Aujourd'hui j'ai rêvé que je recevais un 18 en chimie et un 19 en cr de tp de physique

Chokbar

Le 29 janvier 2024 à 21:03:30 :
Chokbar

En effet

Le 26 janvier 2024 à 16:16:57 :

Le 26 janvier 2024 à 11:08:10 :
J'avais fait un carnet de rêves sur 30 jours environ mais c'était tellement random et chiant de noter à chaque réveil que j'ai arrêté

Moi j'aime bien c'est drôle et j'ai l'impression que ça m'aide à m'en souvenir, si jamais tu retrouve le carnet tu pourrais poster ses pages en photo

J'ai le bordel sur mon téléphone mais faudrait que je modifie quelques trucs pour pas dévoiler des infos sur moi

Le 29 janvier 2024 à 23:53:15 :

Le 26 janvier 2024 à 16:16:57 :

Le 26 janvier 2024 à 11:08:10 :
J'avais fait un carnet de rêves sur 30 jours environ mais c'était tellement random et chiant de noter à chaque réveil que j'ai arrêté

Moi j'aime bien c'est drôle et j'ai l'impression que ça m'aide à m'en souvenir, si jamais tu retrouve le carnet tu pourrais poster ses pages en photo

J'ai le bordel sur mon téléphone mais faudrait que je modifie quelques trucs pour pas dévoiler des infos sur moi

Si tu peux c'est très bien

Cette nuit ça a bien bougé dans ma tête, j'essaye de mettre un peu en ordre et je ferai un beau pavé

J'avais tout rédigé hier soir, et là, ma connexion m'a abandonnée

Voilà c'est l'heure du pavé après avoir bien réfléchi cette journée
Par soucis d'anonymat, les prénoms réels sont changés

Mes souvenirs du rêve commencent, nous sommes dans une structure pour enfants, vous savez, les grands parcs en intérieurs sur plusieurs étages avec des structures en mousse et des toboggans, et celui ci était particulièrement gigantesque. Nous devons partir, je monte donc tout en haut afin de retrouver mes camarades. Je siffle, des dizaines de petits enfants fixent ma tête qui dépasse, et appelle Olivia, qui apparaît avec une autre fille et m'exhorte à partir vite. Tel Mooglie je descends les nombreux étages en sautant de corde en corde pour finalement me projeter sur les bords d'un quai, les mains accrochés à la bordure et le corps dans le vide, mais j'arrive cependant à sortir.
Mes compagnons souhaitent partir vite, nous devons fuir, mais je considère avoir besoin absolument de ma veste, je fais un détour pour la prendre ainsi que quelques affaires. Puis c'est la fuite, moyennement paniquée, nous marchons sur les flancs d'une montagnes, dans les rivières, ou je suis bien contente de m'être bien habillée, et, de fil en aiguille, je me retrouve avec mes 3 amies Caro Cora et Roca à marcher dans le lycée. Je ne suis pas censée être là, mais c'est pas grave; cependant nous croisons notre prof principal, qui, moi invisible à ses yeux, leur demande si je suis là.
Nous montons une pente et nous retrouvons au bords d'une cascade, sur lequel nous avons la bonne idée de faire des glissades sur le mince filet d'eau. Ca leur paraît drôles, elles se débrouillent pour s'arrêter avant de tomber dans le vide. Mais Caro se retrouve tout au bords, elle pense s'être stabilisée, mais bascule à l'oblique, et tombe. Le drame, je l'imagine déjà écrabouillée une petite dizaine de mètre plus pas, mais se réceptionne et amortit remarquablement sa chute, indemne. Roca lui envoie un message pour demander si tout va bien, ce à quoi elle répond impeccablement.

