Tequila Works, les développeurs de Rime, ont récemment sorti Gylt, première exclusivité (au moins temporaire) sur Stadia. Kaaraj nous donne son avis sur le premier jeu édité par Stadia Games and Entertainment.
Gylt brille d'abord par sa direction artistique, très réussie, et sa mise en scène, avec des plans qui exploitent bien les effets de lumières du jeu. On y incarne une jeune femme à la recherche d'Emily, sa cousine, dans un monde qui remémore visiblement des souvenirs à notre personnage. Sauf que dans Gylt, le village a l'air totalement abandonné, et plutôt envahi par différents monstres. Le jeu mêle ainsi certains codes des jeux d'horreur à une direction artistique plus proche de certains dessins animés.
Gylt aborde un sujet pas souvent traité dans le jeu vidéo, le harcèlement scolaire. Il l'annonce d'ailleurs dès le premier écran du jeu, mais contrairement à Rime qui arrivait à exprimer son thème sous-jacent de manière subtile et métaphorique, dans Gylt, cela semble avoir été un peu rajouté artificiellement par-dessus un jeu à la structure très classique.
Pour plus d'information sur Gylt, ses mécaniques, sa technique et ce qui a plu ou déplu à Kaaraj, nous vous invitons à regarder sa chronique et bien-sûr à lire son test. Le jeu y a obtenu la note de 13/20.