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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
La vie d'un criminel en fuite n'est pas toujours une sinécure. Se terrer des années pour échapper au couperet implacable de la justice, regarder en permanence derrière soi afin de s'assurer que les forces de l'ordre ne sont pas sur vos talons... autant de désagréments dont les déviants finissent par s’accommoder pour enfin vivre librement, persuadés qu'ils sont que la prescription légale est un argument justifiant leur certitude que jamais, ô grand jamais, quelque justice punitive ne leur tombera sur le coin du pif. Kill the Bad Guy vous propose de remédier à ce problème en vous mettant aux commandes d'une organisation visant à réduire à néant les criminels en liberté, d'une manière aussi violente que subtile.
Moins d'un an après la sortie du controversé Revolution, le studio Team17 avait pris tout le monde de court en annonçant l'arrivée de Worms Clan Wars. Censé corriger les défauts du précédent épisode et regagner le cœur de certains fans déçus, ce nouvel opus proposait aussi un nouveau système de multijoueur en ligne axé sur les clans. Il débarque aujourd'hui sur les consoles de nouvelle génération et change de nom pour l'occasion. Appelez le désormais... Worms Battlegrounds.
Moins d'un an après la sortie du controversé Revolution, le studio Team17 avait pris tout le monde de court en annonçant l'arrivée de Worms Clan Wars. Censé corriger les défauts du précédent épisode et regagner le cœur de certains fans déçus, ce nouvel opus proposait aussi un nouveau système de multijoueur en ligne axé sur les clans. Il débarque aujourd'hui sur les consoles de nouvelle génération et change de nom pour l'occasion. Appelez le désormais... Worms Battlegrounds.
La vie d'un criminel en fuite n'est pas toujours une sinécure. Se terrer des années pour échapper au couperet implacable de la justice, regarder en permanence derrière soi afin de s'assurer que les forces de l'ordre ne sont pas sur vos talons... autant de désagréments dont les déviants finissent par s’accommoder pour enfin vivre librement, persuadés qu'ils sont que la prescription légale est un argument justifiant leur certitude que jamais, ô grand jamais, quelque justice punitive ne leur tombera sur le coin du pif. Kill the Bad Guy vous propose de remédier à ce problème en vous mettant aux commandes d'une organisation visant à réduire à néant les criminels en liberté, d'une manière aussi violente que subtile.
Un peu moins de deux ans après l'Arcade Edition, Capcom récidive avec Ultra Street Fighter 4, un titre de Versus Fighting fort attendu des communautés de joueurs. Il est donc grand temps de voir ce que cette énième itération a à proposer.
Comme d'habitude avec la série Inazuma, c'est avec deux ans et demi de retard sur le Japon que l'on reçoit un épisode, en l'occurrence le diptyque Inazuma Eleven Go Ombre / Lumière. Quand RPG et foot se marient...
Comme d'habitude avec la série Inazuma, c'est avec deux ans et demi de retard sur le Japon que l'on reçoit un épisode, en l'occurrence le diptyque Inazuma Eleven Go Ombre / Lumière. Quand RPG et foot se marient...
Un peu moins de deux ans après l'Arcade Edition, Capcom récidive avec Ultra Street Fighter 4, un titre de Versus Fighting fort attendu des communautés de joueurs. Il est donc grand temps de voir ce que cette énième itération a à proposer.
Si vous passez votre temps à chantonner "I believe I can fly" en vous prenant pour Spider-Man, vous avez peut-être un point commun avec les développeurs de Gone North qui ont visiblement cherché à mettre en forme leur fantasme aérien dans A Story About My Uncle.
Lors de son annonce à l'E3 2012, Watch Dogs était bien plus qu'un jeu. Il faut dire que la promesse d'un monde ouvert sur-connecté et d'éléments piratables à foison avait de quoi enchanter les joueurs. Mais suite à un report annoncé tardivement et à la campagne de communication agressive qui s'en est suivie, l'enthousiasme et l'espoir suscités par les premières vidéos ont peu à peu laissé place à l'inquiétude et au scepticisme dans le cœur de nombreux joueurs. Alors ce Watch Dogs, qu'est-ce qu'il vaut ?
Lors de son annonce à l'E3 2012, Watch Dogs était bien plus qu'un jeu. Il faut dire que la promesse d'un monde ouvert sur-connecté et d'éléments piratables à foison avait de quoi enchanter les joueurs. Mais suite à un report annoncé tardivement et à la campagne de communication agressive qui s'en est suivie, l'enthousiasme et l'espoir suscités par les premières vidéos ont peu à peu laissé place à l'inquiétude et au scepticisme dans le cœur de nombreux joueurs. Alors ce Watch Dogs, qu'est-ce qu'il vaut ?
La NASCAR est assez peu connue en France, et cela explique pourquoi les jeux dédiés à cette discipline sont si rares chez nous. Pour cette édition 2014, Deep Silver (qui succède à EA) s'est tout de même décidé à distribuer, dans nos vertes contrées, une version PAL qui devrait faire plaisir aux fans français. Quant aux autres... Eh bien, tant pis pour eux.
