Le jeu vidéo se porte mieux que jamais. Aujourd'hui encore j'en ai eu la preuve quand sitôt après avoir terminé The Unfinished Swan, les yeux encore écarquillés je m'en fus quérir mon frère qui squattait Dishonored, afin de lui vanter les mérites de ce jeu atypique bien qu'extrêmement court. Qu'importe la qualité de l'expérience ne s'en trouve que plus concentrée

Ce jeu est une bonne surprise, à la fois déroutant et plein de bonnes idées. Chaque chapitre s'apréhende différement, ce qui nous évite la routine et l'ennui. Toutefois l'handicap du jeu est indéniablement sa durée de vie. Si ce point ne m'avais pas gêné pour Journey ou l'on avait juste à se laisser porter sans réfléchir et qui pour le coup s'apréhende plus comme un film d'animation interactif, l'approche de The Unfinished Swan est tout autre, on se sent vraiment dans un jeu vidéo ici, à chercher des solutions pour avancer(jamais bien compliqué), ou à chercher les ballons pour débloquer des bonus... Des idées intéressantes auraient méritées d'être développées dans un soft plus long, comme les boules de peintures, la vigne ou encore ces modules que l'on peut fabriquer (les Jouets que l'on débloque auraient mérités eux aussi de pouvoir être exploités d'avantage pour offrir une bonne rejouabilité au titre). Même la quête des ballons ne sera pas bien compliqué. Clairement après avoir finit le jeu, j'ai comme un arrière goût de démo, très bien on a vu tout ces concepts maintenant on veut le vrai jeu! Esthétiquement le soft est très soigné, et même si ces graphismes en applâts de noir ou blanc peuvent déstabiliser, l'identité visuelle est vraiment singulière, mais encore une fois on aurait aimé passer plus de temps dans chacun de ces univers (sans compter que dans certains chapitre, il est impossible de prendre son temps pour profiter du paysage). Le scénario qui se présente sous forme de comte pour enfant est sans réelles surprises et comporte quelques zones floues mais reste sympathique.
Au fnal The Unfinished Swan est un titre séduisant sur tous les points mais qui laisse vraiment une sensation de "pas assez", d'autant plus que je ne suis pas convaincu de la rejouabilité du titre, encore une fois même si la comparaison avec journey n'a pas vraiment lieu d'être, je me permet de la faire dans la mesure où ce sont deux titres très courts et je ne les compare que là dessus, l'un peut se refaire beaucoup de fois sans lasser le joueur (en partie aussi grâce au mode online), tandis que The Unfinished Swan n'offre à mon avis pas cette option.

The Unfinished Swan n'atteint peut-être pas l'excellence de Journey mais il n'est pas loin derrière.

Tout commence avec un gameplay très simple pour ajouter des mécaniques intelligentes au fur et à mesure de l'aventure.
Ce qui parait n'être qu'un simple compte pour enfant au départ se transforme une balade ingénieuse à travers un royaume intriguant où l'on se prend au jeu sans s'en rendre compte.

Un bonne bouffée d'air frais pour changer des omniprésents titres bourrins.

Le jeu vidéo se porte mieux que jamais. Aujourd'hui encore j'en ai eu la preuve quand sitôt après avoir terminé The Unfinished Swan, les yeux encore écarquillés je m'en fus quérir mon frère qui squattait Dishonored, afin de lui vanter les mérites de ce jeu atypique bien qu'extrêmement court. Qu'importe la qualité de l'expérience ne s'en trouve que plus concentrée.

Très bon jeu du PSN. On le découvre comme un livre de conte en suivant l'aventure d'un vieux Roi au travers des yeux d'un jeune enfant. Ce dernier part à la recherche du lègue de sa mère, un tableau inachevé représentant un cygne, d'où le titre, qui a décidé de mettre les voiles. Le jeu semble assez étrange au premier abord mais petit à petit on découvre un merveilleux conte qui sait se renouveler de chapitre en chapitre. On passe d'un univers épuré qui prends petit à petit forme avec des couleurs de plus en plus présente à un univers de plus en plus sombre. Mention spécial aux crédits du jeu qui sont très sympathiques à explorer. Seul point noir, ce serait la durée de vie, les chapitres se dévorent assez vite et l'histoire se révèle réellement à la fin du 3ème chapitre et au 4ème et dernier chapitre, on aurait aimé poursuivre un peu plus loin l'aventure.

