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Le catalogue des éditeurs tiers majeurs est tellement fourni qu'il devient parfois difficile pour certaines productions de s'y faire une place. C'est un peu ce qui est en train d'arriver à Kingdoms of Amalur : Reckoning, un titre conçu par les Américains de Big Huge Games, un studio connu jusqu'ici pour avoir développé quelques RTS plutôt réussis. Au milieu de la tonne de blockbusters labellisés EA, le jeu peine un peu à faire entendre sa voix. Et pourtant, au regard de l'ambition des développeurs et des qualités qu'il a affichées tout au long des trois grosses heures que l'on a passées en sa compagnie, ce RPG possède un potentiel certain.
Les développeurs français du sympathique So Blonde sont de retour pour une aventure en point & click qui ne manquera pas de mettre le cerveau des joueurs en ébullition. Au programme : un voyage périlleux au cœur de la piraterie doublé d’une introspection décomplexée de son héroïne, la jeune capitaine Morgane, le tout sur fond d’énigmes plus ou moins complexes. A l’abordage moussaillons !
Les développeurs français du sympathique So Blonde sont de retour pour une aventure en point & click qui ne manquera pas de mettre le cerveau des joueurs en ébullition. Au programme : un voyage périlleux au cœur de la piraterie doublé d’une introspection décomplexée de son héroïne, la jeune capitaine Morgane, le tout sur fond d’énigmes plus ou moins complexes. A l’abordage moussaillons !
Les développeurs français du sympathique So Blonde sont de retour pour une aventure en point & click qui ne manquera pas de mettre le cerveau des joueurs en ébullition. Au programme : un voyage périlleux au cœur de la piraterie doublé d’une introspection décomplexée de son héroïne, la jeune capitaine Morgane, le tout sur fond d’énigmes plus ou moins complexes. A l’abordage moussaillons !
Lorsque les premières vidéos exposant les possibilités offertes par Kinect sont sorties, on a tout de suite imaginé quel type de jeu pourrait profiter ou non du périphérique. Parmi les genres qui semblaient incompatibles avec l'outil de Microsoft, on trouvait notamment les FPS. La précision réclamée par ces derniers n'est en effet pas l'une des qualités premières de Kinect à cause du temps de latence qui existe entre les mouvements effectués et leur transposition à l'écran. Mais visiblement, ces soucis, Zombie Studios n'en a cure puisque le développeur sort dans un gros mois Blackwater, un jeu de tir en vue subjective entièrement jouable avec son petit corps et exclusif à la Xbox 360.
Gamania, leader taïwanais du free-to-play, a annoncé il y a un an son MMORPG Core Blaze, qui sortira fin 2012. Depuis, un seul trailer a été lâché. Mais lors de la grande messe annuelle de l’éditeur qui s’est déroulée à Taipei il y a quelques jours, le titre s’est timidement dévoilé sous la forme d’une démo. Pour nous, ce fut un mélange d’excitation et de frustration. Explications.
Présente sur le marché depuis 2005, Forza Motorsport, la série exclusive aux machines de Microsoft, continue de tracer sa route avec une impressionnante régularité. Son développeur, Turn 10, parvient pour le moment à tenir le rythme soutenu d'un épisode tous les deux ans sans tomber dans la fainéantise. Après un troisième volet d'excellente facture, paru en 2009, 2011 voit donc arriver en toute logique Forza Motorsport 4. Voilà qui tranche avec l'attitude de Polyphony Digital qui accumule systématiquement retard sur retard pour chaque Gran Turismo. A un peu moins d'un mois de sa sortie, il nous a enfin été possible il y a quelques jours d'essayer Forza 4. L'occasion de se rendre compte qu'à défaut de révolution, Turn 10 nous prépare une nouvelle fois une mouture solide s'adressant à un public de plus en plus large.
La musique comme planche de salut, c’est la colonne vertébrale de ce free-to-play asiatique au look manga qui s’installe dans un environnement céleste. Une « mer de nuages » où flottent des îles qui se rallient à l’aide de vaisseaux aériens. Contexte et background s’avèrent suffisamment originaux pour que l’on s’y intéresse, même si la partie combat s’annonce classique. Voici nos premières impressions.
Les Sims 3 et ses extensions continuent de squatter les charts PC, signe que le succès de la série ne s'essouffle pas. Et ce n'est pas près de s'arrêter avec le prochain disque additionnel, Animaux & Cie, qui va permettre à nos Sims de bichonner d'adorables boules de poils virtuelles.
