j ésserais bien de faire un ptit chapitre le voila

C'est alors que la greluche qui en sortant de la mallette et s asseyant sur le gros truc visqueux laissé par le monstre (note du vrai auteur :bien fait pour elle )que la greluche fut sauvé .... au grand désespoir de Léon
-P'Tain de...!comment t'es arrivé la ?
-J en sais rien moi c'est de la faute de ce nouvel auteur il a bidouiller l'histoire je sais pas comment et me voila ici
-Auteur de merde t'aurais pas pu la laissé ou elle était je serais venu la cherché a la fin
-Oui mais bon au moins pendant que kid (note de moi même: respect kid respect )est pas la je contribue a la paro et je te fais chier
-Symp

dsl bug je continu

-Sympa de un tu me ramène cte greluche 2 t es chiant tu fais
buger la suite de la parodie alors tu peux silteplais la renvoyer avec Saddler la j en ai ras le bol de cette greluche
-Mouais on verra chapitre suivant car héhé l auteur disparut d'un coup
-Et moi Léon on on s en fout de mon avis
l auteur revint brusquement et fis avec Léon
-ASHLEY LA FERME!!!!!!!!!!!!!!!!!
puis l auteur repartit .
et maintenant a cet instant précis juste pour faire chier Léon sonna l ignoble l infâme l affreux ............cloturage de chapitre
-Eh l auteur steplais me fais pas ça y a pas eu d action dans ce chapitre continu un peux
-Bon ok mais c après tu me laisse tranquille j ai des truc a faire comme aller jouer chez des potes car a dix ans on s amuse pigé
-Ok et merci bon continuons la route
Léon repartit donc joyeux mais voici les deux évènements qui d un coup
se mirent a le faire chier d abord: ashley commença a se plaindre et ensuite ....
-Welcome j ai des nouvelles pièces d équipement
-Cool alors je prends le tout
-Hum 500 000 pesetas
-Tien
-Tu a atteints le super bonus de l acheteur pour te récompenser vla une arme même pas dans le jeu c est un lance grenade
-Cool et je les trouve ou les munitions
intervention de l auteur :Je vais faire en sorte que les ennemis en fasse tomber de temps en temps de plusieurs sorte comme sa sera plus marrant
-Merci au moins la tu sers a quelque chose sinon le marchand tu sais par ou on sors d ici ?
- Dans ton cul !Yahaha!
Ftong fig Jean(le lance grenade)
sur ce le marchand disparu comme il se doit
et maintenant Léon trop tard pour te plaindre c est l heure de l ignoble affreux puant cloturage de chapitre sonna

A suivre
Ps : n étant pas sur de mes tallent d auteur donner moi vos bas comment écrire disons dite moi ce que vous en pensez comme ca je pourrais continuer un peu (ou pas) jusqu’à ce que kid revienne aller bye et bravo pour ta fic kid

ne continu pas la paro de kid tu est nul en paro

je plussoie mon VDD

up, encore.

+

J'parle pas de Drago, hein?

Le faux espoir, je pensais que c'était Kid qui avait up

Omg omg j'avais arrêté de lire y'a un an.

On attend la suite !

Ce topic est mort?

Non !!!!!

On t'attend maître Kidmicro !

les gens !
Je passais juste jeter un coup d'oeil sur le forum et je vois que ma paro est toujours en première page, ça fait plaisir de voir qu'il y a toujours des gens qui l'aiment malgré le fait que je prenne énormément de temps à l'écrire (Note de Léon : Commencée le 21 novembre 2008... Si si, ça fait du temps ! ;p )
Désolé pour le coup car le prochain chapitre (peut être le dernier, donc il risque d'être assez long) n'est pas encore terminé mais je compte m'y remettre très bientôt.

Merci encore à tous de votre soutien.

Ouai prend ton temps vivement la suite !!!!

Prend ton temps pour la qualité.

ils l'a bien pris son temps

bon ok j'ai rien dit

prends ton temps

il* a* désolé mais il est presque deux heures du mat

Ouais mais au moins il le fait quand même.

j adore sa fait troi jour et g deja tout lu c tro bien

les gens, voici donc (enfin) le nouveau chapitre de ma paro, on commence à approcher sérieusement de la fin et je sais pas encore trop quoi penser pour la suite quand l'histoire sera finie, pas sur de vouloir m'engager sur un autre truc de la même envergure (surtout vu le temps que je mets pour écrire les chapitres ) Enfin bon, je sais que vous vous en foutez de ma vie et que vous attendez juste de vous marrer en lisant la suite de cette paro (ce que j'apprécie fortement... le fait que ma paro vous fasse toujours rire !) donc c'est parti !

