Prisonnier de ce large étang
Condamné à un supplice éternel
Par une terrible soif mes lèvres en sang
Tout cela je l'ai fait pour Elle
Un pommier pour seule compagnie
Ma peau brûlée par ce soleil noir
L'eau se dérobant sous mains impies
Car j'ai manqué l'appel du Devoir
Elle se tient juste sur la berge
Dans sa main brûle un cierge
Voici donc la flamme de ma vie
Dans une ultime asphyxie
Quelques murmures au loin
Et c'est ma flamme qui s'éteint
Autrefois petit bout de paradis
La promesse d'un nouveau départ
Partant d'une si belle utopie
Une coupe remplie de ce nectar
Autrefois tellement rayonnante
Cachée de tous au fond de l'océan
Aujourd'hui seulement aberrante
Qu'ont donc fait de toi tes enfants
Un simple trou puant
Là où coule le Néant
Les fantômes témoignent de ton passé
La fleur est déjà fanée
Cette ville est à mon image
Rapture ce triste mirage
Suspends les souvenirs rayonnants, douce pluie,
En déliant la corde sans meurtrir les chairs;
Évadée du sommeil, ta parole les séduit,
Ces regards innocents plongés dans les chimères.
Mais étreintes de vous, ô gouttes éternelles,
Les âmes errantes hurlent leurs songes dévorés,
Attendant qu'enveloppe et liberté se mêlent,
Pour briser les chaînes d'affranchis prisonniers.
Ami, vois le ciel échanger avec le sol,
Sa noble grâce emportée par la brise folle,
Chagrin immaculé de grisâtres nuages;
Et l'éclat de tes perles, miroirs d'une brume,
Sourit toujours au morne, car à travers les âges,
Mélancolie écarte les remords posthumes.
13 syllabes pour le troisième vers.
14 pour le sixième
13 avant derniers
Sinon c'est pas mal, y a de la poésie là dedans. Ca manque un peu de lien entre les différentes phrases et strophes. Ce qui rend le poème pas forcément des plus compréhensibles ni agréables, parce qu'au fond, on suit pas assez la trame du poème.
Tu expliques pas assez, je sais que ca peut-être un style, mais ca ne touche pas assez là.
Et y a justement trop d'injonction d'impératif.
Disons que ca va trop vite. y a aussi de trop de son "heu" qui plombe un peu le texte et le rend pas léger, déjà que dans sa trame c'est pas léger.
Mais sérieusement c'est l'un des meilleurs poèmes pourtant que j'ai lu le topic ces derniers temps.
Salut tout le monde,
Samedi après midi, il faisait super beau, avec ma chérie, on s'est préparé une salade composé, du vin, un dessert, on a été pique niqué au soleil dans l'herbe
J'en ai écrit un poème :
"Le soleil sur mon corps, frappant
Me fait oublier mes tourments.
L'herbe comme confortable matelas
Me rappelle pourquoi je suis là,
Tellement bien loin des bavardages,
A déguster des fraises sauvages."
Vous en pensez quoi ?
J'ai ecrit un petit poeme sur une de mes passions qui m'a ete voler
Je ne maitrise plus les temps, mon orthographe et vocabulaire sont parti depuis que j'ai demenager dans un pays etranger Desoler pour les fautes d'orthographes
Le son de la musique me penetrait,
comme le vent a travers mes vetements.
Mais maintenant, les instruments a cordes ou a vent
Ne sont plus dans le temps.
Sous les cordes d'or d'Espagne
Qui resonnaient chaque fois que mes doigts
S'allongaient et faisait resonner ces formes de bois
Ne sont maintenant qu'un son vide de foi.
Comme la loi et la securite agit sur toi,
Le professeur a agit sur moi
D'une voix de dictateur et de roi
Et s'est approprier mon seul espoir de faire un pas.
Il s'est saisit de ma passion
Comme la neige saisit les toits d'hiver
Et moi, je retourne sous terre
Et ressent la meme sensation qu'un enfant a qui on enleve son pere.
Mais le soleil un jour reviendra,
Et fondra la neige qui se dresse autour de moi
Je ressortirai avec une nouvelle foi,
Une herbe fraiche m'attend sous ce froid.
Je suis un musicien,
Un homme sans frontiere ni rien,
Je vais la ou me plait meme si je ne mange pas a ma faim,
Je mene la vie de boheme, quand je serai sorti d'ici je suis sur que j'irai loin.
