ActionShooterRPGAventureFPSCourseStratégiePlate-FormeSportCombatInfiltrationBeat'em AllSurvival-HorrorGestionMMOSimulationRéflexionTactiqueTirAction RPGRythmePoint'n ClickAutresTPSOpen WorldParty-GameMMORPGPuzzle-GameJeu de cartesCréationHack'n slashWargameSurvieShoot'em UpSandboxTactical RPGAdresseMOBAGod GameDungeon RPG4XCity BuilderBattle RoyaleRoguelikeManagementCoachingCompilationFlipperMMOFPSCasse briquesFilm InteractifMatch 3Simulation de volJeu de sociétéRunnerSimulation de vieTower DefenseVisual NovelDanseDragueJeu de RôleKaraokéLudo-EducatifObjets cachésSerious Games
Événement
BlizzConE3Find Your Next GamegamescomGDCJapan ExpoParis Games WeekQuakeConTokyo Game ShowAGDQAs d'OrBlack FridayBrasil Game ShowCESComic-ConCyber MondayESWCFrench DaysGame AwardsGamers AssemblyJOKakutop FRKAKUTOP LeagueMineconMWC 2022PAX EastPlayStation ExperiencePrime DaySaint ValentinSingles DaySoldesStunfestSummer Game FestToulouse Game ShowVentes flash amazon
Troisième et sans doute dernière sortie pour GRID sur PS3 et 360. Codemasters ressert la même formule de ce jeu de course, mix d’arcade et de simulation. Pas de grosses révolutions en perspective mais du contenu plus conséquent avec notamment le drift qui, soit dit en passant, n’a pas convaincu. Cela ne devrait cependant pas freiner les fans de la saga, bien heureux de revoir une licence plutôt agréable et sympathique.
Il y a des premières fois dont on aimerait qu'elles ne restent pas sans suite et d'autres qu'il vaut mieux très vite oublier. Homefront appartient clairement à la seconde catégorie. Sorti début 2011, le titre développé par Kaos Studios et édité par THQ n'avait pas grand-chose pour lui, si ce n'est une campagne marketing habile qui lui a permis un temps de faire illusion avant que la vérité n'éclate au grand jour. Du coup, lorsque l'éditeur américain s'en est allé, il y a environ un an et demi, rares sont les personnes qui se sont inquiétées du sort de la licence Homefront. Eh bien la voilà aujourd'hui ramenée à la vie par Crytek, avec un deuxième épisode sous-titré The Revolution. Autant l'écrire de suite, il y a du changement.
Il y a des premières fois dont on aimerait qu'elles ne restent pas sans suite et d'autres qu'il vaut mieux très vite oublier. Homefront appartient clairement à la seconde catégorie. Sorti début 2011, le titre développé par Kaos Studios et édité par THQ n'avait pas grand-chose pour lui, si ce n'est une campagne marketing habile qui lui a permis un temps de faire illusion avant que la vérité n'éclate au grand jour. Du coup, lorsque l'éditeur américain s'en est allé, il y a environ un an et demi, rares sont les personnes qui se sont inquiétées du sort de la licence Homefront. Eh bien la voilà aujourd'hui ramenée à la vie par Crytek, avec un deuxième épisode sous-titré The Revolution. Autant l'écrire de suite, il y a du changement.
Il y a des premières fois dont on aimerait qu'elles ne restent pas sans suite et d'autres qu'il vaut mieux très vite oublier. Homefront appartient clairement à la seconde catégorie. Sorti début 2011, le titre développé par Kaos Studios et édité par THQ n'avait pas grand-chose pour lui, si ce n'est une campagne marketing habile qui lui a permis un temps de faire illusion avant que la vérité n'éclate au grand jour. Du coup, lorsque l'éditeur américain s'en est allé, il y a environ un an et demi, rares sont les personnes qui se sont inquiétées du sort de la licence Homefront. Eh bien la voilà aujourd'hui ramenée à la vie par Crytek, avec un deuxième épisode sous-titré The Revolution. Autant l'écrire de suite, il y a du changement.
