Joué sur Xbox One S.

Peu avant la fin de F.E.A.R., vous incarnez le Sergent Michael Becket, dont l'unité Delta Force est chargée de retrouver et protéger Genevieve Aristide, présidente d'Armacham Technology Corporation. Touchant au but, la gigantesque explosion du laboratoire souterrain du Projet Origin, provoquée non loin de là par Point Man, vous fait perdre connaissance. À votre réveil, vous apprenez être l'un des cobayes du Projet Harbinger, visant à développer les capacités télépathiques de ses sujets, et la plus puissante des télépathes, Alma Wade, est très intéressée par votre profil. Rien de bien passionnant au final, et je trouve même que le scénario a tendance à inutilement se complexifier. De plus, la narration se fait souvent au moyen de notes écrites, laborieuses pour le joueur. Les voix sont en français uniquement, avec sous-titres optionnels.

Sorti en 2009, F.E.A.R. 2: Project Origin reprend le mélange d'action et d'horreur de son prédécesseur, tout en étant bien plus abouti techniquement et visuellement. La simplicité clinique de F.E.A.R. laisse en effet place à une présentation hi-tech plus attrayante, avec une palette de couleurs plus riche et des éclairages plus travaillés. Cependant, hormis de rares sorties entre deux bâtiments d'une ville en ruines, la plupart des environnements sont plutôt quelconques : immeuble de bureaux, hôpital, laboratoire souterrain, métro, école primaire, etc. Monolith Productions a encore manqué d'imagination à cet égard. Et puis, si le jeu reste stable à 30fps la plupart du temps, le flou de mouvement m'a semblé trop prononcé, désagréable, et il m'a fallu du temps pour m'y habituer.

Visant un plus large public, notamment sur consoles, la progression se fait de manière linéaire et scriptée, le révolutionnaire Call of Duty 4: Modern Warfare ayant montré la voie en 2007. L'ajout du sprint permet également d'accélérer le rythme, mais F.E.A.R. 2: Project Origin ne renie pas totalement ses origines, prenant le temps d'installer la peur entre deux fusillades dévastatrices, et ne lésinant pas sur les effusions de sang. Ce délicat équilibre n'est pas toujours trouvé, d'autant que les environnements claustrophobiques se prêtent assez mal à l'action, pourtant largement privilégiée. On évolue la plupart du temps dans la pénombre, voire l'obscurité totale, mais cette fois la lampe frontale peut rester allumée en permanence, fort heureusement. De plus, la commande du ralenti met les ennemis en surbrillance, ce qui permet une meilleure lisibilité.

L'un des atouts de F.E.A.R. était son IA particulièrement proactive, mais elle semble ici plus limitée, peut-être car le level design ne permet pas autant de possibilités stratégiques. Les ennemis ont donc tendance à se ruer vers la zone de combat en grappe, nous laissant l'occasion de les aligner. La prise en main est bonne, mais il n'est pas toujours évident et intuitif de jongler avec quatre armes et quatre types de grenades dans le feu de l'action, tout en gérant sa jauge de ralenti. L'arsenal est complet, mais inégal en termes de plaisir et d'efficacité. J'ai surtout favorisé le fusil d'assaut, dont le viseur point rouge offre une précision absente du précédent F.E.A.R., qui procurait davantage de sensations au fusil à pompe. Rajoutez deux séquences aux commandes d'une armure motorisée (un mecha) et deux autres à la tourelle gros calibre pour satisfaire vos pulsions de carnage à plus grande échelle.

Il m'a fallu une dizaine d'heures pour boucler l'aventure, et j'ai même fait un second run dans la foulée. Il est aussi possible de sélectionner la mission pour y dénicher tous les objets. Imparfait et trop éloigné de l'original aux yeux de certains, F.E.A.R. 2: Project Origin restera pour moi un jeu globalement très satisfaisant.

Positif :
+ mélange action/horreur psychologique réussi
+ mise en scène immersive
+ belle mise à niveau visuelle
+ bullet time toujours spectaculaire
+ gunfights modernisés
+ gore à foison

Négatif :
- scénario inutilement compliqué
- décors en manque d'imagination
- encore trop de couloirs
- IA moins mise en valeur
- pas de VO

Un jeu sans âme, sans cachet, sans personnalité, c'est comme le 1 en fait, mais avec des graphismes à peine amélioré, on parcours des couloirs, salles sans aucune particularité, c'est générique au possible, mais en fait si ça se trouve, les FEAR sont des jeux génériques, aucune tension, pas effrayant pour un sou, c'est mou du genou, il n y a aucun challenge, il y a des pare-balles tous les 10 mètres, pour vous dire comment le jeu est casualisé au possible, du coup on tue les ennemis trop facilement, les armes sont nulles, aucune sensation ressentie, il n y a pas de recul, c'est clair, j'ai eu l'impression de jouer a un jeu dans sa version BETA

Très bonne suite, tout comme le 1er on a une bonne ambiance assez sombre, l'histoire est pas mal on en apprend un peut plus sur le lord du jeu. on a un bestiaire un peu plus fournis mais il reste quand même léger. par contre gros point négatif pour moi le gameplay qui est très saccadé, comme si il y avait une latence

Tres bon jeu,fidèle au premier. Pourtant j'ai ressenti moins d'exaltation dans les gunfights que son prédécesseur.mais les phases d'horreur reste les mêmes toutes aussi flippantes et exaltantes

L'ambiance est toujours aussi prenante, bien que les apparitions d'Alma se font plus sentir, on a moins l'effet de surprise (et de frisson par la même occasion), contrairement au 1 où elle pouvait apparaître dans des moments auxquels on pouvait s'y attendre le moins. En bref, un bon 15/20 pour F.E.A.R. 2 : Project Origin.

j'aime pas du tout, la camera bouge pour expliquer que le personnage marche les pieces sont juste modelisé et il n'y a pas de travail de texture.

la jouabilité est moins bonne que dans gear of war, le scenario plaisante de folie des hommes tout en nous expliquant que les femmess ont leur place dans l'armée etc...

