ok merci je vais essayer de faire un texte dans la journée ou demain

Carver avait mal au crane, une migraine terrible mais habituel, ses soirées à mélanger alcools et antidouleurs ne lui avait jamais réussi depuis sons accident. Lorsqu’il ouvrit les yeux à la recherche de ses médicaments sa vision était trouble et une vie lumière qui envahissait la pièce, par les déchirures de sa tente, accentuait sa migraine.
- Rraa Il faut absolument que je répare cette fichu tente et que j’arrête les mélanges se dit-il sans vraiment y croire
Il se leva, récupéra sa boite de cachets sur sa table de chevet pris un verre d’eau et ingéra deux de ces pilules miracles, comme il les appelait , s’habilla et sorti de sa tente. il partit en direction du pseudo restaurant qu’avait crée un des habitant de l’abri , Enrique qu’il s’appelait parait-il , pas qu’il appréciait particulièrement sa cuisine mais l’ambiance y était plutôt calme bien que parfois briser par des rixes entre le cuisinier mexicain et un certain Serge Tolbac , ce qui avait tendance à l’amuser. Après un petit déjeuner et un café le plus infecte qu’il ai eu la « chance » de boire , carver décida de faire un peu de récup dans un village goule que certains habitants de l’abri avaient décidé d’exterminer. Après avoir obtenu l’aval du superviseur il passa chez l’intendant afin de récupérer des munitions.
-b’jour dit-il en baillant vous n’auriez pas des munitions de 357 par hasard
-Vous avez de la chance, un groupe de récup en à trouver il ya quelque jour , environs 13 balles si je me rappelle bien .mais il n’ont pas trouver d’arme correspondante à ce type de munition .
- il me les faudrait pour aller faire de la récup .
- et comment compter vous faire sans l’arme adéquate ,…vous ne garderiez pas d’arme chez vous ?
-non bien sur que non c’est juste que…
- ne prenez pas pour un idiot, car s’il ya bien un truc qui me met en rogne c’est bien ça ! vous savez que c’est interdit.
-disons qu’il serait possible que je possède une arme de ce calibre et que comme vous le savez sans doute, je suis médecin et donc amène de vous prescrire certaine substances pouvant vous facilitez la vie, et puis c’est toujours utiles d’avoir un médecin de son coté, non ? donc si vous me fournissez ses munition plus quelques bouteilles d’eau purifier je pourrai vous rendre la pareil .
-bon c’est d’accord mais si cela est découvert vous serez le seul responsable répondit l’intendant après quelque secondes de réflexion .
Après avoir pris l’équipement fournit par l’intendant et« emprunté » un stimpack dans la réserve médical carver se mis en route vers les reste du village goules

La suite sera envoyé dans la soirée ou demain matin si le texte est accepté

Je suis désolé, mais pendant les vacances, je n'aurai pas le temps de venir lire vos aventures.

Mais je compte sur vous pour vous auto-gérez.

En cas de problème, veuillez écouté skaraher et Darnaf si PP non-plus n'est pas là.

Bonne vacances les mecs!

En tant que dictateur d'état d'urgence, j'ordonne que tout les citoyens de l'Abri 55 se déshabillent et executent une danse lascive pour mon bon plaisir!!

Exécution!!

Sinon, bonne vacance Psiichiik!

Sa va, c'est pas pire que moi

Par contre, j'ai la nette impression qu'il y a de plus en plus d'ivrogne dans cette ville . Je préfère prévenir, si ya plus d'alcool a mon retour, sa va chier

Je viens de découvrir l'expérience qui a eu lieu dans l'Abri 55!!

Voir comment réagirait 1000 alcooliques placés dans le même Abri, avec uniquement des reserves limitées d'alcools!!

Euh, skaraher, il y a quand même des règles!

• Donne à skaraher un livre de 856743 pages*

les voilà.
Bonne lecture!

A la fin, il n'en restera qu'un! MOI!!!

