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Sujet : Vu du dessus

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DevdX DevdX
MP
Niveau 10
12 janvier 2015 à 21:53:18

Premier texte que j'écris soyez indulgents :)

Du haut de son mirador, il ne voyait que les silhouettes lugubres des chars, des jeeps et des soldats qui s'agitaient quelques mètres en dessous de lui. Il ne comptait plus les heures passées à surveiller cette rue, à la protéger contre l'assaut violent de quelques feuilles mortes et, éventuellement, d'une ou deux branches perdues dans la boue. Il repensait à sa condition, se disant qu'il était chanceux d'être ici, à l'abri, loin des combats, d'où personne ne revenait jamais.

Soudain, il aperçut une jeune femme, elle devait avoir une vingtaine d'années, elle était très jolie, ses longs cheveux bruns transperçant la pâle brume de ce matin d'automne. Il la fixait d'un regard intrigué, elle leva alors les yeux vers lui et lui adressa un sourire gêné.

Il avait envie de descendre, de lui parler, de partir loin d'ici avec elle. Il la perdit de vue, il se demandait où pouvait être allé une femme seule à cette heure de la journée. Puis lorsqu'il vit les soldats derrière elle, il comprit. Ils l'attachèrent à un poteau afin de l'empêcher de se mouvoir. Ils reculèrent de quelques mètres et s'emparèrent de leurs fusils.

Il regarda une dernière fois dans les yeux de la jeune femme, elle le regardait intensément, des larmes coulant sur ses joues roses. Puis un bruit sec, de la fumée, et des corbeaux qui s'envolent ...

Pseudo supprimé
Niveau 10
12 janvier 2015 à 22:12:58

Pas trop mal pour un premier texte, rien à dire de vraiment pertinent de plus.
Juste un truc : pâle, tu le garde pour les matinées hivernales, l'automne, c'est plus ambiance orangée et couleurs chaudes sur le déclin. Je sais pas si c'est vraiment une erreur, mais j'ai tiqué sur cette expression à la lecture. Et sinon, j'ai dû mal à m'imaginer que des cheveux bruns transpercent la brume (même si elle est pâle), parce que la couleur brune n'est pas spécialement vive.
La dernière phrase pose aussi problème en fait ; j'écris moi-même un roman qui s'achève par une balle qui part, et c'est difficile de trouver comment écrire ça sans tomber dans la vulgarité (mais après plusieurs semaines de réflexion, j'ai trouvé plus ou moins comment écrire la phrase de fin de mon roman, mais ça tu t'en fous). Dans ton cas, tu es tombé dans le cliché difficile à éviter où tu évoques l'acte de manière évasive, mais de façon trop explicite, ce qui est assez gênant (surtout les points de suspension style j'en-dis-mais-pas-trop).
Sinon, bienvenue dans le monde joyeux de l'écriture, les crises de nerf et les explosions de joie.

DevdX DevdX
MP
Niveau 10
12 janvier 2015 à 22:54:01

C'est vrai que le cliché de la balle qui part est vraiment évident mais je voyais pas trop comment formuler ça.

Pseudo supprimé
Niveau 7
15 janvier 2015 à 00:16:44

Salut,

Je dois avouer beaucoup apprécier ce genre de format très court. Mais ton texte est très cliché ! Du coup je ne m'attache pas au personnage et je ne ressens rien lorsque cette femme ce fait fusiller.
Et c'est bien là, la contrainte principale avec de genre de format: il faut créer de l'empathie chez le lecteur en quelques lignes, le rythme et les mots choisis sont donc très importants !

Du haut de son mirador, il ne voyait que les silhouettes lugubres des chars

La virgule après "mirador" est superflue, elle même dérangeante !

feuilles mortes et, éventuellement, d'une ou deux branches perdues dans la boue.

et + virgule + adverbe + virgule, c'est très très lourd ! et ça brise littéralement le rythme de ton texte. Il faut alléger la phrase, elle gagnera en force.

"[...] la protéger contre l'assaut violent des feuilles mortes et des branches vagabondes."

elle était très jolie

Mouais, enfin "très jolie" c'est "très banal". Il faut que tu mettes en valeur les quelques caractéristiques qui la démarque réellement; pas de description bateau.

ses longs cheveux bruns transperçant la pâle brume de ce matin d'automne.

