Derniers tests de jeux vidéo - page 168

Que dire de Bayonetta quatre ans après sa sortie ? Unanimement acclamé à l'époque par la presse et le public, le jeu avait apporté une impertinente bouffée d'air frais au genre du beat'em all, laissant les joueurs divisés entre adoration d'un côté et perplexité de l'autre. Quoi qu'il en soit, la prestance de son héroïne aura indéniablement laissé son empreinte dans l'histoire du jeu vidéo. Il n'y a qu'à voir les nombreux cosplays, les fan arts ou les multiples produits dérivés pour comprendre que le "Bayonetta Style" a marqué de sa griffe la culture gamer. En cette fin d'année 2014, la sorcière impertinente aux cheveux capables de mille prouesses démoniaques revient sur Wii U dans une suite plus déjantée que jamais. La sortie prochaine de Bayonetta 2 est aussi l'occasion pour Platinum Games de rééditer le premier volet sur la console. Voici tout ce qu'il faut savoir sur cette nouvelle version de Bayonetta premier du nom uniquement disponible sur la machine de Nintendo.

Connu aujourd'hui pour être à l'origine des aventures du Professeur Layton, le studio Level-5 s'était livré à des expériences bien différentes au début des années 2000. True Fantasy Live Online était à l'époque un projet de MMORPG console ambitieux, porté par des graphismes en cel shading et un univers pouvant accueillir plusieurs milliers de jeux. Finalement annulé il y a dix ans, ce projet avorté a continué de trotter dans la tête des développeurs du studio Japonais. Difficile de ne pas voir une filiation entre TFLO et Fantasy Life, enfin disponible en Europe après avoir fait le bonheur des Japonais pendant près de deux ans. Reprenant quelques principes de jeu de son aîné tout en s'affranchissant de la partie massivement multijoueur, Fantasy life vous propose comme son nom l'indique de vivre la vie d'un personnage d'heroïc-fantasy... et le fait avec brio.

Mis en lumière à chacune de ses apparitions lors de salons internationaux, Murasaki Baby a multiplié les prestations encourageantes depuis son reveal il y a douze mois. Cette exclusivité PSVita façonnée par le tout récent studio Ovosonico, a choisi de ne pas trancher entre le gameplay et l'émotion mais utilise l'un au service de l'autre, et vice versa. Entre démo tactile et gyroscopique et aventure poignante et singulière, la promesse est, sur le papier en tout cas, en parfaite harmonie avec le support.

Afin de nous aider à patienter jusqu'à la sortie du prochain Zelda exclusif sur Wii U, Nintendo a accepté que l'équipe d'Omega Force transpose l'univers de la série dans un clone de Dynasty Warriors. Une décision qui n'aura pas manqué de heurter la sensibilité des puristes qui visualisaient mal l'alliance improbable entre les deux. Mais c'était sans compter sur l'imagination des concepteurs d'Hyrule Warriors qui ont trouvé le moyen de compenser la redondance du gameplay par une multitude de petites trouvailles qui confèrent au titre une identité bien spécifique.

War Thunder, World of Tanks, World of Warplanes… les free-to-play de ce type n'officient clairement pas dans le genre le moins représenté sur nos machines de jeu. En répétant parfois à outrance une recette qui a fait ses preuves et en choisissant de s’adresser autant aux férus d’artillerie lourde qu'aux novices, ces titres proposent pour la plupart de prendre les commandes de véhicules militaires du XXème siècle. Star Conflict se pose en marge de ses maîtres à penser puisqu'il envoie le joueur directement dans un univers SF aux manettes de vaisseaux à la pointe de la technologie...

C'est plein de mélancolie que le studio Bungie a dû abandonner sa licence fétiche, Halo, qui est allée s'acoquiner avec les voisins de 343 Industries pour rester dans le giron de Microsoft. C'était il y a déjà quelques années et le studio basé à Bellevue semble avoir bien digéré la rupture en s'appuyant sur un projet tout beau, tout neuf et surtout rempli d'ambition grâce à l'apport financier conséquent d'Activision : Destiny. Histoire d'aborder la transition en douceur, Bungie n'a toutefois pas renié son plaisir de développer des univers résolument sci-fi en nous proposant une épopée futuriste aux caractéristiques toutefois bien différentes. Pari réussi ?

Apprendre tout en s'amusant, la formule fait rêver mais atteint rarement ses objectifs puisqu'il semble toujours y avoir un pan négligé. Avec Frontier Heroes, le problème ne se pose pas. Volontairement léger au niveau ludique et éducatif, le titre se propose de retracer l'histoire américaine à travers quelques mini-jeux très simples mais divertissants qui, au passage, révéleront quelques anecdotes marquantes.

Apprendre tout en s'amusant, la formule fait rêver mais atteint rarement ses objectifs puisqu'il semble toujours y avoir un pan négligé. Avec Frontier Heroes, le problème ne se pose pas. Volontairement léger au niveau ludique et éducatif, le titre se propose de retracer l'histoire américaine à travers quelques mini-jeux très simples mais divertissants qui, au passage, révéleront quelques anecdotes marquantes.

Warframe, une des bonnes surprises de 2013 sur le secteur du free-to-play PC se paye, pour cette rentrée scolaire, une sortie sur Xbox One, un peu moins d'un an après la sortie sur PS4. Gros défouloir coopératif mélangeant TPS, free running et art du sabre, le titre gratuit de Digital Extremes débarque donc sur le Xbox Live dans sa version mise à jour. L'occasion pour le public console de goûter aux joies de la gratuité à travers un modèle économique pas forcément idéal pour tous... Bonne expérience, néanmoins pas exempte de défauts, Warframe offre une aventure multijoueur haletante et gratuite, alors pourquoi passer à côté ?

