Sa carrière de réalisateur commence extrêmement mal pour lui avec un premier film qui récolte de nombreuses critiques négatives…
Cette année, vous avez probablement déjà vu Chris Pine dans Donjons et Dragons : L'Honneur des voleurs, où il incarne Edgin Darvis, le barde de l’aventure. Ce long-métrage a été, contre toute attente, très bien reçu par le public, avec notamment une note de 91% de la presse et 93% des spectateurs sur Rotten Tomatoes. Une prouesse pour une licence qui n’avait pas eu la chance de faire de bons débuts sur grand écran dans les années 2000 !
Après le succès critique de ce long-métrage dans lequel il tient le rôle principal, Chris Pine a décidé de se tourner vers la réalisation. Eh oui, l’acteur de 40 ans qui a une solide carrière, tente sa chance en se positionnant à la fois devant et derrière la caméra dans Poolman. Hélas, ses débuts ne se déroulent pas comme prévu, et les quelques critiques sont déjà très négatives.
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Poolman, le film de Chris Pine
Poolman met en scène Darren Barrenman, un homme qui passe ses journées à s’occuper de la piscine d’un immeuble à Los Angeles et à se rendre aux réunions du conseil municipal avec ses voisins sans y être convié. Sa vie bascule lorsqu’il découvre le plus grand vol d’eau de l’histoire de la ville et qu’il décide subitement de mener l’enquête. Chris Pine incarne le personnage principal de son film, et malgré ses talents d’acteur, il n’a pas pu le sauver d’un très mauvais démarrage. C’est lors de sa première diffusion au Festival international du film de Toronto 2023, le 11 septembre, que son public restreint semble avoir été déçu.
Sur Rotten Tomatoes, Poolman a une moyenne de 25% avec seulement douze critiques provenant de la presse, et pratiquement aucune d’entre elles sont élogieuses. Des critiques extrêmement négatives voire même brutales, surtout pour une première diffusion dans le monde entier. En voici quelques exemples :
Malheureusement, le film, présenté en avant-première au Festival international du film de Toronto, s'effondre presque dès qu'il commence.
Un projet passionnel d'un acteur malavisé qui n'est rien d'autre qu'une série de références à des initiés de Los Angeles qui ne sont pas drôles du tout. Un vrai navet.
Le film ne dure que 100 minutes, mais plus de 99 de ces minutes sont susceptibles d'être passées dans un ennui silencieux, voire une incrédulité irritée d'avoir été soumis à un tel non-sens sans astuce et sans art.
Avec de tels retours, alors que Poolman n’est pas encore sorti officiellement pour le grand public, difficile de s’imaginer que Chris Pine s’aventure davantage dans la réalisation. Il ne reste plus qu’à voir si les futurs avis seront toujours aussi négatifs.