Dans les commentaires ont voit souvent "le niveau aquatique est le plus dur de ce jeu..." Moi j'l'ai passé sans trop de peine au bout de 4-5 essais... En revanche, c'est au niveau 3 que je suis bloqué... Ce jeu est certes excellent mais de nombreux défauts viennent pourrir la note : sa difficulté, son scénario juste mi-sé-rable, la bande son (en particulier le fucking sound qui vient vous niquer les oreilles quand il vous reste 2 pov' carrés de vie...) Après, il est presque impossible de reconnaître les différents événements qui se passe à l'écran dans laction tellement les graphismes ne sont pas travaillés ! Au fait : Il ne faut pas trouver de corde pour finir le niveau 3 contrairement à ce que dit Aprile... A part pour vous pendre peut-être (tout le monde la sentait venir celle-là...) Bref : 11/20

Un de mes premiers jeu sur NES. Je l'ai adoré même si à l'époque je n'ai jamais pu terminer le niveau 3.
La difficulté est très élevée, les ennemis réapparaissent sans cesse.
Les tortues ne sont pas égales non plus. Donatello est clairement le plus puissant. C'est la tortue que l'on privilégiera. Léonardo sera son remplaçant en cas de nessecité. Les deux autres serviront très peu, sauf quand on a pas le choix.
Du fait du nombre d'ennemis apparaissant à l'écran, la console souffre de quelques ralentissement.
Malgré, cela reste un bon jeu, très dur.

Graphismes: 13
Couleurs sympas, bonnes animations.

Jouabilité: 13
Pas mal de bugs et d'actions répétitives. Très difficile. Mais des boss intéressants, des niveaux bien construits, et la possibilité jouissive de switcher entre les tortues.

Durée de vie: 16
Conséquente, même si ça finit par user de refaire toujours et encore les premiers niveaux.

Bande Son: 18
Les musiques sont super punchy!

Scénario: 15
Oui, il y a une histoire. Et même des rebondissements. Et même des tortues tombées au combat, puis récupérées. La classe!

L'un des seuls jeux qui m'a réelement proposé un véritable challenge. Il m'a bien fallu deux semaines avant d'en venir à bout mais quel jeu mes enfants =).

Les graphismes sont corrects pour un jeu de cet âge et les musiques nous rappellent qu'on joue à Tortue Ninja. (je veux dire qu'elles nous mettent bien dans l'ambiance)

Mine de rien, ce jeu est tellement dur que on se sent obligé d'élaborer des stratégies pour passer certains passages sans perdre une tortue. Surtout au niveau 4.

Ce qui est décevant en revanche, et je suis sur que tous ceux qui y ont joué me comprendront, c'est que on est dépendant de Donatello durant tout le jeu.Il est impossible de finir ce jeu sans lui. Perdez Donatello et vous ferez Game Over à coup sur.

Je recommande ce jeu a tous ceux qui recherche du challenge comme moi.

Une note totalement symbolique. C'est le tout premier jeu auquel j'ai joué toutes consoles confondues. C'est dès ce moment la que j'ai su que j'allais etre un gamer. J'y ai joué pendant des mois et des mois, rien qu'à ce jeu. Avec ma toute première console la NES. Certes, il était très dur et peut etre pas parfait mais quelle nostalgie. C'est avec ce jeu que tout a commencé donc 20/20

Un jeu très difficile et à la fois addictif. On le déteste autant qu'on l'apprécie. Terminé ce jeu est un très bon challenge pour un gamer. Faudra savoir parfois lâcher le jeu et revenir dessus. Apprendre la subtilité des sauts sera déterminante pour pas recommencer au début de certain stages.
Graphisme sympa et coloré. Un jeu qui vous met vraiment au défis et apporte grand plaisir (et énervement). Un incontournable dans sa collection NES.
Niveau 1: Boss de fin, utliser Donatello, ce positionner en haut a droite et donner coup bas.
Niveau 2: Retenir le parcours sous l'eau.
Niveau 3: Boss de fin (1), Donatello et Leonardo, ne jamais rester immobile et toujours sauter en donnant des coups en même tps. Utiliser shuriken pour le boss (2) et positonner en haut droite accroupie.
Niveau 4: Economiser Donatello et l'utiliser que au moment au opportun tout au long du niveau. Boss de fin (facile): Donatello et coups hauts.
Niveau 5: La pizza dans la grotte en haut a droite sera la bienvenue pour recharger vos tortues.
Boss fin: Techno-drome, Donatello, s'accroupir pour passer sous l'arme électrique et rester en bas en donnant des coups hauts sur les canons. Monter sur la chenille et donner des coups en sautant au moment opportun dans l'oeil.
Niveau 6: A la fin du stage le fameux couloir de la mort. L'astuce clé est de ce baisser dès que les astronautes apparaissent à l'écran attendre qu'il vous dépasse et avancer de suite sans s'arrêter.
Boss fin Schredder : Donatello donner un coup haut des son apparition et utiliser shuriken a fond et ne pas lui laisser le temps de réagir.
Bon jeu !!!