Chapitre presque final... mais pas tout à fait :

C’est par un soir d’une nuit des plus nocturnes qu’Albertino admirait la douce clarté de la lune illuminant le majestueux ciel étoilé de la nuit (oui, en gros il fait pas jour, quoi !) tout en pensant à sa femme Catherino qui devait sûrement encore attendre impatiemment son retour au Pueblo, lorsque soudainement sa rêverie fut interrompue par ce qui ressemblait à un son assez étrange et lugubre qui le fit sursauter, comme le lointain hurlement de désespoir d’une bête monstrueuse qui ne demanderait qu’à mourir après avoir fait face à l’horreur la plus horriblement horrible… Il se retourna alors vers son ami assis juste à côté de lui.
- T’as entendu ça, Richardino ? Je me demande ce que ça pouvait bien être…
- J’en sais strictement rien, et toi Bernardino ?
- Je crois que ça vient du chapitre précédent, mais ça me file trop les chocottes pour que j’aille vérifier, je préfère rester assis ici, entouré de mes potes et de ces innombrables bidons d’essence, à chanter autour d’un bon feu de camp… Tiens, voilà justement Kevinino qui revient de patrouille, demandons lui ce qu’il en pense…
- Beeen… Vous allez rire les gars mais j’ai cru voir un héros de parodie en train de lutter pour essayer d’enfermer une figurine de gamine dans une mallette, mais comme il avait du mal, ça l’a foutu vachement en rogne et il a commencé à hurler en massacrant tout le monde sur son chemin… D’ailleurs il paraîtrait même qu’il vient vers ce chapitre !
- Pfff… ! Tu racontes encore des conneries comme toujours, t’es gonflant ! Cela fait des mois et des mois qu’on est planté dans ce camp à rien foutre d’autre qu’à regarder le feu et y a jamais personne qui passe par ici…
- Ouais, j’savais bien que vous diriez ça, c’est même pour cela que j’ai pensé à le ramener avec moi pour vous prouver que j’suis pas un mytho !
- Salut les nados, heu… Je veux dire les gars ! Je suis Léonino, ça vous dérange pas si moi et mon pote Bobino nous joignons à la fête ?... Sinon, dîtes moi, ils ont l’air vachement chouettes vos barils rouges…
Un gros boum plus tard, notre Léon habituel reprenait la recherche de sa route parmi les débris du campement jusqu’à trouver un passage souterrain qu’il emprunta aussitôt. Visiblement, cette foldingue de Saddler ne comptait pas seulement organiser la plus grande gay-pride du monde mais projetait également de s’emparer de celui-ci par la suite, son île avait tout d’une véritable forteresse : du matériel militaire partout et une multitude de soldats trop cons pour s’en servir. C’est alors qu’il continuait de progresser dans le souterrain qu’il tomba sur le grand… l’unique… le seul… oh et puis merde !
- Ah tiens, welcome !
- Salut, qu’est ce que tu fous là encore ?
- Ben, comme tu peux le voir, c’est par ici que je stocke et que je vends une bonne partie de mon arsenal. Avec un client comme Saddler et son armée de débiles, tu penses bien que j’ai pas mal de business à faire dans le coin ! Hé ! Hé ! Hé !... Sinon, tu veux quelque chose ? Je dois sûrement avoir quelques nouvelles pièces de rechange qui traînent quelque part, je te les ferais pas trop chères, bien sur !
- Ouais, si t’en as, je veux bien… Sinon j’étais aussi en train de me demander un truc…
- De quoi donc ?
- Beeen… Tu vois, j’aurais bien aimé avoir une arme qui en jette… Un truc avec lequel j’aurais l’air trop classe quand je tuerais les ennemis… T’aurais pas ça en réserve, des fois ?
