Avant toutes chose je précise qu'il s'agit de la version Switch et que je n'est jamais fait les autres versions.

Je vais commencer par le mauvais. Le plus désastreux dans ce jeu c'est le contrôle de la demoiselle . si on passe trop prés de la chaise, du trottoir , de l'escalier ou de tout autre choses, la demoiselle resteras coincer dessus et marchera sur place. A deux ou trois reprise j'ai du quitter le jeu et le relancer parce qu'un bug m' empêcher de me décoincer. Heureusement la sauvegarde auto, m'a permis de reprendre exactement la ou j’étais. L'exploration devient pénible a force, tu sais jamais vraiment si , si tu pars par la, est ce qu'il n'y a vraiment rien ou est ce que ton perso et encore coincé sur quelque chose. Un autre point qui ma déplus c'est l'alliance avec les contrôle et la camera. Je m'explique .Le jeu est composé de plan fixe dans lequel vous vous déplacer avec la camera vers vous, et arriver au bout un autre plan s'affiche mais cette fois ci la camera et passé derrière vous . Donc sur le premier plan , on incline le stick vers le bas pour se déplacer, quand on arrive au deuxième plan si on garde le stick vers le bas le perso revient immédiatement au premier plan. ça devient très pénible a force. personnellement je pense qu'il aurait mieux valu contrôler un pointeur, plutôt qu'un personnage.
D'un point de vu graphique les images sont pas ouf . on sent bien que le jeu a quinze ans . D'ailleurs c'est certainement a cause des contraintes technique de l’époque mais il y a quelques choses qui m'a étonné . C'est que quelques soit l'endroit ou tu te trouves, il n'y a jamais personne. Y compris dans les endroits qui normalement sont blindé de monde ( comme une cité universitaire , par exemple)

Dans le bon, je me dois de citer ce scenario , cette histoire qui te tient en haleine, t'as envie de savoir la suite, t'as envie de retrouver ce personnage qu'on te demande de retrouver,
C'est certainement la seule chose qui m'est plus dans ce jeu et pourtant malgré ses défauts, j'ai eu envie d'aller jusqu'au bout .

Si vous ne connaissez pas Syberia , je vous le conseille. Techniquement , il y a des choses a revoir, mais ça reste un bon jeu , qui je pense vaut le détour .

Pour commencer, Sybéria est à des années lumières des jeux dont j'ai l'habitude de jouer et je dois bien l'avouer, il est excellent.

De part son univers unique et étrange, il ma marqué par son calme et ses enigmes prenantes et intéressantes.

Il est à des années lumières des jeux d'aujourd'hui (étant sortie pour la première fois au début des années 2000) mais ce n'est pas cette aspect du jeu qui ma séduit mais bien son univers spéciale et ce qu'il dégage est très particulier.

Le côté linéaire est plaisant, l'exploration est courte mais bonne. Il n'est pas difficile et c'est parfait comme ça.

les + :

- enigme
- univers calme et étrange
- exploration linéaire très bon
- Kate Walker charismatique
- Histoire prenante

les - :

- Graphisme daté

Honte sur moi d'avoir attendus toutes ces années pour découvrir cette pépite, alors oui le jeu est daté que ce soit graphiquement ou en maniabilité mais ça n'enlève absolument rien au plaisir de parcourir son histoire et son univers si particulièrement envoûtant!! Un indispensable pour tout joueur étant passé à côté surtout pour un prix de 15€ en moyenne!

J’ai lancé Syberia pour la première fois en 2024. Le jeu a beaucoup vieilli, bien sûr, un jeu du début des années 2000 qui se veut réaliste n’est forcément pas reçu de la même façons de nos jours.

J’ai vu beaucoup de commentaires qui disent que ce jeu est injouable, que c’est une honte de le vendre encore… Malgré les graphismes vieillots (sans doutes très beaux à l’époque), j’ai adoré l’histoire du jeu, les mécanismes à comprendre et traiter. Ne jouez pas à des jeux vintage si vous n’avez pas la patience de traiter avec les moyens de l’époque.

J’ai hâte de lancer le 2 pour connaître les futures aventures de Kate et surtout voir quelle histoire les producteurs vont pouvoir inventer suite à celui-ci, qui n’amène pas vraiment de suite.

Point’n click réalisé par Benoît Sokal, Syberia a marqué le début des années 2000 pour son univers au cachet particulier parsemé de paysages européens de caractère. Le joueur y contrôle Kate Walker, avocate américaine à la recherche de l’héritier d’une usine d’automates pour en conclure la revente. Très joli, Syberia comporte des plans précalculés rappelant des jeux comme Resident Evil ainsi que des mélodies occasionnelles à la manière d’un Tomb Raider. C’est d’ailleurs Françoise Cadol, voix française de Lara Croft, qui double l’héroïne d’une manière toujours aussi fluide et authentique. L’humour reste assez présent à travers les dialogues, notamment avec l’automate Oscar qui s’exprime de manière séquencée comme C3PO.

Côté gameplay, les mécaniques se limitent à bouger le personnage pour examiner des zones, lire des documents et récupérer des objets. Très simples, la plupart des énigmes auraient mérité d’être mieux élaborées, certaines manquant de clarté pendant que d’autres se limitent au placement d’un objet et à des allers-retours entre plusieurs personnages à interroger. Sorti originellement sur PC, Syberia est porté sur PlayStation 2 et Xbox un an plus tard, ou encore sur DS en 2008 dans une version aux graphismes compressés et sans dialogues vocaux. La Switch reste un support idéal pour ses différentes possibilités de jouabilité et sa grande qualité d’affichage.

19/20 pour la version PC mais la version switch est une grosse arnaque !
Il manque pleins de détails : Pas de numéros à taper sur son portable, pièces ou lieux supprimmés, animations faciales inexistantes, le jeu est simplifié bref, grosse déception...
Le jeu reste jouable quand même.