Je rejoins Meaddykah, cette tournure est étrange (j'ai l'impression de voir une perruque flotter à travers la brume).

Il avait envie de descendre, de lui parler, de partir loin d'ici avec elle.

Attarde-toi davantage sur ce qu'elle évoque chez ton protagoniste.

Puis un bruit sec, de la fumée, et des corbeaux qui s'envolent ...

Le texte fini sur une scène clichée, c'est dommage. Tu pourrais parler de son sang qui brise la beauté de son visage, de l'inexpression de son visage, etc. mais ne termine pas ton texte sur un cliché !

Je n'ai pas détesté la lecture, mais il y a quelques petits problèmes de rythme, de clichés et des parties qui ne sont pas suffisamment développées.

Message édité le 15 janvier 2015 à 00:18:29 par
DevdX DevdX
MP
Niveau 10
15 janvier 2015 à 06:34:59

Second texte que j'écris, directement lié au premier , je compte en écrire encore d'autres dans le même contexte :)

Il la regardait depuis plusieurs minutes déjà, assis dans le coin du café, il contemplait son beau visage. Elle était jeune, pâle, semblait discrète et timide, la femme dont tout homme voudrait d'après lui.

Au bout d'un petit moment, elle leva les yeux vers lui et le regarda intensément puis, elle baissa les yeux vers son torse. Il regarda son insigne militaire puis releva les yeux en direction de la jeune femme assise à l'autre bout du café, illuminé par un rayonnant soleil d'été.

Il était en train de fixer ce qui pour lui était la plus belle créature de l'univers tout entier lorsque soudain, il entendit un son bruyant, strident, désagréable. Il ramassa son arme, paya rapidement sa boisson et sorti en courant du café.

Il rejoignit son escouade et rentra dans la première jeep qu'il vit. Il regarda une dernière fois en direction de la jeune femme, elle lui fit un clin d’œil. Un grand claquement se fit entendre, et il se mit à rougir ...

DevdX DevdX
MP
Niveau 10
15 janvier 2015 à 17:31:24

Je ne l'ai pas précisé mais mon second texte s'appelle Regard onctueux (pour l'instant, je n'arrive pas à trouver un autre titre bien que celui ci ne soit pas très bon à mon goût).
J'en ai écris un troisième ce matin pendant mon bac blanc (j'écris vraiment quand il ne faut pas non?) et ce dernier s'appelle "Promenade dans les bois" :)

Il avançait péniblement, la boue ralentissait ses mouvements et les nombreux buissons l'obligeaient à régulièrement changer sa route.

Au loin il entendait des tirs d'artillerie et de chars. Au dessus de sa tête il apercevait des centaines de petits nuages qui tombaient du ciel les uns après les autres.

Les nombreux arbres lui offrait une bonne couverture en cas d'offensive ennemie, mais il espérait de tout cœur que cette dernière n'arrive jamais. Il continuait sa progression à travers la forêt et vérifiait si aucun tireur ne s'était caché derrière un arbre, sous un amas de feuille ou dans un buisson.

Tout à coup, il entendit les premiers tirs venant d'en face, il s'allongea immédiatement et commença à ramper pour trouver un abri où passer les prochaines minutes. Il vit un trou creusé sans aucun doute par un obus, il se cacha dedans et sorti son matériel : bipied, cartouchière, lunette, tout était prêt. Il positionna sa mitrailleuse et appuya sur la détente. Une à une, les silhouettes lugubres tombaient, comme des dominos qu'on pousse avec son doigt.

Il relâcha la pression qu'il exerçait sur la détente et releva légèrement la tête, il ne voyait que des arbres, de la boue et des cadavres. Il rangea son arme, esquissa un léger sourire et reprit sa route. Le faucheur est en marche.

Pseudo supprimé
Niveau 7
15 janvier 2015 à 17:46:30

Bien que cela ne soit pas mauvais, c'est très scolaire, très impersonnel. J'ai l'impression, en te lisant, que tu te contentes de reprendre des tournures de phrases que tu as déjà lu sans t'attarder davantage.

comme des dominos qu'on pousse avec son doigt.

Image classique ! Cela illustre bien ce que j'ai écrit précédemment.

Le second texte est vraiment cul-cul et cliché. J'ai pas vraiment apprécié la lecture de celui-ci; pas parce que c'est mauvais, mais parce qu'encore une fois c'est impersonnel.

Approprie-toi tes textes !

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