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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Je relis l'interview de American McGee sur Bad Day LA que nous avons mené en juillet dernier. Au détour d'une question sur les besognes présentes du monsieur, ce dernier fait le point sur sa position d'artiste indépendant et sa présence aux rencontres internationales comme la Game Developers Conference. Une déclaration perce alors la relative consensualité de l'entretien : "C'est en partie parce que je trouve que le jeu vidéo est tellement immature qu'il n'y a pas grand-chose à apprendre en allant à ce genre de réunion". American Mac Gee présente la provoc. Permettez-nous donc, cher ancien zorro du level design, de faire preuve du peu de maturité que nous possédons pour vous dire ce que votre Bad Day L.A. nous a inspiré.
Les années se suivent et se ressemblent pour la série NHL. Si celle-ci a su évoluer l'année dernière, elle est de retour dans une édition aux nouveautés rarissimes, très sage et sûre des bases qu'elle a acquises dans les itérations précédentes. Encore une fois, c'est le mode Dynasty qui a retenu l'attention des développeurs et qui tente, au fil des ajouts, de se rapprocher de la perfection pour continuer à être cité comme une véritable référence.
Faisant partie des premiers RPG disponibles sur PSone à sa sortie, Suikoden a réellement illuminé la console de Sony par son souci du détail et son système de combat innovant à six personnages. Sa fabuleuse suite, véritable légende du jeu de rôle console, s'est imposée rapidement comme l'un des titres les plus denses jamais conçus, notamment grâce au personnage de Jowy, d'une finesse rare. L'arrivée de la saga sur PS2 n'a pourtant pas réitéré ce tsunami qualitatif en proposant des softs presque sympathiques (Suikoden 3 et Suikoden Tactics), voire relativement moyens (Suikoden 4). Fort heureusement, ce cinquième opus renoue avec ses racines et diffuse un charme old school électrisant. Les 108 étoiles s'apprêtent-elles à resplendir une nouvelle fois ?
Considéré par beaucoup comme étant le meilleur opus de la série des Settlers, le deuxième volet (sorti en 1996) revient dans une version entièrement revue et corrigée sur le plan graphique, mais pas seulement puisque quelques autres petites améliorations sont au programme. Ubisoft entend ainsi fêter dignement le dixième anniversaire de ce jeu culte.
Les années se suivent et se ressemblent pour la série NHL. Si celle-ci a su évoluer l'année dernière, elle est de retour dans une édition aux nouveautés rarissimes, très sage et sûre des bases qu'elle a acquises dans les itérations précédentes. Encore une fois, c'est le mode Dynasty qui a retenu l'attention des développeurs et qui tente, au fil des ajouts, de se rapprocher de la perfection pour continuer à être cité comme une véritable référence.
Avec Just Cause, Avalanche a voulu créer un jeu dans lequel le fun le plus absolu règne par le biais d'une action complètement barrée. Mais concevoir un environnement de jeu résolument gigantesque et pourvoir le héros d'un parachute peut-il suffire à compenser des missions répétitives ? A quoi sert-il d'avoir un récipient de 50 litres pour y stocker ce qui tiendrait dans un dé à coudre ? Serai-je à l'heure pour l'apéro ?
Adapter une oeuvre cinématographique, qui plus est culte, revient à marcher sur un fil tendu au dessus du vide. Soucieux de préserver une certaine intégrité vis-à-vis du film d'origine, le développement doit également mettre en exergue une utilisation du matériau de base pour que le joueur participe au déroulement de l'histoire. Un défi a priori insoluble qu'Electronic Arts a tenté de relever grâce à son premier GTA-like qui s'offre pour la peine le chef-d'oeuvre de Francis Ford Coppola, Le Parrain. Comparée aux versions Xbox, PS2 et PC cette adaptation Xbox 360 apporte quelques petites retouches graphiques, de nouvelles missions et la possibilité d'engager des hommes de main.
Reprenant ses bonnes vieilles habitudes, Koei, après nous avoir gratifié d'un sympathique mais limité Samurai Warriors revient à la charge avec une suite nommée sobrement Samurai Warriors 2. Passé maître dans l'art d'enlever des choses intéressantes pour les remplacer par des ajouts pas forcément bien vus pour les réinsérer plus tard ni vu, ni connu, le studio japonais étonne et déçoit à la fois. Revenant depuis quelque temps dans une phase ascendante, ce dernier amène t-il dans cette élévation le nouveau jeu de sa gamme historique ? Oda Nobunaga serait tenté de dire que oui, mais l'homme n'est jamais avare de manipulations.
Reprenant ses bonnes vieilles habitudes, Koei, après nous avoir gratifié d'un sympathique mais limité Samurai Warriors revient à la charge avec une suite nommée sobrement Samurai Warriors 2. Passé maître dans l'art d'enlever des choses intéressantes pour les remplacer par des ajouts pas forcément bien vus pour les réinsérer plus tard ni vu, ni connu, le studio japonais étonne et déçoit à la fois. Revenant depuis quelque temps dans une phase ascendante, ce dernier amène t-il dans cette élévation le nouveau jeu de sa gamme historique ? Oda Nobunaga serait tenté de dire que oui, mais l'homme n'est jamais avare de manipulations.
Avec Just Cause, Avalanche a voulu créer un jeu dans lequel le fun le plus absolu règne par le biais d'une action complètement barrée. Mais concevoir un environnement de jeu résolument gigantesque et pourvoir le héros d'un parachute peut-il suffire à compenser des missions répétitives ? A quoi sert-il d'avoir un récipient de 50 litres pour y stocker ce qui tiendrait dans un dé à coudre ? Serai-je à l'heure pour l'apéro ?