PS: Bonne vacance petit veinard!

OCBslim!!! Tu es nommé préposé à la lecture des règles!!

Je suis de retour

Je me met de suite à écrire un peu.

Et merci!

Serge était actuellement dans SA salle d'interrogatoire.

Devant lui était une goule qui avait l'air assez anxieux. Peut être parceque ses membres allaient être arraché d'une minute à l'autre par la machine de Redok.

C'était un engin rustique et peu original mais il était facile à fabriquer et si jouissifs à utiliser....

Serge y avait ajouté sa touche personnele: Dès qu'une plaie apparaissait, un garde s'empressait d'y verser un melange d'alcool et de morceau de verre pilé, avant de recoudre la blessure avec du fil barbelé. Puis l'on tendait à nouveau. Vers la fin, le prisonnier n'était plus qu'un amas de chair sanguinolent suppliant qu'on le détache et avouant tout en échange d'une promesse de liberté.
Diaboliquement efficace.

C'était un peu dans cette situation que se trouvait le zombie. Quoique l'on puisse difficelement savoir si il était déjà un zombie, ou si il l'était devenu au cours de l'interrogatoire.
Il finit par balbutier: -Dé.....Dé....Détachez moi..... J'avoue.... j'avoue tout..... Ftimpak.....un pfutain ......d'ftimpak.....

Serge: Alors tu avoues tes crimes? Tu avoues que vos hommes sont prêt et qu'ils lanceront une attaque sur notre camp d'ici la prochaine lune?

Goule: Viiii.....V'avoue..... D'Vétafer..... Mbouah....

Serge: Alors soit. Je suis magnanime. Garde!! Détachez le et administrez lui un stimpak!!

Les gardes s'exécutèrent prestement et, avant que le goule ne puisse remercier Serge, attrapèrent le zombie par le cou, et le trainèrent dans l'arrière cour où il fut décapité, comme le voulait la procédure.

Serge était satisfait. Il avait maintenant toute les preuves qu'il lui fallait. Il fallait maintenant faire usage de "diplomatie" et d'"honnêté". En d'autres termes, de baratin, de duplicité et de bluff.

Il décida d'aller voir Simms, le chef de la sécurité, en premier.
Ce dernier, un colosse noir de 2.20m de haut l’accueillit avec réticence dans son bureau.

Chef Simms: Que voulez vous Tolbac? Si c'est encore pour financer une expédition armée afin de livrer vos vendettas personnelles....

Serge: En fait, je voudrais vous parler de la menace représentée par les zombies....

Chef Simms: Une menace? Contre le Saint 55? Je vous écoute.

Serge: J'ai récemment découvert que la ville goule de Springleton Gulch, au nord d'ici, s'arme dans le but d'attaquer notre abri.

Chef Simms: Des preuves?

Serge: Tout les témoignages sont compilés sur cet holodisque "pose l'holodisque sur la table"

Chef Simms: "prends l'holodisque" Combien sont t'il?

Serge: Environ 200 zombies dont seulement 40 hommes armés.

Chef Simms: C'est beaucoup plus que ce que nous pouvons gérer... Leur armement?

Serge: Des armes de bonne qualité, manufacturé par des marchands humains. Principalement des FN FAL

Chef Simms: Nous ne pourrons lancer d'attaque, il va falloir rassembler les trpupes, préparer une défense et.....

Serge: Si je puis me permettre... J'ai un moyen de les combattre... Deux pour être précis...

Chef Simms: Allez y.

Serge: Tout d'abord, j'ai rencontré un groupe armé qui pourrait nous être utile... De plus, un combat contre les goules serait un bon moyen.... d'ouvrir la voie à de bonnes relations avec eux...

Chef Simms: Combien d'hommes pourront il aligné?

Serge: Je ne sais pas encore. Mais ils sont compétents et bien armés. Je vous ferais parvenir une photographie de leurs troupe, pour que vous puissiez dire à vos hommes de ne pas les attaquer.

