CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Créer un contenu
Tests
  • Accueil
  • Actus
  • Tests
  • Vidéos
  • Images
  • Soluces
  • Forum
Test Cookie Clicker
Profil de Pseudo supprimé,  Jeuxvideo.com
Pseudo supprimé

Inspiré de Candy Box, Cookie Clicker s’inscrit dans la lignée de ces jeux Web ultra accessibles jouables directement depuis le navigateur, sans inscription ni téléchargement. L’objectif est relativement simple : produire un maximum de cookies. C’est en tout cas dans cette finalité autotélique que se présente le titre. Bien qu’inutile, comme l’admet son créateur, ce passe-temps vidéoludique s’avère vite addictif…

Cookie Clicker

En quête des cookies

De prime abord, le jeu commence comme Candy Box à la différence qu’il ne s’agit pas ici de récolter des bonbons mais des cookies, en cliquant sur un cookie géant situé à gauche de notre écran. Chaque clic nous rapporte un biscuit qui s’ajoute au nombre total de cookies en réserve. Les cookies récoltés servent à acheter des objets ou des améliorations qui permettent de lancer une production automatique de cookies. Par exemple, le premier objet qu’il est possible de débloquer est le « curseur » (cursor) qui viendra cliquer automatiquement sur le cookie à votre place. Plus on en achète, plus le nombre de cookies récoltés par seconde augmente. En progressant de cette manière, on achète des objets producteurs de cookies de plus en plus cher. Après les curseurs viennent ainsi les grands-mères, les fermes, les usines, les mines, les fusées, les labos d’alchimie, les portails, les machines à voyager dans le temps et enfin les condensateurs d’antimatière (dont le premier coûte tout de même 3.999.999.999 cookies). Chaque fois qu’on achète un objet d’une catégorie, le second est un peu plus cher et ainsi de suite. Outre l’aspect barré du titre, vous remarquerez donc que l’on progresse de façon assez linéaire.

Le joueur : Derrière les fourneaux ou devant l’assiette ?

Cookie Clicker
Bon, qu’est-ce que je dois faire ?
Très vite, le nombre de cookies rapportés par clic devient ridicule par rapport au nombre de cookies produits par seconde grâce aux objets achetés. Le joueur, qui était actif au début, devient alors quelque peu passif. Résultat : on a tendance à laisser tourner le jeu dans un onglet à part et à regarder de temps en temps où en est la production pour voir ce qu’on peut acheter. Pour autant, le titre conserve un certain côté ludique dans la mesure où malus et bonus interactifs peuvent influencer la production. Par exemple, des cookies dorés apparaissent sporadiquement quelques secondes n’importe où sur l’écran ; cliquer dessus augmente votre réserve de biscuits ou accélère la production durant un certain temps. Mais des malus peuvent survenir également, en particulier lorsque les grands-mères se révoltent à cause de la charge de travail qu’on leur demande de fournir pour produire les précieux gâteaux. Celles-ci se diabolisent et ouvrent alors la voie aux charmants wrinklers (les rides en anglais). Il s’agit en fait de sortes de sangsues qui encerclent votre cookie géant pour diminuer le rendement de cookies à la seconde. En cliquant dessus pour les faire exploser, vous récupérez un nombre de cookies supérieur à celui que les bestioles ont ingurgité. Plus un wrinkler suce le cookie longtemps, plus le bénéfice que vous en retirerez en l’explosant sera grand. Les seuls véritables malus sont alors les cookies rouges qui surviennent lorsque les grands-mères sont révoltées. Ceux-là peuvent aussi bien vous faire gagner des cookies que d'en perdre. Bien que le joueur ne soit donc pas totalement passif, le gameplay demeure toutefois limité.

Des cookies, des cookies, encore des cookies

Cookie Clicker
Les fameux Wrinklers, suceurs de cookies.
Mais si le gameplay est limité, le jeu en lui-même n’en demeure pas moins attrayant. Système de sauvegardes exportable, succès à débloquer et mises à jour régulières font vivre Cookie Clicker. Du simple « produisez 1.000 cookies en cliquant sur le cookie géant » au plus compliqué « cliquez sur 777 cookies dorés », les succès augmentent considérablement la durée de vie du jeu pour qui veut tous les débloquer. Il vous faudra probablement tout autant de temps pour acheter l’ensemble des améliorations : ces dernières se débloquent au fur et à mesure et coûtent de plus en plus cher. Vous pouvez tout aussi bien acheter des cookies spéciaux qui ont comme effet de multiplier la production d’un certain pourcentage, que des améliorations spécifiques (meilleur rendement d’un objet, de la production en général, laps de temps moins long entre l’apparition de deux cookies dorés, etc.). Enfin, les mises à jour régulières relancent ponctuellement l’intérêt du titre. La dernière en date (par rapport à l'écriture de ce test) a ainsi inclus de nouveaux éléments propres à l’ambiance de Noël : nouveaux cookies dans les upgrades (en forme de sapins, de bonhommes de neige…), nouveaux bonus (des cerfs traversant l’écran de gauche à droite et qui ravitaillent la réserve de cookies lorsqu’on clique dessus), et nouveaux succès (débloquer tous les cookies de Noël par exemple). Chaque grosse mise à jour suit peu ou prou cette logique. Ainsi, le jeu n’a pas vraiment de fin.