Allez, avouez donc qu'il vous est souvent arrivé de tirer lâchement dans les pattes d'un pote en plein milieu d'une partie en coopération. Tous ceux qui se sont essayé à ce type de partie ont forcément commis ou subi une petite bassesse rigolote : un petit coup de crosse dans le dos, un bonus volé à la dernière seconde, une petite grenade amicale, un petit coup de pare-chocs dans les dents... Mais imaginez qu'un développeur un peu plus tordu que les autres vous pousse justement à faire les pires vacheries à vos collègues sans vous pénaliser, juste pour la gloire et le plaisir. Eh bien figurez-vous que c'est justement là le propos de Battleblock Theater, la dernière production en date des parents d'Alien Hominid et de Castle Crashers.
Un jeu de rythme Final Fantasy. Oui, la première fois que l'on entend cela, ça fait peur. C'est donc dans un état fébrile que nos mains se sont approchées des 3DS mises à notre disposition sur le stand Square Enix du TGS pour nous essayer à cet ovni. Après une petite partie, voilà ce que l'on en pense.
Fidèle à sa politique de domination mondiale ainsi qu'à sa volonté d'aller faire pipi dans le jardin de son ennemi affiché, le tonitruant Modern Warfare 3, Battlefield 3 se devait de venir faire le beau au TGS. Mais public nippon oblige, la bête ne s'est finalement montrée que sur PS3, à travers une courte mission solo que nous allons maintenant nous attacher à vous décrire.
En attendant des nouvelles de Kingdom Hearts 3, il faut bien que les fans puissent se mettre quelque chose sous la dent. Heureusement, la magie du jeu vidéo nous étonnera toujours puisqu'un épisode 3DS est prévu, faisant justement le lien avec le troisième opus. Elle est pas belle la vie ?
Du Steel Battalion d'origine, sorti en 2003 sur la première Xbox, la plupart d'entre nous ne se rappellent en fait que de la gigantesque manette nécessaire pour jouer. Trois fois plus gros que la console elle-même, ce véritable panneau de commande a finalement trouvé un substitut assez inattendu avec Kinect, le fameux dispositif de détection des mouvements de Microsoft. En effet, si piloter un mecha en gesticulant devant son écran ne semblait pas franchement super sexy sur le papier, la méthode employée ici par From Software nous a plutôt emballés. Explications.
Parmi les grosses bébêtes que nous prépare Namco Bandai, il est dur de passer à côté de SoulCalibur V. Il faut dire que la série est un des porte-étendards des jeux de combat 3D. Mais ce cinquième épisode apportera-t-il assez d'innovations pour se démarquer ? Après avoir pu y jouer lors du TGS, nous vous livrons nos impressions.
Parmi les grosses bébêtes que nous prépare Namco Bandai, il est dur de passer à côté de SoulCalibur V. Il faut dire que la série est un des porte-étendards des jeux de combat 3D. Mais ce cinquième épisode apportera-t-il assez d'innovations pour se démarquer ? Après avoir pu y jouer lors du TGS, nous vous livrons nos impressions.
Après un passage remarqué sur PS2 et un gros ratage sur PSP, la fameuse série d'infiltration aussi nippone que médiévale entend bien revenir sur le devant de la scène. Destiné à s'acoquiner gaiement avec la Playstation Vita, synonyme de nouveauté et peut-être d'avenir radieux, Shinobido 2 cherchera donc à remettre au goût du jour l'assassinat discret à coups de katana dans les parties.
Surprise ! Les univers de Disney et Pixar se retrouvent ensemble à l’affiche d’un jeu vidéo ! On attendait donc un titre haut en couleur, digne des plus belles productions de pixels de l’Oncle Walt ou des meilleurs films de synthèse du studio auteur de Toy Story ou Là-haut. Le résultat est hélas tout autre et risque bien de décontenancer de nombreux joueurs…
Surprise ! Les univers de Disney et Pixar se retrouvent ensemble à l’affiche d’un jeu vidéo ! On attendait donc un titre haut en couleur, digne des plus belles productions de pixels de l’Oncle Walt ou des meilleurs films de synthèse du studio auteur de Toy Story ou Là-haut. Le résultat est hélas tout autre et risque bien de décontenancer de nombreux joueurs…
Surprise ! Les univers de Disney et Pixar se retrouvent ensemble à l’affiche d’un jeu vidéo ! On attendait donc un titre haut en couleur, digne des plus belles productions de pixels de l’Oncle Walt ou des meilleurs films de synthèse du studio auteur de Toy Story ou Là-haut. Le résultat est hélas tout autre et risque bien de décontenancer de nombreux joueurs…