Voilà, après quelques difficultés, vu qu'on nous a volé la nôtre, nous avons finalement pu mettre la patte sur une PSP grâce à un aimable lecteur qui a bien voulu nous dépanner en nous prêtant la sienne. On l'en remercie grassement au passage, donc merci à toi Pierre pour ce sacrifice, si tu es patient tu pourras en acheter une autre bientôt. Comment ? Faut te la rendre ? Mais ouuuiii. Ainsi donc, nous pouvons enfin vous parler de la première incursion de Sony sur le marché des consoles portables, un marché jusque là dominé sans partage par Nintendo qui n'aura jamais été inquiété par les concurrents ayant voulu tenter leur chance. Sega avec sa GameGear qu'on appelait la bouffeuse de pile, Atari avec la Lynx qui n'a jamais séduit les éditeurs et qui est morte faute de jeux et d'un prix attractif, ou plus récemment Bandaï dont la Wonderswan ne rencontre qu'un succès confidentiel en Asie. Mais là, on parle de Sony, le rouleau compresseur capable de vendre rien qu'en brandissant son nom à la face du monde. Attention toutefois, car la PSP a d'autres arguments que d'être une Playstation Portable. Une technologie et une puissance qui lui ouvrent les portes d'une qualité graphique étonnante pour une console portable, tout cela emballé dans un design moderne et superbe. Voici donc le point tant attendu sur une machine à la fois splendide, puissante mais aussi sur ses premiers défauts et déconvenues avérés, une finition qui est loin d'être parfaite et une autonomie qui confirme les craintes de ses derniers mois. Allez, hop, hop, hop.