Bonjour bonjour ! Je prévois la sweet pour le week-end prochain, alors soyez patients ! Eh oui, il faut savoir se faire attendre !

Qualité > Rapidité !

Prends ton temps, du moment que la fic est bonne !

J'adore et j'attends la suite avec impatiente !

Suiiiiiiiiiiiite! Qu'es-ce qui est écrit sur le journal?! SWEEEEEEEEEEEET!!!

Mais reprenons depuis le début:
Ta fic est vraiment géniale, j'en ai rarement vu d'aussi bonnes que celle-ci sur le forum ACWW, que ce soit du point de vue du scénario ou des personnages qui ont du caractète, des descriptions, texte très détaillé, les paragraphes sont longs mais pas trop, et j'arrive vraiment bien à entrer dans l'histoire. De plus, tu es plutôt rapide pour poster tes chapitres, mais ça on s'en fiche un peu, prend le temps qu'il te faut du moment que ton chapitre est bon. J'adore l'idée que l'une des héroïne soit une fille riche et l'autre une pauvre. Enfin, je n'ai presque pas vu de fautes d'orthographes, en tout cas pas aussi énormes que les miennes (lol ). Permet moi de te le répéter, ta fic est géniale. Du coup je crois que je vais me fondre dans le décors et demander la

SUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITTT
TTTTTTTTTTTEEEEEEEEEEEEEEE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
!!!!!!!!!!!!!!!

sweet

JEVEUXLASWEET!!!!

Swweeeeeeetttt

Bon excusez-moi, j’avais prévu ce chapitre pour hier, je vous le fait finalement découvrir aujourd’hui ! Manque de temps ce week-end et d’envie la semaine dernière ! Eh oui, il faut parfois savoir se donner un petit coup de pied aux fesses !

Chapitre 7 :