- Beeen… J’ai bien une chicago ainsi qu’un lance-roquette, un handcanon et une espèce de fusil laser qui ont tous des munitions infinies mais se sont des armes assez particulières et il faut d’abord que cette paro ai été terminée au moins une fois avant pour que tu puisses les obtenir.
- Bah vu le temps qu’elle met à être écrite, c’est mort, tant pis… Pi c’est beaucoup moins drôle quand c’est trop cheaté, t’façon ! Mais sinon, t’aurais quoi dans des armes plus traditionnelles ?
- Pourquoi pas une arbalète ?... Saddler m’en demande toujours plein, même si je ne comprendrais jamais comment il compte conquérir les autres pays avec ça… Et surtout que j’ai aussi de bien meilleurs flingues à vendre, m’enfin bon... Alors, qu’en dis-tu ?
- Nan, c’est un peu tout pourri comme arme… Moi j’en voudrais plutôt une qui se différencie bien des autres, presque dans le même genre mais en plus cool et plus terrible, comme… Heeuuu… Je sais pas, moi… Un arc avec des flèches explosives, par exemple !... Ouais, ça claquerait trop le style, ça !!!
- Un arc avec des flèches explosives ? Ben tiens, je crois justement que j’en ai vu un pas cher en stock il y a quelques temps, je ne sais plus trop où il est, il doit probablement traîner quelque part pas loin, faudrait que je le cherche….
- Aaaargh ! C’est vrai ?! P’tain de… ! Tu dois sûrement savoir où il se trouve, tu dois absolument t’en souvenir !!! Allez, crache le morceau, réponds ! Il faut me le dire … Je t’en supplie… Où est-il ?!?!?
- Heeeeeeuuuuuu… Tu tiens absolument à ce que je réponde, là ?
- Oui oui, vite !
- Tu es bien sûr de vouloir que moi, le marchand, je réponde à la question que tu viens de poser à l’instant ?
- Bah, bien sur !
- Nan mais attend, je veux dire exactement la question suivant le sujet de la localisation de l’arme mentionnée juste avant ?
- Ouuuuiiiiiiii… !!!
- C’est juste que je veux que tu sois certain de ce je m’apprête à répondre à cet instant précis, que tu sois conscient de ce qu’il s’apprête à se passer …
- Tu commences à être très lourd, là !
- Ok mais d’abord je veux que tu tournes la tête dans cette direction, que tu regardes bien les lecteurs dans les yeux avant de prendre tout le temps de réfléchir à cette fameuse question.
- Mais oui, c’est bon… Allez !!
- Tu es vraiment, absolument, complètement, entièrement et totalement certain ?
- Certain !!!
- C’est ton dernier mot ?
- Oui Jean-Pierre.
- Et pourrais-tu donc me répéter cette fameuse question ?
- Vas-tu enfin me dire où se trouve ton p’tain de bordel de chiotte d’arc merdique à la con ?!?
- Hum, hum... En chœur, s’il vous plaît… DANS TON CUUUUL !!!... Yahahahaha !!!... Je tiens au passage à remercier les aimables lecteurs pour cette charmante participation !
- Poum ! Fit Bob.
- Argh ma tête ! Répondit le marchant
- Noooooon !!!... Vilain Bob ! Méchant !... Il était sur le point de me dire pour l’arc et maintenant c’est foutu !!!... P’tain de… !!!
Essayant tant bien que mal de reprendre son chemin malgré le soudain désespoir envahissant son cœur, le regard de Léon fut inexplicablement attiré par un bout de papier posé sur une table non loin et sur lequel il pouvait y lire quelques mots griffonnés maladroitement au couteau disant « J’ai trouvé un arc dans les stocks du marchand, avec ça et mon joli béret, je vais avoir l’air trop classe quand je tuerais des gens, trololol ! Sinon, à part ça, je dois confesser sur ce papier qu’en fait je me trahissais d’être un agent double qui comptait trahir Saddler et ensuite trahir son pays après avoir trahi Ada, profiter de l’élan pour trahir Wesker au passage et enfin trahir à nouveau Léon pour pouvoir re-trahir tout le