Chef Simms: Bien. Et l'autre moyen?

Serge: Je suis entrain de créer une arme bactériologique capable de les éliminer efficacement sans blesser nos troupes.

Chef Simms: Ce n'est pas mon domaine de compétence, mais j'en voie l'utilité. Quand attaquerons t'ils?

Serge: Dans un ou deux mois.

Chef Simms: Ca vous laissera le temps de contacter vos alliés et de mettre au point une arme. Nous devrons cependant attaquer le plus tot possible, histoire de créer la surprise dans leurs rangs. Considérez que vous avez mon soutien. Si vous avez besoin de garde ou d'une escorte, faites moi signe.

Serge avait donc le soutien de la Sécurité, il lui fallait maintenant celui du Ravitaillement. L'Intendant, un homme sec et nerveux l'acueillit avec apréhension dans son bureau.

Intendant: Oui Tolbac? Que voulez vous?

Serge: Je veux que vous me souteniez, moi et Simms, dans ma future attaque contre Springleton Gulch.

Intendant: Et pourquoi donc? Le Superviseur ne doit pas cautionner ce genre d'action...

Serge: Tout d'abord, sachez que ce ne sera pas l'Abri qui lancera l'action mais certains de mes "amis" que nous nous contentront d'aider. Ensuite sachez que une fois que leur client aura disparu, les marchands qui les aprovisionnait ne se tourneront surement vers nous, Béjaune facilement arnaquable, pour vendre leur marchandise.

Intendant: Je vois... Rien ne pourra remonter jusqu'à nous?

Serge: Pas si j'ai votre soutien.

Intendant: Alors vous l'avez.

Serge sortit, à nouveau ravi de cette entrevue. Il alla enfin voir le chef de l'unité scientifique de l'Abri, le docteur Randolf. Serge le trouva dans la tente-laboratoire, entrain de disséquer une taupe mutante.

Serge: Docteur Randolf, j'aurais besoin de vous pour..

Doc: Je zais pourquoi fous êtes là. Fous afez mon zoutien. Je mets à fotre dizpozition une tente, un auto-doc, et une équipe de quatre azziztant! Ach, Fous allez montrer au mutants ze que l'on fait d'eux à Zan Unezco!!

Serge avait donc obtenu ce qu'il cherchait. Avec le soutient de Randolf, ce ne serait qu'une question de temps avant qu'une toxine utilisable soit trouvé. Pendant que Serge regagnait sa tente, un homme vint le trouver.

C'était un étranger, un homme des Extérieurs. Cependant, sa croix en argent, sa bible relié de cuir épais et son .357 Magnum inspirait le respect. Il tendit une enveloppe à Serge et le prévint qu'il attendait une réponse dans les deux heures.

Serge lut la lettre avec délectation puis rédigea rapidement sa réponse:
Mes chers Frères,
Aujourd'hui j'ai obtenu le soutien de certain des dirigeants de mon Abri. Sous peu, le poison et un antidote seront produit et nous pourront envahir Springleton Gulch et mettre un terme à leurs exaction.
Sachez que j'ai rencontré un homme appelé Billy, qui a été touché par Sa Grâce. Il est encore confus, mais il deviendra une excellent Sicaire, je vous en fait la promesse.
Je me réjouis aussi d'apprendre que les Hispatonick ont enfin rejoint l'Armée. Leur force nous servira grandement

La Vérité de Dieu est en nous!

Serge donna la lettre au messager puis partit féter sa victoire en allant déclencher une rixe avec Enrique

L'intrigue s'éclaircit peu à peu. Combien de chips seront ils piétinés dans l'affrontement qui s'annonce?

On a atteint les 20 pages!! On a atteint les 20 pages!!

• Réveil de José*

-José: Putain! J'suis où?