« La crue de la rivière Risu en amont de Ploucville fait des dégâts.
En effet, faute aux pluies battantes de ces derniers jours, la grosse rivière qui se situe anormalement sur la montagne de Tavoie est sortie de son lit. Toute l’eau à alors déferlé plus bas et à fait de considérables dégâts sur Ploucville qui se situe plus bas dans la vallée. Les maisons de fortune qui occupaient ce bidonville ont été pour la plupart rasées, et les débris ont fait de nombreux blessés. Personne n’en sait plus pour l’instant »
Voici ce qu’affichait le journal que Mélodie tenait dans ses mains. A présent, il était complètement trempé et on ne pouvait que difficilement déchiffrer les mots inscrits. C’est Karen qui reprit la parole doucement :
- Viens, Mélodie, ne restons pas la, on va attraper un rhume …
La jeune fille blonde lui prit la main et reprit :
- Allez, viens au chaud chez moi, on pourra discuter de ça tranquillement …
La jeune fille en larmes ferma la porte de sa maison, et suivit sa voisine jusqu'à sa demeure. Puis, elle entra, s’assit à sa place favorite, celle ou on pouvait contempler le magnifique aquarium, tout cela en silence. Brusquement, elle s’exclama, criant presque :
- Je vais y aller, moi, à Ploucville ! Même si je dois nager dans la boue et les débris qu’a fait la crue, j’irai voir mes parents !!!
- Mélodie … Dehors, il pleut des cordes ! Tu …
- Je t’ai dit que j’irai coûte que coûte ! Tu ne pourras pas me raisonner s’il s’agit de mes parents ! Certes, je les ai abandonnées, mais ce n’es pas un raison pour couper les ponts avec eux !!
- Très bien, renchérit Karen, dans ce cas là, tu n’as pas le choix, je viens avec toi !
Cette dernière larme fit apparaître un minuscule sourire sur le visage de la triste fillette, mais c’était déjà une très grande victoire pour son amie. La petite blonde sortit de la pièce, et en revint quelques minutes plus tard avec un air triomphant, tenant d’une main deux gros anoraks, et de l’autre, une paire de parapluies.
- Tiens, fit-elle en tendant à Mélodie un anorak vert pomme, celui-ci était à ma mère, mais il est trop petit pour elle, alors il devrait t’aller. J’ai aussi retrouvé des petits parapluies repliables, et je vais chercher de ce pas des sacs à dos !
- K… Karen ?
- Oui, répondit l’intéressée en revenant sur ses pas. Qu’y a-t-il ?
- Je … Merci pour tout ce que tu fais pour moi … Parfois, j’ai l’impression que tu vas plus mal que moi mais que tu fais quand même tout ton possible pour m’aider …
Karen soupira discrètement le visage triste, puis s’éclipsa dans le garage à la recherche de sacs. Son amie ne fut pas surprise de ne pas avoir de réponse, mais elle en conclut que, puisqu’on ne lui avait pas répondu, sa phrase était en partie vraie.
Mélodie regagna sa maison pour enfouir quelques habits dans le sac à dos, tandis que son amie était restée chez elle pour faire de même. Elle mangèrent un bout dans le petit chalet de la fillette, puis, quand elles furent fin prêtes, équipées des anoraks et parapluies en main prêt à s’ouvrir pour parer les trombes d’eau qui tombaient du ciel, nourriture, vêtements, duvets, lampes et tente répartis dans chacun des sacs, la plus jeune des deux fillettes déclara :
- Et c’est une nouvelle aventure qui commence ! En route, mauvaise troupe !
Les jeunes filles passèrent sans mal les portes de My-Taillou, non sans avoir prononcé un petit mensonge :
- On va camper, on s’est super bien organisées ! Promis, si ça ne ce passe pas bien, on revient illico presto !
Elles commencèrent leur petit voyage à 13 heures. Mélodie repassa avec un petit pincement au cœur sur les traces qu’elle avait laissé un bon nombre de semaines plus tôt. Elle raconta la frayeur qu’elle avait eu quand elle s’était retrouvée nez à nez avec Angus, et le soulagement qu’elle avait ressenti quand le maire l’avait conduite jusqu'à la boutique du raton laveur.
Après un ou deux kilomètres de marche en silence, la petite blonde se plaignit à son amie :
- Dis, toi qui connais le chemin, on est bientôt arrivées ?
- Euh … Oui ! Cela me dit quelque chose ! On contourne cette usine, là bas, on marche environ vingt minutes et …
- Nous sommes arrivées à destination.
Un gargouillement de ventre conclut la phrase.
- Dis, tu veux bien qu’on fasse une pause pour diner ? Demanda Mélodie, un sourire gêné aux lèvres. Mon ventre crie famine, je n’en peux plus !
- Avec plaisir ! J’ai une de ces faims, moi aussi !
Après de bons sandwichs confectionnés avec amour par Karen dans leur ventre, les deux jeunes filles repartirent. Elles furent arrivées à la fameuse usine à la tombée de la nuit, et décidèrent de s’arrêter pour aujourd’hui, et se mirent rapidement à monter la petite tente pour enfin pouvoir s’abriter de la pluie. Au petit matin, les amies repartirent encore toutes ensommeillées, mais leurs yeux s’écarquillèrent quand découvrirent le désastre qu’avait engendré la crue de la rivière …

Voila ce que j'attendais malgré cette longue attente je trouve ça superbe

WOOUUUAI ! Ah, je suis ravie d'avoir enfin un petit compliment ! Merci ! Allez, zou, je m'y remets !

J'ai vu quelques fautes, mais je pense que c'est de l'inattention !

J'aime bien, même si le chapitre ne contenait pas forcément beaucoup d'action !

Tiens, tant que je t'ai au bout du fil, veux-tu intégrer le BIDES ? La Brigade Inquisitoriale de Destruction des Ecrits Stupides recrute !
Nous recherchons des gens sympathiques, ayant de bonnes capacités rédactionnelles, capables de critiquer et de remettre dans le droit chemin les PAUMEs, Pauvres Abrutis Ultra Mauvais en Ecriture ! (Oui, l'acronyme est exagéré.)
Alors pourquoi ne pas nous rejoindre aujourd'hui ? Vous gagnez 10 euros si vous ouvrez un compte aujourd'hui ! Et puis les 3 premiers mois sont offerts !
Bon, ce dernier paragraphe a le mérite d'être bien HS.

http://la-plume-de-l-aigle.forumjv.com/0-28977-0-1-0-1-0-0.htm

Oh une suite!

