CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Etoile Abonnement RSS

Sujet : [Nouvelle] Argent facile , Sale argent..

DébutPage précedente
1
Page suivantePage suivante
Tithon Tithon
MP
Niveau 10
30 juillet 2014 à 00:52:16

Bonjour , voici la nouvelle que j'avais présenté au concours du 15-18 il y'a quelques mois , le problème avec les concours ce qu'on n'obtiens pas d'avis , je suis venus ici dans le but d'avoir des critiques constructives :) .

---------------------
New York, 18 Février 1949.

Voilà quelques heures que le soleil s’était levé, éclairant les rues du Bronx, les quartiers défavorisés de New York.
Ce jour-là , c’était le jour du marché , les petits vendeurs de toutes ethnies criaient à tue-tête , faisant l’éloge de leurs produits . Autour de ces hommes étranges , il y avait toujours une foule de gens incroyable , pour la plupart il s’agissait d’Italiens , mais il y avait aussi des noirs et des Irlandais , ceux-ci observaient un instant la marchandise , avant de sortir quelques dollars de leurs poches et de repartir ,persuadés d’avoir fait une bonne affaire .
Seul un homme se démarquait parmi cette foule, un homme mal habillé, enfin, pouvait-on considérer les lambeaux qu’il portait comme des vêtements ? C’était un jeune Italien, il avait le teint fatigué et semblait errer sans but.
Les gens du quartiers le connaissaient, il l’appelaient « Il Ladro », le voleur en Italien , Mais son vrai nom était Luciano Baldaretti .
Luciano était né en Italie, dans la région de Naples, ses parents avaient immigrés à New York en 1933, lorsqu’il avait cinq ans , sa sœur elle en avait huit. Par la suite ses parents ont eu d’autres enfants, d’où la nécessité pour Luciano et sa sœur de vite quitter le cocon familial , sa sœur , bonne fille , par sa bonne éducation avait trouvé un mari et s’était mariée il y a quatre ans , avec un homme qui s’occupait bien d’elle , Luciano lui avait passé sa vie à désobéir , à envoyer en l’air les projets de ses parents pour lui , il avait manifesté un dégout total pour l’école dès sa naissance , à douze ans il avait cessé de fréquenter les cours , ses parents s’étaient démenés pour lui trouver un travail , sans succès , Luciano était non seulement fainéant , mais en plus il avait un très mauvais caractère , celui-ci refusait d’obéir à un patron qui ne lui témoignait pas assez respect .
Du respect ? en méritait-il vraiment ? en tout cas son apparence ne l’imposait pas naturellement, il n’était pas spécialement beau, pas très costaud et il était petit .
En fait , la seule personne qui avait une haute estime de Luciano , c’était lui-même , il était persuadé qu’il valait mieux que ces petits boulots sans intérêts , il se voyait comme un homme qui devait prouver sa valeur pour être appelé à de haute destinées .
Suite à une violente dispute avec son père, il avait quitté ses parents et leur domicile , pensant tracer sa propre route , mais le monde est impitoyable envers les hommes comme Luciano et depuis plus d’un an il vivait à la rue .
Il savait que sa sœur et son mari seraient prêt à l’héberger, mais une chose empêchait Luciano de se résoudre à cela ; sa fierté , pour lui , habiter chez sa sœur serait dire à ses parents : « Vous voyez ? j’ai essayé de tracer ma route mais j’ai échoué de façon lamentable, c’est vous qui aviez raison au final ! »

Ce jour-là , il errait comme à l’habitude dans les rues du Bronx , au milieu de cette agitation , de ces gens qui le regardaient de travers , au début il ne supportait pas leurs aires condescendants , mais avec le temps il s’était habitué à ces regards .
Lorsqu’il passa près d’un marchand , Luciano sentit une odeur de friture délicieuse ; un homme , un Italien faisait frire de la bête pâte à pizza , la salait et la vendait aux passants affamés , simple et pourtant il y avait une énorme fille de clients .
Luciano glissa sa main dans sa poche , il n’avait plus que quelques dollars , était-ce prudent de les dépenser par pure gourmandise ? oh puis zut ! il n’avait jamais été très économe .
Il fit la file, quand ce fut enfin à son tour , l’homme le regarda de haut en bas , d’un air méfiant il demanda :
-Vous avez de quoi payer ?
Luciano posa ses quelques pièces sur le comptoir , satisfait ,l’homme retourna à sa poêle .