José se réveilla sur une chaise en métal ( pas très confortable d'ailleur ), les membres attachés. Il regarda autour de lui mais ne reconnu pas l'endroit. C'était une petite tente avec rien d'autre a l'intérieur qui table en métal et deux autres chaises ( faudrait qu'ils pensent a refaire la déco ici! ) . En tentant de défaire ses liens, la chaise de José bascula vers l'avant et il parvint désespérément a se ratraper in extremis du bout du nez . La série de jurons qui suivit sembla attirer quelqu'un. Ils ouvrent la porte. José apercu quatre paires de jambes entre les pieds de chaises.

-Une voie désagréable : Gardes! Ramassez ce sac a merde!

Le garde ne se fit pas prier pour l'attraper par une meche de cheveux qui trainait par la et le tirer en arrière pour le relever. Une fois sur ses quatres pieds, José reconnu tous de suite ses ravisseurs.

A droite de José, se trouvait rayco, tenant toujours son carnet et notant frénétiquement tout se qu'il voyant ( Ce mec est bien le seul a croire encore que ca sert a quelque chose ).
A gauche, Billy semblait se demander se qu'il foutait la. ( il est vraiment étrange ce type ).
Et entre les deux, Serge, avec son air de supériorité a la con, lui qui dans l'abri, ne faisait rien de mieux que lecher des pompes et cirer des culs ( ou un truc comme ca ), pour finir dans un placard a classer des dossiers traitants de divers vols de PQ.( Quelle chiasse ce mec! )
Mais celui qui inquitait le plus José, se tenait en retrait par rapport aux autres, mais ne le quittait pas une seconde du regard. Son visage ne lui disait rien.

-José : Qu'est-ce-que vous foutez les mec?

-Serge : La ferme, traitre! C'est MOI qui pose les questions, feh!

-José : Mais...

-Serge : Billy! (lui fait un signe de tete vers José )

Billy s'approcha et lui mit un direct dans son nez déja bien douloureux.

-José, a Billy : Pauv' con!!! Ca fait mal!

-Serge : Qu'as tu a dire pour ta défense, infidèle? Feh!

-José : Me défendre pour quoi?

Billy lui mit cette fois un bon crochet, lui faisant sauter deux ou trois molaires a l'occasion. Il ne l'avait pas vu venir celle la!

-José : Celle la tu vas me la payer!

L'inconnu était toujours dans son coin, me fixant du meme regard que deux minutes plus tot. Serge reprit son interrogatoire .

-Serge : Pourquoi avoir déserté? Pour retrouver tes complices zombies? Et qu'est-ce-que vous comptiez faire? Nous détruire, feh! (Il partit dans un fou rire digne d'un vieux film d'horreur, *ce mec n'est définitivement pas net! *, qui dégénera vite en violente quinte de toux lorsqu'il s'étouffa. ) Feh...

-José : J'allais simplement les prévenir qu'un putain de psychopathe trainait dans le coin!

-Serge : FOUTAISE!!! MOI, je sais! Je sais ce que vous etes! Vous n'etes rien d'autre que les déchets de l'humanité! Le monde tout entier ne se portera que mieux, une fois votre immonde existance achevées. Je vous aurais TOUS, jusqu'au dernier! Là, le superviseur lui-meme ne pourra plus nier ma Grandeur!

-José : Nan mais...Qu'est que tu racontes?! T'es malade mon pauvre!

-Serge : C'EST MOI QUI PARLE! FEH! BILLY!

Ayant sentit le coup arriver, José se balanca en avant sur son tabouret et tomba, donnant par la meme occassion un sacré coup de boule dans les "rouleaux" de son aggresseur , avant de se ramasser une énième fois le nez par terre ( c'est a croire qu'il aime sa le salaud! ). Billy s'écroula dans un hurlement douloureux.

-José : Héhéhé... Je t'avais prévenu!

-Serge : Sa suffit! Feh! Tu préfères vivre avec eux, tu mourriras donc comme eux!