Après un Necrodome qui n'a pas soulevé des vagues d'enthousiasme, Raven Software revient en 1997 à des valeurs sûres en développant une suite à son hit de 1995, Hexen : Beyond Heretic. Le jeu, sobrement nommé Hexen II, sera le dernier épisode de la série à prendre la forme d'un FPS et offrira également une conclusion à ce que l'on appelle désormais la trilogie des chevaucheurs de serpent – Heretic II, un jeu d'action-aventure, étant considéré comme un peu à part par les fans. Une nouvelle fois fruit de la collaboration traditionnelle avec id Software, qui met ici à disposition le moteur de Quake, Hexen II se révèle-t-il à la hauteur de ses prédécesseurs ? Eléments de réponse.
Il y a simulation et simulation. Dans notre petit monde moderne coquet et cossu, il s’agit d’apprendre à piloter des engins aussi exotiques qu’une bétonneuse ou encore un rafale, s’imaginer fermier, entrepreneur, cuisinier… Autant de possibilités en rapport avec le monde qui est le nôtre. Mais à supposer que nous soyons obligés de survivre en sous-sol dans la peur permanente des choses qui rôdent à la surface, le rêve ne serait plus tout à fait le même. Et de constructeur à pilote, nos perspectives d’avenir se résumeraient plutôt à « exterminateur en tous genres ». C’est précisément ce que cherche à nous inculquer le Pack Tour de Metro Last Light. Attachez vos ceintures et mettez vos lunettes mais attention : si vous sentez vraiment la douleur, alors c’est que le mutant qui vous mâchouille le bras n’est peut-être pas si virtuel que ça !
Il y a simulation et simulation. Dans notre petit monde moderne coquet et cossu, il s’agit d’apprendre à piloter des engins aussi exotiques qu’une bétonneuse ou encore un rafale, s’imaginer fermier, entrepreneur, cuisinier… Autant de possibilités en rapport avec le monde qui est le nôtre. Mais à supposer que nous soyons obligés de survivre en sous-sol dans la peur permanente des choses qui rôdent à la surface, le rêve ne serait plus tout à fait le même. Et de constructeur à pilote, nos perspectives d’avenir se résumeraient plutôt à « exterminateur en tous genres ». C’est précisément ce que cherche à nous inculquer le Pack Tour de Metro Last Light. Attachez vos ceintures et mettez vos lunettes mais attention : si vous sentez vraiment la douleur, alors c’est que le mutant qui vous mâchouille le bras n’est peut-être pas si virtuel que ça !
Il y a simulation et simulation. Dans notre petit monde moderne coquet et cossu, il s’agit d’apprendre à piloter des engins aussi exotiques qu’une bétonneuse ou encore un rafale, s’imaginer fermier, entrepreneur, cuisinier… Autant de possibilités en rapport avec le monde qui est le nôtre. Mais à supposer que nous soyons obligés de survivre en sous-sol dans la peur permanente des choses qui rôdent à la surface, le rêve ne serait plus tout à fait le même. Et de constructeur à pilote, nos perspectives d’avenir se résumeraient plutôt à « exterminateur en tous genres ». C’est précisément ce que cherche à nous inculquer le Pack Tour de Metro Last Light. Attachez vos ceintures et mettez vos lunettes mais attention : si vous sentez vraiment la douleur, alors c’est que le mutant qui vous mâchouille le bras n’est peut-être pas si virtuel que ça !
Ticket de métro ? Ok. Pass Navigo ? Ok. Masque à gaz ? Ok. Kalashnikov ? Ok. Vous voilà donc paré pour redescendre sous terre une troisième fois, cette fois-ci pour deux buts distincts : l'un "contemplatif", l'autre survivaliste. En effet, avec le pack Développeur, Metro Last Light vous propose deux expériences différentes pour le prix d’une. Une visite au musée et l’exploration de souterrains ayant servi de silos à missiles. Que les allergiques aux balades culturelles se rassurent. Ici, il s’agirait plus de chercher la petite bête… et d’en trouver des grosses.
Ticket de métro ? Ok. Pass Navigo ? Ok. Masque à gaz ? Ok. Kalashnikov ? Ok. Vous voilà donc paré pour redescendre sous terre une troisième fois, cette fois-ci pour deux buts distincts : l'un "contemplatif", l'autre survivaliste. En effet, avec le pack Développeur, Metro Last Light vous propose deux expériences différentes pour le prix d’une. Une visite au musée et l’exploration de souterrains ayant servi de silos à missiles. Que les allergiques aux balades culturelles se rassurent. Ici, il s’agirait plus de chercher la petite bête… et d’en trouver des grosses.
Ticket de métro ? Ok. Pass Navigo ? Ok. Masque à gaz ? Ok. Kalashnikov ? Ok. Vous voilà donc paré pour redescendre sous terre une troisième fois, cette fois-ci pour deux buts distincts : l'un "contemplatif", l'autre survivaliste. En effet, avec le pack Développeur, Metro Last Light vous propose deux expériences différentes pour le prix d’une. Une visite au musée et l’exploration de souterrains ayant servi de silos à missiles. Que les allergiques aux balades culturelles se rassurent. Ici, il s’agirait plus de chercher la petite bête… et d’en trouver des grosses.
De nos jours, le succès des Rogue-like (mort permanente et niveaux générés aléatoirement) est sans doute du à sa grande disposition à l'hybridation. Le cas qui nous intéresse aujourd'hui est celui de Tower of Guns dont les influences (Risk of Rain et Unreal) ainsi que les créateurs (Joe et Mike Mirabello) peuvent être rudement fiers.