Assit sur un banc , le vagabond profitait de chaque bouchée , quand eut finit , il alla se désaltérer à la fontaine . « Une des seules choses , songea Luciano , qui n’est pas encore payante dans ce pays ».
Et maintenant ? qu’allait-il faire ? il n’avait plus un seul dollars en poche .
La solution lui apparut rapidement ; emprunter de l’argent à Henry .
Henry Feducci prêtait de l’argent aux gens en échange d’un gros intérêt , l’avantage à emprunter à Henry était qu’il ne lui fallait aucune garantie , il était respecté dans tout le quartier et savait que les emprunteurs feraient des pieds et des mains pour le rembourser à temps .
Il y a environ deux ans , Luciano avait sauvé la petite sœur d’Henry alors que celle-ci s’était trouvé en mauvaise posture face à un méchant chien , reconnaissant , Henry avait commencé à prêter de l’argent à Luciano , mais celui-ci ne pouvant rembourser , il devait souvent rappeler au créancier quel aurait été le sort de sa sœur s’il n’était pas intervenu ce jour-là .

Tithon Tithon
MP
Niveau 10
30 juillet 2014 à 00:53:15

Luciano s’arrêta , il était arrivé devant la vitrine de chez Henry . Sur celle-ci on pouvait y lire « Alimentation générale , Giovanni » , l’ancien propriétaire y tenait une épicerie , quand Henry avait acheté le bâtiment pour le transformer en une sorte de bureau avec un acceuil , il n’avait pas pris soin d’effacer les inscriptions .
Luciano poussa la porte , à l’intérieur Henry était installé sur son bureau , entouré de deux hommes avec qui il riait bruyamment , lorsque celui-ci l’aperçut , il se leva avec enthousiasme , il semblait de bonne humeur ;
-Ah, Mes amis , je vous présente Luciano , cet homme , il y a deux ans a sauvé ma sœur d’un vulgaire cabot qui avait essayé de la mordre !
Marquant une petite pause , il inclina la tête et demanda :
-Alors Luciano , tu as mon argent ?
Le concerné secoua la tête ,
-Non , tu sais bien que je ne trouve pas de travail , j’aurais besoin que tu m’en prêtes encore un peu .
-Tu plaisantes là ? S’exclama Henry en changeant brusquement de ton, tu m’avais promis tu parviendrais à me rembourser !
-Je pensais trouver du travail , mais les temps sont durs…
Henry lui fit signe de se taire d’un mouvement de la main .
-Tu sais ce qui ne vas pas chez toi Baldaretti ? dit-il, c’est que tu es un fainéant incapable !
-C’est faux ! C’est juste que je ne veux pas m’abaisser à faire ses petits boulots dégradants que proposent les gens du coins !
Soudain , un des deux hommes restés silencieux jusqu’à présent , se leva brusquement , il était grand et assez costaud , Il s’approcha de Luciano , l’attrapant par le col de sa chemise en piteux état .
-Tu as entendus ce qu’il t’a dit ? tu n’auras pas un centime de plus !
Puis s’adressant à Henry , il demanda :
-Combien nous doit-il Henry ?
-Calo , ce n’est pas la peine , tu sais c’est un brave gars dans le fond…
-Combien ? s’impatienta le colosse.
-Quatre-vingt dollars . Lâcha Henry .
-Donne-les lui , toute de suite ! dit brusquement le dénommé Calo .
-Mais puisque je ne les ai pas ! S’exclama Luciano .
Il était furieux , cet homme , Calo , s’adressait à lui comme à un demeuré .
Tout à coup , l’homme resté en retrait intervint ;
-Et si on te proposait une autre sorte de boulot ? quelque chose de plus digne par exemple ?
-Aldo , tu n’y penses pas !
L’homme qui était intervenu , à l’inverse de Calo , était petit , plus âgé que les autres et portait la moustache , il avait un petit air espiègle et portait un nœud papillons qui était de travers .
-Bien sûr que si , n’avons-nous pas besoins de travailleurs dans notre association ?
-De quoi s’agit-il ? répéta Luciano .
-Aldo , je connais cet homme , c’est un bon à rien , on ne peut pas lui faire confiance ! Dit Henry sans prêter attention à lui .
Mais Aldo ne semblait pas les écouter , fixant Luciano il dit :
-Vois-tu , notre petite « entreprise » à plusieurs revenus , prêter de l’argent aux gens n’est que superflu , nous avons d’autres activités , notamment la protection des petits commerces .
Luciano demeurait immobile , écoutant son interlocuteur .
-Tu sais , un braquage , ou un petit vol à l’étalage est si vite arrivé , une fois sous notre protection les commerçants ne risquent plus rien , grâce à l’influence que nous avons dans le quartier , seulement voilà , Renchérit-il , nous avons parfois des difficultés pour obtenir cette fameuse « taxe » mensuelle .
-Les commerçants ne sont-ils pas grés de cette protection ? demanda Luciano , c’est eux qui l’ont voulu non ?
-Disons que nous leur forçons parfois la main, intervint Henry.
Comprenant subitement le mode de fonctionnement d’Henry et de ses associés , Luciano ne tarda pas à accepter le travail qui lui proposait Aldo .

