ActionAventureRPGPlate-FormeSportShooterCourseStratégieFPSRéflexionGestionCombatSimulationBeat'em AllPuzzle-GamePoint'n ClickAutresParty-GameSurvival-HorrorRythmeTactiqueMMOShoot'em UpInfiltrationAdresseTirJeu de cartesAction RPGWargameJeu de sociétéCompilationLudo-EducatifOpen WorldTPSCoachingCréationRoguelikeSurvieFlipperTactical RPGMMORPGRunnerDungeon RPGSandboxGod GameHack'n slashVisual NovelBattle RoyaleManagementCity BuilderFilm InteractifMOBAMMOFPSSimulation de vieTower DefenseCasse briques4XDragueDanseKaraokéMatch 3Simulation de volObjets cachésSerious GamesJeu de Rôle
Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Aux commandes du moteur magique UbiArt, une équipe d'Ubisoft a décidé de commémorer à sa façon le centenaire de la Première Guerre mondiale. Un jeu d'artistes qui se pose quelque part entre pédagogie, humanité et essai artistique.
Au fil des années et des épisodes, la série Tour de France a gagné en notoriété pour devenir un vrai succès commercial. Initialement perçue comme un Pro Cycling Manager tronqué, elle a su au fur et à mesure se démarquer jusqu'à ce qu'on se prenne pour un vrai coureur de la Grande Boucle. Cette année, la série débarque avec des ambitions encore plus grandes. Que nous réserve-t-elle pour l'occasion ?
Au fil des années et des épisodes, la série Tour de France a gagné en notoriété pour devenir un vrai succès commercial. Initialement perçue comme un Pro Cycling Manager tronqué, elle a su au fur et à mesure se démarquer jusqu'à ce qu'on se prenne pour un vrai coureur de la Grande Boucle. Cette année, la série débarque avec des ambitions encore plus grandes. Que nous réserve-t-elle pour l'occasion ?
Au fil des années et des épisodes, la série Tour de France a gagné en notoriété pour devenir un vrai succès commercial. Initialement perçue comme un Pro Cycling Manager tronqué, elle a su au fur et à mesure se démarquer jusqu'à ce qu'on se prenne pour un vrai coureur de la Grande Boucle. Cette année, la série débarque sur PS4 avec des ambitions encore plus grandes. Que nous réserve-t-elle pour l'occasion ?
Le film d'animation Dragons avait bénéficié d'un jeu vidéo inspiré de son univers en 2010. Même s'il ne faisait pas figure de jeu incontournable, nous avions été assez agréablement surpris par ce mélange d'action et d'aventure qui ne massacrait pas l'excellente licence dont il s'inspirait. Dragons 2, qui sortira dans les salles obscures le 2 juillet 2014, se trouve également porté sur consoles de salon, mais ne rend malheureusement pas justice à l'univers pourtant si riche du film estampillé Dreamworks.
Le film d'animation Dragons avait bénéficié d'un jeu vidéo inspiré de son univers en 2010. Même s'il ne faisait pas figure de jeu incontournable, nous avions été assez agréablement surpris par ce mélange d'action et d'aventure qui ne massacrait pas l'excellente licence dont il s'inspirait. Dragons 2, qui sortira dans les salles obscures le 2 juillet 2014, se trouve également porté sur consoles de salon, mais ne rend malheureusement pas justice à l'univers pourtant si riche du film estampillé Dreamworks.
Jamais deux sans trois, c’est bien. Cela dit, les petits gars de chez 4A Games ne s’en sont pas contentés. Ils nous ont donc inventé un nouveau proverbe destiné à leur dernière production, Metro : Last Light, et ledit proverbe est "jamais trois sans quatre". Affublé du doux nom de Chroniques, le quatrième et dernier pack de DLC nous renvoie prendre un bon bol d’air radioactif dans une Moscou en ruines, abritant monstres humains ou animaux. Vous avez l’habitude à présent : on met son masque à gaz et on se prépare à la descente.
Sorti avant les DLC scénarisés de Tombeau Sous-Marin, Clash in the Clouds se présente comme une mini-extension de l'aventure Infinite. Ici, point de scénario, juste un mélange entre défis, match en arènes et combats jusqu'à plus soif.
Sorti avant les DLC scénarisés de Tombeau Sous-Marin, Clash in the Clouds se présente comme une mini-extension de l'aventure Infinite. Ici, point de scénario, juste un mélange entre défis, match en arènes et combats jusqu'à plus soif.
Sorti avant les DLC scénarisés de Tombeau Sous-Marin, Clash in the Clouds se présente comme une mini-extension de l'aventure Infinite. Ici, point de scénario, juste un mélange entre défis, match en arènes et combats jusqu'à plus soif.
