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Page Dossier Les gros calibres, où la guerre des éditeurs
Les gros calibres, où la guerre des éditeurs

Ce n'est un secret pour personne. Activision et Electronic Arts dominent totalement l'univers du FPS. À ce jour, aucune production n'est en mesure d'ébranler la suprématie de Call of Duty et Battlefield. Si les deux n'ont pas le même rythme de parution (un par an pour Call of, deux ans voire plus pour Battlefield), ils parviennent à fédérer les joueurs grâce à des approches bien différentes. Preuve qu'il y en a pour tout le monde !

Les gros calibres, où la guerre des éditeurs

Présentée dans un précédent dossier, la genèse de Call of Duty est un véritable "parcours du combattant". Née de l'imagination des créateurs de Medal of Honor, cette saga a traversé les années avec une aisance stupéfiante pour devenir le phénomène qu'elle est désormais. D'abord focalisée sur l'univers de la Seconde Guerre Mondiale, cette œuvre guerrière a bouleversé ses habitudes en se vêtant d'un habillage plus moderne et futuriste. Il y a d'ailleurs fort à parier que c'est la voie qu'elle va suivre pour les années à venir.

RHYTHM & BLUES

À ses débuts, le gameplay de la série s'est appuyée sur les forces de Medal of Honor. En dehors d'un arsenal assez complet, les déplacements et les combats restent dans la lignée de ce qui se faisait auparavant. Après trois épisodes similaires, la rupture est intervenue avec Call of Duty : Modern Warfare, le jeu n'hésitant pas à alterner des séquences très rythmées avec des phases beaucoup plus posées. Tous les joueurs ayant touché à cet épisode se souviennent probablement du niveau d'infiltration à Tchernobyl. Épisode fétiche pour de nombreux joueurs, Modern Warfare propose également un multijoueur à la hauteur avec 16 maps, un système de points d'expérience et des dizaines d'éléments (armes, camouflages, équipements...) à débloquer. C'est assurément avec ce volet que les choses ont commencé à évoluer dans la série, d'abord par le background (époque contemporaine) mais aussi par les multiples innovations apportées au gameplay. De fil en aiguille, les développeurs se sont creusés les méninges pour créer de nouvelles armes (différents types de munitions, arsenal inédit...) mais aussi intégrer des idées fort ingénieuses. Outre les points COD de Black Ops, les missions "Strike Force" de sa suite, on a vu apparaître un système de contrats (sorte de défis vous obligeant à suivre une règle bien précise) ou le Pick-10/Pick-13 consistant à distribuer les points (10 dans Black Ops II, 13 dans Advanced Warfare) pour améliorer ses armes ou son équipement. Bien qu'elle soit parfois montrée du doigt, la série a toujours cherché à innover. Et même si la série ne fédère plus autant qu'à une certaine époque (quoique...), la grande majorité des fans est loin d'avoir un coup de blues.

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L'ART DU FRAG

S'il y a bien un élément qu'on ne peut enlever à la série, et plus précisément pour sa partie multijoueur, c'est bien évidemment ses "Killstreaks". Concrètement, cela signifie que le joueur, avec la même vie, parvient à éliminer plusieurs adversaires à la suite. Cet "enchaînement" de frags, au-delà de la performance, permet d'obtenir de multiples récompenses, soit pour son avatar, soit pour toute l'équipe. Ce principe est né avec Modern Warfare et n'a cessé d'évoluer jusqu'à subir parfois les foudres des joueurs. Sur le premier, le nombre de frags obligatoire était assez limité : 3 pour un drone, 5 pour un bombardement aérien ou encore 7 pour l'appui d'un hélicoptère. Ah c'est sûr, ça faisait le ménage ! Avec Modern Warfare 2, cette surenchère n'a pas été au goût de tous. En effet, en dehors de l'AC-130 (trois fois rien, un petit avion d'assaut), l'enchaînement de 25 éliminations (on est d'accord, il faut se les farcir) activait une bombe atomique mettant fin à la partie. Face à la grogne de la communauté, les développeurs vont faire machine arrière et diminuer la puissance d'impact des récompenses de killstreaks. Black Ops II supprimera même le système pour tenter une approche plus "coopérative" via les "Scorestreak". L'idée des développeurs est de proposer un concept alternatif qui permet d'obtenir plus de points en suivant des objectifs ou en portant soutien à ses coéquipiers. Ce principe est encore loin de faire l'unanimité auprès des joueurs.

RETOUR VERS LE FUTUR

Ce n'est un secret pour personne, Call of Duty est une série au multi nerveux. Et encore plus ces dernières années avec l'arrivée de l'exosquelette et des aptitudes largement supérieures à ce qu'un être humain peut réaliser. Beaucoup d'adeptes des précédents Call of Duty, et pourtant habitué aux joutes en ligne, ont été surpris par la vitesse des affrontements d'Advanced Warfare. Désormais, la verticalité est de mise ! On se déplace et on esquive très rapidement, on saute plus haut, on peut encaisser des chocs d'une pression colossale et il est même possible de se mouvoir à l'aide d'un jetpack. Le gameplay de la série s'est considérablement accéléré et modernisé (grâce notamment à la présence des Atouts), façonnant une véritable marque de fabrique jusqu'à Black Ops III. Et sans surprise, ce dernier épisode suit la tendance du moment qui consiste à intégrer du parkour dans les déplacements de son avatar. Calqué sur le modèle de Advanced Warfare, ce gameplay dynamique s'adapte parfaitement au feeling de l'évolution de la série. Cette mouvance ser retrouve d'ailleurs dans Dying Light, que l'on dissèque à la fin de ce dossier. Mais il n'est pas la seule nouveauté : Black Ops III prône un futur alternatif, avec des intelligences artificielles redoutables et une technologie bien supérieure à ce qu'on connaît actuellement.

