Salut à tous !

Certains ici connaissent mon roman Double je, d'autres ont été étonné de ne pas voir la suite. La raison à cela, c'est que les chapitres sont longs, la limite de caractère JVC, courte. En gros, c'est une flemme monstrueuse !

Du coup, avec l'autorisation de notre cher modérateur, il m'a supprimé mon ancien topic pour que je puisse en créer un nouveau, avec uniquement le lien PDF de mon roman terminé ! ( En phase de relecture du moins )

Le lien PDF : http://www.fichier-pdf.fr/2014/05/14/double-je/

Et voici le prologue, histoire de rafraichir la mémoire aux anciens lecteurs et d’appâter les nouveaux ! Bonne lecture

Prologue

-Vous allez me tuer n’est-ce pas ? Dit-un homme attaché à une chaise.
-J’en ai bien peur, murmura une voix masculine d’un ton menaçant.
-Pourquoi ?
-Pour vos crimes, mon père. Pour le sang que vous avez versé sous le regard de Dieu.
-Je ne vois p...
-Silence ! Hurla le bourreau, les trois enfants Marshall, chacun retrouvés assassinés, ou plutôt sacrifiés, en l’honneur de votre Tout-Puissant.
Il y eut un moment d’extrême tension, le silence transperçant à l’avance le cœur du condamné, rendant le court couteau du bourreau plus menaçant qu’une épée.
-Croyez-vous que Dieu aime la mort, mon père ?
Cette question inattendue eût au moins l’effet de raviver la flamme de la bête apeurée, le chasseur attendant patiemment sa réponse.
-Dieu est amour. Malgré mes actes, il m’est inconcevable de croire que le Tout-Puissant les accepte.
-Croyez-vous que vous irez en enfer, après notre entrevue ?
Cette phrase eût l’effet d’un tsunami, éteignant le brasier qui commençait à reprendre vie dans la poitrine du condamné, grâce à l’essence de la foi
-Bien que j’aie tué, je pense avoir assez sauvé pour éviter l’enfer.
-C’est là où vous vous trompez, mon père. C’est là où tous ceux qui, comme vous, ont eu mon couteau sous la gorge font erreur. Il n’y a pas de bons actes ni de mauvais actes. Tout cela n’est qu’une question de point de vue. Dieu aime la mort, il la vénère. Elle est son seul moyen d’entendre des supplications. Elle seule a le pouvoir de mettre à genoux une famille entière, pour qu’elle implore la pitié du Tout-Puissant.
-Je… Je ne vous suis pas...
-Pourquoi mourons-nous de cancer ? D’accident de voiture ? D’homicide ? Pourquoi des milliers d’humains meurent d’une lente et douloureuse agonie ? Car c’est le destin, me diriez-vous ? La seule chose plus forte que Dieu ? Je ne suis pas d’accord ! C’est Dieu qui vous tue d’une manière horrible, Dieu qui vous fait naître avec un bras à la place de la jambe. Mais pourquoi ? Pour que l’on prie son nom. Dieu se nourrit des prières des condamnés. Si je meurs d’une longue leucémie, ma famille, mes amis, les amis de mes amis et ceux de ma famille, les médecins de l’hôpital, tous prieront pour moi. Il y a fort à parier, que malgré tous les crimes que j’ai commis, dans cette situation, j’irai au paradis. Or, vous, mon père, vous êtes un homme détesté de son entourage à cause de ses actes abjects, très prochainement assassiné dans un hangar lugubre. Qui priera pour vous ? Je peux vous assurer que vous irez en enfer, mon père.
-Mais alors ! S’il n’y a pas de bons ni de mauvais actes, et que la mort de mes victimes a apporté des prières à Dieu, pourquoi voulez-vous me tuer ?
-On ne touche pas aux enfants. Ils sont aussi innocents que naïfs. Ce sont des lapins prêts à se blottir contre les ailes d’un aigle.
-Vous n'en êtes pas à votre première entrevue, n'est-ce pas ? Ce n'est pas votre premier crime.
-Effectivement.
-Vous aimez-ça ?
-Non, j’en ai surtout besoin. Il n’y a pas d’actes plus abjects que celui de tuer, mais c’est le seul qui m’apaise.
Sachez que vous irez en Enfer, j’en suis persuadé.
Ne m’avez-vous donc pas écouté ? Il n’y a qu’un seul moyen de savoir qui ira en Enfer et qui ira au Paradis, il n’y a qu’une seule question qui subsiste. Ma mort sera-t-elle plus tragique que la vôtre ? 

Sans laisser le temps au prêtre de répliquer, l’homme lui asséna un coup de couteau précis, lui tranchant la glotte. Le bourreau s’en alla, laissant sa victime s’étouffer dans son sang.

Qui l'a téléchargé ?

J'ai pas du tout accroché au prologue...
Trop de dialogue sans contexte et la question théologique trop négligée à mon goût.

Je vais bientôt télécharger.

Et mettre mon histoire ici tiens.

Ca va

C'est assez prenant de commencer dans l'action et la conversation est pas mal mais je trouve juste que la question de la religion est un peu trop simplifiée pour que la conversation tienne debout, mais c'est un détail.

Petit up

J'ai lu que le prologue, et je crois bien que je ne lirai que ça.

La raison, c'est qu'on est dans un schéma deja vu des centaines de fois:

Le theme philosophique du bien et du mal abordé par "il n'y a pas d'actes bon ou mauvais" et cette volonté d'aborder un sujet central dans l'esprit des gens: Dieu.

Or, si tu veux traiter un theme aussi redoutable que celui-là, tu dois te conduire sur une ligne parfaite et equilibré. Loin d'etre le cas ici.

Par exemple, le gars dit: "il n'y a pas de bons ou de mauvais actes" et quelques lignes plus bas le même: "vous et vos actes abjects" faudrait savoir...

On dirait que comme beaucoup de personnes lorsqu'il s'agit d'Ecriture, tu as utilisé le pouvoir qu'il t'est conferé ici sur ce forum - la possibilité de presenter une histoire aux utilisateurs - pour exercer une sorte de pouvoir sur eux: c'est simple, tu ecris un pavé et tu nous envoies une sorte de "bouffe ce texte maintenant, j'ai mieux compris la vie que toi" quelque chose de vu et revu des milliers de fois, en plus du fait que ça veut egalement une fois de plus réinventer les lois philosphiques de l'humanité. Ca fait un peu philosphie de bas-etages, je trouve.

Dernière chose, etant donné le côté très chaotique de la narration, j'ai eu l'impression que tu n'as peut-etre pas tout compris ce que tu as ecrit, enfin ça me concerne pas, ça.

Mais à part tu m'as l'air assez impliqué dans ton travail, et ça c'est deja bien.