Désolé. J'avais mis un message corrigeant ma faute* mais ma connexion n'était pas d'accord !

À quand la suite ?

j'adore,j'ai découvert ta fic y a 3 jours seulement et je suis fan...voit pas ce que je pourrait dire d'autre a part que j'attend la suite avec impatiente

Mais dis donc ! ça commence à faire du monde qui look ma fic !

Et la suite est tout les deux jours ! C'est pour éviter les imprévus qui sont assez fréquent chez moi !

Donc la suite : demain dans la soirée !

Je donne pas d'heure précise, puisque je sais pas à quelle heure je serai chez moi !

Vite vite une suite

Demain ! C'est écrit dans le message juste au-dessus !

Toujours aussi adictif !

Ravi de l'entendre !

Pour ce qui est du quatrième volet de cette fic là, je ne suis encore trop sûr de rien pour la date ! 'en suis désolé, même si je vais essayer de les taper au plus vite !

Et voici le chapitre 31 ! peut être un peu plus long que le précédent !

◘ La déesse aux lames... ◘

Grotte du clan Sangrelune.

Devant mes yeux, un nouveau problème apparaît. Et la peur qui me ronge le cœur me murmure que ce cercueil que Lamae tient devant mes yeux ne sera que source de problèmes et tragédies.

Elle déplace le couvercle. Laissant apparaît un corps, ravagé par les âges, comme momifié et déshydraté. Elle le contemple avec des yeux aimants avant de venir caresser la joue de l'horrible cadavre.

- Il est maintenant temps pour toi de revenir à mes côtés, ma jeune et belle enfant... souffla Lamae en s'ouvrant le poigné avec ses crocs et en laissant son sang couler dans la bouche de la momie.

Le liquide qui s'échappa de la veine de la matrone du sang était d'une couleur noirâtre et non rouge comme l'on pouvait s'y attendre. Le fluide visqueux se dessina un chemin dans la bouche du cadavre. Puis la plaie de Lamae se referma, stoppant cet sorte de rituel.

- Il est grand temps pour toi de me montrer si tes capacités sont toujours aussi impressionnantes, ô ma chère fille...

Le cadavre bougea légèrement, comme en réponse à la phrase de la matrone du sang. Et dans un gargouillis immonde le corps se leva du cercueil, comme animé par une force surnaturelle. Il se déplaça vers l'un des serviteurs humains qui traînaient dans la grotte et se jeta sur son cou, sans prévenir. La victime cria de douleurs avant de se taire. Puis à ma grande surprise, elle commença à émettre des petits cris, plus de l'ordre d'un plaisir interdit que d'un combat contre un monstre immonde...

En effet la jeune femme qui se faisait mordre prenait plaisir dans cette étrange situation, je n'avais jamais vu ça, est-ce une sorte d'illusion, une ancienne forme de magie ?

- Je vois que tu es observatrice, Reine de la Brèche... dit en ricanant Lamae, en me jetant un regard.

- Je...Je suis désolé, si mes mauvaises pensées vous ont atteintes... Ô grande chasseresse ! répliquai-je légèrement inquiète par la suite des évènements.

- Ne t'inquiètes pas, il est même plutôt normal de se demander quel est ce maléfice ? Et je vais me faire une joie de te répondre...

Elle se déplaça élégamment vers moi en faisant virevolter sa robe, comme une véritable femme, et pendant cet instant je me crue en face, non pas d'un monstre sanguinaire de plus de 6000 ans, mais simplement d'une jeune femme dans la fleur de l'âge, qui s'amuse encore des choses simples de la vie.

- Alors, comme tu peux t'en douter, Neyda n'est pas qu'une simple vampire, elle a hérité de mon sang et ça de manière abondante, elle fût ma deuxième créature, ce qui fait d'elle l'un des plus anciens vampires de Tamriel... Et comme tu le sais, plus un vampire vieillit, plus ses pouvoirs grandissent... Ainsi, quand un vampire dépasse un certains âge, une nouveauté fait son apparition...

