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Test Dragon Ball : Origins

Dragon Ball : Origins : Personnages (suite)

Dragon Ball : Origins
21 448 vues
Profil de Logan,  Jeuxvideo.com
Logan - Journaliste jeuxvideo.com

Populaire au point de générer un engouement indéfectible plusieurs années après l'arrêt de la série, Dragon Ball et son héros SonGoku auront montré la voie à de nombreux mangakas. Pour autant, le début de cette saga fleuve n'avait jamais eu droit à une véritable adaptation. On pourra citer quelques titres NES ou Dragon Ball : Advanced Adventure sur GBA mais ces titres ne s'étaient pas vraiment attardés à retranscrire fidèlement les tablettes originales. C'est désormais chose faite avec Dragon Ball : Origins qui adapte ici les premiers tomes de la création de Toriyama.

Dragon Ball : Origins

En retranscrivant à la virgule près le tout début de la saga Dragon Ball (bien avant qu'elle n'acquière sa fameuse lettre de noblesse), Namco Bandai ne prend pas un gros risque. Dragon Ball Z ayant déjà fédéré une masse impressionnante de fans endurcis à travers le monde, il est en effet inconcevable que Dragon Ball : Origins ne cartonne pas au box office. On comprend alors mieux son prix prohibitif de 45 euros qui démontre une fois de plus qu'Atari capitalise sans aucune vergogne sur la nostalgie et une franchise ultra populaire synonyme de bénéfices records. Pourtant, on ne peut que réprouver une telle façon d'agir car si elle paraît logique, elle n'en demeure pas moins irrespectueuse du joueur. Cependant, nous ne sommes pas là pour nous poser en redresseur de torts mais pour juger de la qualité d'un produit ce que je vais m'empresser de faire.

Dragon Ball : Origins
Certains donjons sont désespérément longs à boucler.
En optant pour une sorte de Zelda-Like, les développeurs de Game Republic offrent à Dragon Ball : Origins une certaine liberté synthétisée par le genre aventure-action. Segmenté en divers chapitres allant de la rencontre entre Bulma et Goku jusqu'au "premier" championnat du monde d'arts martiaux, le titre semblait détenir la formule magique à même de restituer un univers connu de tous. Malheureusement, après avoir fait un tour complet du propriétaire, le résultat s'avère moins définitif qu'on aurait pu le penser. En fait, ce qui ressort de ce soft, hormis un suivi scrupuleux et jouissif des premiers tomes de Dragon Ball, tient à son manque d'ambition. Ainsi, comme je le disais plus haut, si on sent planer le spectre de Zelda au-dessus de DB : Origins, en cela qu'on évolue dans des donjons en résolvant quelques énigmes, la comparaison s'arrête là. Car oui, le titre de GR n'a pas le génie de celui de Nintendo et se borne à nous proposer une aventure des plus linéaires basée sur des actions répétitives du début à la fin. Toutefois, le paradoxe veut que plus on joue, plus on se rend compte des défauts de l'oeuvre et plus on en redemande. Etrange ? Pas vraiment car rappelez-vous bien que la grande force de cet énième jeu estampillé Dragon Ball est son respect total du manga et de l'anime qui en découle.