monde ensuite… Mais c’est un peu trop long à expliquer et qu’il faut que j’aille attendre Léon un peu plus loin pour lui tendre un gay-tapant. Signé : Jacky Krauser. » En quelques secondes, son désespoir se métamorphosa alors soudainement en rage ardente, Léon grimpa alors l’échelle se trouvant justement un peu plus loin tout en ayant ce nouvel objectif en tête : régler son compte une bonne fois pour toute à cet infâme troll de Krauser… Pour pouvoir lui piquer son arc juste après ! (note de Léon : Mouais, techniquement c’est MON arc, hein ! Faut juste que j’aille le délivrer d’entre ses horribles mains !... Tiens bon, Annabelle !… Ton héros arrive pour te sauver !!! )
De nouveau à l’air libre, Léon aperçut alors de curieuses ruines qui s’étendaient devant lui, les murs avaient l’airs anciens mais on pouvait noter des aménagements récents et assez particuliers, comme si une personne assez malintentionnée avait préparé une sorte de traquenard afin d’y attirer une autre personne plutôt débile. Avançant d’un pas lent et prudent, notre héros se préparait au pire mais rien n’arrivait pour le moment, c’est alors qu’une ombre cachée derrière une colonne de pierre attira son regard.
- Ainsi donc, tu es finalement venu ?
- Krauser !!!... Laisse Annabelle en dehors de cette histoire !
- Hein ? Je croyais qu’elle s’appelait Ashley !
- N’essaye pas de jouer avec les mots ! Je sais qu’elle est retenue prisonnière quelque part sur cette île et que tu sais où elle se trouve… Et je ne repartirais pas sans elle !!!
- Pourtant je suis bien sur qu’elle s’appelle Ashley, j’avais même fais des antisèches pour m’en rappeler… Enfin peu importe, c’est ici que tu vas mourir alors… Baston !!!
- Lééééoooooon, heeeeelp !!! C’est qui cette Annabelle ?!
- P’tain de… C’est pas le moment, le bouchon, retournes dans la mallette !
- Hého Léon ! T’as vu ? J’ai un TMP encore plus optimisé que le tien braqué sur ta tronche, trolololol !
- S’pèce de p’tain de… !!!
Courant du mieux qu’il pouvait pour éviter la rafale de justesse, Léon se jeta dans une petite cabane juste en face, profitant un court moment de cet abri de fortune pour le moins bienvenu.
- Enfoiré, pesta Krauser alors qu’il sautait de son piédestal pour le rejoindre. T’as évité cet amuse-gueule en allant te planquer là dedans mais je sais comment débusquer un fuyard !
- Laisse moi deviner : en t’introduisant de force dans son abri pour pouvoir user à nouveau de la force brute afin de le réduire en bouillie ?
- Ben nan, je pète juste la porte pour pouvoir entrer et pour lui péter sa gueule !
- Oui, c’est ce que j’ai dit, gagné ! Tiens, voilà une grenade en cadeau…
- C’est vrai ? Trop sympa… Hé ! Tu crois que j’ai pas vu que t’as retiré la goup… *BOUM*... Ouch !!! Heeeuuu… Attends une minute, je vais utiliser une herbe verte et je reviens !
- Ok, moi je continue à avancer, à toute !
Profitant de ce court moment de répit pour souffler un peu, notre héros continua à progresser pour rapidement tomber sur une curieuse fresque murale montrant une scène entre trois animaux, même s’il semblait étrangement manquer les trois morceaux représentant les têtes de chaque animal. (note de Léon : Beeeeen voyons !... Encore une porte à serrure débile nécessitant des machins qui ressemblent à tout sauf à des clés !) Ne pouvant continuer plus loin, il changea de chemin et s’apprêtait alors à franchir rapidement un petit pont de pierre pour rejoindre une autre petite cabane située droit devant lorsqu’il arrêta subitement sa course et se figea d’un coup, les yeux grands ouverts…