Elle ne se trouvait désormais plus qu'à quelques centimètres de moi, son souffle frôlait ma peau, qui répondit par un léger frisson. Après ça, elle posa son doigt contre mes lèvres et le fit glisser d'un bout à l'autre de ma bouche.

- Les lèvres... murmura-t-elle, dans un soupir plus que sensuel.

- Les lèvres ? répondis-je en détournant le regard, légèrement décontenancé par les actions de la matrone du sang.

- Oui, c'est bien ça, nos lèvres... Arrivés à un certains âges, les vampires sécrètent un fluide presque invisible qui passe par les pores de la peau de la victime et qui agite ses nerfs et son cerveau, faisant passer la douleur pour un intense plaisir. Il est tellement puissant que même un prisonnier subissant la pire des tortures prendrait cela comme un plaisir divin... Bien sûr, ce genre d'artifice est à utiliser avec le plus grand soin et sur les personnes qui le méritent... Mais malheureusement, Neyda a reçu le venin de Vénéom si j'en crois ses actions, elle prend les humains avec trop de considération...

- Vé...Vénéom est en vie ? répliqua la momie, qui s'était miraculeuse métamorphosée.

Attachée autour du coup de la servante humaine pendait une jolie femme, les cheveux noirs comme le charbon, coupés assez court. En dessous de sa tignasse se dessinait un visage pour le moins divin, avec des sourcils parfait, un nez légèrement pointu et des lèvres pulpeuses. Et ce qui attirait encore plus mon regard était le noir de ses yeux. Pas d'iris, pas de pupille, simplement un noir absolu, profond et envoutant.

- Voilà donc la première chose qui te vient à l'esprit ô ma chère fille ? lâcha Lamae, légèrement contrariée.

- Je vous ai posé une question, ô mère, pourriez-vous y répondre ?

- Te voilà toujours autant insultante, même après tant d'année de sommeil...

- Des années de sommeil qui m'ont été imposées par vous-même, si je ne m'abuse ?

- Tsss... je regretterais presque de t'avoir réveillée, mais je n'ai plus trop le choix...

- Alors, que se passe-t-il ? Bordeciel est de nouveau dans la pagaille ? Et où est donc passé Vénéom ?

- Ne prononce plus son nom, il ne fait plus partie des immortels désormais ! Il a trahit son propre sang pour se ranger du côté des enfants de poussière !

Neyda dévisagea la matrone du sang pendant quelques secondes, puis elle se rapprocha d'elle d'un pas ferme et décidé.

- Vénéom se bat contre vous ? ô mère de notre sang ? demanda-t-elle, d'une voix pleine de curiosité mêlée à de l'inquiétude.

- Effectivement, ton frère...que dis-je, ce traître a déserté nos rangs pour soi-disant sauver ses pauvres et minables mortels...

- Mais...mais pourquoi Vénéom aurait-il fait ça ? s'écria Neyda, en laissant s'échapper des brides de colère.

- Arrête ! Ne fais pas ton enfant, il a délaissé tout ce que je lui avais légué : un nom, un sang, une famille... Il a tout rejeté d'un bloc pour aller s'amuser avec ces êtres répugnants et faibles. Il a même donné son âme à Ebonarm, il se fait désormais appelé Raven, l'émissaire du désespoir...Tsss, un nom bien pompeux pour un si petit vermisseau si tu veux mon avis...

Neyda ne releva pas l'insulte de la matrone du sang, mais je voyais à son visage que les injures qu'elle profanait sur Vénéom touchaient bien plus la deuxième fille que le destinataire lui-même. Puis dans un élan de folie elle disparut dans un nuage de fumée noire, sous l'œil vigilant de Lamae Bal.

- Vous...vous ne l'arrêtez pas, ô grande chasseresse ? Elle n'avait pas du tout l'air disposée à joindre sa force à la notre... tentai-je de murmurer dans la pièce remplit d'une aura pesante et terrifiante.

- Ne t'inquiètes pas, Reine de la Brèche, elle se rendra vite compte que ses certitudes ne sont que des illusions. Elle ne connaît pas aussi bien Vénéom que moi. Et même après toute ses années, je peux affirmer sans crainte, que mon premier fils à encore une noirceur dévorante gravée dans son cœur de pierre...