Une licence assez intelligemment exploitée dans cette adaptation Nintendo, qui surclassa, à l'époque, les versions Amiga et Atari ST.
Effectivement, l'étiquette autrefois très lucrative des Tortues Ninja aurait pu donner naissance à un titre-alibi sans aucune profondeur. Or, c'est totalement le contraire ici. Ce jeu figure même sans doute parmi les meilleurs de la Nes autant en termes de réalisation que d'amusements.
Vos quatre tortues, sé ;lectionnables à tout moment, ont chacune leur arme bien distincte. L'action est varié, alternant séquences de plate-formes, de combat, de nage, de conduite. Le déplacement sur les cartes se fait d'ailleurs en vue de dessus.
Pour ma part, j'avais trouvé la difficulté très bien dosée. Et puis à l'époque, vu le prix élevé des cartouches Nintendo, on aimait en avoir pour son argent

Une licence assez intelligemment exploitée dans cette adaptation Nintendo, qui surclassa, à l'époque, les versions Amiga et Atari ST.
Effectivement, l'étiquette autrefois très lucrative des Tortues Ninja aurait pu donner naissance à un titre-alibi sans aucune profondeur. Or, c'est totalement le contraire ici. Ce jeu figure même sans doute parmi les meilleurs de la Nes autant en termes de réalisation que d'amusements.
Vos quatre tortues, sélectionnables à tout moment, ont chacune leur arme bien distincte. L'action est varié, alternant séquences de plate-formes, de combat, de nage, de conduite. Le déplacement sur les cartes se fait d'ailleurs en vue de dessus.
Pour ma part, j'avais trouvé la difficulté très bien dosée. Et puis à l'époque, vu le prix élevé des cartouches Nintendo, on aimait en avoir pour son argent.

Un bilan mitigé par rapport au test du jeu qui édulcore un peu le gameplay foireux à mon gout car les sauts se jouent vraiment au pixel près. (et quand on le compare à certains jeux de plate-forme de l'époque, on se rend compte à quel point le système de saut est hideux au possible)

La difficulté est ahurissante notamment à partir de l'aéroport (La 1ere partie se fait tranquille quand on la connait par cœur) où là ça va être le BEST OF, des tapis roulants vous laissant droit à aucun ratage (car sinon vous tombez dans le feu), des ennemis chiants et THE MUST un passage avec des murs de pique se rapprochant qui se jouent aux pixels près (et les développeurs ont été assez sadique pour placer une pizza entière impossible à aller chercher quand on connait ce passage, seulement vous vous ferez piéger la 1ere fois)

Après le jeu est bien graphiquement parlant pour son époque et le système de changement de personnage est pas mal même si il n'est pas prolonger au fond des choses car disons le clairement Raphael et Michelangelo sont juste de la chair à canon, en combat ça ne vaut ni Leonardo ni Donatello.

voila mon premier jeu vidéo que mes parents nous on offert a mon petit frère et moi.
on a découvert le jeu vidéo, je me rappelle d'un niveau comme GTA ou on se balader dans la ville avec le fourgon des tortues, donc 20/20 pour les bon moment passé dessus

Ce jeu est simplement une blague, il n'y a qu'à regarder le VRAI test de l'AVGN pour s'en convaincre. Moche déjà à l'époque à un point où l'on a dû mal à comprendre ce qu'il se passe dans l'action. Les niveaux sont mal fichu, voir pour certain interminable. Beaucoup se sont arrêté au passage du désamorçage de mines sous l'eau, impossible à finir.

Ce jeu est un véritable calvaire. Pour y avoir joué lorsque je n'avais que 6 ans, je garde un souvenir très mauvais de ce jeu qui nous offrait un bon nombre de passage plus qu'impossibles à passer sans foncer dans le tas et devoir obligatoirement perdre de la vie. Un jeu plus que mal foutu même à l'époque

Dans les égouts tu as plein de monstre qui te saute dessus et te font perdre tout ta vie... Le son quand il te reste un seul carré va te hanter toute ta vie ! Je n'ai jamais réussi à passer le niveau 2 dans l'eau donc mauvaise note.

Un jeu sympathique que j'ai bien aimé pour son côté gestion, exploration et action mais la difficulté est un peu mal dosée surtout au stage 5 et 6, les tortues ne sont pas assez puissantes, seul Donatello l'est. Les graphismes sont plutôt jolis pour de la Nes, l'animation est bonne. Les musiques sont sympa. La maniabilité est bonne mais pour les sauts il faut s'habituer, je regrette aussi que des fois lorsqu'on prend un item secondaire on l'utilise automatiquement et on peut perdre l'arme secondaire qu'on avait auparavant. La durée de vie est bonne, le jeu est difficile surtout vers la fin, le fameux couloir de la mort avant Shredder mais j'ai réussi à le finir. Parmi les autres défauts du jeu il y a le fait que la tortue n'est pas tout à fait au centre de l'écran, le respawn des ennemis un peu abusé, le farming de missiles et de pizza.

