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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Exclusivité PS4 un peu passée sous silence en début d'année à côté du mastodonte Horizon Zero Dawn ou même d'autres productions japonaises de haute volée tels Nioh, NieR Automata ou encore Persona 5, Gravity Rush 2 avait pourtant très bien rempli son rôle de suite attendue par une fanbase qui ne l'espérait quasiment plus. En répondant aux interrogations de joueurs frustrés par le finish d'un premier épisode aux allures de cliffhanger quelque peu abusif, ce second volet ne nous permettait cependant (presque) pas de contrôler Raven, la rivale initiale de Kat dans Gravity Rush premier du nom. Heureusement, un DLC annoncé avant même la sortie du titre de Japan Studio comptait corriger cela.
Au fil des années, le genre du metroidvania n'a cessé de surprendre les joueurs. Après les bons (voire très bons) VVVVVV en 2010, Dust : An Elysian Tail en 2012 ou encore Valdis Story : Abyssal City et Guacamelee! en 2013, le pinacle du genre semblait être atteint en 2015 avec Ori and the Blind Forest. Porté par sa direction artistique renvoyant aux plus belles productions des studios Ghibli, ce dernier a été élevé au rang de chef-d’œuvre. Si vous pensiez ne jamais retrouver un jeu avec une telle aura, c’était sans compter sur le travail de trois jeunes Australiens, à l’origine du premier jeu développé par leur studio Team Cherry : Hollow Knight.
Faëria, The Elder Scrolls Legends, Krosmaga, Gwent… On ne va pas faire la liste de tous les jeux de cartes free-to-play sortis récemment tant le genre a le vent en poupe depuis que le succès populaire (et financier) qu’est Hearthstone a vu le jour. Si la plupart n’hésitent pas à reprendre les mécaniques de ce dernier afin de faire leur place sur ce marché hyper concurrentiel, certains ont le mérite de se démarquer. Duelyst, débarqué en août 2016 après une campagne Kickstarter, s’affiche comme l’un d’entre eux. À mi-chemin entre CCG et tactical-RPG, la création originale des indépendants de Counterplay Games vaut-elle le détour ou n’est-elle qu’un énième pay-to-win à la durée de vie éphémère ?
Les premiers rayons du jour percent au travers d’un amoncellement de débris et viennent caresser vos vibrisses gluantes. L’air est frais mais vous êtes blotti, au chaud, entre votre frère et votre mère. Celle-ci est déjà affolée : le soleil est matinal et les menaces qui rôdent le sont tout autant. Alors que vous traversez un précipice en équilibre sur un conduit d’évacuation, une averse vous surprend et, malheureusement, vous glissez et tombez. Désormais séparé de votre famille, vous allez devoir apprendre la survie. Bienvenue dans Rain World.
Ces dernières années, plusieurs studios indépendants ont repoussé les limites du jeu narratif, en nous proposant des aventures vues à la première personne où le gameplay épuré sert de prétexte à un récit prenant. Dans la veine de Firewatch ou encore The Vanishing of Ethan Carter, le studio PaperSeven nous propose ce mois-ci sa propre recette, comportant des ingrédients plutôt exotiques.
Au doux nom de Twisted Metal et God of War, les nostalgiques se remémorent leur jeunesse et ces soirées vautrés dans un canapé bon marché le pad à la main, entourés de leurs gars sûrs. David Jaffe incarne cette vision du jeu vidéo et ces années décomplexées. Ce créatif, qui a donné naissance aux pépites citées précédemment, illumine 2017 de son imagination débordante avec l'exclusivité PlayStation 4 Drawn to Death, un TPS nerveux à la direction artistique atypique. Sortez de terre vos champs de bataille Clairefontaine, déterrez la trousse de guerre et affûtez vos crayons... “Dessiner à la mort” est sur le point de débuter.
Avec Yooka-Laylee, les anglais de Playtonic ressuscitent l’esprit de la grande époque du jeu de plateforme sur Nintendo 64. Mené par une équipe d’anciens de Rare Software, les esprits facétieux à l’origine des cultissimes GoldenEye 007, Donkey Kong Country et bien entendu Banjo-Kazooie, livrent ici le successeur spirituel de ce dernier. Un duo charismatique de héros, de la récolte d’objets à tout va, une dose de plateforme à l’ancienne saupoudrée d’une généreuse pincée d’humour : telle est la recette de ce Yooka-Laylee. Mais est-ce vraiment dans les vieux pots que l’on fait les meilleures confitures ? Réponse sans plus tarder en test.
La vie d'un journaliste jeux vidéo est pleine de surprises. On voit passer chaque jour pléthore de jeux et d'informations les concernant, au point de finir par oublier le plaisir simple de la découverte d'un petit jeu que l'on avait pas vu venir, ou dont on n'avait absolument pas entendu parler. Un bonheur qui n'en est que décuplé lorsque le titre en question s'avère être de qualité. Un sentiment d'allégresse et de joie que l'on aurait aimé ressentir en jouant à Rogue Stormers, mais comme le disait si bien la maman de Forest Gump : « la vie, c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber ».
Réalisé spécialement pour les amoureux des point'n click à l'ancienne, Thimbleweed Park est le digne successeur de Maniac Mansion et The Secret of Monkey Island. Pour financer cet hommage, les spécialistes du genre, Ron Gilbert et Gary Winnick, sont parvenus à fédérer une grosse communauté qui n'a pas hésité à mettre la main à la poche. Ce sont ainsi plus de 625 000 dollars qui ont été récoltés sur Kickstarter pour que cette suite spirituelle voit le jour. Sous cet amas de pixels colorés se cache une aventure corrosive, très bien écrite, cyniquement drôle et bourrée de références à la pop-culture des années 80 et 90. Si vous voulez savourer un trip rétro comme on en fait plus, c'est le jeu qu'il vous faut !
