Bonsoir !

Voici le texte que j'ai présenté pour le concours d'écriture inter-forum.

Ca ne serait pas de refus d'avoir des avis, des critiques, des commentaires, ça ne peut être que bénéfique.

Bonne lecture !

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A la lueur de mes Imaginés

Et c'est ici que je me suis éveillée. Une odeur sucrée embaumait ce lieu, une odeur.. Un peu comme celle du marchand de journaux, en bas de la maison, qui vend des bonbons que l'on choisit en les mettant dans un petit sac en papier. D'ailleurs, sans trop savoir pourquoi, j'en ai toujours eu un sur moi. J'examine ce qui m'entoure, face contre le sol, les brins d'herbes chatouillant le bout de mon nez, et je peux voir en gros plan toute une ligne de fourmis, portant les unes derrière les autres des petits éléments de ce décor. Le ciel est orangé, c'est sans doute la fin de la nuit, et bientôt le début de la journée, de mes journées. Ma vie n'est pas vraiment comme celle des autres, il paraît. Mais je n'y prête pas attention. Je sens que je m'endors, les cauchemars vont recommencer, voilà une nouvelle nuit..

Cette nuit ma mère est toujours aussi morte qu'hier, enterrée six pieds sous terre. Elle ne reviendra pas, je le sais. Et pourtant, je me sens toujours aussi orpheline. Il y a encore mon père, mais il est beaucoup trop pris, entre les femmes, les potes, les jeux et ses bières. Une personne vient me donner des cours parce que je ne peux plus sortir sans être en danger. Sans être un danger pour moi même. Autant vous dire que ça ne me passionne pas. J'ai besoin de me sentir vivre. De partir à l'aventure, d'explorer le monde, de découvrir de nouvelles choses ! Et pourtant je suis là, dans mon lit, en train d'endormir ma vie. J'ai hâte de me réveiller aujourd'hui, j'ai de l'inspiration, ça promet d'être magique.

Aujourd'hui je pars en forêt. Je suis toujours aussi seule, vous ne pouvez pas imaginer, et moi non plus, sinon, je le ferai. Je m'éveille sur un sol dur. C'est du bois. Les lueurs orangées pénètrent à l'intérieur de la pièce par de toutes petites parois dans les murs, par des fentes striées inventées par le temps [ qui passe ] et le temps [ météorologie ]. Il y a une douce brise qui fait léviter les mèches violettes de mes cheveux. Une odeur de verdure et de fraîcheur me fait sourire niaisement. Le jour est levé. C'est encore une belle nuit pour vous.

Je suis dans une cabane. Une cabane très haute, perchée dans un arbre. On peut voir dans ses bras des lampions en papier de toutes les couleurs illuminés à la seule force d'une bougie. Il y a autour de moi une dizaine de coussins, des couettes et des traversins. Un coffre, qui, si je le décide, contiendra des DvDs, des jeux vidéos, des consoles, de la nourriture mauvaise pour la santé et qui fait grossir, et toutes sortes de boissons gazeuses et cancérigènes à souhait. Et je m'en fiche totalement. Je veux me sentir vivre. Vraiment.

Je n'ai pas besoin de grand chose, et ce qui est en train de me tuer, est en train de me sauver. Littéralement. Les coups de blues, la solitude de plus en plus profonde, l'ignorance, le désintérêt, toutes ces choses qui jalonnaient ma vie, ne durent plus que 6h aujourd'hui. Le reste du temps ? Ce sont mes journées. Différentes des vôtres. Hors du temps, et loin de vous. Vous n'existez plus réellement, et je vous en remercie. Gracieusement.

Vous avez tout perdu. Vous avez perdu ce que vous étiez avant, ce qui était beau. Vous ne vous émerveillez plus de rien, tout vous semble acquis, normal, et anodin. Votre vie quotidienne vous convient et vous vous complaisez dedans. Vous n'avez plus aucune ambition, plus aucune estime pour les gens qui vous entourent ou les choses qui vous arrivent, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Vous êtes si différents de moi. Et pourtant je suis si banale.