Lorsque le soleil se coucha , ils partirent tous les quatre vers le quartier Nord du Bronx , un des rares quartier où la pauvreté et la misère n’étaient pas omniprésentes . Empruntant une petite ruelle , ils débouchèrent sur une rue , très animés , des gens fortunés se baladaient , sortaient des restaurants , festoyaient ,…
-C’est ici qu’habite notre cible , là , au troisième étage, dit Aldo en montrant une série de fenêtres en hauteur , Grimpe par la gouttière , quand tu seras à la hauteur de l’appartement entre-y en brisant la vitre , une fois à l’intérieur , tu volera un vase précieux , de collection , tu le ramèneras en passant par le même chemin , nous nous servirons du vase pour faire pression sur lui .
-Tout cela devant tout ce monde ? demanda Luciano Incrédule .
Les trois hommes hochèrent vivement la tête .
-Oui , là est tout la difficulté de ce travail , il faut savoir garder son sang-froid , si tu y parviens , il n’auront même pas le temps d’appeler la police , alors , tu te sens capables de faire ceci ?
Acquiesçant ,Luciano fit volte-face ,en regardant l’appartement , il n’aurait jamais imaginé que ce premier travail serait aussi risqué, mais il n’allait pas se dérober , certainement pas après avoir subi les railleries de Calo durant tout l’allée.
Prenant une grosse inspiration , il se dirigea d’un pas assuré vers la gouttière , mais à peine avait-il fait trois pas , qu’il entendit ses complices éclater de rire derrière lui.
Un coup d’œil en leur direction lui apprit qu’ils étaient morts de rire , même Aldo qui se montrait en général plus compréhensif riait aux larmes , il lui fit signe de revenir .
-C’est très bien , dit Aldo en se retenant difficilement de rire , tu sembles volontaires et tu as des tripes, mais réfléchir ne serait pas du luxe non plus !
Luciano comprit qu’ils s’étaient joués de lui .
Il s’empourpra , et d’une voix qui couvrit leurs ricanements , il lança ;
-Quand vous aurez finis de rire , je pourrais avoir mes réelles instructions ?
Les rieurs se stoppèrent net , surpris par l’intonation des paroles de Luciano.
Calo sembla très contrarié par les paroles de Luciano , mais avant qu’il puisse faire une remarque , Henry intervint :
-Une petite détente avant de passer à l’acte , Luciano si nous avions besoins de faire une chose pareille , crois-tu vraiment que nous nous adresserions à un débutant comme toi ? Enfin , le lieux de ton premier travail ne se trouve qu’à quelques rues d’ici.
Ils firent donc demi-tour , traversant le quartier de riches , pour déboucher sur une nouvelle rue , plus modeste et bien moins animée , il n’y avait que quelques passants qui l’empruntaient .
-Tu vois la vitrine là-bas ? fit Aldo , C’est là que se trouve le récalcitrant , un magasin d’objets de porcelaine , malgré l’impressionnant chiffre d’affaire qu’il fait , le propriétaire refuse de nous en verser une partie !
Henry prit la parole ,