C'est de nouveau la fuite, et cette fois nos poursuivant sont de plus en plus proches, il y en a de deux sortes d'ailleurs. Nous arrivons à une tour, c'est le soulagement. Mais la tour est occupée, et nous avons le bon réflexe de partir en courant avant de se jeter dans la gueule du loup. Cora plaisante sur notre bonne situation de courir vite, et je la perds de vue, nous sommes des dizaines de fugitifs paniqués, courant dans une direction, puis rebroussant chemin en cas de piège.
Je me faufile entre des voitures pour me diriger dans la direction que je considère idéale pour sauver ma peau, quand Armand en déboule, horrifié, hurlant de ne pas aller par là et de fuir car "ils vont tous nous massacrer"
Et là je me réveille légèrement en panique, il fait nuit, et je me calme et me rendors.

Encore une histoire de fuite, nous sommes un groupe de 3 filles, marchant dans la neige, et nous décidons de faire une courte escale dans un refuge pour faire des provisions et aller aux toilettes. Le refuge est pleins de gens comme nous, mais nous ne parlons avec personne et passons rapidement, on ne sait pas à qui se fier.
Alors que je rejoins mes camarades dehors, le prince, Aulne (c'est un personnage totalement fictif, c'est d'ailleurs de ce fait assez inhabituel le nom qu'il possède, son niveau de détails, et la place récurrente qu'il occupe dans ce rêve) nous aborde. C'est notre allié, nous échangeons quelques mots, quand un autre Aulne débarque, et tue le premier, qui n'était qu'un imposteur.
Il nous recommande de nous méfier, et de modifier les semelles de nos chaussures car leurs empruntes portent la marque royale, ce qui nous rend facilement suivable.
Nous nous appliquons, et repartons dans notre fuite.
Nous arrivons dans une église ou se donne un concert, passons discrètement, pour arriver à la porte de la chambre du prince (Aulne toujours). Les autres entrent, et je reste dehors, mal à l'aise.
Je me décide finalement à entrer, l'entre chambre est vide. Mais dans la pièce suivante, séparée par un paravent, j'aperçois, horrifiée, des dizaines de personnes comme en boîte de nuit, se droguant, dansant et buvant sous l'influence d'un Aulne maléfique.
J'attrape ce dernier et hurle aux autres de partir, d'autre personnes dans un éclair de lucidité m'aident à le maîtriser, le charme est rompu, nous nous enfuyons tous, courant, par la porte de derrière. Encore courir, marcher dans les rivières. Il y a beaucoup de dénivelé, les pentes sont parfois rudes, nous devons parfois nous aider des arbre, et une fois faire des barreaux pour ne pas être coincées.
Finalement, au bout d'une de ces dernières nous arrivons à une cascade, où deux (!) Aulne semblent nous attendre. Méfiant, nous discutons entre nous trois si il faut leur faire confiance ou non.
Il se trouve qu'ils nous proposent des petits bateaux pour descendre les rapides efficacement et sans danger. Je sens directement l'arnaque et les poussent sans hésitation dans les rapides avec leurs coquilles de noix.
Nous descendons donc à pieds, la pente est moins pentue que d'apparence, et pour nous retenir, à la place d'arbre ou de végétation elle est recouverte de boîtes de médicament, les trucs cylindriques avec des gélules ou cachets dedans. C'est pratique pour ne pas dévaler jusqu'en bas, mais ça fait un bruit monstrueux.
Heureusement, ou malheureusement, l'endroit est un lieu de passage fréquentés, nous ne sommes donc pas la seule source de bruit, et nous apprenons grâce au gens qui, comme nous, fuient, ou au contraire remontent la pente, que nous avons bien fait de jeter les imposteurs dans les rapides, puisqu'ils se finissent en cascade rocailleuse.
Nous arrivons en bas sains et saufs, et traversons le lac à la nage. De l'autre côté, nous ne sommes plus que deux, mais pas le moins du monde drangées par la perte de notre amie.
Nous courons, nos poursuivants se rapprochent toujours plus, la fin semble proche pour nous. Ils sont deux, également princes comme notre allié Aulne, mais sont eux terrifiant. Proies prises en chasse, chacune par un, nous nous séparons et tentons de s'échapper.
Je zigzag, tente de me cacher en m'allongeant dans la neige pour qu'il me dépasse. Cela fonctionne, je suis sauvée.
Mais tout à coup le vois, il est au dessus de moi, vulnérable par terre, et me regarde d'un air sadique, et me dis que les reflets de mon masque de ski que je porte m'ont trahi, bien qu'il ai failli se faire avoir.
Il me raccompagne quelque part et essaye de me violer, sauf que ça marche pas, et finalement il abandonne.