En se retournant, José fut surprit de constater que Billy s'était déja relevé et se tenait au dessus de lui. Quelque chose clochait, comment s'était-il relevé si vite? Et plus étrange encore, pourquoi souriait-il? Il semblait différent. Ses traits s'était durcis, son regard était d'un noir profond, et une sorte "d'aura" émanait de son corps. Il semblait... "possédé" , cette vision glaca le sang de José, mais fut très vite interrompue par la chaussure de Billy qui vint marteler son visage.

• Extinction des feux*

Au réveil, José se trouvait ligoté a un poteau et puait l'alcool synthétique. En face de lui, Serge lui tournait le dos, hurlant a la foule que le dangereux hérétique devant eux avait pactisé avec les "zombies" et vendu son ame au diable, et que par conséquent, je devais etre "purifié" comme les autres.
A coté de Serge, se tenait Billy,il avait toujours ce meme sourire dément et avait l'air presque en pleine jouissance dans l'attente du spectacle qui s'annoncait.
Jetant un coup d'oeil sur la foule, José ne vit ni Rayco, ni cet mystérieux étranger présent lors de l'interrogatoire.
Serge se tourna vers moi et commenca a énumérer la trop longue liste de mes crimes allant de la simple trahison, a la nécrophilie.
N'en pouvant plus d'attendre, Billy saisit alors une torche enflammé et mis feu au buché, puis resta choqué, en regardant la torche dans sa main et le feu qui s'en prit rapidement a José, son "aura" avait disparu...

Et puis plus rien, le noir total.

Enrique s’était effacé un temps de la vie du camp, restant fidèle à son poste de cuisinier. Les moeurs ne lui plaisaient que très moyennement.. Les goules maltraitées, torturées puis incinérées, cela le dégoutait assez. Et puis, ce mouvement était lancé par quelqu’un qu’il appréciait encore moins : Tolbac. Néanmoins, exceptées quelques brèves rixes au «restaurant», il ne s’opposa jamais ouvertement à lui, et ne comptait pas le faire.
Sa haine pour cet homme était assez grande pour lui infliger une punition très cruelle (à ses yeux) : lui servir des plats volontairement médiocres !! Trop, cuit, sans sel et aux épices fades. Peut-être qu’en laissant la viande pourrire, il aurait une salmonélose mortelle...
Enfin, il penserait à ça plus tard.
A ce moment précis, il songeait aux zombies : certains étaient des marchands. Peut-être de la Crimson Caravan ?! De plus, un commerçant qui clamait en faire partie était actuellement retenu ici ! Si ça s’entendait dans la région, cela nuirait très gravement aux relations avec cette société, compromettant peut-être la survie de la colonie. C’est donc pourquoi le cuisinier partit voir le Superviseur, avec une idée bien précise.
Il rentra dans la grande tente centrale et engagea la conversation.
-Bonjour, ô Superviseur. J’ai une requète à voussoumettre.
-Bonjour, allez y, parlez .*bien que j’ai peu de chance d’accepter*
-J’aimerai partir...en excursion pour le compte de San Unesco. Je prendrai mes rations et mon armement. Pour la cuisine, mon travail n’ayant pas l’air d’être aimé à l’unanimité, je voudrais voir si nos chers habitants préférent quand ce n’est pas moi à ce poste.
-*c’est vrai que vos rations sont infectes* Bien , bien, bonne idée. Ramenez le maximum d’ informations surtout ! Et revenez *pas* vite !
-Oui, oui, au revoir. *quel pigeon*

Le cuisinier partit ramasser sa mitrailleuse et ses chargeurs ainsi que quelques plats de sa fabrication. Il chipa un bâton d’élevage dans la salle d’interogatoire de Tolbac, vide à ce moment là, Serge écartelait une goule sur une étrange machine, tout en sermonnant la foule.
Il fit aussi un détour par la tente du comptable, y saccagea son matelas et...mélangea ses papiers classés ! Mouhahaha ! Il y avait également un goule morte attachée à une chaise. Par respect pour la mort, Enrique lui ferma les paupières et fit un signe de croix, bien qu’il ne fut pas particulièrement pieux. Il s’esquiva enfin du camp et partit en petite foulée...