Tithon Tithon
MP
Niveau 10
30 juillet 2014 à 00:54:37

-Le commerçant n’est pas chez lui ce soir , on va lui laisser une petite surprise qu’il découvrira à son retour , tiens prend ce double des clefs , rentres dans la boutique et brises-y quelques objets , pas la peine d’y aller de main morte , il faut qu’il soit horrifié à son retour , quand tu auras finis , laisse ce bouton noir au milieu de la pièce .
Henry lui déposa un petit bouton de chemise , noir , dans la main .
-Il comprendra que nous sommes derrière tout ça , lacha Henry , tu n’as pas de question ?
Luciano fit signe que non.
-Ne nous déçois pas ! Ou tu risques de le payer ! ajouta Calo .
Puis les trois hommes disparurent dans l’ombre , laissant Luciano seul .
Celui-ci avança tranquillement vers la Vitrine . Même s’il était très nerveux , à l’aide de la clef que lui avait remis Aldo , il ouvrit la porte et entra dans la boutique .
À l’intérieur , il y flottait une agréable odeur de thé , Luciano regarda autour de lui , il y avait de la porcelaine partout , des vases , des assiettes ,des statues ,… le moindre faux mouvement dans ce magasin pouvait causer de gros dégâts .
Saisissant un gros vase , il sortit du magasin , se plaça en face de la vitrine , et le jeta de toutes ses forces , l’objet traversa la vitrine pour aller se fracasser contre une étagère , provocant de gros dégâts.
Le vacarme alerta les passants qui , semblait terrorisés , ils partaient en courant . Se doutant qu’ils allaient appeler la police , Luciano se hâta de rentrer , de déblayer le centre de la pièce pour y placer soigneusement le bouton donné par Aldo , puis , évitant les débris , il sortit de la boutique et partit en courant .

Essoufflé , il arriva devant chez Henry au milieu de la nuit , comme il s’y attendait , il n’y avait plus personne , épuisé , il décida de dormir là , de cette manière il pourrait réclamer sa paie demain matin .
Le lendemain , aux premières lueurs de l’aube Luciano fut réveillé par Henry visiblement contrarié .
-ça ne va pas non de dormir juste devant ma vitrine ? quelle mauvaise image pour moi !
-Je venais chercher ma paie, le travail a bien été accompli .
-Oui , j’ai su , tu as fait du bon boulot , tu ne me dois plus rien , félicitation , dit Henry en se hâtant de rentrer chez lui .
Mais Luciano le suivit .
-Et c’est tout ? Je ne reçois pas plus ?
Henry lui lança un regard inquisiteur .
-80 dollars pour un premier travail , si facile , c’est déjà pas-mal , si tu veux gagner plus d’argent tu peux continuer à travailler pour nous ! Nous avons besoins de gens de confiance ! tu gagneras de plus en plus ! surtout que notre organisation est promue à un grand avenir !
-Bon très bien , tu as quelque chose à me proposer ?
Henry sourit de toutes ses dents , dans ce domaine , le travail ne manquait jamais .
Ainsi Luciano enchaina les petits boulots , durant presqu’un mois , gagnant au fur et à mesure le respect d’Aldo et d’Henry qu’il avait , il en était certain , agréablement étonné , par sa ponctualité et son courage .
seul Calo continuait de le dénigrer fréquemment , mais Luciano restait impassible , tout ce qui comptait pour lui c’était l’argent , il se vengerait de cette brute un jour où l’autre.
Il louait provisoirement une chambre dans un établissement près de chez Henry , il y prenait ses repas aussi .