Finalement il tourne en quelqu'un de sympa, et nous faisons une course de luge sur un parcours, sauf que j'ai pas de luge, et même si ça marche quand même bien, l'atterrissage des bosses me fait mal au ventre, et je perds.

Plot twist, je ne le réalise qu'à la fin, tout cela n'était que le tournage d'un film, Hunger Games deux, ou je jouais un des rôles principales. Je me vois à l'affiche, et finalement je rate le solfège pour assister au cocktail dinatoire dans la salle des fêtes du conservatoire pour célébrer la sortie et le succès su film.

Voilà voilà, ça m'a pris longtemps, si quelqu'un est arrivé jusqu'ici, ce dont je doute, je vous remercie, j'espère que ça vous a diverti et que c'était à peu près clair, et je m'excuse pour les potentielles fautes

J'ai du mal à croire que ce soient tes rêves

C'est trop long pour un rêves bruh

Le 31 janvier 2024 à 09:07:49 :
J'ai du mal à croire que ce soient tes rêves

Tu crois que j'ai l'esprit assez tordu pour inventer ce genre d'histoire consciemment ?

Le 31 janvier 2024 à 09:51:06 :
C'est trop long pour un rêves bruh

C'est vrai que lui est particulièrement long

Jalousez moi d'avoir une vie aussi passionnante la nuit que le jour

Non

Le 31 janvier 2024 à 11:13:06 :
Non

à quoi ?

Rêve de la nuit d'avant:

Je m'en rappelle plus trop, à part 2 courts épisode.
Tout d'abords je n'arrivais pas à dormir, donc je partais courir la nuit mais finalement il faisait jour autour de chez moi, et j'ai fini par devoir faire demi tour car le sol était inondé par les pluies.

2ème partie très drôle. Je rêvais que tout d'abords on me passait sur un écran un film des meilleurs moments de ma vie. Cependant c'était des truc globalement random, dont un datant de 2006 et un de 1998, tout naturellement.
Ensuite le film partait sur les meilleurs moments de ma vie future, et, un est censé arriver le 6 avril 2029, même si j'ai complètement oublié de quoi il en retourne, si je m'en souviens, je reviendrai vous raconter cette journée en 2029.

Cette nuit j'ai rêvé que c'était mon conseil de classe du deuxième trimestre.

Dès le début c'est n'importe quoi. Nous sommes beaucoup agglutinés, attendant le début du conseil de classe, quand la proviseure adjointe commence son annonce dans les hauts parleurs. Elle nous dit que nous allons pouvoir entrer, d'abords notre classe de seconde, puis les cinquièmes en tant que spectateurs, et enfin les premières spectateurs, dont un se signale par jeu dans un micro détenu par un aed. L'aed en question chuchote un peu dans le micro comme blague, et la proviseure adjointe lui dit "ferme ta gueule".
Nous entrons donc, j'entre dans les premiers, et m'assois à côté de mon co délégué Antoine.
On nous explique d'abords que seuls ce qui font une option parmi musique, grec, latin ou arts plastiques ont droit au pass culture d'une valeur de 300 euros, et ainsi je fais partie des quelques chanceux avec 600 euros de pass.
Tout le monde est assis, mon voisin me demande alors de tenir un draps attaché à la table pour ne pas qu'il parte, je dois ainsi m'allonger sous la table, et la proviseure, à deux personnes de moi, me regarde mal.
Ils appellent finalement les deux délégués à venir parler. Il est à l'origine prévu que ce soient Antoine et moi, mais finalement trois délégués sans moi se retrouvent à présenter. C'est un peu n'importe quoi, ils sont hilares, de même pour l'assemblée, exceptée la proviseure.
Ils finissent par présenter, et d'autres gens de la classe se retrouvent devant.
Ils chantent tout d'abords joyeux anniversaire, puis on un grand rouleau avec trois photos.
Sur ces trois photos, il y en a une avec une dorure dessinant un dauphin, et une nous illustrant, la classe, en train de faire une pyramide humaine géante dans les jardins du château de Versailles.
Elle finissent leur présentation par " ce trimestre n'aura pas seulement été riche en apprentissage, mais également en divertissement, reforçant la cohésion de classe demandée au premier trimestre"
et c'est la fin