Il paraît, que je suis malade. Je me souviens d'avant. Avant, j'allais en cours. Avant, j'avais quelques amis sur qui compter, je sortais. Aujourd'hui, je vis seule. Aujourd'hui, je vis dans l'unique monde que j'ai créé de toutes pièces. Je suis atteinte d'un syndrôme qui inverse ma perception des choses. Il ne me reste plus vraiment de temps pour vous apprendre à vivre, alors j'espère que vous saurez terminer le travail sans mon aide. Ouvrez les yeux, et ouvrez vous au monde. Il vous tend les bras. Dans quelques semaines, la terre me tendra ses bras, et c'est le soleil qui me laissera à son tour orpheline. Alors, courez, criez, hurlez, soyez heureux, en colère, et pleurez. Vivez vos jours et vivez mes nuits. Vous n'êtes que l'ombre des spectres du passé.

Aujourd'hui, je vis mes rêves, et je rêve ma vie.

- Nogah.

Salut !

"face contre le sol"

Je ne sais pas si tout le monde le voit comme moi, mais j'imagine la tête du personnage vraiment face au sol avec cette expression. Alors qu'il est plutôt à raz le sol, et regarde autour en se faisant mal au cou (:hap:).

"par des fentes striées inventées par le temps [ qui passe ] et le temps [ météorologie ]"

Mais on a pas le droit de faire ça !

"Vous avez tout perdu. [...] Et pourtant je suis si banale."

Comme je l'ai dit il y a quelques temps sur un autre topic, je ne suis pas fan des textes qui tentent d'énoncer des vérités. On peut toujours ne pas être d'accord, et à ce moment là tout ton paragraphe vole en éclat.

"Il ne me reste plus vraiment de temps pour vous apprendre à vivre, alors j'espère que vous saurez terminer le travail sans mon aide. [...] Vivez vos jours et vivez mes nuits."

C'est quand même un peu prétentieux ce discours de soit disant conseil, un peu hakuna matata facile et déjà vu. Je ne dis pas que le texte est mauvais, c'est juste que ça ne me fait pas grand chose .

---

Je ne suis pas un lecteur qui aime qu'on lui donne des conseils ou tente de lui faire voir des vérités. Parce que je trouve ça juste non pertinent : chaque lecteur a sa vie, ses expériences, sa vision du monde, ... on ne peut pas s'adresser à un lectorat entier et dicter quelque chose de commun à chaque individu qui le compose. Que cette fille vive comme elle veut, et nous aussi, on a pas besoin de coach (Je précise quand même qu'il n'y a rien de "méchant" dans ce que je veux te dire... j'ai toujours peur de froisser).

Personnellement, j'aurai aimé que tu insistes plus sur sa vie inversée, ses rêves devenant sa réalité, c'est plus poétique je trouve, plus entraînant. Tu sais nous toucher en plus, le coup du sac à bonbon, tout le monde connait, on est tout de suite transporté dans cette dimension enfance/insouciance qui donne un vrai caractère au texte (c'est d'ailleurs pourquoi le message qui suit ne passe pas, une gamine n'a rien à nous apprendre de la vie).

Cependant, je vois mal comment on peut comprendre ce texte sans la dernière phrase : il y a comme des erreurs, des oublis qui font qu'on ne comprend pas comment vit cette fille. Elle est ici, puis là, elle s'endort, commence ses journées, se réveille et les finit. C'est mélangé et on ne s'y retrouve pas. J'aurai attendu la fin du texte pour introduire l'inversion rêve/réalité, et le reste du texte je l'aurai construit normalement. Je ne sais pas si je suis très clair, m'enfin ...

A voir s'il n'y a que moi qui l'ai lu comme ça.

Bon, texte plaisant, mais il y a quelques menus problèmes.