Puis un jour , le 17 Mars 1949 , Aldo lui téléphona , lui demandant de venir rapidement dans une tenue décente .
Curieux , Luciano enfila une chemise et un nouveau pantalon ,puis se rendit chez Henry , où il trouva ses trois complices habituels , ceux-ci semblaient inquiets .
-Il y a un problème ? demanda Luciano en arrivant .
Aldo leva les yeux vers lui.
-Ah ! Luciano assieds-toi , nous devons parler .
Luciano s’exécuta .
-Voilà , même si Calo n’était pas tellement d’accord , je tenais à ce que tu nous accompagnes aujourd’hui , nous nous rendons chez les Piredda .
-Les Piredda ?
-Les Piredda , sont une organisation , semblable à la nôtre avec des activités encore plus variée et une influence qui s’étend sur une beaucoup plus grande superficie . Dit Henry .
- les chefs sont , Anthony et John qui sont frères ,et Robert , leur cousin . Ils ont beaucoup d’hommes à leurs services . Rajouta Calo , l’air sombre .
-Ils sont installés à l’autre bout du Bronx , Lui apprit Aldo , jusqu’ici nous n’avons jamais été confrontés à eux mais notre influence augmente et la leur aussi , aujourd’hui , ils veulent négocier , faire une sorte de traité pour que nos deux organisation ne s’empiètent jamais , mais leurs réputations les précèdes , ce sont des crapules ! Il faut s’attendre à une trahison de leur part !
Puis marquant une pause , il dit :
-Mieux vaut être nombreux , on y va avec la voiture .
Ils se levèrent , Aldo lui donna un couteau à lame rétractable « au cas où.. » , Luciano le mit précieusement dans sa poche .
Prenant la voiture d’Aldo , ils traversèrent le Bronx , se rendant au point de rendez-vous .
Ils s’arrêtèrent devant un petit immeuble .
-Le rendez-vous se fera dans une sorte de salon privé pour hommes d’affaires . Lui apprit Henry .
Ils sortirent de la voiture , Le salon se trouvait au troisième étage , en montant les marche , Luciano songea que c’était l’endroit idéal pour leur tendre un piège .
Quand ils arrivèrent au troisième étage ,ils découvrirent une pièce aménagée en une sorte de bar , mais il n’y avait qu’une seule table , à laquelle étaient assis trois hommes , probablement les Piredda , derrière le «comptoir» deux hommes discutaient en les regardants de travers .
-Un salon privé pour homme d’affaires , grogna Calo , t’es sûr que c’est plutôt leur Q.G ?
Henry n’eut pas le temps de répondre , un homme qui était assis se leva et tendant les bras , leur dit :
-Vous voilà enfin ! Je vous en prie , prenez place auprès de nous , je suis Anthony Piredda .
Puis , d’un air soupçonneux , il demanda :
-Vous ne deviez pas être trois ?
Henry fit signe à Luciano de rester en arrière , celui-ci s’exécuta en se crispant sur son couteau dans sa poche .

Tithon Tithon
MP
Niveau 10
30 juillet 2014 à 00:56:45

Voilà , j’espère que la longueur ne vous découragera pas :peur: , prenez votre temps pour lire ,je ne suis pas pressé de me faire démonter :fou: , je rigole bonne lecture :noel:

Tithon Tithon
MP
Niveau 10
31 juillet 2014 à 00:35:29

:up:

DébutPage précedente
1
Page suivantePage suivante
Répondre
Prévisu
?
Victime de harcèlement en ligne : comment réagir ?
La vidéo du moment