Excellent jeu.

Je n'avais pas ressenti de tel sensation d'exploration depuis bien longtemps.
Vous voulez vous rendre dans un village? Simple vous direz vous, il suffit de suivre la route. Le probleme, c'est qu'il y a tellement de choses a faire qu'il vous faudra bien plus de temps que prevu pour l'atteindre! Et c'est genial!

Contenu impressionnant.

Seul bémol, il y a des petits ralentissements dans certaines zones du jeu. C'est dommage. Le jeu serait parfait sinon.

bof.. Ça ne ressemble pas à un Zelda

Grosse déception sur cet Opus, bien"différent" des autres Zelda. Répétitif à souhait, je n'ai eu aucun plaisir à faire les sanctuaires, ça ne fait vraiment pas rêver. Ou est passe l'esprit de la série ??Ou sont les Donjons ??? Vous avez craquer à mettre un 20/20

Les mots peuvent difficilement décrire tout ce qu'on ressent quand on décide de s'élancer dans BOTW. Ce qui vient à l'esprit, en premier lieu, c'est évidemment ce sentiment de liberté immense. C'est aussi la sensation d'évoluer dans un monde, certes déchu, mais bien vivant. C'est surtout celle d'évoluer comme bon nous semble, en fait.

La carte gigantesque met en scène des environnements variés qui ont tous leurs mots à dire. Les conditions météorologiques y diffèrent, les changements de température doivent être pris en compte, les variations géographiques pures aussi... Le fait que le joueur doive et surtout puisse réagir à tout cela en temps réel rend l'expérience imprévisible, rafraîchissante, authentique à chaque session de jeu.

La liberté de faire (et de ne pas faire) montre le bout de son nez sans attendre. Dès les premières minutes, cette map, elle se parcourt avec joie, curiosité, plaisir, exploration, découverte et émerveillement. Tantôt à pied, tantôt à cheval. Un temps en grimpant, un autre en planant. Nager, utiliser ses pouvoirs ou la force du vent pour pousser un radeau de fortune trouvé sur l'eau, c'est Link qui décidera de la manière dont il traversera cette rivière. C'est aussi à lui de choisir dans quel ordre il compte accomplir les étapes de son aventure, voire même s'il daignera les accomplir. Aucune obligation, uniquement des possibilités, c'est le maître mot ici. Un camp d'ennemis apparait sous les yeux du joueur, à lui alors de savoir s'il veut s'en débarasser, ou pas et si oui, comment. Le radar de la tablette Sheika bip à l'approche d'un sanctuaire. Une nouvelle fois, au héros de le trouver ou pas et de trouver sa propre façon de mener à bien l'énigme qui s'y cache, le cas échéant. Les nombre d'exemples est interminable, ce qu'il faut retenir c'est que celui qui décidera de faire sera récompensé, l'autre ne sera pas punit.

Le pouvoir de faire est une condition à la liberté de faire. Ce pouvoir laissé au joueur émane principalement d'un moteur physique flambant neuf, ouvrant la porte aux plus belles phantaisies de celui qui tient les joycons. La grande majorité des objets et autres corps sont affectés par les forces du vent, de l'eau, du feu, des capacités de Link, mais aussi les coups assainés par ce dernier et ses ennemis. La façon d'aborder les circonstances multiples qu'un tel moteur propose, une fois les nombreuses commandes assimilées, vont alors varier d'un Link à l'autre. Le gameplay est organique et émergent, il se laisse porter par les envies du gamer avec une grâce et une facilité déconcertante. Aucune situation n'est fixe, les aléas de la nature pouvant intervenir sans prévenir, jouer avec la physique, lors d'une phase qui pouvait paraitre sous contrôle.

Ce pouvoir est aussi caractérisé par l'absence quasiment totale de barrières. Les murs invisibles, qui ne ratent plus un jeu depuis longtemps, font ici l'école buissonière. La liberté de mouvement de Link est aussi horizontale que verticale et seuls les fonds marins lui feront peur. Véritable délivrance, avoir le loisir d'atteindre tout ce qu'on apperçoit de près ou de loin autour de soit parait illusoire au départ, presque angoissant quand on se rend compte de l'énormité du paysage qui nous entoure, et une extase une fois la réalité acceptée et maîtrisée.