Annoncé un temps comme l'un des jeux phares du lancement de la PlayStation 4, DriveClub a finalement été repoussé à plusieurs reprises, la date de sortie étant à ce jour calée au 8 octobre prochain. Un procédé classique qui envoie, malgré toute la bonne volonté des personnes impliquées dans la conception du jeu, un signal négatif aux joueurs. Pour autant, l'histoire nous a aussi appris que des reports successifs ont parfois un impact positif sur la qualité finale d'un titre. Aussi étions-nous relativement impatients de faire un point sur la situation de DriveClub alors que notre seul vrai contact avec la production signée Evolution Studios (MotorStorm) remonte au dernier E3.
Si le nom Battlecry ne vous dit rien, n'y voyez là rien d'anormal dans la mesure où le jeu n'avait tout simplement pas encore été annoncé et qu'il s'agit en plus d'une nouvelle propriété intellectuelle. Développé par le studio Battlecry – cela ne s'invente pas –, appartenant lui-même à la société ZeniMax, ce free-to-play orienté multijoueur propose des combats en équipe impliquant jusqu'à 32 joueurs. Un projet sur lequel travaille notamment le brillant Viktor Antonov (directeur artistique sur Half-Life 2 ou encore Dishonored). Après les quelques matchs sanglants que nous avons pu disputer, voici ce que l'on a retenu de ce titre par bien des aspects singulier, annoncé pour le moment sur PC.
A l'évidence, les jeux d'horreur n'ont plus la même cote que par le passé. Les éditeurs semblent rechigner à mettre des moyens dans les productions de ce type. Difficile en effet de concilier investissement et ventes importantes lorsque l'on donne dans ce genre si singulier. En témoigne le relatif échec que fut récemment Dead Space et la réorientation qui s'en est suivie pour faire progressivement glisser les épisodes vers un résultat orienté action. Quant aux séries historiques telles que Silent Hill, elles peinent aujourd'hui à se renouveler et à rester convaincantes. Il faut souvent se tourner vers des jeux indépendants pour trouver matière à réellement se faire peur. Il reste toutefois une exception dans le paysage vidéoludique actuel. Elle se nomme The Evil Within.
A l'évidence, les jeux d'horreur n'ont plus la même cote que par le passé. Les éditeurs semblent rechigner à mettre des moyens dans les productions de ce type. Difficile en effet de concilier investissement et ventes importantes lorsque l'on donne dans ce genre si singulier. En témoigne le relatif échec que fut récemment Dead Space et la réorientation qui s'en est suivie pour faire progressivement glisser les épisodes vers un résultat orienté action. Quant aux séries historiques telles que Silent Hill, elles peinent aujourd'hui à se renouveler et à rester convaincantes. Il faut souvent se tourner vers des jeux indépendants pour trouver matière à réellement se faire peur. Il reste toutefois une exception dans le paysage vidéoludique actuel. Elle se nomme The Evil Within.
A l'évidence, les jeux d'horreur n'ont plus la même cote que par le passé. Les éditeurs semblent rechigner à mettre des moyens dans les productions de ce type. Difficile en effet de concilier investissement et ventes importantes lorsque l'on donne dans ce genre si singulier. En témoigne le relatif échec que fut récemment Dead Space et la réorientation qui s'en est suivie pour faire progressivement glisser les épisodes vers un résultat orienté action. Quant aux séries historiques telles que Silent Hill, elles peinent aujourd'hui à se renouveler et à rester convaincantes. Il faut souvent se tourner vers des jeux indépendants pour trouver matière à réellement se faire peur. Il reste toutefois une exception dans le paysage vidéoludique actuel. Elle se nomme The Evil Within.
A l'évidence, les jeux d'horreur n'ont plus la même cote que par le passé. Les éditeurs semblent rechigner à mettre des moyens dans les productions de ce type. Difficile en effet de concilier investissement et ventes importantes lorsque l'on donne dans ce genre si singulier. En témoigne le relatif échec que fut récemment Dead Space et la réorientation qui s'en est suivie pour faire progressivement glisser les épisodes vers un résultat orienté action. Quant aux séries historiques telles que Silent Hill, elles peinent aujourd'hui à se renouveler et à rester convaincantes. Il faut souvent se tourner vers des jeux indépendants pour trouver matière à réellement se faire peur. Il reste toutefois une exception dans le paysage vidéoludique actuel. Elle se nomme The Evil Within.
