Malgré une disponibilité dans seulement 11 territoires, Dragalia Lost représente déjà une solide source de revenus pour Nintendo. S'il est loin d'être aussi lucratif que Fire Emblem Heroes, le jeu codéveloppé avec Cygames (Granblue Fantasy) a dépassé les autres productions mobiles du constructeur nippon en matière de revenus générés.
Selon les chiffres de Sensor Tower, Dragalia Lost a rapporté plus de 100 millions de dollars à Nintendo. D'abord lancé en septembre 2018 au Japon, à Taïwan, à Hong Kong, à Macao et aux États-Unis, le titre s'est ensuite exporté au Royaume-Uni, en Irlande, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et à Singapour. Il adopte un modèle particulièrement lucratif puisqu'il s'agit d'un gacha free-to-play. Les joueurs les plus pressés peuvent ainsi acheter une monnaie Premium permettant de récupérer des personnages via des tirages aléatoires ou de restaurer leur endurance, nécessaire pour lancer des missions en solo. Une formule payante pour Nintendo, qui est également appliquée dans Fire Emblem Heroes et que l'on retrouvera avec le futur Mario Kart Tour, la dernière bêta du jeu ayant révélé que les karts et personnages seront à débloquer dans des tirages au sort. Aux dernières nouvelles, il devrait sortir cet été.
Pour le moment, on ne sait pas quand Dragalia Lost sera officiellement disponible en France.
Dragalia Lost : Une lueur d'espoir