Pour le camp de la Crimson Caravan.

(et pour info, Enrique n’étant pas très sportif, il fit une petite foulée d’une dizaine de minutes, puis continua en marchant, en appuyant sur son point de côté.

Le Mécano c'était fait livré un sacré tas de ferraille supplémentaire par les récupérateurs et avait entreposé tout ça près de sa tente , mais en attendant il racontait une histoire de mauvais gout a l'un d'eux .

" ... après il la suit et lui d'mande pour mille capsules , la gonzesse r'fuse encore une fois , pis le gars s'met en travers d'son ch'min et lui dis : Et pour 10 000 capsule , j'peux les mordre ? Là la fille elle reflechis pis l'entraine dans une p'tite rue et elle lui montre sa poitrine . L'gars il a les yeux qu'brille pis pendant 1/4 d'heure au les touche , les malaxe , Bref ! Au bout d'un moment la gonzesse lui d'mande :
Bah , tu les mords pas ?
L'gars lui reponds : Nan c'est bien trop chère !"

L'hilarité pris les deux personnages avant que le récupérateur prenne congé et que Redok retourna a ses occupation .
Il observa ses prototypes tour a tour avant de les comparez avec les croquis sur son carnet .

- La première "arme" était un énorme couteau d'une lame d'un peu plus de 20 centimètre et d'une poignée de 10 . Il était accompagné d'un étuis en cuir de rataupe et ... et c'était déjà pas mal . ( http://wh40k-fr.lexicanum.com/mediawiki/images/3/35/Kikoup%27.jpg )
- La seconde était une arme a feu plutôt commune or mis son bruit assourdissant et sa forte cadence de tir . ( http://wh40k-fr.lexicanum.com/mediawiki/images/0/0c/Fling%27.jpg )
- Le troisième était un lance roquette dont la porté des projectile était de 200 mètre ( http://wh40k-fr.lexicanum.com/mediawiki/images/2/26/Lance_rokettes.jpg )
- Quant au dernières , c'étaient des grenades a manche au fonctionnement plutôt ... Aléatoire ( http://wh40k-fr.lexicanum.com/mediawiki/images/b/ba/Grenades_Ork.jpg )

Il se mit dans un coin de la tête d'aller présenter ses œuvre a Serge , mais pour le moment il avait plus important a faire . Il s'assit près du feu et alluma la radio sur le Match de TrashBowl .

bonsoir j'ai poster un texte cet aprem et jaimerai savoir s'il il a été accepté si oui je devrai pouvoir en poster un autre ce soir voir 2 autre texte
ps: mon premier texte et page 19

A redok:

WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH!!!!

Liz Orks Si Lé Pluss Fort!!!

On Va Vouz Crazer Sales Zom!!

Euh, excusez moi

Serge était revenu dans sa tente pour récupérer ses affaires, afin de les transférer dans l'antenne médical.
Il constata avec dépit que son matelas avait été fracassé et avec amusement que ses papiers avaient été mélangés. L'imbécile n'avait donc pas remarqué que Serge avait fini de compiler toute ses donnés sur son ordinateur!

Quand au matelas, il s'en procurerait un neuf auprès de l'Intendant. Il constata aussi que les yeux du goule attaché sur la table avait été fermé. L'intrus était donc si stupide de ne pas avoir remarqué que le zombie était bien vivant!
Serge lui rouvrit donc les yeux (qui avait quand même était fermé avec une grande brutalité) puis les cousut lentement.
Sans anésthésie.
Pendant son oeuvre macabre, il questionna le goule: qui était entré dans sa tente?
Le zombie répondit que c'était un putain d'méxicain qui sentait la bouffe mal cuite et qui avait osé le toucher avec ses mains crados de clandestin (les goules peuvent être racistes aussi Namého!!).

Enrique. Une menace de plus à éliminer