Je n'en dirais pas plus sur Breath of The Wild, car il n'y a qu'en y goûtant qu'on peut concevoir son génie et embrasser sa superbe.
Difficile de s'en défaire une fois l'aventure terminée, périlleux de se tourner vers autre chose sans un sentiment de privation et d'emprisonnement, rare de ne pas s'y replonger au plus vite.

Après avoir passé 160 heures sur Zelda Breath of The Wild me voilà apte à écrire mon évaluation sur ce jeu.

Tout d'abord, il faut savoir que les codes habituels du jeu vidéo se voient totalement bouleversés par les règles de cette expérience vidéoludique. Terminé les objectifs pratiques indiquants l'endroit où l'on doit se rendre, ici, vous ne fonctionnerez que par indice. Ce qui en fait réellement un jeu pour adulte, anti-casu. C'est simple, 90% des objectifs ne seront pas indiqués sur la carte, à vous de vous débrouiller en parlant aux PNJ, en les écoutant durant leur sommeil, en se faufilant derrière eux pour obtenir des informations que vous n'étiez pas sensé entendre, en observant les alentours et surtout en lisant attentivement les énoncés des diverses quêtes. La technique est gratifiante et l'on en retire pleine satisfaction lorsque l'on trouve après maintes recherches une solution à nos problèmes. Non seulement la durée de vie est forcément plus longue mais en plus vous devrez réellement faire appel à votre côté logique, habile et réflexif pour remporter la victoire. Fini le travail prémâché, c'est vous le joueur.

La volonté de laisser le joueur dans l'incompréhension est également une manière vraiment habile d'amener le jouer à chercher les réponses lui-même, parcourez la carte immense et cherchez un sens à l'histoire qui entoure la légende de Zelda. L'écriture est très simple, mais elle sait émouvoir. Les personnages principaux n'en dévoilent que peu sur leur caractère mais en réalité, et si l'on laisse sa pensée se promener on comprend toute la complexité des prodiges, leurs manières de voir la vie, et celle de Link, surprenante et déroutante à la foi. On comprend alors que le scénario atteint des rangs en matière de justesse.

Même le plus petit des PNJ aura toujours une information importante à donner au joueur, que ce soit sur le monde et l'univers qui les entoure, comme d'un détail important à relever.

Les combats sont intenses et demandent parfois une vraie dextérité SpoilAfficherMasquer surtout avec les lynels .

Les doublages sont rares mais toujours les bienvenus, les textes simples mais bien rédigés, la musique est magnifique, que peut-on reprocher à ce jeu ?

La plus grande déception que l'on peut ressentir en jouant à Zelda BOTW c'est que la curiosité ne paie que trop peu. Evidemment, parcourir le vaste monde d'Hyrule est passionnant, malheureusement là où l'on attendait de réelles surprises se trouveront à tous les coups un sanctuaire où une noix korogu.

Voyons ça de plus près. Il y a précisément SpoilAfficherMasquer120 sanctuaires et SpoilAfficherMasquer900 noix korogus, ce qui est ENORME, bien trop conséquent. Après les cent premières heures, vous serez sans aucun doute lassé de découvrir après avoir pris la décision de grimper une montagne, de fouiller un recoin sombre ou de découvrir dans une petite grotte un énième objet collectionnable, comme pour les minis-donjons que l'on nous présentera comme LE SECRET ULTIME CACHE AUX YEUX DE TOUS, or pour vous, c'est encore un mini défi à base d'énigmes (toutes diverses et parfois mêmes vraiment plaisantes et exigeantes) mais qui par son nombre débordant, devient quelconque et ôte totalement cette sensation de mystère.