• lis la suite en trois secondes*

SUUUUUUUUUUUIIIIIIIITE!!! *éclate sa tronche* *écrase la terre*

Ocom je sui accro!!!

mince j'ai écris en kikoo alors que je m'était promis de ne pas le faire, même quand je suis impatiente/énervée/folle/déséquilibrée/etc etc.

Bonjour bonjour !
Vanille : Ouah, je suis contente d'avoir une fan qui est l'auteur de ma fic préferée ( layette et cousette ). Ca me fait trop plaisir !!!
Peto : Euh, je veux bien accepteur ta proposition, mais tu pourrais me guider un peu sur le forum ( des BIDES ) ? Je suis, comment dire, un peu ... perdue !

Bonjour ! Pour que Petoline reponde à ma question et j'en profite pour vous annonçer que, comme d'hab, la suite sera surement ce week-end ! Bonne fin de semaine !

sweeytg

Bien sûr que je veux bien te guider !
On en parle par MP ?
Il y a beaucoup de choses à dire sur le forum, mais la vie là-bas n'est pas compliquée !

PS : D'ailleurs, on recherche des filles, on en n'a actuellement que 3 sur une douzaine d'agents. :egalitedessexes:

Désolée de mon absence sur le forum, et désolée de ne pas avoir posté la sweet... J'ai passé le week-end chez un amie, je n'ai donc pas pu écrire ! Demain vous l'aurez (surement) !
Désolée a Petoline de ne pas t'avoir répondu non plus !

Nous t'attendons, écrivaine en herbe ! /

+ Owi, une sweet ! D'aussi bonne qualité que les autres, hein ?

Je trouve le chapitre assez long, j’espère qu’il ne le sera pas trop à votre goût !