Cet épisode est plus beau, l'histoire plus prenante et le gameplay meilleur. Mais il a perdu un gros point, la peur. Il ne fait plus peur. Dans le premier épisode, on enchaînait les couloirs sombre ou derrière nous se tenait la petite fille qui était franchement horrifique. La, on a presque plus rien. C'est dommage.

Ce fear 2 de monolith game a de quoi ravir les fans de survival-horror bien flippant. Des gunfights toujours aussi dynamique grâce à une ia téméraire doté d'un esprit vindicatif sans la moindre faille, qui tentera de vous abattre par tout les moyens possible. On avait pu voir dans le premier fear que l'ia était l'atout clé du titre, dans ce 2ème opus celle-ci n'a pas faillit au niveau du comportement, un comportement toujours aussi explosif ! L'ambiance est génial

Aaah quelle ambiance ce fear 2, un vrai fps original comme on en a moins maintenant.
Un gameplay au poil, une vraie ia, des graphismes collant parfaitement au jeu, et cette ambiance, quelle ambiance ! C'est beau, c'est cool, c'est le meilleur de la trilogie( excepté au niveau du multi ;)
Alors essayez !

J'ai vraiment eu un coup de coeur pour ce jeux! Bien mieux que le 3ième! J'y ai joué tardivement et je n'avais même pas joué au premier, mais j'ai vraiment adoré. Un FPS avec une ambiance horror : super bonne recette ! Je ne me lasse pas d'y rejouer à l'occasion et il n'y a aucune chance que j'échange ou que je revende un jour ce jeux!

Points forts: L'ambiance prenante et les gunfights.

Ce jeu est un FPS sympathique mais qui ne restera pas dans les annales pour moi. Nous avons une ambiance horrifique qui se résume à jouer dans le noir et d'avoir quelques hallucinations par ci par là qui ne sont pas vraiment effrayantes. Alors certes les multiples apparitions d'Alma sont inquiétantes et entretiennent l'ambiance mais dans l'ensemble ça reste juste du jeu de shoot classique. En termes de maniabilité je n'ai rien de particulier à dire, le pouvoir qui permet de ralentir le temps est plutôt utile, les fusillades sont assez nerveuses et l'arsenal plutôt varié. L'histoire est pas très très claire et il y a une overdose des effets psychédéliques. En conclusion ça se laisse jouer mais ça casse pas trois pattes à un canard.

La suite du 1er qui m'avait laissé de bon souvenir ben pour celui la je suis assez mitigé alors certes je l'ai fais avec beaucoup de retard mais bon ^^.
Le premier truc qui saute aux yeux c'est qu'il a trés trés mal vieillit que ce soit graphiquement(personnage ,décors),au niveau des effets visuel (quand on tue quelqu'un) ou encore des bruitage et tout ça font qu'aujourd'hui cela rend le coté horreur du titre completement narnardesque. Car l'ambiance ne prend absolument pas sauf vers la fin ou on a le droit a quelque passage sympa mais classique (dans le noir avec des apparitions). La narration est bidon également. Aprés on a pas mal d'armes,on en apprend plus sur Alma et l'effet ralenti est toujours aussi excellent. Un titre qui a sa sortie aurait surement au 14/15 mais aujourd'hui il y a bien mieux et meme des jeux sorties avant lui.

sensation garantie, ce jeu n'est peut etre pas le pire jeu d'horreur, mais a certain moment on sursaute, et l'angoisse reste là tout le long.
l'avancement du jeu est très bien ficelé. il y a different stade d'agressivité d'alma, a mesure que les stade augmente durant l'avancement du jeu alma devient de plus en plus agressif. ce qui est horrible, car on sait que c de pire en pire, et que la fin va etre de la totale.
et avec ça de très bon gunfight qui donne un impression de réalisme.

Cette suite du 1er opus de la série, est trés bonne les graphismes sont trés beau, le gameplay bien pensé, le scénario intérressant et cohérent, la bande-son colle bien à l'atmosphére du jeu, le jeu fait un peu plus surprendre et fait un peu plus peur ah enfin, il était temps.

Bref, F.E.A.R. 2 : Project Origin, est un trés bon jeu, l'ambiance est glauque est trés gore à souhait, forcément esprits faibles s'abstenir !!

A recommander pour les fans du 1er opus de la série et de fps horrifique glauque et trés gore.

dans l'ensemble le jeu est pas mal,il y a des moments assez stressant.Les graphismes sont bien.J'ai pas trop aimé le scénario,on est un peu envoyé dans le jeu sans trop savoir se qui se passe après j'ai pas joué au 1 donc.donc 14/20.