De plus, même les quêtes principales vont parfois jusqu'à oublier presque de nous présenter des personnages qu'on va devoir aider. La zone des piafs et des gorons par exemple sont belles et agréables à parcourir, mais la tâche principale qui les entoure se règle très vite et très facilement contrairement à Gerudo ou encore Zora qui prennent bien plus le temps d'être misent en scène. Etrange comme fonctionnement.

Maintenant, l'univers est magnifique, l'ambiance changeante à travers les diverses régions et la volonté de tout découvrir est dévorante. Oui, Zelda Breath of the Wild est un chef d'oeuvre, atteignant les sommets en terme vidéoludique.

La technique pousse la console à dévoiler ses failles techniques, quelques ralentissements par moment sur télévision mais rien de dérangeant. Même si certaines textures sont un peu baveuse, l'ensemble reste cartoonesque et vraiment joli.

Alors même si l'on pourra repprocher au jeu son manque de surprises où de révelations, sa trop simple écriture de quêtes annexes comme de la durée parfois alarmantes des quêtes principales, le jeu est déjà entré dans la légende. Et tout le monde s'en rappellera encore dans 10 ans, en se souvenant de ce jeu où la sensation de liberté était inégalable.

Mais n'en parlons pas plus, foncez et ne passez pas à côté de cette véritable oeuvre d'art.

J'ai éteint ma console il y a deux heures, le générique est terminé et je rédige cette critique. Eh bien croyez-moi, j'ai un pincement au coeur sachant que tout cela est terminé.
Hyrule me manquera, c'est une évidence.

Jamais j'aurais pu penser un jour voir un Zelda surpasser le grand ALTTP (sans oublier Ocarina of Time WindWaker ou SS) ce nouveau Zelda a dépassé toute mes attentes on sent que le moindre détail que ce soit en terme de game ou de level design est pensé, chaque petite chose a une utilité, le jeu nous pousse à la découverte en permanence et on est toujours récompensé au final. Le seul point dirons-nous négatif est l'aspect technique (malgré une D.A démente) mais rien ne nous touche dans notre progression tellement l'aventure nous absorbe, ce jeu est au panthéon et dans 20 ou 30 ans on parlera encore de cette merveille comme on peut le faire aujourd'hui avec FF7 ou Mario64.

Bonjour,

Je met 19/20 car aucun jeu n'est parfait. En fait le point en moins c'est juste que de temps en temps il y a une petite baisse de framerate...Et encore. C'est vraiment rare. Je pourrais mettre 19,99/20.

Franchement mise à part ça quel claque ce jeu. Et pourtant j'ai joué à des jeux comme skyrim, the witcher 3 et j'en passe. Tous ses jeux ont des qualités indéniable.

Mais voila j'ai joué à ce zelda et mon dieu quel jeu d'aventure, j'aime me perdre dans l'ambiance de ce jeu, ecouter les bruits de la nature, découvrir les créatures qui habite ce vaste monde.

Oui c'est bien l'aventure avec un grand A. J'ai 29 ans et je pensais pas retrouver le frisson de la découverte et ce jeu me le donne à chaque instant.

Quel grand jeu..

J'ai acheté la switch pour ce jeu et j'ai aucun regret. Moi et ma copine on découvre l'aventure chacun de notre côté, on partage nos astuces, on apprend à découvrir ce monde.

Ce jeu est gigantesque, la zone de prelude n'est qu'une mise en bouffe à un monde bien plus grand.

En vérité c'est difficil de décrire ce jeu tellement il y a de bonne idée.

Mais au delà du jeu, la switch permet de jouer à ce jeu sur tv, sur tablette et ceci contribu énormément à la réussite de ce jeu.

Bref un jeu que je vais jouer longtemps, très longtemps..

(Une quinzaine d'heure de jeu au compteur)
Que dire, à part qu'il s'agit d'une réussite : Un open world réussi (varié, sans temps de chargement, sans repetition), des mécaniques/puzzle propres aux zeldas, des personnages attachants, des bonnes idées de partout et la sensation de qqchose de maitrisé.

Je regrette par contre l'abandon pure et simple des idées de complémentarité entre la mablette et la Tv (sur Wii U) : En effet, la mablette n'apporte rien (a part de switcher l'affichage).