(suite )

Le court temps d’un souffle de vent balayant légèrement les nuages dans le ciel fut suffisant pour permettre alors à un petit rayon de lune de venir se faufiler sur le champ de bataille et se poser directement sur le toit du cabanon afin d’en éclairer quelques ténèbres, ironiquement pile là où son adversaire s’était posté en embuscade pour l’attendre patiemment… Durant la milliseconde qui s’écoula à cet instant précis, Léon n’aperçut au départ qu’une vague forme sombre et menaçante qui se tenait juste devant lui, le rayon de lune allant même malicieusement illuminer le sourire inquiétant de cette dernière qui semblait pointer quelque chose dans sa direction… Ce fut durant la fraction de millième de nanoseconde (ouais, genre vachement rapide, quoi) durant laquelle l’ombre bougea légèrement pour se préparer à tirer que le rayon de lune vint alors délicatement se poser sur la courbe luisante et si tentatrice que Léon reconnut immédiatement : celle de sa dulcinée Annabelle… enfin, je veux dire, l’arc que son ennemi s’apprêtait à utiliser pour le tuer.
- Eeeeeesssssssssspppèèèèèèèèccccceeeeeee dddddd…. (note de l’auteur : Heeeu… En fait, nan, le bullet-time dans une paro écrite, c’est vraiment pas top !) d’enfoiré de p’tain de… !!! (note de Léon : Ah bon ? Pourtant j’étais sur que ça ferait super classe sur le coup !)
- L’heure de ta mort a sonnée, camarade !!! (note de l’auteur : Attends ! T’as pas vu la gueule des mots ou quoi ? C’est trop pénible pour les yeux !!!)
- Vite, je dois me mettre à couvert ! Ah !... Un petit muret ! (Note de Léon : Ouais mais ça on s’en fout, comme tes fans aiment trop cette paro, ils ne diront rien !)
- Ahaha ! Tu crois que je n’avais pas prévu le coup ?! T’as oublié que se sont des flèches explosives ! (note de l’auteur : C’est cela oui ! Tu crois que je m’amuse à les faire poireauter autant de temps à chaque fois pour ensuite leur sortir un truc pondu à l’arrache ? Je ne suis pas comme ça, mec ! Je tiens à ce que ma paro soit faite la plus nickel possible et qu’elle garde la même qualité tout le long !)
- Aaaargh ! Fichtre ! Diantre !... Je suis trop mal barré (note de Léon : comment il monte sur ses grands chevaux juste à cause d’un détail à la con, monsieur le grand auteur de parodie mondialement connue dans son trou perdu en cambrousse !) que faire maintenant ?
- Je te l’avais dit, tu vas (note de l’auteur : Ouais, ben, je te signale que c’est toujours ma paro et que je pourrais très bien tout laisser tomber sur un coup de tête, juste parce que j’en aurais marre, hein !) mourir car je vais te (note de Léon : allez, le prend pas comme ça, cette paro est marrante et j’adore être le héros de cette histoire, même si je passe pour un gros abruti la majeure partie du temps !) tuer… en… te faisant (note de l’auteur, ouais, c’est ça ! Fait pas semblant d’être compatissant, je te connais comme si je t’avais fait !) heeeuuuu… Eho ?! (note de Léon : Alors déjà, je ne suis pas si pâtissant que ça et ensuite je te dis que je suis désolé, je voulais juste essayer de proposer un truc rigolo pour la paro et t’es tout de suite parti au quart de tour !) Nan mais hooo !!! C’est pas bientôt fini oui ?!?!
- Gné ?! Fit Léon.
- Quoi gné ? Tu te fous de moi ou quoi ?! Tu crois p’têt que je ne te vois pas en train d’échanger des notes entre parenthèses avec l’auteur depuis quelques minutes ?! J’te rappelle qu’on est en plein combat, là !... Pfff ! Y en a marre, y en a toujours que pour les mêmes ! Si ça continu comme ça, moi j’me casse, le temps qu’on vienne s’occuper un peu de moi !
- Hé mais attends ! Et Annabelle dans tout ça ?!
Krauser disparu alors une fois de plus sans que Léon ne puisse avoir le temps de réagir. Continuant alors sa route, il grimpa un petit escalier avant de parvenir sur une sorte de petite terrasse agrémentée de quelques bouts de ruines, il remarqua alors un objet brillant traînant par terre. S’approchant pour le ramasser, il entendit alors un léger bruit derrière lui, celui de son rival qui était revenu combattre après avoir boudé un moment.
- Ben alors, c’est bon, t’as fini de chialer ? On peut continuer ma quête pour délivrer Annabelle ?