L’arrivée de la Switch dans les chaumières de plusieurs millions de joueurs a donné quelques idées à la sphère indépendante, laquelle tient avec cette nouvelle machine un véritable filon, vierge de toute surcharge de catalogue. Snake Pass fait partie de cette vague de titres a s’essayer sur la nouvelle console de Nintendo en plus de débarquer sur les supports plus classiques que sont la Xbox One, la PS4 et le PC via Steam. Que nous réserve cette aventure haute en couleurs ? C’est ce que nous allons voir…
La voilà, elle est enfin là : la quatrième et dernière compilation Kingdom Hearts ! Après un 2.8 HD qui brillait davantage par son contenu exclusif que par le remaster de son jeu 3DS, Dream Drop Distance, Square Enix sort enfin l’artillerie lourde et dégaine sa compilation presque ultime. 6 contenus de la saga, 4 jeux complets affichant chacun 30H à 60H de jeu et 2 « films » réalisés avec le moteur de Kingdom Hearts 2. De quoi préparer les joueurs à l’arrivée fantasmée de Kingdom Hearts 3, mais est-ce suffisant ?
Les trublions de Frozenbyte avaient, à la surprise générale, conquis les amateurs de jeu de plate-forme/aventure avec leur franchise Trine et ses nombreux épisodes sortis entre 2009 et 2015. Les fans attendaient depuis lors le nouveau projet de ce studio basé à Helsinki (Finlande). Et Has-Been Heroes sonne leur retour aux affaires. Ce roguelike loufoque teinté d'humour estompe l'épique le temps d'une aventure assurément décalée et décomplexée titillant la fibre nostalgique des joueurs par le biais de ses visuels rétro. Nos aventuriers parviendront-ils à escorter leurs princesses à l'académie et obtenir l'approbation de la presse et du public ?
Bien qu'on ait tendance à davantage se rappeler de Mafia III pour ses défauts techniques et son open world mal exploité, il n'en reste pas moins que le jeu de Hangar 13 a de véritables qualités à commencer par ses personnages, son scénario et son gameplay faisant plutôt bien le taf. C'est donc avec un sourcil levé que nous attendions le premier DLC, Faster Baby ! qui débarque sans avoir vraiment communiqué. Un signe qui ne trompe pas ? Eh bien pas vraiment, c'est même plutôt le contraire.
Furyu ne baisse pas les bras. Après l'échec commercial sur l'archipel du pourtant très innovant Lost Dimension, le modeste éditeur re-signe sur PSVita avec un nouveau RPG original porté sur la tactique. Le relatif succès de ce nouveau titre au Japon (50 000 exemplaires distribués) et la carrière internationale de Lost Dimension (maintenant sorti sur PC) poussent Atlus à le localiser, cette fois sous le nom de The Caligula Effect.
Six mois après sa sortie, Final Fantasy XV accueille son premier DLC narratif, l’Episode Gladiolus. La montagne de muscle passe une épreuve difficile aux côtés de Cor, l’occasion pour nous de jouer un autre personnage que Noctis.
Un an après ses premiers pas dans l'hexagone, Yokai Watch s'offre déjà un retour parmi nous via deux nouvelles versions faisant office de suite directe : Esprits Farceurs et Fantômes Bouffis. Sans surprise, ce deuxième épisode doit suivre la feuille de route habituelle de toute bonne série lorsque vient l'heure de passer à un second opus : confirmer les bonnes pré-dispositions du premier tout en corrigeant les défauts de jeunesse de l'aventure originale.
Il suffit de jeter un œil à Disc Jam pour constater que le studio indépendant High Horse Entertainment, créé sous l’impulsion de deux ex-employés d’Activision, tire son inspiration de deux jeux : Windjammers et Rocket League. Le premier est un jeu de duel sportif au frisbee sorti dans les années 90. Nombre de joueurs ont claqué bien des piécettes pour y jouer sur borne d'arcade Neo Geo, avant qu'il ne débarque sur la console de salon du même nom, animant alors les longues soirées d’hiver entre amis grâce à son gameplay nerveux en versus. Le second est bien parti pour laisser une empreinte similaire. Grâce à son concept simple, sa prise en main immédiate et son format "parties courtes", la pépite de Psyonix est un exemple de réussite. À première vue, Disc Jam pourrait marcher sur ses plates-bandes. Mais en est-il réellement capable ?
Pour Square Enix, Final Fantasy XV devait renouer avec ce qui a fait les belles heures de la saga, une nécessité qui les a forcé à repousser la sortie du jeu à maintes reprises. En empruntant le système de combat de Kingdom Hearts, en s’inspirant des plus grands RPG du moment et en y ajoutant un univers cross média étoffé, Hajime Tabata a su accoucher d’un titre qualitatif qui restera longtemps dans les annales. Et si Final Fantasy XV s’en sort si bien, c’est aussi grâce à son univers étendu : un film à la réalisation de haute volée, une série animée revenant sur la jeunesse des compagnons de notre héros mais également un mini-jeu, proposé uniquement en Amérique du nord pour toute précommande de l’opus central. Erreur réparée puisque A King’s Tale vient d’atterrir sur le vieux continent. Que vaut donc le conte du Roi ?
Si elle n’a pas l’aura de Final Fantasy ou de Dragon Quest en Europe, la série Persona a toujours sa carte à jouer dans le domaine du J-RPG. Grâce à un univers sombre et un style singulier, elle a su charmer les joueurs, et il n’est pas impossible que Persona 5 lui amène un nouveau public…