Si tu t'adresse au lecteur, il faut le justifier. C'est une norme archaïque, mais toujours respectée quand on écrit à la première personne ou qu'on interpelle directement un tiers (on parlerait de briser le quatrième mur au cinéma), cela peut être une lettre, un journal, des mémoires, etc. Or, ce n'est pas le cas ici.

Stylistiquement, c'est assez sympathique. Cela m'a rappelé la nouvelle "Valse à Osaka" de notre vénéré modérateur, mais ça pourrait gagner en intensité si tu étoffais les sentiments et les descriptions pour accentuer le sentiment de nostalgie. Cela étant, je ne sais pas quelle est ton expérience d'écriture, je prend donc le texte comme il est

Pour le reste, je rejoins l'avis de Ggiot.

Je ne sais pas si tout le monde le voit comme moi, mais j'imagine la tête du personnage vraiment face au sol avec cette expression. Alors qu'il est plutôt à raz le sol, et regarde autour en se faisant mal au cou (:hap:).

Non non, le personnage est vraiment face contre le sol, genre la tête par terre, en train de se réveiller, et genre en tournant sa tête sur le côté pour regarder, forcément son nez se retrouve écrasé contre le sol.

"par des fentes striées inventées par le temps [ qui passe ] et le temps [ météorologie ]"

Mais on a pas le droit de faire ça !

Bah écoute de base j'avais écrit " Par le temps et le temps " de manière philosophique, puis je me suis dis que les lecteurs pourraient penser que soit j'ai mis deux fois en me " failant ", soit j'ai écrit du caca, ou je sais pas, j'ai trouvé que ça pour " expliquer ".

"Vous avez tout perdu. [...] Et pourtant je suis si banale."

Comme je l'ai dit il y a quelques temps sur un autre topic, je ne suis pas fan des textes qui tentent d'énoncer des vérités. On peut toujours ne pas être d'accord, et à ce moment là tout ton paragraphe vole en éclat.

"Il ne me reste plus vraiment de temps pour vous apprendre à vivre, alors j'espère que vous saurez terminer le travail sans mon aide. [...] Vivez vos jours et vivez mes nuits."

C'est quand même un peu prétentieux ce discours de soit disant conseil, un peu hakuna matata facile et déjà vu. Je ne dis pas que le texte est mauvais, c'est juste que ça ne me fait pas grand chose .

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Je ne suis pas un lecteur qui aime qu'on lui donne des conseils ou tente de lui faire voir des vérités. Parce que je trouve ça juste non pertinent : chaque lecteur a sa vie, ses expériences, sa vision du monde, ... on ne peut pas s'adresser à un lectorat entier et dicter quelque chose de commun à chaque individu qui le compose. Que cette fille vive comme elle veut, et nous aussi, on a pas besoin de coach (Je précise quand même qu'il n'y a rien de "méchant" dans ce que je veux te dire... j'ai toujours peur de froisser).

Personnellement, j'aurai aimé que tu insistes plus sur sa vie inversée, ses rêves devenant sa réalité, c'est plus poétique je trouve, plus entraînant. Tu sais nous toucher en plus, le coup du sac à bonbon, tout le monde connait, on est tout de suite transporté dans cette dimension enfance/insouciance qui donne un vrai caractère au texte (c'est d'ailleurs pourquoi le message qui suit ne passe pas, une gamine n'a rien à nous apprendre de la vie).

Cependant, je vois mal comment on peut comprendre ce texte sans la dernière phrase : il y a comme des erreurs, des oublis qui font qu'on ne comprend pas comment vit cette fille. Elle est ici, puis là, elle s'endort, commence ses journées, se réveille et les finit. C'est mélangé et on ne s'y retrouve pas. J'aurai attendu la fin du texte pour introduire l'inversion rêve/réalité, et le reste du texte je l'aurai construit normalement. Je ne sais pas si je suis très clair, m'enfin ...

A voir s'il n'y a que moi qui l'ai lu comme ça.