Chapitre 8

Les deux fillettes n’en croyaient pas leurs yeux ; des montagnes de débris jonchaient tout ce qu’on pouvait appeler le reste de ville. Certains habitants étaient ensevelis par les décombres ou même la boue, et heureusement, plusieurs pompiers étaient là, et des camions rouges arrivaient encore abondamment. C’est Mélodie, paniquée, qui prit la parole la première :
- Ecoute, il y a urgence, il faut à tout prix se séparer !
- Non ! Réfléchis un peu un instant, je ne suis jamais venue ici, je risque de me perdre ! Et il n’y a pas que moi qui court des dangers, regarde là haut, l’eau continue de dégouliner ! Toi aussi, tu pourrais bien te faire engloutir !
- Excuse moi … Tu as raison ! … As-tu un … plan ?
- De la ville ? Ca ne risque p…
- Mais non ! Un plan … pour passer à l’action, quoi !
- Aaaaaaah ! … Hum, bon, tu te souviens ou vous habitiez avec tes parents avant ?
- Oui ! Enfin, à peu près ! Derrière ce tas de graviers, à droite tu vois ? On continue droit devant et c’est à peu près notre quartier !
- Bien ! Je te propose qu’on interroge tous les habitants de ton ancien quartier, si personne ne les à vus, on cherche !
Les filles se mirent en route et rencontrèrent des dizaines de personnes essayent de récupérer leurs affaires dans ce mélange de débris et de boue, mais les trois quarts étaient muets et les autres qui voulaient bien s’exprimer n’avaient malheureusement pas vu les parents de Mélodie après la catastrophe. Même plusieurs pompiers leur répondirent cette désolante réponse. Soudain, le regard de Mélodie s’illumina et elle agrippa la main de son amie en lui disant :
- Cette dame aux cheveux bouclés, là bas, avec sa petite fille dans ses bras, c’était notre voisine ! Mes parents on déjà échangé quelques mots avec elle, elle pourrait bien nous renseigner !
La femme en question tourna la tête à l’approche des deux jeunes filles. Ce fut engagea la conversation la première, d’un air étonné :
- Mélodie ! Tes parents t’ont cherché partout, tu sais ! Ils se sont fait un sang d’encre, c’est …
- Où sont-ils ? S’il vous plait !
La mère replaça quelques mèches de ses cheveux bouclés derrière son oreille en soupirant, puis elle répondit, d’un air malheureux :
- Après être convaincus que tu étais réellement partie, tes parents étaient extrêmement malheureux. J’aurais tellement voulu les aider mais je ne pouvais rien faire ! C’est moi que tes parents sont allés chercher en premier après ta fugue, et cette histoire nous à beaucoup rapprochés ! Malheureusement, quand je me suis levé au matin, j’ai trouvé leur emplacement vide … Seuls quelques bouts de bois restaient en souvenir, et une lettre qui m’était destinée … Ils voulaient tourner la page et essayer de refaire leur vie sans toi. Ils ne m’ont ni dit ou ils allaient, ni dit ce qu’il fallait faire si tu revenais … Depuis, plus de nouvelles …
Des larmes silencieuses roulèrent sur les joues de Mélodie. Elle n’avait pas voulu leur faire tant de peine ! Elle ne s’était pas rendu compte de l’ampleur de l’acte qu’elle avait accompli ! Karen passait un bras autour des épaules de son amie, quand la femme reprit :
-Mais tout n’est pas perdu ! Un jeune orphelin est venu s’installer récemment ici, et la rumeur court qu’il à un don du ciel, qu’il sait tout sur tout, des choses comme ça … Allez le voir, il ne faut pas si vite baisser les bras !
- Merci, pour vos explications, madame, le remercia Karen.
- Ce n’est rien, tenez, je vais vous conduire jusqu'à la tente de ce jeune homme.
Semblable aux autres, la tente du « génie » était faite de tôle et de cartons. La femme qui avait fourni aux filles des explications s’éclipsa d’un sourire accompagné d’un petit signe de la main puis disparu derrière un petit groupe d’habitants démunis. Karen entra la première, suivi de près par Mélodie, et elles furent étonnées des constater que le « jeune homme » n’était pas si grand que ça ! A en juger par sa taille et ses traits du visage encore enfantins, elles lui donnèrent une douzaine d’années.
- Inutile de vous demander ce que vous faites ici, soupira le garçon, vous voulez me demander un truc c’est ça ?
- Ou … Oui ! Mon amie cherche ses parents, et on a entendu parler de toi … Expliqua la jeune blonde. On pensait que …
- Ok, ok, j’ai compris … Bon, bon c’est Lucas. C’est qui, ces gens que vous cherchez ?
- Merci de nous aider, c’est gentil. Je m’appelle Karen et voici Mélodie. On recherche monsieur et madame …
Karen s’interrompit et rougit en pensant qu’elle ne connaissait même pas le nom de famille de sa seule et meilleure amie.
- Clark, Rose et Joseph Clark, intervint soudainement Mélodie.
- Ah, ouais, je vois … Ils sont partis brusquement, sans rien dire, à ce que j’ai entendu par les rumeurs…
Les deux amies hochèrent de la tête et virent le garçon fermer les yeux, comme pour se concentrer… Quelques secondes plus tard, il les rouvrit et annonça gravement :
-Ils se sont envolés pour Londres.
Ce fut Mélodie qui réagit la première :
- Mais pourquoi ? N’étaient-ils pas bien en France ? Et avec quel argent sont ils partis ? Je …
- Partez maintenant, j’ai besoin de repos. A vous de vous débrouiller maintenant.

Désolée du double post, je voulais juste vous signaler un petite erreur de ma part : J'ai mis : Bon,bon c'est Lucas alors qu je voulais mettre : Bon, moi c'est Lucas ! Voilà