Dragon Ball : Origins
N'oubliez pas de passer dans la boutique, entre chaque mission, pour faire le plein d'objets.
En somme, pour peu que vous connaissiez et appréciez le travail de sieur Akira, vous aurez du mal à réprimer ces gloussements de contentement lorsque vous affronterez Oolong, Pilaf et Jackie Choun ou découvrirez la façon dont est utilisé le double écran de la DS pour introduire la première rencontre (cultissime) entre Bulma et Tortue Géniale. Bref, si on retrouve quelques chapitres originaux sur les 54 composant l'histoire, ceux-ci ne sont pas franchement intéressants et n'offrent au final que la possibilité de dénicher l'intégralité des statues bonus à débloquer ou quelques zénis et autres orbes de talent supplémentaires. Eh oui, n'oublions pas que nous sommes dans un jeu d'aventure-action, ceci induisant quelques emplettes ou augmentation de caractéristiques. En ce qui concerne lesdites emplettes, vous devrez néanmoins attendre d'être dans le menu d'entre-missions. Ici, vous aurez le loisir d'acheter ou de vendre des items de soin, des potions augmentant votre défense ou votre attaque, voire des flingues pour Bulma. C'est également en passant par cet endroit que vous pourrez reluquer les 200 statuettes mentionnées plus avant qui ne sont ni plus ni moins que les modèles 3D des ennemis et autres personnages que vous aurez au préalable rencontré. En parlant de ça, sachez que le multi du titre vous propose d'échanger ces "figurines" avec un autre joueur afin de compléter votre collection. On eut préféré quelque chose de plus fun mais il faudra a priori attendre le prochain épisode pour du véritable multijoueur. Pour l'amélioration des techniques que vous acquérez automatiquement au fil de l'aventure, il suffira de vous rendre dans un autre menu, accessible à tout moment, puis de booster ce qui vous intéresse. Au passage, nouveau carton rouge à Atari qui n'explique que très sommairement tout ce qui a trait à cette customisation. Au final, on se s'étonnera pas de trouver une notice de 14 pages faite à l'arrache contre une japonaise de plus de 36 pages détaillant le moindre élément de gameplay.

Dragon Ball : Origins
Bien avant de devenir le simple faire-valoir de Goku, Krilin était un personnage des plus truculents.
Quoiqu'il en soit, en arrivant au bout de votre périple, vous aurez obtenu plusieurs talents qui viendront dynamiser un peu les joutes. Avant tout, il faut savoir que s'il est possible de diriger Goku via la croix de direction, la jouabilité est entièrement tactile. Problème, celle-ci est loin d'être exempte de défauts. Le hic vient d'un calibrage bancal réclamant de notre part plusieurs essais pour effectuer des actions on ne peut plus basiques. Cet état de faits s'améliore avec un peu d'entraînement mais on ne peut nier que la maniabilité n'est jamais instinctive et s'empêtre dans une multitude de ratés surtout lorsqu'on doit réagir très vite face à plusieurs ennemis. Néanmoins, retenez que vous pourrez switcher quand bon vous semble entre le combat à mains nues ou au bâton. Ensuite, vous n'aurez qu'à tapoter l'écran ou effectuer des arcs de cercle pour enchaîner des charges, des kamehameha, j'en passe et des meilleurs. Malheureusement, certains mouvements, comme l'esquive dans le dos, sont difficiles à placer. Sur ce point, le jeu aurait mérité de gros bêta-tests qui seraient peut-être parvenus à effacer ces vilains ralentissements lorsque le jeu a affiché deux ou trois gros ennemis en même temps. Pour autant, on retiendra quand même de bons moments et des combats contre les boss vraiment sympathiques même s'il est dommage que ces derniers ne disposent pas d'une jauge de vie, plus parlante que les blessures et autres pansements nous renseignant sur leur état de santé.