A l'évidence, les jeux d'horreur n'ont plus la même cote que par le passé. Les éditeurs semblent rechigner à mettre des moyens dans les productions de ce type. Difficile en effet de concilier investissement et ventes importantes lorsque l'on donne dans ce genre si singulier. En témoigne le relatif échec que fut récemment Dead Space et la réorientation qui s'en est suivie pour faire progressivement glisser les épisodes vers un résultat orienté action. Quant aux séries historiques telles que Silent Hill, elles peinent aujourd'hui à se renouveler et à rester convaincantes. Il faut souvent se tourner vers des jeux indépendants pour trouver matière à réellement se faire peur. Il reste toutefois une exception dans le paysage vidéoludique actuel. Elle se nomme The Evil Within.
Le MOBA free-to-play a le vent en poupe. La preuve, le jeune studio franco-suédois LightBulb Crew (composé d’anciens membres d’Ubisoft, Codematers, Dontnod et DICE) a choisi cette voie, pour ce qui constituera sa toute première création : Games of Glory. Souhaitons-leur, tout chauvinisme mis de côté, de se trouver une petite place dans un secteur outrageusement dominé par League of Legends, Dota 2 ou encore World of Tanks.
Le sniper de talent Karl Fairburne est de retour pour une aventure qui le propulse aujourd'hui en Afrique du nord durant la Seconde Guerre mondiale. Grâce à la démo jouable des deux premiers niveaux, il a été possible, à presque un mois de sa sortie, de lever le voile sur une pléthore de détails concernant le gameplay mais aussi les challenges périphériques…
Le sniper de talent Karl Fairburne est de retour pour une aventure qui le propulse aujourd'hui en Afrique du nord durant la Seconde Guerre mondiale. Grâce à la démo jouable des deux premiers niveaux, il a été possible, à presque un mois de sa sortie, de lever le voile sur une pléthore de détails concernant le gameplay mais aussi les challenges périphériques…
Le sniper de talent Karl Fairburne est de retour pour une aventure qui le propulse aujourd'hui en Afrique du nord durant la Seconde Guerre mondiale. Grâce à la démo jouable des deux premiers niveaux, il a été possible, à presque un mois de sa sortie, de lever le voile sur une pléthore de détails concernant le gameplay mais aussi les challenges périphériques…
Le sniper de talent Karl Fairburne est de retour pour une aventure qui le propulse aujourd'hui en Afrique du nord durant la Seconde Guerre mondiale. Grâce à la démo jouable des deux premiers niveaux, il a été possible, à presque un mois de sa sortie, de lever le voile sur une pléthore de détails concernant le gameplay mais aussi les challenges périphériques…
Le sniper de talent Karl Fairburne est de retour pour une aventure qui le propulse aujourd'hui en Afrique du nord durant la Seconde Guerre mondiale. Grâce à la démo jouable des deux premiers niveaux, il a été possible, à presque un mois de sa sortie, de lever le voile sur une pléthore de détails concernant le gameplay mais aussi les challenges périphériques…
A travers la série UFC Undisputed, THQ était parvenu à séduire les amateurs de combat libre. Après la mort de l'éditeur américain, il subsistait toutefois un doute au sujet du futur vidéoludique de cette discipline ô combien appréciée aujourd'hui. Jusqu'à ce que Electronic Arts annonce officiellement avoir repris le flambeau. Dans un mois débarquera ainsi sur PS4 et Xbox One EA Sports UFC. Nous avons pu mettre la main dessus et disputer plusieurs combats, histoire d'émettre un dernier avis avant sa sortie.
A travers la série UFC Undisputed, THQ était parvenu à séduire les amateurs de combat libre. Après la mort de l'éditeur américain, il subsistait toutefois un doute au sujet du futur vidéoludique de cette discipline ô combien appréciée aujourd'hui. Jusqu'à ce que Electronic Arts annonce officiellement avoir repris le flambeau. Dans un mois débarquera ainsi sur PS4 et Xbox One EA Sports UFC. Nous avons pu mettre la main dessus et disputer plusieurs combats, histoire d'émettre un dernier avis avant sa sortie.
« Nouveau jeu des créateurs de Left 4 Dead ». Voilà une description déjà assez alléchante pour que s'ouvrent soudainement les esgourdes du monde entier. Mais Evolve ne compte pas baser son succès sur l'unique renommée de son studio, mais sur son concept. Plus d'une heure de jeu en multi est une occasion idéale pour donner notre avis sur le bestiau.