Bonjour bonjour chers Cailloux, je vous retrouve pour mon rêve de cette nuit

Nous nous étions plusieurs dans une salle, quand 20 personnes se retrouvèrent organisées en cercle, avec un pistolet chacun. Ils étaient désorientés, mais devaient tirer pour ne pas mourir. Les plus vifs tirèrent, les touchés s'évaporaient immédiatement. Quand il en resta 10, le massacre s'arrêta, les 10 vivraient, pour l'instant. Ils étaient tous figés dans une certaine posture, quand un fit feu accidentellement et un autre tira également, ce qui engendra 2 morts supplémentaires, ils n'étaient plus que 8.
Tout cela c'était passé très vite, et nous étions tous paniqués, y compris ceux qui, comme moi, avaient seulement observé. C'est pourquoi, les armés déposant leur pistolet, les autres les rejoignant, nous nous mîmes dans un grand cercle et commençâmes des danses rituelles, pour dans l'idée contenter l'organisateur de tout ça.
Celui vint à un moment pour nous expliquer vaguement le concept. De riches chercheurs avaient mis en place l'expérience, dont nous étions les sujets, et lui s'occupait de son bon déroulement. Nous allions être nourris pendant 2 jours, puis on nous laisserait sans nourriture.
Les deux jours passèrent, tout n'allait pas si mal. Nous n'étions pas vraiment enfermés dans la pièce, mais pouvions sortir pendant les pauses nous promener dans le lycée et mangions à la cantine.
Les autres semblaient avoir plus ou moins accepté la situation, mais je souhaitais moi m'enfuir.
Tout d'abords, je planifiais de nous faire évader par la porte fenêtre que l'on pouvait ouvrir dès la fin de la prochaine visite de l'homme pour avoir du temps, mais quand celui ci entra, il vérifia la porte fenêtre et la condamna définitivement. La fin des deux jours arrivée, la plupart des participant prenaient d'énormes stocks de pain et de nourriture afin de tenir plus longtemps, ce que je ne fis pas, sachant ma mort prochaine inévitable.
J'allai voir mes amis qui avaient eu la chance de continuer leur vie normale, pour leur parler de ma fin prochaine, puis partis dans la cour pour tenter de m'échapper une seconde fois. Je pensais devoir escalader les barrières, mais j'en trouvai une à travers laquelle je passais. Je la traversai donc et m'enfuis, courant à travers les champs. Mais l'homme partit vite à ma poursuite en voiture, et mes tentatives de lui échapper furent infructueuses.
Gros blanc dans l'histoire, nous sommes trois survivants, moi, une fille en robe rose et un gars, dans une voiture.
C'est celle des grands organisateurs, qui sont en fait des milliardaires. Ils avaient organisé tout ça pour leur propre divertissement, parce que c'était bien intéressant quand même. Cependant nous avions de la chance, ils avaient dans leur magnanimité décidé que des 32 originels, ils pourrait en rester 3 plutôt qu'un seul finalement. Ils nous amenaient selon leurs dires dans un lieu pour nous récompenser agréablement de notre survie.
Mais je ne leur faisais pas confiance, et quand la voiture fut suffisamment lente, je sautai par la fenêtre, et courus m'aplatir dans un canal. Ca ne fonctionna pas, ils me repérèrent vite, je sortis donc, encore courant, faisant brusquement demi tour, pour, finalement, me jeter en bas de la grande bute où ils auraient des difficultés à me suivre.
Puis je me suis réveillée.