Dragon Ball : Origins
Les combats contre les boss sont souvent l'occasion de mettre à profit une technique récemment apprise.
Si le gameplay aura fort à faire pour rallier tout le monde à sa cause, la construction même du jeu devrait être sujet aux mêmes critiques. Il est en effet difficile d'adhérer à cet aspect "dungeon-RPG" et sa construction minimaliste. Certes, The Legend of Zelda : Phantom Hourglass optait, en partie, pour un tel cheminement mais ses énigmes étaient tout de même plus évoluées. Dans Dragon Ball : Origins, il sera simplement question d'actionner quelques interrupteurs pour ouvrir des portes et ainsi permettre à Bulma d'avancer. Bien entendu, pour se faire, vous devrez évoluer au sein des donjons et utiliser vos capacités pour venir à bout de puzzles ne demandant pas une intense réflexion de votre part. On signalera malgré tout une certaine évolution dans les derniers chapitres ou en plus de pousser des blocs, il faudra user de votre attaque toupie couplée à un élément (feu ou électricité) pour alimenter des générateurs. Moyennement convaincant, pas assez du moins pour ne pas réprimer quelques propos "grommeleurs". Heureusement que Game Republic a pensé à parsemer son jeu de phases en nuage magique durant lesquelles vous devrez rattraper un adversaire ou atteindre l'arrivée avant le temps imparti. Mais ici aussi, ces séquences tournent vite en rond et on se demande pourquoi les développeurs n'ont pas proposé des courses en multi pour relancer un peu l'intérêt. Finalement, vous aurez compris par vous-même que nous ne sommes pas en face de l'adaptation idéale qu'on était en droit d'attendre. Fidèle, plutôt joli, parfois marrant et permettant de retrouver la plupart des passages cultes de l'oeuvre de Toriyama, Dragon Ball : Origins n'en reste pas moins un jeu assez moyen, la faute à un vrai manque d'ambition, une jouabilité souvent hasardeuse et quelques ralentissements. Comme à l'accoutumé avec la franchise, on attendra un éventuel deuxième ou troisième opus pour avoir droit à un véritable jeu : complet, mieux calibré et surtout un peu moins banal dans son concept.

Les notes
  • Graphismes15/20

    Sans être du niveau d'un Zelda : Phantom Hourglass, Dragon Ball : Origins fait partie des jeux utilisant habilement les capacités de la Nintendo DS. Fort joli, mettant parfaitement à profit le double écran, Game Republic a réalisé du bon travail sur le plan graphique.

  • Jouabilité12/20

    Se jouant entièrement au stylet, le titre perd de sa superbe lorsqu'on essaie de vraiment le dompter. Sans être catastrophique, la jouabilité aurait mérité d'être mieux calibrée afin de convaincre à tous les étages. Malheureusement, on esquisse souvent avant de mettre dans le mile et il faudra aussi supporter quelques ralentissements, heureusement peu nombreux. Toutefois, le gameplay propose de bonnes idées (dont des courses en nuage magique) et quelques combats contre des boss plutôt marrants.

  • Durée de vie14/20

    En filant en ligne droite, vous devriez venir à bout de l'aventure en 11, 12 heures d'autant que la difficulté est toute relative. Rajoutez 2, 3 heures de plus si vous voulez terminer tous les chapitres et récolter les 200 statuettes bonus. Le multi ne servant qu'à s'échanger des figurines, cet aspect du jeu ne lui assure pas un regain de longévité.

  • Bande son11/20

    Ne vous fiez pas à l'indication sur la jaquette mettant en avant les "musiques originales japonaises". Belle entourloupe marketing d'Atari puisque sans raconter de cracks, cette mention ne veut pas dire grand-chose. En effet, hormis le thème (instrumental) principal japonais servant d'intro, toutes les autres musiques sont des compositions inédites, fades et vite saoulantes. De plus, les très rares digits vocales japonaises sont ici remplacées par les doublages américains, ce que le distributeur a étrangement omis de signaler !

  • Scénario16/20

    Sur ce point, Dragon Ball : Origins réalise un sans-faute. La fidélité à l'oeuvre de Toriyama est totale, toutes les scènes cultes des premiers volumes sont ici présentes et les capacités de la Nintendo DS mettent en valeur certains passages croustillants du manga.

En adaptant fidèlement les premiers volumes du manga de Toriyama, Dragon Ball : Origins offre aux fans de la première heure un bon moyen de se replonger avec délice quelques années en arrière. Profitant d'une réalisation solide, il n'en reste pas moins que la jouabilité manque de précision et que la construction du jeu en décevra plus d'un. Malgré son manque d'ambition, ses mécanismes redondants et son rapport qualité/prix peu révélateur, le soft de Game Republic devrait vous offrir quelques bons moments et autres sourires à peine dissimulés. De quoi attendre un deuxième épisode qui corrigerait tous les défauts énoncés un peu plus haut tout en faisant évoluer le concept.

Note de la rédaction

12
14.8

L'avis des lecteurs (102)

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