Premier à avoir l'honneur de noter ce jeu épique , je tiens à démontrer la classe naturelle qui émane de cette oeuvre , non seulement d'un point de vue esthétique , mais surtout sonore . Ce qui frappe tout de suite , c'est la touche artistique très orignale de l'auteur , omniprésente jusque dans les plus subtils détails , impossible à distinguer avec nos yeux inexpérimentés . Autant sur le fond que dans la finesse de la forme , Unfinished Swan parvient à nous transporter vers des contrées inexplorées de notre inconscient , rendant l'émotion vécue si intense et indescriptible que nous en oublierions les larmes , un moment qui restera dans notre mémoire pour les siècles à venir . Au même titre que des grands noms comme journey , ce titre brille non seulement par sa complexité intellectuelle , mais surtout par sa simplicité ludique .

Original, dépaysant, très facile et durée de vie ridicule, ce titre est pour moi clairement en dessous Journey ou Abzu. Il y a ce petit côté dans le jeu qui fait qu'on ne décroche pas de la manette avant la fin, soit 2 bonnes heures. J'ai pu en profiter avec le PSNow, largement suffisant alors que j'avais hésité à l'acheter sur le store.

+ Gameplay très original
+ Ambiance graphique éthérée très réussie
+ Belle musique

+ Écriture soignée

+ Joli clin d’œil à Journey à travers le télescope

- Quelques chutes de frame-rate, impardonnable
- La plate-forme en vue subjective, c'est toujours pénible
- Pas le choix des langues (on rate Terry Gilliam en VO quand-même)

Obtenu avec le PS+, je le conseille à 5€ pas plus, étant donné sa faible durée de vie.

The Unfinished Swan est un "jzu" contemplatif où ce mêle différents moyens d'expression. Voyez cela comme une histoire à lire (plus qu'à vivre) et vous passerez un agréable moment.

J'ai trouvé le concept vraiment original. J'ai pris un vrai plaisir à explorer les niveaux grâce aux boules de peinture.

Un peu déçu des derniers où l'on perd justement ce côté exploration, mais sinon j'ai bien aimé.

L'histoire poétique est également très sympathique à suivre et colle bien au jeu.

merci je me suis souvenue de la raison pour lequel j'aimais tant le jeux vidéo parce que l'espace de quelque heure il peut me rappeler parfois que j'adule l'art quant il (le jeux vidéo) peut lui même montré qu'il est un art d'une simplicité et d'une beauté sans pareille okami journey et ce jeu des œuvre reflet de la beauté que peut porté l’âme des homme .

The unfinished swan est un jeu indépendant exclusif à la PS3 avec un gameplay bien particulier consistant trouver son chemin dans un environnement totalement blanc en envoyant des billes de couleur noire afin de faire apparaître les contours des environs. La vue à la première personne permet une bonne immersion et on peut admirer notre oeuvre en noir et blanc en jetant un œil en arrière à tout moment. La narration est similaire à un conte (le labyrinthe n'étant pas sans rappelker celui d'Alice au pays des Merveilles) avec une voix off racontant l'histoire d'un roi qui voulut repeindre son royaume. Le gameplay évolue ensuite en transformant les billes de peinture en billes d'eau afin que l'on évolue plus difficilement (l'eau étant très pâle et s'effaçant bien vite) mais aussi afin que l'on fasse pousser des plantes grimpantes grâce auxquelles on pourra s'accrocher et escalader les murs. La dernière partie du jeu est plus sombre et davantage scénarisée, on se promène dehors en pleine nuit avec une lumière qui nous guide et nous protège de petites créatures qui ne font qu'une bouchée de nous si on se retrouve dans le noir. Une fois à l'intérieur de du château, on peut créer des plateformes en trois dimensions afin de grimper tout en haut, puis on alterne ces phases avec celles dans le noir tout en se dirigeant vers le monument du roi, où le scénario s'éclaircit enfin bien qu'il soit assez prévisible. Le côté sombre aurait pu être plus poussé pour donner un véritable sentiment de peur au joueur, mais la poésie et le gameplay du jeu sont de très bonne qualité. Un jeu court mais très réussi !