LE RIVAL BATTLEFIELD

Les gros calibres, où la guerre des éditeurs

Si l'on excepte les spin-off (comprenez par là les épisodes parallèles), la série des Battlefield se veut plus "discrète" que celle des Call of Duty. Ainsi, entre Battlefield 3 et 4, deux ans se sont écoulés et il faudra attendre l'an prochain, soit fin 2016, pour voir arriver le nouveau rejeton d'Electronic Arts et de Dice. Pour autant, s'il s'agit du concurrent direct d'Activision, ce n'est pas un hasard. Outre la période de lancement (fin d'année à chaque fois), Battlefield est aussi là pour proposer une alternative à Call of Duty, avec une approche différente. Pendant longtemps, le potentiel réel de la série était chasse gardée des joueurs PC. Depuis l'avènement de la nouvelle génération de consoles, la donne a changé. Sans atteindre la finesse et le niveau de détails des bécanes surboostées, la puissance des Xbox One et PlayStation 4 a permis à l'univers console d'obtenir un multi techniquement et visuellement très solide. Et donc d'ouvrir la saga au plus grand nombre.

A TOMBEAU OUVERT

Comparé à Call of Duty, le gameplay de Battlefield se veut plus posé. Pas question de foncer dans le tas, sauf à de rares occasions, sous peine de faire un aller direct vers la morgue. Il faut avancer prudemment à travers les lignes, tout en profitant du ciblage des ennemis et des ajustements pour une maniabilité à la manette. C'est un fait, et c'est bien pour ça que le jeu a fait hurler certains fans de la première heures, Battlefield 4 est beaucoup plus accessible qu'un Battlefield 2. En revanche, le gameplay des Battlefield est bien différent d'un Call of Duty. Dans le jeu de DICE, les maps sont plus vastes, il est plus que conseillé de travailler en équipe et les combats font la part belle aux véhicules (même s'il est possible de paramétrer des affrontements sans véhicules). Dans un Call of Duty, le rythme est beaucoup plus soutenu et les frags s'enchaînement à une vitesse dépassant parfois l'entendement. C'est le feeling de la série qui veut ça et beaucoup de joueurs adorent. Battlefield, quant à elle, demande plus d'engagement et de tactiques. S'il est tout à fait possible d'y aller à la Rambo en solo (mais c'est rarement efficace), c'est tout de même une autre limonade quand une escouade coordonnée parvient à détruire un pan entier du décor (merci au célèbre concept Levolution), à nettoyer une zone ou à capturer un point de contrôle. Le niveau de satisfaction n'est pas le même et les phases de jeu n'en deviennent que plus grisantes. En matière de modes de jeu, Battlefield est sans doute plus classique que Call of Duty et on a véritablement hâte de voir ce que les développeurs suédois vont parvenir à inventer pour le prochain opus.

PETIT SOLDAT FAIT SES CLASSES

Tout comme sa concurrence, la série Battlefield propose des classes que l'on peut customiser. Assez classiques dans leur approche, celles-ci permettent néanmoins d'organiser l'assaut en assurant ses arrières. Quatre classes sont disponibles : Assaut, Soutien, Éclaireur et enfin Ingénieur. Toutes polyvalentes, elles offrent un large éventail de possibilités mais il faut vraiment sélectionner le kit convenant le mieux à votre manière de jouer. Battlefield demande un temps d'adaptation et cet apprentissage est encore plus redoutable dès lors qu'on s'intéresse aux différents moyens de transports du jeu. C'est sans doute là la principale attraction de la série : cet équilibre entre les combats d'infanterie et les affrontements à bord des véhicules. Et dire que le panel est large est un euphémisme. Désormais, Battlefield peut s'appuyer sur des jeeps, des chars, des avions de chasse, des hélicoptères, des bateaux... et certains véhicules sont même dédiés à la reconnaissance ou au transport de troupes. Toutefois, maîtriser les aéronefs demande une sacrée maîtrise et un véritable investissement, et encore plus depuis Battlefield 4. Il n'est ainsi pas rare, lors des premières parties (et même après des dizaines) de se crasher bêtement. C'est ce que certains appellent l'effet kamikaze... mais uniquement lorsque le pilotage est parfaitement contrôlé. Ce n'est donc pas une surprise si la toile propose des tutoriaux complets sur les bases du pilotage.

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Bref, Call of Duty et Battlefield sont différents et les comparer ne sert à rien. Là où le premier propose des combats très soutenus dans des zones plus étriquées, l'autre offre des affrontements plus ouverts (au sol, sur l'eau ou dans les airs), plus posés et nettement plus tournés vers la coopération (cela ne veut pas dire que ce n'est pas possible dans Call of Duty mais cette approche est moins fréquente).

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Commentaires
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sonic60 sonic60
MP
Niveau 4
le 23 nov. 2015 à 09:23

"Battlefield est aussi là pour proposer une alternative à Call of Duty,"
vous avez joué au BF4 ?

Lire la suite...
Commentaire édité 23 nov. 2015, 09:24 par sonic60
Sommaire Dossier
  • Aux origines du conflit
  • Les gros calibres, où la guerre des éditeurs
  • Du nouveau chez les blockbusters ?
  • Les exclusivités consoles de la dernière génération, la guerre des constructeurs
  • Un peu de sang neuf
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