- Que...que voulez-vous dire par-là ?

Elle me regarda de haut, comme elle sait si bien le faire, puis un sourire en coin traversa son visage, comme si mon ignorance la sortait de l'ennuyante éternité. Puis après ça, elle plaça ses deux mains dans son dos et commença à marcher autour du trône, tout en racontant une histoire qui semblait venir de la nuit des temps.

- C'est un récit tout simple, jeune immortelle, celui de deux femmes et un homme....

Elle marqua une pause dans son discours et me jeta de nouveau un regard, cette fois il était plutôt amical et enjôleur. Puis elle reprit :

L'homme était beau, vigoureux et intelligent. Son visage était magnifique : fin, souriant, avec une agréable barbe naissante, on aurait même pu se demander si avec un tel raffinement il n'était pas demi-elfe. Au-dessus de cela, il avait des cheveux noirs comme la nuit et des yeux bleus comme le ciel qui contrastait avec sa chevelure. Finalement tout pour satisfaire une jeune femme dans la fleur de l'âge.

Ce jeune gaillard travaillait pour une famille de bourgeois, dont la fille était d'une beauté a coupé le souffle elle aussi, elle avait des cheveux blond et lumineux qui sous la lumière du soleil devenaient de véritables fil d'or, son sourire arrachait à tout être un élan d'admiration, et comme tu peux l'imaginer, le beau jeune homme aux cheveux noirs comme les ténèbres tomba éperdument amoureux de cette chaleureuse lumière. Ils commencèrent à se rapprocher, à traverser des champs d'orges en courant et en rigolant à pleine gorge. C'était la naissance de ce que l'on peut appeler une histoire d'amour... Mais le jour fatidique arriva, la jeune demoiselle allait devoir épousé un riche noble, afin d'effacer les quelques dettes de sa famille, un mariage arrangé comme on en voit si souvent.

Les deux amants étaient désespérés, leur amour était vain et de courte durée et aucun des deux ne trouvait cela juste. Ils prévirent alors de s'enfuir en catimini tout les deux sans personne pour les en empêcher. Ils préparèrent avec soin leur voyage, afin de parer à la moindre éventualité et autre mauvais présage. Tout semblait parfait jusqu'à la veille de leur départ secret. Car un cortège armé avançait pas à pas vers la petite maison bourgeoise de la famille de la jeune fille. Ce peloton armé, se présenta comme l'escorte de la prochaine femme du riche noble qu'elle allait épouser. Ainsi tous leurs espoirs, leurs rêves les plus fous partirent en poussière devant cette tournure du destin.

Le capitaine de la garde se présenta : c'était une jeune femme, très jolie malgré la rudesse de sa voix. Elle exposa son devoir à la future femme de son maître. Mais durant les quelques minutes qu'elles passèrent ensemble, le beau jeune homme aux cheveux noirs qui était au service de la jeune bourgeoise, passa dans la pièce ou les deux femmes parlaient. Les deux amants n'échangèrent pas un seul regard, comme ils avaient l'habitude de le faire quand ils n'étaient pas seuls. Mais la capitaine de la garde qui paraissait jusqu'alors stoïque et froide, se décomposa face à la beauté du jeune homme. Elle le dévora des yeux sans parvenir à arracher son regard du visage du jeune homme. Elle n'écoutait même plus les paroles de sa future maîtresse, toutes ses pensées étaient concentrées sur le garçon. Ce fût un coup du destin, ainsi la jeune capitaine tomba éperdument amoureuse de lui et ses yeux dévoraient le jeune homme à chaque fois qu'ils se croisaient....

- Vous...vous voulez donc dire que l'histoire des treize nomades n'est que foutaises ? répliquai-je entre deux phrases.

- Non, pas totalement... répondit-elle avec un sourire.
- Comment ça ?