Comme pas mal de jeux NES-SNES, j'ai découvert l'existence de ce jeu via les vidéos du JDG. Avec la sortie de la Cowabunga Collection, l'occasion était trop belle de découvrir ce jeu qui a dû faire hurler plus d'un gamin en 1989. Je ne dirais qu'une chose : vive les Save States.

L'histoire tout le monde la connaît : Shredder met le bazar et les Tortues doivent l'arrêter.
Pour cela, vous disposerez des 4 Tortues. Si la plupart des joueurs trouvent que Michel Angelo et Raphael sont inutiles, je nuancerais un peu le propos car je les ai toutes utilisées lors de ma découverte. L'idée, c'est que chaque tortue possède son arme de prédilection qui lui donne une allonge et une rapidité : plus l'arme est courte, plus la tortue frappera vite. À l'inverse, plus l'allonge sera grande, plus la tortue frappera lentement. Il faut constamment alterner entre elles pour ne pas trop galérer. Si l'idée fonctionne, il arrive parfois que les ennemis nous frappent avant que l'on ait pu les toucher, la faute à des hitbox capricieuses par moment. Il est également possible de récupérer des armes secondaires, qui, il faut bien le dire, sont bien utiles. Parce que oui, jeu des années 80 oblige, vos tortues gardent leur points de vie d'un niveau à l'autre. Je vous laisse imaginer ce qui se passe lorsque vos 4 tortues sont toutes dans le rouge.
Je dois aussi dire que j'ai été agréablement surpris par l'amplitude et la maniabilité des sauts que les tortues pouvaient faire. Ca n'a l'air de rien mais cette feature est bien utile pour échapper aux ennemis.

Passons dont aux niveaux. Le jeu se compose donc de 6 niveaux découpés chacun en 2 phases distinctes : une en vue aérienne (secondaire) et une en vue scrolling horizontale lorsque vous entrez dans un bâtiment ou un égoût (principale). Pour plus de simplicité, voici mon ressenti sur chacun d'eux :

- New York : Vous allez vous balader dans des bâtiments pour trouver April. Plutôt simple dans l'ensemble et affrontement contre le duo Bebop et Rocksteady.
- Le Barrage : Vous devez désamorçer des bombes et LA, la difficulté monte d'un cran. Vous devez serrer les fesses parce que le timing est extrêmement serrée sans compter les lasers, les végétaux qui vous agrippent et les plantes électriques (le fameux passage où vous perdrez forcément des points de vie).
- Les Immeubles : vous devez trouver tout d'abord des missiles pour le Van puis zigzaguer de toits en toits jusqu'à affronter un robot tortue. La seule difficulté est que certains bâtiments ne servent à rien et vous feront perdre du temps (donc de la vie).
- L'aéroport : tout est fait pour vous défoncer. Vous devrez trouver l'endroit où se cache le clan Foots en entrant dans le bon égoût via un chemin. Outre les ennemis et les piques, ce seront les tapis roulants qui s'avéreront les plus dangereux. Il est inutile de sauter au dernier moment en pensant gagner de l'allonge car le jeu considère que vous êtes déjà tombé.
- Les mines abandonnées : Bis repetita de l'aéroport en plus facile, il faut trouver le Technodrome. La seule difficulté réside dans les ennemis qui sont bien résistants et au pattern aléatoire.
- Le Technodrome : Best-of avec énormément d'ennemis bien puissants (et avec un Shredder complètement loupé). Vive les Save States.

Dans l'ensemble, il est difficile de progresser convenablement à travers eux notamment à cause de pas mal de soucis de finition ou de limitation technique. Le scrolling fera repop les ennemis si vous vous éloignez ne serait-ce qu'un peu trop de la zone. Il arrive également que vous vous preniez forcément un coup lorsque vous montez ou descendez d'une échelle parce que l'animation de l'ennemi se déclenche avant la votre. Il faut parler également des ennemis qui peuvent vous enchaîner sans que vous puissiez faire grand chose et front fondre vos points de vie comme neige au soleil ou le bruit absolument horripilant qui s'active lorsque votre tortue est sur le point de mourir. Vous pouvez récupérer de la vie dans certains cas mais faire l'aller ET le retour vous en fera perdre forcément avec le repop des monstres (qui n'ont souvent plus rien à voir avec celui de la licence). Enfin, la carte en rouge et en blanc est illisible.

Alors qu'en conclure ? Hé bien, que malgré tout ça, j'ai trouvé le jeu pas si désagréable. Il conserve un certains charme sans doute grâce à sa licence. À faire au moins une fois pour la découverte.