Jamais deux sans trois, c’est bien. Cela dit, les petits gars de chez 4A Games ne s’en sont pas contentés. Ils nous ont donc inventé un nouveau proverbe destiné à leur dernière production, Metro : Last Light, et ledit proverbe est "jamais trois sans quatre". Affublé du doux nom de Chroniques, le quatrième et dernier pack de DLC nous renvoie prendre un bon bol d’air radioactif dans une Moscou en ruines, abritant monstres humains ou animaux. Vous avez l’habitude à présent : on met son masque à gaz et on se prépare à la descente.
Jamais deux sans trois, c’est bien. Cela dit, les petits gars de chez 4A Games ne s’en sont pas contentés. Ils nous ont donc inventé un nouveau proverbe destiné à leur dernière production, Metro : Last Light, et ledit proverbe est "jamais trois sans quatre". Affublé du doux nom de Chroniques, le quatrième et dernier pack de DLC nous renvoie prendre un bon bol d’air radioactif dans une Moscou en ruines, abritant monstres humains ou animaux. Vous avez l’habitude à présent : on met son masque à gaz et on se prépare à la descente.
Jamais deux sans trois, c’est bien. Cela dit, les petits gars de chez 4A Games ne s’en sont pas contentés. Ils nous ont donc inventé un nouveau proverbe destiné à leur dernière production, Metro : Last Light, et ledit proverbe est "jamais trois sans quatre". Affublé du doux nom de Chroniques, le quatrième et dernier pack de DLC nous renvoie prendre un bon bol d’air radioactif dans une Moscou en ruines, abritant monstres humains ou animaux. Vous avez l’habitude à présent : on met son masque à gaz et on se prépare à la descente.
Après le succès rencontré auprès des fans par ses deux précédents et brillants remakes des premiers épisodes de la série King’s Quest, AGD Interactive poursuit sur sa lancée en offrant un lifting bienvenu au troisième volet, To Heir is Human. Sobrement rebaptisé "Redux", celui-ci a bénéficié de l’expérience acquise par le studio amateur, qui a publié une première version de grande qualité. Est-il pour autant à la hauteur de ses illustres aînés ? Vérifions-le tout de suite.
Suite au succès rencontré par les deux premiers épisodes de la saga King’s Quest en 1984 et 1985, Roberta Williams et son équipe de Sierra On-line continuent sur leur lancée. Ils sortent en 1986 un troisième épisode plus abouti, après s’être rendu compte qu’il manquait un petit quelque chose aux volets précédents : un semblant de scénario. Preuve s’il en fallait que les détails ont leur importance, la correction de ce défaut récurrent permit au troisième volet de la série de se hisser à un niveau supérieur à celui de ses illustres aînés.
Après le succès rencontré auprès des fans par ses deux précédents et brillants remakes des premiers épisodes de la série King’s Quest, AGD Interactive poursuit sur sa lancée en offrant un lifting bienvenu au troisième volet, To Heir is Human. Sobrement rebaptisé "Redux", celui-ci a bénéficié de l’expérience acquise par le studio amateur, qui a publié une première version de grande qualité. Est-il pour autant à la hauteur de ses illustres aînés ? Vérifions-le tout de suite.
Comme un poisson qui remue sur la berge ; telle est l'image que laisse ce cinquième Chasseur de Têtes, plutôt de mise puisqu'il se joue les pieds dans le sable. Le poisson a pourtant traversé tous les océans, et la tête haute, mais il faut croire qu'au terme de son périple, en ce 15 avril 2014, ses forces l'ont abandonné. En mettant en scène « Sir Hammerlock contre le fils de Crawmerax », le studio Gearbox aurait-il donc joué une carte en trop ?
Comme un poisson qui remue sur la berge ; telle est l'image que laisse ce cinquième Chasseur de Têtes, plutôt de mise puisqu'il se joue les pieds dans le sable. Le poisson a pourtant traversé tous les océans, et la tête haute, mais il faut croire qu'au terme de son périple, en ce 15 avril 2014, ses forces l'ont abandonné. En mettant en scène « Sir Hammerlock contre le fils de Crawmerax », le studio Gearbox aurait-il donc joué une carte en trop ?
360
Borderlands 2 - Chasseur de Têtes 5 : Sir Hammerlock contre le Fils de Crawmerax
Sorti avant les DLC scénarisés de Tombeau Sous-Marin, Clash in the Clouds se présente comme une mini-extension de l'aventure Infinite. Ici, point de scénario, juste un mélange entre défis, match en arènes et combats jusqu'à plus soif.
Comme un poisson qui remue sur la berge ; telle est l'image que laisse ce cinquième Chasseur de Têtes, plutôt de mise puisqu'il se joue les pieds dans le sable. Le poisson a pourtant traversé tous les océans, et la tête haute, mais il faut croire qu'au terme de son périple, en ce 15 avril 2014, ses forces l'ont abandonné. En mettant en scène « Sir Hammerlock contre le fils de Crawmerax », le studio Gearbox aurait-il donc joué une carte en trop ?
PC
Borderlands 2 - Chasseur de Têtes 5 : Sir Hammerlock contre le Fils de Crawmerax