Sur le fait de ne pas aimer lire des " conseils " ou des trucs du genre, je te comprends, je suis un peu pareille. En fait ça s'est passé comme ceci : J'ai vu qu'il restait 2 jours pour participer au concours, et étant une grande stressée je pense que mon cerveau a compris " bouge ton cul c'est clôturé dans 2 mins ", du coup j'ai fait ça assez précipitamment, et puis, il y avait une limite de mots ( et quand je vois un texte je sais pas trop combien de mots ça représente ), alors j'étais un peu paumée. Tout ça pour te dire que le début était écrit genre, pépère, et dans la panique on peut sentir cette coupure. A vrai dire je voulais faire cet effet, mais peut-être pas aussi tôt, tu vois. Enfin, voilà.

Le début que tu as aimé ( le rêve, l'enfance, toussa ) c'est un peu mon style d'écriture ( enfin, je suis radicale, soit c'est ça, soit c'est le très glauque/dérangeant/perturbant ). Donc tu risques de recroiser ça.

Je vais pas te redonner mon avis parce que tu le connais (ou alors je fais un C/C si tu veux ) mais j'ai une petite question : Tu as écrit ça en combien de temps ? Simple curiosité, ça m'intéresse de connaître le temps que les gens qui ont participé au concours ont mit pour écrire, en prenant en compte les délais et les contraintes techniques des 1500 mots

Sarezzo Ce que j'ai répondu à Ggiot peut te répondre un peu. Je rajouterai que n'étant pas très habituée au concours, je n'ai pas vraiment pris le temps de parfaire certains aspects ( nostalgique, enfance, rêve ) que j'aurais voulu ( j'avais peur de trop m'étaler, de dépasser le quotat ). Et puis, je n'ai pas l'habitude d'être lue malgré le fait que j'écris depuis un moment.

Voilà voilà.

Merci de m'avoir répondu, je comprend tout à fait que le texte ait été écrit rapidement et autre.

Tu as écrit d'autres textes sur le forum, que je puisse te lire autre part qu'ici ?

Je reviens de Fall for You.

J'ai lu les commentaires que je n'avais pas vu depuis, et j'étais moi même tombé dans le panneau : je pensais que c'était du vécu. Parce que bordel, ça y ressemble, c'est vraiment bien fichu et j'ai 18 ans, donc je sors à peine de ces situations. On ml'a fait pas à moi !

D'autres textes ?

Oh Homm coucou.

Un C/C ne me dérangerait pas en fait, comme ça j'aurais tous les commentaires rassemblés. Je dirais que j'écris mieux en situation de détresse ( genre stress ), et là j'étais sur le coup prise par le temps ( alors que techniquement pas du tout, mais ma tête, wallah ). Et j'estimerais à en gros 20 mins pour : l'inspiration, mettre tout dans l'ordre dans ma tête pour que ça ait l'air potable, puis écrire. Et tu rajoutes 5 mins pour une relecture de potentiels bugs dans les phrases ( vu que je n'ai pas fait de relecture de fautes d'inattentions ).

Ggiot, quand j'ai lu ta demande de " tu as d'autres textes " je me suis dis " merde y'a Fall For You, je dois faire genre qu'il n'y en a pas d'autres ", puis je lis juste après " Ah bah je reviens de Fall For You "..

A vrai dire c'est un texte écrit vers 5h du matin, où j'étais vraiment crevée. Puis en relisant le matin, il m'a vraiment fait honte. Les fautes, le texte, le nian-nian, tout. C'était vraiment caca..

Puis après les gens m'ont fait peur à croire que que ce n'était pas une fiction, j'crois même que j'ai dû dire " Ah non non mais je suis un mec hein.. " pour me rendre plus crédible.

Je m'y connais pas vraiment en histoires de coeur personnellement, mais je suis souvent la conseillère donc voilà. T'en sors, moi j'les connais pas.

Et oui, j'ai d'autres choses que tu pourrais lire, qui me font tout aussi honte d'ailleurs..