- Au fait, Je me suis souvenu que je devais me rappeler de te dire que j’avais oublié de me souvenir de te parler d’un truc à propos du fait que la blondasse que tu cherches se trouve derrière la porte là-bas et qu’il y a trois morceaux de fresque dispersés dans les environs…
- Ouais, je suis passé devant y a un moment, je devines que je vais devoir me casser le cul à retrouver ces morceaux au lieu de juste défoncer la porte à coup de grenade et ainsi continuer mon chemin en évitant tout ce cinoche !
- Hum !… Il y en à un à l’est…
- Ouais, celui que j’ai dans la main, quoi.
- Grrrr… le second est à l’ouest et le dernier est…
- Ouais, laisse moi encore deviner… Sur toi ?
- Nan, dans ton cul !!! Yahahahaha… !!!
- P’tain de… !!! J’en ai marre de toutes ces conneries à la fin !! Je vais finir par te crever lentement avec ton propre couteau pour pouvoir savourer chacune des longues secondes de l’horrible souffrance que je vais me faire un plaisir de te faire subir tellement ça m’énerve !
- Oh non, pitié ! Pas le couteau, c’est mon talon d’Achille !
- Hein ? Sérieux ?... Nan, parce que là je déconnais, je parlais sur le coup de la rage et j’allais en fait te massacrer avec mes autres armes !... Le couteau est vraiment ton point faible ?
- Ouais, je suis coutophobe !
- Ben pourtant, avec tous les couteaux que t’as, j’aurais juré l’inverse ! Tu te fous de moi ou quoi ?
- Nan, je suis aussi coutophile ! L’un n’empêche pas l’autre, tu sais !
- Beeen… En l’occurrence là, si ! Bon, allez, j’en ai marre de toute cette parlotte, là ! Baston !!!
- Ouais pareil, baston !!!
Le furieux combat entre les deux hommes s’engagea alors, la vivacité de Léon contre la force de Krauser, lequel des deux allait l’emporter sur l’autre ? Telle était la question (note de Léon : Ben facile, c’est moi qui vais gagner parce que je suis le héros de cette paro !) alors même que le but réel de ce combat semblait avoir été oublié depuis un moment. (note de Krauser : Quoi ? Comment ça ?! Ben si c’est comme ça j’me casse !!!) (note de léon : et allez, c’est reparti ! Bon ben, à dans quelques minutes pour le dernier morceau alors !) alors que le combat s’était achevé momentanément et d’une façon plus ou moins bizarre, sans que Saddler ne sache trop comment ni pourquoi. (note de l’auteur : Bon, c’est fini avec ces notes à la con qui foutent ma paro en l’air, oui ?!) (notes de Léon, Krauser et Saddler : Désolé !)
Krauser de nouveau envolé, Léon reprenait donc sa route à travers ce véritable labyrinthe que sont ces anciennes ruines… Admirant au passage la structure de ces dernières dont l’usure indiquait qu’elles avaient du traverser bien des âges, cependant elles semblaient toujours se tenir fièrement droites comme pour défier continuellement le temps. La plupart des fresques avaient été trop abîmées pour être reconnaissables mais on devinait que ce lieu devait sans doute être très vivant à son époque. (note de Lara Croft : Ce serait vraiment un crime si quelqu’un avait la mauvaise de vouloir faire exploser tout ça !) C’est alors qu’il s’apprêtait à passer sous une arche que son instinct lui ordonna immédiatement de se stopper pour cause qu’il y avait quelque chose de part très naturel dans le coin… Comme un genre de grosse lumière rouge bien voyante fixée sur la tête d’une petite caméra sortant du sol, cette dernière faisant partie de l’un de ces types de petits robots télécommandés que Léon voulait commander pour le prochain noël. Celui ci semblait surveiller la zone mais une petite balle bien placée fut suffisante pour régler le problème qui explosa sur le coup, à la grande surprise de notre héros.
- Quoi ?! Cet enfoiré de Jack les a truffé d’explosifs pour pas que je puisse les lui piquer, il m’énerve !!!
- Lééééééoooooooon ! Mini-heeeeeeeeeeelp !!!
- Gné ?! P’tain de… ! Génial, voilà la mini-greluche qui se fait kidnapper par un robot volant ! Comme si j’avais pas déjà assez à m’occuper avec l’originale… Pi y aussi Ada qu’il faut que je choppe, sans compter Annabelle… Mais elles, se ne sont pas des greluches ! Enfin bon, où j’en étais, moi ? Ah oui !... Allez, Steve, fais ton job !
- Pan ! Acquiesça Steve.
- Boum ! Répondit le robot.
- Aïeuh ! Continua la mini-greluche en tombant par terre.