Je lui mets la note de 19 soit la note maximum. Le jeu propose un monde ouvert fourmillant de mille détails et immense, je pense que c'est sans équivalent à l'heure actuelle. Ensuite le gameplay a su intelligemment s'adapter et nous apporter des innovations sympathiques. Bon, je vous laisse il y a tant de choses à faire.....

Que dire à part une réalisation superbe; une histoire touchante et mouvementée; des musiques qui sonnent aussi bien que le silence dans les plaines...Un Zelda comme il en manquait.

Mon avis sur le jeu :

Bouffé d'air frais.
Enfin un jeu nintendo que j'ai aimé.
C'est rare que j'aime ce genre de jeu merci
Les armes qui pètent par contre, je ne valide pas, mais alors pas du tout...

Exceptionnel jeu qui a totalement révolutionné le genre. Une exploration totalement libre et jouissante de ce monde ouvert, un système d'arme qui peut paraitre lassant mais qui au fur et à mesure du jeu devient de plus en plus intéressant. Les musiques sont relaxantes, entrainantes et motivantes.
-1 point pour l'absence de donjon, -1 pour le coté répétitif des sanctuaires.

Je l'ai enfin fini.

Putain je ressens déjà un vide dans mon existence. Même si je peux continuer de jouer (pas après mais avant Ganon et donc encore ces gardiens et ces lunes de sang), j'aurai plus jamais le même objectif d'éclater Ganon et de sauver Hyrule. Mais bon, c'est déjà ça. Y a quelques jours quand je jouais à Zelda je me disais que c'était mon jeu préféré et pour moi le meilleur de l'histoire mais qu'il y avait une chance pour que Mario Oddysey le surpasse.

On prend tellement de plaisir, et quand j'éteins ma Switch je me demande quand est-ce que je vais relancer le jeu et continuer mon aventure. Défoncer des Bokoblins à 4h du mat dans ton lit avec ta Switch en mode portable, rien que ça quand tu te réveilles le lendemain t'es content.

Une OST grandiose, un gameplay de fou, une belle histoire (pas transcendante non plus mais les cinématiques sont excellentes). Oui il y a quelques bug d'affichages, de collision et de texture mais on s'en fout quand on y joue.

Pour ma part, Zelda BOTW est très loin d'être le meilleur titre de la saga. Après... Le niveau est tellement haut avec certains titres qu'il sera sans doute difficile de faire mieux. Ce Zelda est absolument splendide, son gameplay est plus qu'agréable MAIS il ne se renouvelle qu'assez peu et est plus répétitif.

La carte est immense et il y a tant de choses à faire. C'est un fantastique jeu pour cette nouvelle console. Ceci dit, y a des grosses lacunes techniques avec pas mal d'aliasing notamment sur les herbes, les textures des sols sont moches et dépassées.

Ce jeu est absolument génial. Graphiquement, tout d'abord : ce jeu est magnifique, il y a très peu d'aliasing, c'est très propre, très fluide et très bien détaillé. C'est le plus beau jeu du genre après les God of War, qui "triche" avec leur caméra fixe. Concernant le gameplay, en mode normal, la difficulté a été grandement rehaussée, surtout à cause de la suppression des objets de soin que l'on conservait pour les Boss. Le mode normal de razor's edge est plus difficile que le mode difficile de sigma 2. Concernant les ennemis de base, là aussi, le jeu a été équilibré, dans sigma on pouvait relancé des lâcher d'izuna indéfiniment après en avoir réussi un, là c'est un poil plus compliqué, il faut de temps en temps faire une esquive avant d'en faire. Concernant les ennemis qui ne peuvent pas être projeté en l'air, dans sigma 2 on avait souvent le temps de charger avec triangle, dans celui-ci c'est un peu plus compliqué. Concernant le comportement du personnage, je trouve razor's edge plus fluide et plus dynamique que les précédents.
Par ailleurs, il y a toujours des passages de plates-formes assez rafraîchissants et quelque action contextuelle qui ne prennent jamais le pas sur le gameplay.