J'ai l'impression que je passe mon temps à m'enfuir dans mes rêves, c'est fatigant un peu

J'ai rêvée que j'avais une énorme ecchymose au tibia gauche
Et d'autres choses intéressantes qui m'échappent

cette nuit j'ai rêvé que j'avais un début de cancer du poumon, dédi à tous les fumeurs avec vos milliers de mutations

Et donc, relation de causalité, mon médecin me disait que je ne pouvais plus m'exposer à la lumière du soleil, même indirectement, sous peine d'aggraver mon cancer et de déclencher automatiquement un cancer de la peau.
Je commençai donc à fermer les volets de la pièce, mais les autres gens n'étaient pas d'accord, je du donc trouver un autre lieu.
Je descendis donc au sous sol, qui normalement n'était éclairé que par la lumière artificielle, mais, manque de chance, il y avait d'immenses baies vitrées qui le baignaient de lumière.
Je pris donc encore des escaliers et je me retrouvai dans une immense bibliothèque, magnifique, avec des meubles en ébène et pleins de livres anciens, la bibliothèque de mes rêves ( ). J'étais très heureuse, j'allais pouvoir passer mon cancer enfermée ici à lire autant de livres que possible, c'était incroyable. Mais, encore raté, la bibliothèque avait elle aussi de grandes baies vitrées, je partis donc.

J'arrivais dans une vaste salle au plafond extrêmement haut. C'était un bâtiment ultra moderne, très clair et lumineux, avec des escaliers qui flottaient dans les airs. J'était complètement paumée, un peu comme quand on se réveille d'un évanouissement, et j'y déambulais.

Finalement, je me suis réveillée deux fois, et les deux fois c'était en entendant une bille en verre tomber et roulé sur mon sol, mais j'ai cherché aujourd'hui et j'en ai trouvée aucune

Perso je rêve plus… et c’est chiant

Mon dernier rêve était bad long (flemme de raconter) et à la fin (qui n’avait aucun rapport avec le reste)

Je me suis retrouvé dans la chambre d’une mère de 30 ans (vu la tronche qu’elle avait) et sa fille (probablement 18 ans)
(Aucun sens les âge, mais on s’en balec )
Et après vous savez comme ça à fini

Ps: NON, ce n’était pas des filles furrys avec des patounes

Cette nuit j'allais à l'anniversaire d'une amie
Après avoir prévenu à la dernière minute d'autres gens, j'étais la dernière en route, et donc je partis par les airs. Arrivée au dessus du parc aquatique, j'étais trop haut pour voir les détails, donc je me laissai chuter librement jusqu'à quelques mètres au dessus, et j'aperçus les gens.
J'arrivais au début de la zone, ou il y avait un panneau indiquant la tranche d'âge autorisée: "3-12 ans, mais aussi 15-33 ans, 11-98, 18-25 et 45-47"
C'était le début d'une cascade dans laquelle on se laissait tomber. J'y allai, c'était très agréable car c'était à moitié liquide à moitié gazeux, comme si c'était de l'azote liquide, mais sans le froid.
Tout d'un coup, je me retrouvais dans une salle, c'était mon oral du bac, j'avais des feuilles de notes dans les mains et un jury devant moi. J'étais un peu paniquée, les notes n'étaient même pas dans l'ordre, puis je commençais à les formuler à l'oral.
C'étais maintenant la pause dans mon oral, j'étais devant l'auditorium avec des gens que je connaissais. Nous parlions, et d'un coup, je leur déclarai avec aplomb que je venais du passé et que j'avais traversé par un moyen mystérieux l'espace temporel, et que je rêvais et qu'ils n'étaient pas réels, mais imaginés par moi. Ils me regardèrent choqués.
C'était la fin de la pause, de nouveau devant la salle je demandai à mon amie s'il était possible, alors que j'avais commencé mon oral en français, de le continuer en allemand, car mes notes étaient en allemand.
Elle me regarda un peu bizarrement et me dit que j'avais merdé en commençant en français, car c'était un oral d'allemand, et que ça allais me faire perdre des points.
Je rerentrai donc en salle d'examen, et poursuivi (en allemand je crois) ma présentation sur Oppenheimer