Un passe-temps vidéoludique ou un jeu vidéo ?

Cookie Clicker
Jackpot ! Un cookie doré et un cerf !
Mais peut-on vraiment parler de jeu vidéo avec Cookie Clicker ? Ne s’agit-il pas davantage d’un passe-temps virtuel ? Cookie Clicker fait certainement partie de cette deuxième catégorie. On y joue pour passer le temps mais paradoxalement il ne nous demande pas beaucoup de temps. On est actif par intermittence et la plus grande partie du jeu consiste à attendre d’avoir suffisamment de cookies pour progresser. En réalité, on a l’impression de rentabiliser le temps passé sur Internet en laissant Cookie Clicker tourner dans un onglet à part. Chaque joueur de Cookie Clicker a probablement déjà connu le plaisir de rouvrir l’onglet du jeu après l’avoir laissé tourner plusieurs heures : on augmente alors brusquement et considérablement notre production de cookies en quelques clics. Et lorsque nous n’avons rien d’autre à faire qu’à rester face à l’écran de jeu, Cookie Clicker parvient tout de même à nous tenir en haleine grâce aux cookies dorés, cerfs et autres bonus qui apparaissent par intermittence. Et c’est bien parce que le titre est tenu régulièrement à jour que nous revenons souvent dessus, à la différence d’un Candy Box qui, une fois terminé, n’a plus vraiment d’intérêt.

Points forts

  • Le concept qui, dans la lignée de Candy Box, ouvre la voie à d’autres jeux de ce genre
  • L’humour du développeur
  • Les mises à jour régulières, parfois thématiques (Halloween, Noël…), tenant compte des avis de la communauté
  • Durée de vie quasi infinie avec les succès, les upgrades et l’objectif autotélique de produire un max de cookies
  • Système de sauvegarde exportable et mode de jeu offline

Points faibles

  • Répétitif
  • Gameplay faible (le joueur est souvent passif)
  • Totalement inutile

Cookie Clicker est un passe-temps vidéoludique. Ni plus, ni moins. Accessible et simple à prendre en main, il ne demande pas un gros investissement de la part du joueur. Si le but final est de produire un maximum de cookies, des objectifs sous-jacents et implicites confèrent une certaine attractivité au jeu : débloquer tous les objets, tous les upgrades, tous les succès. Finir le jeu demande alors un certain temps mais ce n’est pas un problème puisque l’inaction n’empêche pas la progression : on produit en effet des cookies automatiquement après avoir acheté un minimum d’objets. Et quand bien même vous auriez terminé le jeu (du moins les objectifs sous-jacents car il n’y a pas véritablement de fin), le développeur effectue régulièrement des mises à jour plus ou moins importantes. Cookie Clicker a beau être médiocre en tant que jeu vidéo, il n’en reste pas moins un bon, voire un très bon passe-temps. Seule une indigestion de cookies aura raison de vous.

Note de la rédaction

12
15.9

L'avis des lecteurs (18)

Lire les avis des lecteursDonnez votre avis sur le jeu !
Web Orteil Autres Jouable en solo
Dernières Preview
Preview20 ans après, l’un des meilleurs jeux vidéo Mario de la Gamecube revient sur Nintendo Switch. On a joué à Paper Mario La Porte Millénaire et on veut déjà voir la suite 25 avr., 15:00
PreviewCe jeu vidéo nous envoie au paradis : On a joué à Hades 2 et on ne pense plus qu'à lui ! 18 avr., 18:30
PreviewUn nouveau jeu vidéo Prince of Persia sort en 2024 et il promet d'être mortel 10 avr., 19:45
Les jeux attendus
1
Grand Theft Auto VI
2025
2
Star Wars Outlaws
30 août 2024
3
Senua's Saga : Hellblade II
21 mai 2024
La vidéo du moment