Voila
La vie cette comédie humaine
Un gigantesque bal masqué
Une tragédie à la fin certaine
Ils appellent cela Fatalité
Jouons ensemble sur cette scène
Et que maintenant se lève le rideau
Oublions pour toujours notre peine
Car Dieu nous regarde de là haut
Sur cette terre de feu nous danserons
Tous candidats à l'éternelle damnation
Il est venu l'heure du grand final
Figé dans mon cœur ce bout de métal
Une dernière coupe du sang de Père
Réservez-moi un petit bout d'Enfer
Personne ne peut te comprendre
Toute forme de sentiment tu as perdue
Dans ton regard seulement des cendres
Témoignage d'un brasier révolu
En ce bas monde tout le monde ment
En ce bas monde tout le monde meurt
Ils attendent tous ton avènement
Prisonnier de ce linceul de malheur
Sans toi le feu n'est plus chaleur
La lumière ne chasse plus la peur
J'ai perdu mon dernier semblant de vie
Finit les battements de ce cœur impie
Il est temps de rejoindre mes aïeuls
Mais en ce jour je ne meurs pas seul
Leurs cris de douleur à des lieux je les entends
Les démons de ce monde jamais ne dorment
A jamais perdue notre innocence d'enfant
Mais finalement n'est-ce pas ça que l'Homme
Soit maudit ce temps qui défile à toute vitesse
Mes poumons sont remplis de cette âcre fumée
Mes sens encore embrouillés par cette ivresse
Mon amour il est bien trop tôt pour se réveiller
Mais cette cruelle fatalité jamais n'attend
Sur ce trou puant se pose ton regard d'enfant
Pendant qu'ils admirent le ciel avec affliction
Attendant notre salvatrice annihilation
Nos corps à jamais liés dans la Vierge de fer
Notre sang abreuvera les démons de l'Enfer
J'ai eu envie de tester un poème en "impro" donc voilà ce que ça donne, j'ai écris sur la première phrase en rimes qui m'est passé par la tête :
C'est souvent dans les arrières pensées,
Que se cache la vérité.
Si je vous dis
Oh ! qu'il est joli !
Me croirez-vous ? Probablement,
Si l'intonation y est.
Vous voilà donc bien entubé !
Par un mensonge plus qu'indécent !
Je m'arrête là
Bon, si j'avais fait ça dans les règles de l'art, j'aurais : Remplacé indécent et entubé , j'aurais essayé de faire le même nombre de vers, j'aurais fait des strophes et j'aurais raconté des choses en plus
vers*, je voulais dire syllabes
[Nanon était le surnom de ma mère]
Nanon a tous ses os rongés par le cancer
Et sur le billard blanc, Nanon s'en va crever.
Mais ne pleure pas, fils !
Car toi aussi un jour tu sauras les délices
De les pouvoir noyer tes remords dans la mort.
Obamaggle8, je vois que tu copie extrêmement bien, ce que tu viens de nous écrire, est, à la base, un poème de Céline.
J'ai beau faire une recherche, je ne trouve pas confirmation que c'est bel et bien un plagiat. Aurais-tu un lien à me montrer pour attester ton accusation ?
Car si c'est avéré, il y aura sanction, le plagiat est interdit par la loi.
Cette même personne a publier un topic, dont voici le lien :
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-34-7728017-1-0-1-0-j-ai-retrouve-un-poeme-de-celine.htm
Après, je pense qu'effectivement ce poème est bien de Céline vis a vis des com', malheuresement je ne connais que l'oeuvre romanesque de Céline.
J'ai envoyé mon poème en disant qu'il était de Céline sur un forum et en disant qu'il était de moi sur un autre, pour voir si l'apriori favorable jouait beaucoup sur le jugement des gens, et si par là même mon poème était bon en tant que tel.
Merci d'avoir cassé mon expérience, ça mangeait vraiment pas de pain. En plus j'ai même un peu changé mon poème en le repostant ici, "engloutir" devenant "les noyer".
A ma connaissance, je ne crois pas que Céline ait jamais publié un recueil de poèmes, s'il est connu, c'est en tout cas essentiellement pour le voyage au bout de la nuit, mort à crédit et d'un château l'autre; s'il a écrit un recueil merci de me le signaler, j'essaierai sans doute de me le procurer.
Sinon, je serai content que vous me disiez ce que vous pensez du poème, le poster aura au moins eu cet intérêt.
Ca confirme ce que je pensais, j'ai fait beaucoup de recherche, Céline n'a pas écrit ça.
Ceci-dit à titre purement personnel, je tiens à dire que je trouve cette "expérience" sans aucun intérêt.
Ma petite Camille a quatorze ans
La flamme brûle encore dans tes yeux
Mais la haine coule déjà dans ton sang
Galopant dans la plaine ce cheval fougueux
En ce jour Camille a quinze ans
Trônant du haut de son cent-cinquante
Elle dit ne plus être une enfant
Alors fini la conduite décente
Cette fois Camille vient d'avoir seize ans
Elle dit être en croisade contre les mécréants
Voulant guérir les égarés de la brume
Se rend elle compte qu'elle bat une enclume
Tu ne jures que par ce sourire malicieux
Alors pourquoi cet air si sérieux?
Voici, encore et toujours une petite impro sans prétention.
Enjoy or hate, I don't care.
Je suis là
Posé par le sang amoureux
que tes désirs exacerbent
Je suis las
Porté par le vent lumineux
que ton plaisir plaide
C'est en toi que mon coeur jaillit
Prisonnier heureux
C'est à toi que mon coeur dit
voici mon aveux
Titimathy Ok, je t'ai insulté, ok tu m'as banni en série, mais avoue quand même que j'étais meilleur que les poèmes qui me suivent..