L'imposant succès de FromSoftware avec la saga des "Soulsborne" ne doit pas nous faire oublier que l'entreprise a d'autres tours dans son sac. Familier et pourtant drastiquement différent, Sekiro : Shadows Die Twice nous en dit désormais davantage à propos de sa progression.
Pas de composante online, et donc un bouton de pause, pas de création de personnage... Sekiro diffère largement de ses prédécesseurs malgré son ADN reconnaissable. Dans le cadre d'entretiens exclusifs, Game Informer aborde cette semaine la progression du jeu d'action. On apprend que cette fois, l'expérience de notre shinobi et la monnaie de ses achats seront deux choses séparées, contrairement aux âmes ou échos du sang qui servaient à tout autrefois. Hidetaka Miyazaki a rappelé que nous ne perdrons ni expérience ni argent en mourant, nous n'aurons pas à les retrouver sur notre corps ; il a néanmoins assuré que la mort sera bel et bien une contrainte, mais n'a pas voulu préciser dans quelle mesure.
Si nous ne choisirons pas notre classe en début de jeu, nous pourrons bien améliorer notre héros en gagnant de l'expérience et donc des points de compétence, à dépenser dans des arbres à débloquer en trouvant des objets spécifiques lors de nos aventures. En se reposant devant des idoles, qui rappelleront les feux de Dark Souls, nous agrémenterons ces divers arbres de compétences spécialisés dans la force, la furtivité ou encore notre bras prothétique. Il s'agira d'améliorations passives, mais également actives avec des attaques spéciales notamment.
Du côté des améliorations de vie, le système sera davantage emprunté aux Zelda et consorts avec des objets à trouver dans les décors en étant attentifs. Les environnements abriteront aussi des tables d'artisanat permettant de travailler notre prothèse et de l'agrémenter par exemple d'un lanceur de shurikens. Pour rappel, Sekiro : Shadows Die Twice paraîtra le 22 mars sur PC, PS4 et Xbox One.
Dans l'univers féodal de Sekiro : Shadows Die Twice - gamescom 2018