Moi je le trouve pas mal Fall For You, surtout pour quelqu'un qui dit ne pas connaitre les histoires de coeur . Parce qu'à 15 ans, c'est vraiment ça, et c'est très fort déjà. Bon après, faut accrocher au genre bien sentimental, mais ce cap passé, ça va.

Si tu as d'autres textes aussi honteux que FFY, je prend ! Par MP si ça t'ennuie vraiment.

Dans ma tête la personne avait genre plutôt dans les 19/20 ans, mais genre, comme si elle en avait 15. En fait, c'est une fiction mais je me suis mise dans sa peau quand je l'imaginais. Je me suis dis que oui, elle avait pas 15-16 ans comme pour les premiers amours classique, mais que c'était sans doute son premier amour à elle.

Bah honteux oui, mais ils sont plutôt penchés glauques. Genre, pas du tout avec des petits lapins et des abeilles. Ce sont de courts textes creepy si tu préfères.

Avec des lapins vampyres.

Ba tu fais dans le style que tu veux, c'est surtout pour voir ton écriture, si tu peux en faire profiter le forum.

M'enfin tu fais ce que tu veux hein !

Écris en 20 minutes tu dis ? Et ben, pour être rapide c'est rapide

Je te C/C ce que j'avais dit quand tu avais posté ton texte sur le 15-18 (J'avais rédigé un avis sur absolument tous les textes postés même ceux non retenus et en échange personne a lu le mien, sympa ^^)

Donc voilà ce que j'ai écris le mois dernier (Je m'étais pas trop attaqué au fond du texte et je suis resté un peu laconique je dois l'avouer, excuses-m'en) : J'ai beaucoup aimé ton texte. La forme est simple et courte mais il ta prose m'a vraiment plu. C'est bien écrit, quasi-poétique. Les mots sont bien placé et on parfois l'impression de lire les strophes d'un poème

Sarezzo Avec des lapin-garous.

Ggiot Je t'envoie un texte dès que je retrouve où je l'ai posté sur le net, promis.

Homm Merci beaucoup Homm ! Enfin comme je te l'ai dit en MP, il a été difficile d'avoir des votes et des avis..

Je n'avais pas lu, voilà qui est choses faite.
Peu à dire qui n'ait été dit, au final. Mis à part quelques tournures maladroites (la phrases avec les crochets moches, quelques choix lexicaux hasardeux), je suis assez fan de l'ambiance. Sauf le coté un peu moralisateur à la fin, ainsi que ce fameux "vous ne connaissez pas ma douleur"... Alala... Je rêve justement du texte où l'auteur un jour, nous dira "oui, vous la connaissez bien, cette douleur", et ferra preuve d'une belle empathie avec le lecteur, inversant les rôles, retournant alors complètement les clichés habituels, à l'image de ce rêve éveillé qu'est devenu la vie de ton héros.

J'attends de voir ce que tu as en réserve. Et même si ce texte n'est pas parfait, il n'est pas à jeter, ce qui est déjà, me semble-t-il, un bon point .

Ps : faudra que tu viennes en MP, j'ai un cadeau pour le concours que je ne t'ai toujours pas filé ...

Han, genre t'avais pas lu tous les textes du concours..

Oui alors cette phrase était reloue, parce que j'étais persuadée qu'on allait me faire la réflexion " mais tu t'es trompée t'as mis deux fois temps ". Du coup en gros les parenthèses font pas parties du texte, c'est comme une explication. Mais dans un vrai roman par exemple, il aurait fallu faire autrement, parce que ça aurait fait con ( comme ici ).

Un jour je réaliserai ton rêve.

PS : Je d'impatience, je t'ai envoyé un MP.

Parfois, le plus simple est de ne rien mettre, de ne rien préciser, et de laisser le lecteur se débrouiller comme un grand ...

Le 04 septembre 2015 à 16:37:33 --crazymarty-- a écrit :
Parfois, le plus simple est de ne rien mettre, de ne rien préciser, et de laisser le lecteur se débrouiller comme un grand ...

C'est pas faux.