, dans l’intention de conquérir le sultanat Ghaznavid. J’ai donné l’ordre que mes troupes restent à la frontière au cas où il s’agirait d’une ruse du Mongol.
Année 1218 : rien.
Année 1219
- 2 février : Certains vassaux m’ont écrit afin que j’accepte de faire passer la Syrie sous le régime de la monarchie élective. Je ne risquerai pas une guerre civile pour la Syrie… J’accepte de leur faire cette concession.
- 8 avril : Les Syriens ont voté. Ce sera mon fils et héritier, Radoslav, qui dirigera la Syrie à ma mort.
Année 1220 : rien.
Année 1221
- 10 août : A été fondé aujourd’hui l’Ordre du Saint-Sépulcre, un groupe militaire ayant pour but la défense des lieux saints d’Orient. Son Grand-Maître est un Grec, Hellas de Rome.
Année 1222
- 10 octobre : Décès de ma fille, Aleksandra, épouse de l’empereur allemand Wolfram. Notre alliance avec l’empire occidental meurt avec elle.
Année 1223
- 2 janvier : Mes vassaux commencent à être exaspérés à cause des hommes que je retiens à l’est. La situation devient difficilement tenable. J’ai donc accepté d’ordonner que les hommes rentrent au bercail…
- 8 août : La reine de Géorgie a refusé que mes troupes traversent ses terres pour rentrer chez eux ! Quelle insolence ! Mes troupes traverseront bel et bien la Géorgie… mais pour l’annexer !
Année 1224
- 30 mars : La Géorgie n’est plus un obstacle à l’unité des terres du Tsar.
- 3 mai : Un de mes vassaux a réussi à conquérir Mossoul des mains des musulmans. Je l’en félicite.
Année 1225 : rien.
Année 1226 :
- 22 mars : Bande d’imbéciles ! Corniauds ! Je leur avais bien dit que la menace mongole n’était pas terminée, mais ils ont insisté pour que j’autorise les troupes à être rapatriées… Un autre Khagan mongol, Batu, vient de lancer soixante-quinze mille cavaliers contre le Tsar ! Ces troupes ravagent le Turkestan en ce moment même… J’ai donné ordre que les troupes se regroupent à nouveau et retournent à l’est, mais arriveront-elles à temps ?
- 15 septembre :JJ’ai attrapé une violente fièvre, mais je continue à marcher vers l’est. Je repousserai ces Mongols. Il le faut. Je vais rédiger mon testament politique, au cas où.
Le Tsar Stanislav ne guérit jamais de sa maladie. Son état empira jusqu’à ce 2 octobre 1226 où il rejoignit finalement le Seigneur, à l’âge de soixante-cinq ans, après quarante ans et deux mois de règne. Conformément à ses instructions, un message fut envoyé à tous les rois du monde. Il contenait une seule phrase : « Le soleil du monde s’est couché, qui illuminait les peuples. »
Carte politique de l’est :
Carte politique de l’ouest :
Carte politique de l’orient :
Carte religieuse de l’occident :
Carte religieuse de l’orient :
Moi à ma mort : (aucune idée de pourquoi le jeu a subitement changé de titre principal pour mon perso ><)
Mon successeur :
Notes pour mon successeur :
- 100.000 hommes sont en train de se diriger à l’est pour affronter 70.000 Mongols
- Ton fils et héritier est… de culture croate.
- Bon courage pour gérer le bordel que j’ai foutu. =)

J'oublie le principal

La save http://2hubiyp8vg.1fichier.com/