Leader incontesté du conflit aérien à grande échelle, la série des Ace Combat continue à planer lestement au-dessus des nuages du marché vidéoludique. Synonyme de plaisir immédiat et d'un tourbillon de sensations, cette dernière se pare également d'un lourd travail de fond sur la création d'une atmosphère, d'un contexte fort. Brassant des codes cinématographiques évidents et reprenant le ciment dont ses prédécesseurs étaient bâtis, Ace Combat Zero nargue encore une fois les dieux en affichant une maîtrise du ciel quasi mystique. N'y a t-il donc rien qui puisse freiner cet oiseau de métal ?
Selon la légende, un phoenix ne peut mourir. A son dernier souffle, l'oiseau renaît inexorablement de ses cendres et peut de nouveau déployer ses ailes pour reprendre son envol. Peut-être bien que le Phoenix de In Memoriam n'a jamais connu la mort, n'empêche ce second volet le fait passer à la postérité et à l'image de Hannibal Lecter pour la littérature et le cinéma, lui permet de confirmer son statut de tueur en série le plus intrigant et le plus passionnant du jeu vidéo.
Alors que l'on pourrait prendre le titre de ce jeu comme un hommage aux Beastie Boys, la vérité est bien autre. Et si la réponse n'est pas à ma portée, il est aisé de comprendre rapidement que nous n'aurons pas affaire ici avec des tours de chants, mais avec des tours de reins. En effet, suivant la mouvance "danse de rue" de FLOW : Urban Dance Uprising, B-Boy s'axe plus sur la chorégraphie en elle-même et devient pour le coup le premier soft de "dance battle". Un concept étonnant sur une pente peut-être un peu trop raide pour lui. Faut que ça glisse petit homme !
Alors que l'on pourrait prendre le titre de ce jeu comme un hommage aux Beastie Boys, la vérité est bien autre. Et si la réponse n'est pas à ma portée, il est aisé de comprendre rapidement que nous n'aurons pas affaire ici avec des tours de chants, mais avec des tours de reins. En effet, suivant la mouvance "danse de rue" de FLOW : Urban Dance Uprising, B-Boy s'axe plus sur la chorégraphie en elle-même et devient pour le coup le premier soft de "dance battle". Un concept étonnant sur une pente peut-être un peu trop raide pour lui. Faut que ça glisse petit homme !
Ils sont nombreux ceux qui ont voulu copier Max Payne et son gameplay à la fois étrangement basique mais néanmoins enchanteur. Le résultat fut souvent désastreux ou trop moyen pour faire date, El Matador pourrait pourtant faire figure de bonne alternative.
Dans And 1 Streetball, on oublie la NBA. Dans And 1 Streetball, on prend un short qui descend jusqu'aux chevilles, un regard méchant, des airs de caïd, un surnom ridicule et une démarche censée forcer le respect. Enfin, dans And 1 Streetball, on "casse les chevilles" à son adversaire direct en multipliant des mouvements aussi frimeurs qu'inutiles. Bienvenue dans une autre dimension.
Avec un titre aussi évocateur, Pocket Racers ne cache pas vraiment son jeu. Mettant à l'honneur des voitures de courses façon Majorette, Pocket Racers s'annonce comme un nouveau clone de MicroMachines. Pourtant, même si ses circuits se déroulent dans des environnements familiers, Pocket Racers n'a pas grand-chose à voir avec le MicroMachines V4 que l'on connaît.
Que des développeurs peu doués persévèrent dans la création, soit, après tout, chacun a le droit de s'exprimer, même ceux qui ont une petite voix criarde qui pique les oreilles. Mais pourquoi faut-il toujours qu'il y ait des éditeurs pour sortir ces titres en France, alors que l'échec est assuré ? Hein ? Dites-moi ? Oui Nobilis, c'est à vous que je pose la question.
Il y a quelque chose du VIP honorifique dans Gradius Collection. La puce portable de Sony n'a jusqu'à présent pas reçu la moindre avance d'un shoot'em up. Et là, paf, 5 d'un coup, dites donc. Cette généreuse compilation, forte de retracer 11 années d'un baron du genre, embarque le joueur au quai du premier épisode pour l'emmener jusqu'au Gaiden, sorti sur PSone, dernière étape avant la révolution Gradius 5. Dans les dates, c'est aussi, très symboliquement, la belle époque du shmup que l'on visite ou revisite, selon l'âge et la culture de chacun. Une fois rassasié, on rangera Gradius Collection dans la pile du fond, celle que l'on ne fouille plus jamais, décidé à tourner la page des shmup old school pour de bon. Le faire avec regret serait la plus éclatante preuve de réussite pour Konami.
Le monde du RPG a quelquefois tendance à se laisser porter par quelques-uns de ses vieux démons, notamment l'absence d'originalité dans les thèmes abordés. Si l'on se base sur les dernières sorties en date et mis à part quelques petits rebelles, il est aisé de remarquer que nombre de productions s'accrochent désespérément à la notion de grand méchant destructeur qui cherche à mettre à sa botte un monde orienté héroic-fantasy. Si cela ne joue pas contre la grande qualité intrinsèque des titres en question, genre FF III sur DS ou Draque 8 sur PS2, il est tout de même plus qu'agréable de dénicher une nouveauté probante, une originalité de ton qui donne envie de s'investir. C'est ce qu'arrive à faire Digital Devil Saga.