Avec Nioh 2, la Team Ninja signe une suite très réussie. A la fois mieux mis en scène et très généreux en contenu, le titre parvient à donner de la personnalité à une licence qui en manquait, tout en renforçant la formule de base. Les capacités de Yokai, qui permettent de déclencher des pouvoirs en plein combat, apportent de la diversité et une nouvelle dimension technique aux combats, où un timing judicieux et l’attention portée à l’endurance de l’adversaire peut faire mouche. De plus, la Team Ninja ne laisse pas de côté les nouveaux venus, en intégrant des astuces pour faciliter la progression. Mais le titre reste toujours aussi redoutable. Nioh 2 parvient ainsi à trouver un équilibre rare : celui d'un jeu d’action exigeant et accessible, où les fans prendront autant (voire plus) de plaisir que sur le premier opus.

Nioh 2 fait suite à un premier opus réussi qui a su trouver son style et se démarquer de la série des Souls. Dans ce second volet qui correspond davantage selon moi à un Nioh 1.5, l'expérience de jeu est quasiment la même mais avec quelques ajouts positifs qui viennent renforcer le titre déjà solide.

Au niveau du scénario, on repart dans le passé. Si l'action du premier se déroule en 1600 au moment de la bataille de Sekigahara, le 2 commence les événements à partir de l'ascension de Nobunaga dans les années 1550.
Exit William aka Anjin Sama pour un perso générique customisable muet. Je comprends le parti pris mais l'absence de parole rend le protagoniste parfaitement transparent alors que son rôle ne l'est pas du tout.
On suit les événements de cette période auprès de Nobunaga puis de notre acolyte Tokichiro qui deviendra Hideyoshi Toyotomi (SpoilAfficherMasquerDont le plot-twist de mid-game le transforme en antagoniste ce qui est assez audacieux ). Les amateurs seront ravis de redécouvrir les personnages éponymes de la période.
Le jeu rajoute trois DLCs qui font partir notre personnage toujours plus loin dans le passé. Ils sont corrects mais à bas prix car pas très long malgré une difficulté supérieure au premier opus.

Niveau gameplay, il y a peu de nouveautés mais des ajouts qui viennent pimenter l'expérience de jeu original. Fini l'ulti du premier pour une transformation yokai du fait de la nature hybride du perso qu'on incarne. Ça renouvelle un peu mais perso j'ai trouvé la mécanique peu efficace ni décisive dans les fights et préfére largement l'ulti de Nioh 1 après chacun ses goûts.
Les ennemis effectuent désormais certains types d'attaques (rouges) qu'on annule via un contre explosif. La mécanique est sympa mais est à prendre en main. Bien géré elle est très utile mais en fonction de l'attaque et des ennemis difficilement calable ou du moins peu intuitive.
Le jeu rajoute de nouvelles armes (double hachettes, bâton scindable et poings de combat). Les deux dernières étant en dlc donc pas top du tout.
En somme à part ces ajouts, c'est du pareil au même mais bémol pour le ng+. Je suis aux alentours du niveau 260 et je trouve pile dans le gap que je trouve vraiment large où le mode de base et trop easy et le ng+ vraiment tendu. J'ai fait les dlcs dans cette difficulté et même en connaissant très bien le jeu et les mécaniques c'est max 2 shots et mort direct sur des boss qui sont des sacs à PV.

Niveau musique c'est comme dans le un du coup pas très transcendant à part celle du provisoire qui est très belle.

En somme, un souls-like très solide qui a su surfer sur la réussite du premier en ajoutant quelques nouveautés même si globalement c'est pareil.

vraiment dommage, j'ai abandonne car missions trop repetitives avec les memes personnages. malgre tout, gameplay sympa avec combat et combo efficace. design top.

Merci au ps plus de me permettre de tester ce jeu gratuitement. J'ai bien fais de ne pas l'acheter alors que j'hésitais.
Je l'ai desinstallé après environ 1 heure de jeu tellement j'ai détesté. Personnage difficile a manier, le moindre coup ennemi vous enlevée 80% de vie tandis que les votres ne font que chatouiller l'adversaire.
Les sensations de jeu sont horribles... les effets lumineux à outrance vous empêche de voir ce que fait l'ennemi.
J'ai un immense respect pour ceux qui arrivent à y jouer, pour moi, c'est plus un supplice qu'un divertissement.