C'est plein de mélancolie que le studio Bungie a dû abandonner sa licence fétiche, Halo, qui est allée s'acoquiner avec les voisins de 343 Industries pour rester dans le giron de Microsoft. C'était il y a déjà quelques années et le studio basé à Bellevue semble avoir bien digéré la rupture en s'appuyant sur un projet tout beau, tout neuf et surtout rempli d'ambition grâce à l'apport financier conséquent d'Activision : Destiny. Histoire d'aborder la transition en douceur, Bungie n'a toutefois pas renié son plaisir de développer des univers résolument sci-fi en nous proposant une épopée futuriste aux caractéristiques toutefois bien différentes. Pari réussi ?

C'est plein de mélancolie que le studio Bungie a dû abandonner sa licence fétiche, Halo, qui est allée s'acoquiner avec les voisins de 343 Industries pour rester dans le giron de Microsoft. C'était il y a déjà quelques années et le studio basé à Bellevue semble avoir bien digéré la rupture en s'appuyant sur un projet tout beau, tout neuf et surtout rempli d'ambition grâce à l'apport financier conséquent d'Activision : Destiny. Histoire d'aborder la transition en douceur, Bungie n'a toutefois pas renié son plaisir de développer des univers résolument sci-fi en nous proposant une épopée futuriste aux caractéristiques toutefois bien différentes. Pari réussi ?

C'est plein de mélancolie que le studio Bungie a dû abandonner sa licence fétiche, Halo, qui est allée s'acoquiner avec les voisins de 343 Industries pour rester dans le giron de Microsoft. C'était il y a déjà quelques années et le studio basé à Bellevue semble avoir bien digéré la rupture en s'appuyant sur un projet tout beau, tout neuf et surtout rempli d'ambition grâce à l'apport financier conséquent d'Activision : Destiny. Histoire d'aborder la transition en douceur, Bungie n'a toutefois pas renié son plaisir de développer des univers résolument sci-fi en nous proposant une épopée futuriste aux caractéristiques toutefois bien différentes. Pari réussi ?

Après s'être fait la main sur Brand, le studio canadien Nine Dots revient avec GoD Factory : Wingmen, un jeu de combat spatial multijoueur à l'enrobage d'inspiration nippone. Curieux mélange de Zone of the Enders, Strike Vector et Battlefront 2, le titre nous propose du dogfight stratégique avec une originalité certaine, mais peine malheureusement à captiver ses nouveaux joueurs, à cause notamment d'un contenu un peu faible et d'un gameplay parfois perfectible...

Le ninja le moins discret du monde est de retour ! Voilà qui devrait ravir les fans qui, depuis le très bon Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 3, sont forcément impatients de mettre leurs mains pleines de doigts sur un nouveau jeu, proposant toujours plus de ninjas, de jutsus, et de modes de jeu mémorables. Leur attente sera-t-elle récompensée ? Eh bien... oui et non.

Le ninja le moins discret du monde est de retour ! Voilà qui devrait ravir les fans qui, depuis le très bon Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 3, sont forcément impatients de mettre leurs mains pleines de doigts sur un nouveau jeu, proposant toujours plus de ninjas, de jutsus, et de modes de jeu mémorables. Leur attente sera-t-elle récompensée ? Eh bien... oui et non.

Avec Theatrhythm, Square Enix a prouvé que l'idée de transposer les musiques de la saga Final Fantasy dans un jeu de rythme ne relevait pas du blasphème mais du véritable coup de génie. Plus complet et plus pertinent que son prédécesseur à tous les niveaux, Curtain Call risque de s'imposer rapidement comme le compagnon attitré des possesseurs de 3DS, le plus difficile étant de parvenir à s'arrêter une fois la partie entamée...

Après un Madden NFL 25 en demi-teinte, EA reprend le compte normal des années et nous sort un Madden NFL 15 qui s'avère être le premier vrai Madden new-gen. Outre quelques améliorations graphiques, il compte surtout sur une toute nouvelle gestion de la défense pour séduire les fans. Cela sera-t-il suffisant ?

Attendu de pied ferme par toute une communauté d'amateurs éclairés, la suite de Danganronpa déboule sur Vita quelques mois seulement après la sortie du premier volet. Si vous n'avez encore jamais entendu parler de ce titre, imaginez un cocktail détonant entre un Virtue's Last Reward et un Ace Attorney, et vous aurez déjà une petite idée de ce qui vous attend dans Danganronpa 2.

Après un Madden NFL 25 en demi-teinte, EA reprend le compte normal des années et nous sort un Madden NFL 15 qui s'avère être le premier vrai Madden new-gen. Outre quelques améliorations graphiques, il compte surtout sur une toute nouvelle gestion de la défense pour séduire les fans. Cela sera-t-il suffisant ?

Si les jeux de gestion de transport ferroviaire ne sont clairement pas les plus répandus dans l’univers vidéoludique, ils font incontestablement partie des petites madeleines de Proust de nombreux gestionnaires en herbe errant aujourd'hui un sourire nostalgique collé aux lèvres à la simple évocation d’un titre estampillé Railroad Tycoon. Assez pauvre en actualité depuis quelques années, le registre pourrait bien reprendre un peu de vigueur avec l’arrivée de Train Fever, qui entend manifestement rendre hommage à tout un genre de niche tout en dépoussiérant son concept pour le faire coller à l’air du temps. Pari réussi ?