Alors, pour ce jeu, un 20 s'impose de mon point de vue. Certes les graphismes ont mal vieilli (mais je les trouve assez sympathiques et ils collent à l'ambiance du jeu). Ce jeu est déroutant. Repoussant. J'y ai joué 1h avant de le lâcher. Je l'ai repris la semaine suivante, curieux tout de même, et je n'ai plus décroché jusqu'à la fin. L'histoire n'est pas très attractive non plus: on voit souvent des mondes post-apocalyptiques, mais il est rare tout de même qu'on nous annonce dès le départ que Dieu en est la cause et qu'il va falloir aller le "purifier" au bout de la Neuro Tower. Pour ça, une arme nous est confiée par un étrange Archange, à nous, le dernier humain "pur" mais amnésique. On entre dans la tour, et on se rend compte qu'on perd de la vitalité au fil du temps. On continue, on se rattache au moindre objet de soin, mais rien n'y fait: on meurt. On arrive à nouveau au pied de la tour, frustré, et on y entre nouveau. Là, tout a changé: les pièces, les monstres... Et c'est ça Baroque: un jeu où la mort n'est qu'un nouveau commencement, et où à travers elle le joueur poursuit son but en quête de Dieu, et surtout en quête de la vérité. Ce n'est pas un jeu, c'est une oeuvre d'art.
Alors, pour ce jeu, un 20 s'impose de mon point de vue. Certes les graphismes ont mal vieilli (mais je les trouve assez sympathiques et ils collent à l'ambiance du jeu). Ce jeu est déroutant. Repoussant. J'y ai joué 1h avant de le lâcher. Je l'ai repris la semaine suivante, curieux tout de même, et je n'ai plus décroché jusqu'à la fin. L'histoire n'est pas très attractive non plus: on voit souvent des mondes post-apocalyptiques, mais il est rare tout de même qu'on nous annonce dès le départ que Dieu en est la cause et qu'il va falloir aller le "purifier" au bout de la Neuro Tower. Pour ça, une arme nous est confiée par un étrange Archange, à nous, le dernier humain "pur" mais amnésique. On entre dans la tour, et on se rend compte qu'on perd de la vitalité au fil du temps. On continue, on se rattache au moindre objet de soin, mais rien n'y fait: on meurt. On arrive à nouveau au pied de la tour, frustré, et on y entre nouveau. Là, tout a changé: les pièces, les monstres... Et c'est ça Baroque: un jeu où la mort n'est qu'un nouveau commencement, et où à travers elle le joueur poursuit son but en quête de Dieu, et surtout en quête de la vérité. Ce n'est pas un jeu, c'est une oeuvre d'art.
J'ai tout simplement détesté ce jeu. Il avait l'ai très bien au départ, puis j'ai commencé à jouer et j'ai arrêté après 30 minutes parce que le jeu est beaucoup trop répétitif, et l'on doit toujours faire la même chose, c'est à dire progresser dans la tour.
Tout simplement affreux, comment en 2008 on peut sortir un jeu aussi moche, si peu maniable, si peu accrocheur?
On en a plein la vue avec la cinématique de départ, puis ... la chute infernale dès que le jeu commence.
Pardonnez mon avis si tranchant.