Elle me regarda une nouvelle fois avec ses yeux amusés par ma jeune ignorance, puis elle reprit son histoire là où je l'avais coupée :

- Les deux amants ne perdirent pas pour autant leur rêve initial. Et même si un peloton de gardes leur barrait la route ils devaient partir. Ainsi, une nuit sans lune, les deux amoureux se faufilèrent dans les douces ténèbres qui régnaient ce jour là, sans éveiller le moindre soupçons, ils étaient partis. Et le lendemain matin à la grande surprise de toute la maisonnée, la futur mariée était introuvable. La capitaine ne se laissa pas abattre pour autant, elle savait très bien que la plupart des jeunes filles dans la même situation sont forcées de se marier et qu'à la première occasion elles partent sans demander leur reste. Mais ce qui l'intriguait cette fois, c'est que le beau jeune homme, c'était lui aussi volatilisé. Son esprit ne mit pas longtemps à comprendre la situation, et malgré la douleur qui lui perçait le cœur après cette révélation, elle ordonna à tout ses gardes de rester chez les bourgeois au cas ou la jeune mariée reviendrait, et pour sa part, elle partait en reconnaissance. Mais la raison de son choix était tout autre, elle savait pertinemment que si le jeune homme était trouvé en présence de la jeune bourgeoise, il serait jugé pour avoir enlevée la jeune femme pour obtenir une quelconque rançon, et même si cette raison n'était pas la vraie, il est toujours mieux d'accuser les autres que sa propre famille.

Alors, elle parcouru les plaines de Bordeciel pendant plusieurs heures sur son beau cheval, et enfin, elle tomba sur une charrette de nomade qui se dirigeait là ou le vent les emportait. A l'arrière du convoi elle reconnu le beau jeune homme, tenant dans ses bras la jeune femme blonde. Le cœur de la capitaine se serra une nouvelle fois dans le creux de sa poitrine, et pourtant elle continua de galoper jusqu’à être à la hauteur de la charrette. Les deux amants regardèrent avec angoisse la capitaine désormais postée à leur côtés sur son cheval, elle aussi leur lança un regard dévastateur, et pourtant, elle continua sa route à leur côté sans souffler un mot. L'amour peut accomplir de grande chose... Ainsi les voilà partit vers un lieu quelconque avec une bande de nomades qu'ils connaissaient à peine... Et la suite de l'histoire, il me semble que tu la connais....

- Oui, effectivement, on m'en a fait part. Ainsi cette histoire relate celle de Vénéom qui était l'homme aux cheveux noirs, et celle de Dame Neyda, qui était la capitaine de la garde....Mais alors, qui était la jeune femme aux cheveux blonds ?

- Tu es vraiment longue à la détente jeune immortelle, cela ne semble-t-il pas être évident ? Cette troisième personne n'était autre que... Réjade, ma troisième créature... murmura Lamae en jouant avec un verre posé sur le trône et en me lançant un regard mystérieux...

Et voilà !

Bonne lecture !

Que de révélation !
Tu a super bien joué avec ce qui était déjas connus pour un réslutat encore meilleur !

Tu parles de la révélation sur les treize nomades et le passé des trois premiers Seigneurs de la nuit rouge ?

L'origine des seigneurs est bien trouvee, et la caravane de nomades tres bien utilisee pour rejoindre le lore de base. Bonne sweet!

Bon chapitre, peut être un peu trop calme mais bon chapitre.

Par contre, y'aurait t-il moyen qu'on ait le droit à de la sensualité ? Surtout qu'avec ce fameux pouvoir...

Hum... pour la sensualité surement ! Même si je dois te dire que au niveau de l'écriture je suis un débutant, alors il faut pas non plus en attendre trop de moi !

Mais ce qui est sûr c'est qu'il faudra attendre la volet de chapitre prochain pour la sensualité ! Car c'est pas encore écrit vois-tu !

D'autres commentaires ?

Oh yeah de la sensualité vampirique ! La classe !
J'ai trop hâte !

Merde, j'aurai pas oublié de poster un chapitre moi ?

Si.

Je le post ce soir ! Et après celui-ci, il y en aura un autre qui sera le dernier avant un moment !

Ou pas lol