Continuant comme toujours sa route en ayant bien pris soin d’enfermer le bouchon dans sa mallette et de verrouiller celle-ci à quadruple tour. Il arriva finalement en haut des deux grandes tours qui surplombaient les ruines, son attention fut immédiatement attirée par le scintillement du second des trois morceaux de fresque qui traînait au sol de façon bien trop évidente à son goût… Sitôt qu’il l’eut prudemment ramassé, la clarté de la lune lui révéla la silhouette de son adversaire qui le toisait froidement du haut de son pilier.
- Et voilà le second, il n’en reste plus qu’un, tu sais ce que ça signifie, Krauser ?!
- De quoi tu parles ?
- Ben, la fin de ton rôle secondaire est proche, mon vieux ! L’histoire s’arrêtera là pour Jacky tandis que le beau Léon continuera son chemin car c’est lui le héros de la paro ! Ah ! Ah ! Ah !...
- Tu m’énerves ! Je vais te foutre une flèche explosive dans le…
- Ah non ! Pas Annabelle, c’est pas du jeu !!! Laisse la en dehors de cette histoire… Et donnes la moi surtout !
- Ah ben merde alors, j’ai déjà utilisé toutes les flèches !!...
- QUOI ?!? Nnnaaaaaaaoooooooooooooooooonnnnnnnnnn !!!... Sans ses flèches, elle devient inutile comme arme super trop marrante à utiliser pour tuer les ennemis… Monstre !!! Comment as-tu pu oser la traiter ainsi, je vais te faire payer cette ignominie !!!
- Monstre ? Tu veux que je te montre si je suis vraiment un monstre ? Tiens regarde... Super-bras-muté-delamorkitu, viens à mon aide !... Bwaaaargh !!!
- Tiens, t’as appris le langage des monstres aussi ?
- Ben ouais, comment tu crois que j’ai eu ce couteau suisse en guise de bras ? Enfin bon « time to die » comme on dit… Meurs camarade !!!... Yaaah !...
- P’tain de… !!!
Alors qu’il essaya tant bien que mal d’esquiver la soudaine attaque de son terrible opposant, Léon fut subitement déséquilibré et manqua de peu de ne pas tomber dans le vide, d’une main il se rattrapa de justesse au rebord et s’apprêta à remonter lorsqu’il remarqua juste en dessous de lui un détail pas vraiment anodin : des ceintures d’explosifs avaient été fixées sur les tours et on pouvait nettement apercevoir les chiffres du compte à rebours programmé pour enclencher les détonateurs dans un peu moins de cinq minutes. Le temps pour Léon de réaliser dans quelle situation il se trouvait (moins de cinq minutes, je vous rassure) qu’une vive douleur à la main vint lui remettre les idées en place. Visiblement, Krauser n’était pas resté tellement inactif et comptait bien emporter notre dans sa tombe, peu importe les moyens… Quitte à lui piétiner les doigts pour le faire tomber !
- Alors, Léon ? Te voilà en bien fâcheuse posture, n’est ce pas ? Comment espères tu me vaincre, moi et mon super bras muté delamorkitu, avant la fin du compte à rebours ?
- Si j’avais un lance-roquette sur moi, tu la ramènerais moins !
- Ah ! Ah ! Ah ! Même une roquette ne peut me toucher lorsque mon bras me protège, de plus, je peux en faire une arme mortelle à la puissance sans pareille et il me dote d’une vitesse suffisante pour esquiver les balles, même le Giga-Salvador fait pas un pli contre moi ! Tu vas mourir ici et ce sera moi le héros de cette parodie… Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
- Tu rêves, c’est encore moi le héros de cette histoire à la con ! Et lorsqu’on est un héros, on s’en sort toujours, peu importe la pire des situations…
- Et comment comptes-tu te sortir de celle-ci ? Le temps passe à mesure que nous parlons et tu restes suspendu au dessus du vide par la main que je suis en train de te piétiner !
- Dis moi, le couteau, c’est toujours ton point faible ?
- Oui, pourquoi ?
- Pour rien, bye !
Ce fut alors en charcutant les pieds de Krauser au couteau pendant quelques secondes que Léon plia rapidos le combat, ce qui lui laissa alors suffisamment de temps pour récupérer le dernier morceau manquant, de jeter un dernier regard au corps étendu de son ancien compagnon d’armée (note de Léon : Krauser, tu étais un type bien… mais alors bien bien con !) avant de tranquillement retourner vers la fresque pour la compléter et ainsi pouvoir libérer le chemin vers le prochain chapitre alors même qu’il avait l’impression d’entendre un curieux vrombissement au loin.